Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
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Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
359. Dieu passe
Nous avons déjà tout dans le Royaume de Dieu :
« Heureux est l’homme (…) qui se plaît dans la loi du Seigneur et murmure sa loi jour et nuit ! Il est comme un arbre planté près d’un ruisseau, qui donne du fruit en son temps. » Psaume 1, versets 1 à 3

Pour atteindre une sagesse qui vient de Dieu, laissons Dieu être Dieu dans notre vie. Ne nous fions pas sur nos propres forces et laissons la sagesse de Dieu passer.
Pour cela, devenons de très bons amis de Dieu. Reconnaissons la différence entre notre pensée et celle de Jésus. Devenons de plus en plus remplis de sa présence. Puissions-nous savoir quand c’est nous ou Jésus qui parle par nous.
D’ailleurs, nous savons quand c’est nous qui parlons ou la personne à côté qui parle. Cela devrait être pareil pour Jésus qui passe par notre parole. Nous savons quand notre pensée vient de Jésus ou de nous. Il y a là toute la différence.
Lv: Le Fruit qui demeure
Normand Thomas
Nous avons déjà tout dans le Royaume de Dieu :
« Heureux est l’homme (…) qui se plaît dans la loi du Seigneur et murmure sa loi jour et nuit ! Il est comme un arbre planté près d’un ruisseau, qui donne du fruit en son temps. » Psaume 1, versets 1 à 3

Pour atteindre une sagesse qui vient de Dieu, laissons Dieu être Dieu dans notre vie. Ne nous fions pas sur nos propres forces et laissons la sagesse de Dieu passer.
Pour cela, devenons de très bons amis de Dieu. Reconnaissons la différence entre notre pensée et celle de Jésus. Devenons de plus en plus remplis de sa présence. Puissions-nous savoir quand c’est nous ou Jésus qui parle par nous.
D’ailleurs, nous savons quand c’est nous qui parlons ou la personne à côté qui parle. Cela devrait être pareil pour Jésus qui passe par notre parole. Nous savons quand notre pensée vient de Jésus ou de nous. Il y a là toute la différence.
Lv: Le Fruit qui demeure
Normand Thomas
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
360. L’humilité de Pierre
Notre premier Pape est plein d’humilité :
« Comme Pierre arrivait, Corneille vint à sa rencontre et, tombant à ses pieds, il se prosterna. Mais Pierre le releva en disant : “Lève-toi. Je ne suis qu’un homme, moi aussi.” » Actes des Apôtres, chapitre 10, versets 25 à 26
Pierre a beau être le Pape que Jésus s’est choisi, il connait la place qui lui revient. Déjà dans l’Église qui commence à se former, Pierre est conscient que Jésus continue d’être Seigneur et Dieu. C’est remarquable !
Pierre a connu Jésus et il a vécu avec lui. Il a été nommé par lui le responsable de l’Église. Il est aussi responsable des Apôtres. Il a toutes les bonnes raisons de se « péter les bretelles », de devenir orgueilleux et de se prendre pour quelqu’un d’autre.

Pour tout missionnaire, Pierre vient de réaliser un enseignement important avec un témoignage digne d’un Pape. Il voit Corneille qui arrive et qui se lance à ses pieds. Il pouvait lui dire : « Tu es un bon disciple », ou bien « lève-toi maintenant et prenons un verre ».
Mais par ses mots à lui, Pierre se présente d’une tout autre manière. Il dit à Corneille : « Lève-toi. Je ne suis qu’un homme, moi aussi ».
Quelle belle grâce d’humilité ! Demandons cette grâce à Jésus. Par son geste et ses paroles, il aide Corneille à comprendre que Jésus est Seigneur. Pierre se reconnait être un simple homme et de ce fait il donne toute la place à Jésus. Pierre évangélise.
Pierre ne peut rien de lui-même et il le sait. Il est en mission, mais non pas pour lui-même. Il est missionnaire pour Jésus, pour l’Annonce de la Bonne Nouvelle.
Lv: Le Fruit qui demeure
Normand Thomas
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
361. Que des hommes
Nous savoir aimés de Dieu et le laisser aimer le prochain en passant par nous est un miracle en soi. Nous permettons à l’Amour de toucher les personnes. Nous comprenons de plus en plus la volonté de la Trinité.
Un homme écoute les paroles de Paul :
« Celui-ci le fixe du regard et voit qu’il a la foi pour être sauvé. Alors il lui dit d’une voix forte : “Lève-toi, tiens-toi droit sur tes pieds.” L’homme se dresse d’un bond : il marche. » Actes des Apôtres, chapitre 14, versets 9 à 10
D’un bond, l’homme marche ! Quelle foi Paul démontre en son Seigneur et quelle écoute de la foi de l’autre pour qu’il soit remis sur ses pieds ! Ce qui semble éteint dans cet homme n’attendait qu’un regard d’Apôtre, au nom de Jésus, pour embraser sa foi et lui « redonner des jambes » pour marcher.

Paul découvre des dons qu’il ignorait, peut-être. Paul donne ce qu’il reçoit, le don de guérison, mais encore davantage, il reçoit le don de percevoir la foi dans les personnes. Paul a vu que cet homme avait foi dans les paroles qu’il disait, reçues de Jésus. La foule est émerveillée de ce que Paul réalise devant leurs yeux :
« En voyant ce que Paul vient de faire, les foules s’écrient en lycaonien : “Les dieux se sont faits pareils aux hommes, et ils sont descendus chez nous !” » Actes des Apôtres, chapitre 14, verset 11
Nous pouvons imaginer que Paul ne s’attendait pas à ce qui vient d’être proclamé. Le danger contraire à la foi, c’est de croire qu’il y a des dieux, des idoles, même des humains qui pensent prendre la place de Dieu ou de donner à des humains la place de Dieu.
C’est peut-être la tendance la plus corrosive qui existe contre la foi, c’est-à-dire de placer notre foi dans n’importe qui ou n’importe quoi d’autre que Jésus. Et pire encore, de penser prendre nous-mêmes ou leur donner la place de Dieu.
Paul déclare à sa foi par sa raison éclairée de la Lumière divine. Il se défend prestement, immédiatement, d’être un « dieu » au gré, au caprice, à la fantaisie des humains. Paul semble atterré, démoli et il leur dit :
« Pourquoi faites-vous cela ? Nous aussi, nous sommes des hommes pareils à vous, et nous annonçons la Bonne Nouvelle. » Actes des Apôtres, chapitre 14, verset 15
Paul est un homme comme tous les hommes. Pas mieux, pas pire. Il n’a pas guéri personne. La Bonne nouvelle que Paul transmet, c’est que l’humain est transformé par la foi en Jésus-Christ. C’est le Christ qui guérit cet homme. C’est Jésus qui guérit. Paul y croit pour avoir dit ces paroles.
Lv: Le Fruit qui demeure
Normand Thomas
Nous savoir aimés de Dieu et le laisser aimer le prochain en passant par nous est un miracle en soi. Nous permettons à l’Amour de toucher les personnes. Nous comprenons de plus en plus la volonté de la Trinité.
Un homme écoute les paroles de Paul :
« Celui-ci le fixe du regard et voit qu’il a la foi pour être sauvé. Alors il lui dit d’une voix forte : “Lève-toi, tiens-toi droit sur tes pieds.” L’homme se dresse d’un bond : il marche. » Actes des Apôtres, chapitre 14, versets 9 à 10
D’un bond, l’homme marche ! Quelle foi Paul démontre en son Seigneur et quelle écoute de la foi de l’autre pour qu’il soit remis sur ses pieds ! Ce qui semble éteint dans cet homme n’attendait qu’un regard d’Apôtre, au nom de Jésus, pour embraser sa foi et lui « redonner des jambes » pour marcher.

Paul découvre des dons qu’il ignorait, peut-être. Paul donne ce qu’il reçoit, le don de guérison, mais encore davantage, il reçoit le don de percevoir la foi dans les personnes. Paul a vu que cet homme avait foi dans les paroles qu’il disait, reçues de Jésus. La foule est émerveillée de ce que Paul réalise devant leurs yeux :
« En voyant ce que Paul vient de faire, les foules s’écrient en lycaonien : “Les dieux se sont faits pareils aux hommes, et ils sont descendus chez nous !” » Actes des Apôtres, chapitre 14, verset 11
Nous pouvons imaginer que Paul ne s’attendait pas à ce qui vient d’être proclamé. Le danger contraire à la foi, c’est de croire qu’il y a des dieux, des idoles, même des humains qui pensent prendre la place de Dieu ou de donner à des humains la place de Dieu.
C’est peut-être la tendance la plus corrosive qui existe contre la foi, c’est-à-dire de placer notre foi dans n’importe qui ou n’importe quoi d’autre que Jésus. Et pire encore, de penser prendre nous-mêmes ou leur donner la place de Dieu.
Paul déclare à sa foi par sa raison éclairée de la Lumière divine. Il se défend prestement, immédiatement, d’être un « dieu » au gré, au caprice, à la fantaisie des humains. Paul semble atterré, démoli et il leur dit :
« Pourquoi faites-vous cela ? Nous aussi, nous sommes des hommes pareils à vous, et nous annonçons la Bonne Nouvelle. » Actes des Apôtres, chapitre 14, verset 15
Paul est un homme comme tous les hommes. Pas mieux, pas pire. Il n’a pas guéri personne. La Bonne nouvelle que Paul transmet, c’est que l’humain est transformé par la foi en Jésus-Christ. C’est le Christ qui guérit cet homme. C’est Jésus qui guérit. Paul y croit pour avoir dit ces paroles.
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Normand Thomas
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
362. Semblables à Dieu
Jean nous dit :
« Bien-aimés, dès maintenant, nous sommes enfants de Dieu, mais ce que nous serons n’a pas encore été manifesté. Nous le savons : quand cela sera manifesté, nous lui serons semblables, car nous le verrons tel qu’il est. » 1re lettre de Jean, chapitre 3, verset 2
Nous sommes enfants de Dieu. Nos parents nous ont offert la grâce du Baptême et nous sommes devenus enfants de Dieu.
Nous grandissons chaque jour dans la foi. Nous venons à la messe, nous écoutons la Parole et nous vivons l’Eucharistie. Nous sommes privilégiés : « Nous sommes enfants de Dieu, mais ce que nous serons n’a pas encore été manifesté ». Nous savons du moins, qu’en demeurant en Dieu, nous entrerons librement, par la résurrection du Fils, dans son Royaume.

Nous sommes toujours entre deux réalités ; êtres enfants de Dieu et en même temps, nous ne sommes pas encore complets dans la foi. La foi nous permet d’espérer en Dieu et d’entrevoir son Amour dans notre cœur, mais elle n’est pas complète pour nous, simplement parce que nous ne sommes pas complètement rendus. Nous espérons toutefois de vivre la plénitude de l’Amour en Dieu.
Nous voulons être totalement transformés en Dieu. Certaines personnes sont très transformées et rapidement, d’autres sont transformées progressivement, selon le rythme de chacun. Nous ne sommes jamais stationnaires lorsque nous cheminons avec d’autres dans l’Église.
Parfois, des personnes sont déjà saintes, mais c’est parce qu’elles osent une conversion de chaque jour appuyée fortement sur les grâces reçues lors de leur Baptême.
Plus nous trouvons des moyens de cheminer avec Jésus, plus notre vie se transforme, souvent à notre insu. Nous avons tout en nous pour devenir des saints. Nous avons tout en nous pour suivre Jésus indéfiniment. Plus nous sommes avec lui et plus nous sommes connectés à l’essentiel de l’existence.
Lv: Debout! Allons!
Normand Thomas
mariannick aime ce message
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
363. La vie éternelle
Paul fait un retour précipité à Jérusalem. Il est en feu, il est en mission, il est sous le feu du Saint-Esprit. Dès son arrivée, il écrit une lettre à Éphèse. Il livre son cœur et il partage la raison de sa mission :
« pourvu que j’achève ma course et le ministère que j’ai reçu du Seigneur Jésus : rendre témoignage à l’évangile de la grâce de Dieu. » Actes des Apôtres, chapitre 20, verset 24
Il souhaite se tenir jusqu’au bout dans la course à la conversion. La conversion par l’enseignement, l’exhortation, les recommandations, parfois les saintes ruses sont la raison des déplacements quotidiens de Paul.
Et il n’a qu’un seul but, c’est de rendre témoignage à la vérité contenue dans la Bonne Nouvelle, annoncée par Jésus-Christ et que la grâce de Dieu soit offerte à toutes personnes qui veulent bien le recevoir. C’est un message pour toutes les personnes qui veulent continuer la mission :
« L’Esprit de vérité, lui que le monde ne peut recevoir, car il ne le voit pas et ne le connait pas ; vous, vous le connaissez, car il demeure auprès de vous, et il sera en vous. » Jean, chapitre 14, verset 17

Nous le garderons en nous dans la mesure que nous sommes en mouvement. Que l’Esprit Saint vienne témoigner de la relation entre le Père et le Fils. Que l’Esprit Saint soit le seul à témoigner son message dans notre vie, par notre vie, à la vie des autres. Jésus nous dit c’est quoi le témoignage :
« La vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ. » Jean, chapitre 17, verset 3
Trouvons des moyens simples de faire connaitre Jésus-Christ, parce qu’il est la Vérité. Jésus dit au Père :
« Moi, je t’ai glorifié sur la terre en accomplissant l’œuvre que tu m’avais donnée à faire. » Jean, chapitre 17, verset 4
Jésus nous dit en quoi consiste la mission. Glorifier Dieu en étant attentif à l’œuvre qu’il nous confie grâce à l’Esprit Saint, afin de ressembler au Fils en tout. Il parle au Père pour que nous apprenions aussi à entrer en conversation avec le Père. Il veut que nous reconnaissions que, par l’évangélisation, tout se réalise pour le Père.
Que la prière de Jésus rejoigne notre cœur afin que notre vie devienne lumière et chemin de conversion pour nos contemporains avec la même audace et la même détermination que Marie, Joseph, Paul, Pierre, tous les Apôtres et saints.
Lv: Debout! Allons!
Normand Thomas
Paul fait un retour précipité à Jérusalem. Il est en feu, il est en mission, il est sous le feu du Saint-Esprit. Dès son arrivée, il écrit une lettre à Éphèse. Il livre son cœur et il partage la raison de sa mission :
« pourvu que j’achève ma course et le ministère que j’ai reçu du Seigneur Jésus : rendre témoignage à l’évangile de la grâce de Dieu. » Actes des Apôtres, chapitre 20, verset 24
Il souhaite se tenir jusqu’au bout dans la course à la conversion. La conversion par l’enseignement, l’exhortation, les recommandations, parfois les saintes ruses sont la raison des déplacements quotidiens de Paul.
Et il n’a qu’un seul but, c’est de rendre témoignage à la vérité contenue dans la Bonne Nouvelle, annoncée par Jésus-Christ et que la grâce de Dieu soit offerte à toutes personnes qui veulent bien le recevoir. C’est un message pour toutes les personnes qui veulent continuer la mission :
« L’Esprit de vérité, lui que le monde ne peut recevoir, car il ne le voit pas et ne le connait pas ; vous, vous le connaissez, car il demeure auprès de vous, et il sera en vous. » Jean, chapitre 14, verset 17

Nous le garderons en nous dans la mesure que nous sommes en mouvement. Que l’Esprit Saint vienne témoigner de la relation entre le Père et le Fils. Que l’Esprit Saint soit le seul à témoigner son message dans notre vie, par notre vie, à la vie des autres. Jésus nous dit c’est quoi le témoignage :
« La vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ. » Jean, chapitre 17, verset 3
Trouvons des moyens simples de faire connaitre Jésus-Christ, parce qu’il est la Vérité. Jésus dit au Père :
« Moi, je t’ai glorifié sur la terre en accomplissant l’œuvre que tu m’avais donnée à faire. » Jean, chapitre 17, verset 4
Jésus nous dit en quoi consiste la mission. Glorifier Dieu en étant attentif à l’œuvre qu’il nous confie grâce à l’Esprit Saint, afin de ressembler au Fils en tout. Il parle au Père pour que nous apprenions aussi à entrer en conversation avec le Père. Il veut que nous reconnaissions que, par l’évangélisation, tout se réalise pour le Père.
Que la prière de Jésus rejoigne notre cœur afin que notre vie devienne lumière et chemin de conversion pour nos contemporains avec la même audace et la même détermination que Marie, Joseph, Paul, Pierre, tous les Apôtres et saints.
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Normand Thomas
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
364. Jésus seul
Jésus nous confirme qu’il est Dieu :
« Je suis le bon pasteur, le vrai berger, qui donne sa vie pour ses brebis. » Jean, chapitre 10, verset 11

Jésus est le vrai berger. Nous n’avons pas d’autre berger que Jésus.
Oui, il y a des personnes dans l’Église qui aident comme des bergers, qui aident à la conversion et à garder le troupeau ensemble pour le conduire aux frais pâturages.
Mais Jésus seul donne la vraie nourriture. Jésus est aussi le seul qui a donné sa vie pour nous, qui nous sauve et nous garantit la vie éternelle.
Lv: Debout! Allons!
Normand Thomas
Jésus nous confirme qu’il est Dieu :
« Je suis le bon pasteur, le vrai berger, qui donne sa vie pour ses brebis. » Jean, chapitre 10, verset 11

Jésus est le vrai berger. Nous n’avons pas d’autre berger que Jésus.
Oui, il y a des personnes dans l’Église qui aident comme des bergers, qui aident à la conversion et à garder le troupeau ensemble pour le conduire aux frais pâturages.
Mais Jésus seul donne la vraie nourriture. Jésus est aussi le seul qui a donné sa vie pour nous, qui nous sauve et nous garantit la vie éternelle.
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Normand Thomas
mariannick aime ce message
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
365. Pas les seuls
Jésus dit que nous ne sommes pas les seuls à être sauvés :
« J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de cet enclos : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur. » Jean, chapitre 10, verset 16
Des personnes suivent Jésus sans le savoir et Jésus les accueille comme elles sont. Comme chrétiens, nous sommes invités à chercher, avec Jésus, les personnes qui ne semblent pas de l’enclos, de les encourager à suivre davantage Jésus et leur parler de son Amour.

Trop de personnes aujourd’hui vivent dans la peur et le rejet, dans la violence sous plusieurs formes. Prions pour que ces personnes soient libérées des bourreaux de la violence, du mépris, de la haine.
Prions aussi pour que les personnes violentes et malsaines deviennent converties et deviennent des modèles de foi, d’amour et de paix. Que leur cœur soit guéri des injustices qu’elles ont aussi vécues dans leur enfance.
Continuons de les évangéliser avec des valeurs, de la joie, de l’espérance, de la paix. Car ces valeurs valent plus que l’or. La présence de Jésus dans une vie vaut plus que tout.
Heureux sommes-nous de savoir que Jésus est dans notre vie ! Prions pour que la présence de Jésus se répande dans le monde. La joie grandira en nous chaque fois que nous présenterons à la Trinité une personne intéressée à adhérer à son Amour.
Lv: Debout! Allons!
Normand Thomas
Jésus dit que nous ne sommes pas les seuls à être sauvés :
« J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de cet enclos : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur. » Jean, chapitre 10, verset 16
Des personnes suivent Jésus sans le savoir et Jésus les accueille comme elles sont. Comme chrétiens, nous sommes invités à chercher, avec Jésus, les personnes qui ne semblent pas de l’enclos, de les encourager à suivre davantage Jésus et leur parler de son Amour.

Trop de personnes aujourd’hui vivent dans la peur et le rejet, dans la violence sous plusieurs formes. Prions pour que ces personnes soient libérées des bourreaux de la violence, du mépris, de la haine.
Prions aussi pour que les personnes violentes et malsaines deviennent converties et deviennent des modèles de foi, d’amour et de paix. Que leur cœur soit guéri des injustices qu’elles ont aussi vécues dans leur enfance.
Continuons de les évangéliser avec des valeurs, de la joie, de l’espérance, de la paix. Car ces valeurs valent plus que l’or. La présence de Jésus dans une vie vaut plus que tout.
Heureux sommes-nous de savoir que Jésus est dans notre vie ! Prions pour que la présence de Jésus se répande dans le monde. La joie grandira en nous chaque fois que nous présenterons à la Trinité une personne intéressée à adhérer à son Amour.
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Normand Thomas
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
366. Espérons
Paul parle de la foi d’Abraham :
« Espérant contre toute espérance, il a cru ; ainsi est-il devenu le père d’un grand nombre de nations, selon cette parole : Telle sera la descendance que tu auras ! » Paul aux Romains, chapitre 4, verset 18
Nous connaissons la mission d’Abraham et la promesse de Dieu de lui remettre une descendance nombreuse. Imaginons maintenant que nous évangélisons et que plusieurs personnes se convertissent à Jésus-Christ. Nous aussi nous aurons une descendance nombreuse.

Pour cela, nous devons nous lever, nous laisser élever par l’Esprit et nous mettre en marche. Nous devons accepter d’évangéliser si nous voulons que Dieu nous donne la force. C’est lorsque nous sommes en mouvement que nous recevons les grâces de Dieu. Sinon nous ne découvrirons pas la grâce missionnaire que Dieu nous offre.
Nous avons possiblement la grâce de prier. La grâce du missionnaire est aussi à découvrir, à dé – couvrir, à retirer la couverture de ce qui nous referme et fige pour recevoir toutes les grâces d’évangélisations.
« Espérant contre toute espérance », Abraham a cru. Imaginons si nous y croyons aussi, la descendance spirituelle que nous aurons, et la grâce que nous vivrons chaque jour ! Nous aussi nous le pouvons, nous aussi nous devons espérer.
Lv: Debout! Allons!
Normand Thomas
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
367. Invitons
Jésus nous rappelle ce que la grâce d’évangélisation nous confère :
« Quiconque se sera déclaré pour moi devant les hommes, le Fils de l’homme aussi se déclarera pour lui devant les anges de Dieu. » Luc, chapitre 12, verset 8

Nous entrerons dans un heureux échange, entre nous et la Trinité, puis entre nous et les personnes sur la route.
Nous invitons facilement nos familles et amis à venir prendre le café, à un repas, à magasiner, à jouer, à pratiquer des loisirs et des sports, nous pouvons aussi inviter des personnes à une messe, à un enseignement de foi, à une soirée de prière.
Lv: Debout! Allons!
Normand Thomas
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
Dimanche 4 avril 2021 Dimanche de Pâques
Jean 20,1-9 Colossiens 3,1-4 Actes des Apôtres 10,34a.37-43
Aujourd’hui, Saint Pierre nous offre un de ses premiers discours comme Pape. Et il le fait en se rappelant ce que Jésus a transmis aux Apôtres.
Nous nous arrêterons sur ce message de Pierre : « Dieu l’a ressuscité le troisième jour. Il lui a donné de se manifester, non pas à tout le peuple, mais à des témoins que Dieu avait choisis d’avance, à nous qui avons mangé et bu avec lui après sa résurrection d’entre les morts. » Pierre confirme que Jésus a bu et mangé avec des témoins, dont il fait partie. Pour que Jésus soit avec des personnes à manger et boire après sa mort, c’est le signe évident qu’il est ressuscité. Pierre en a été témoin. Jésus est réellement vivant et tout ce qu’il a fait est à croire absolument.
Saint Paul pour sa part, nous invite à ressusciter avec le Christ. Il nous dit : « Si vous êtes ressuscités avec le Christ, recherchez les réalités d’en haut : c’est là qu’est le Christ, assis à la droite de Dieu. » La clef de tout croyante, de tout croyant est de rechercher constamment les « réalités d’en haut ». Je me suis beaucoup promené sur les routes de l’Est du Témiscamingue, et je remarque que les vaches dans les champs passent leur journée entière à chercher du foin assez long pour manger, et elles passent la majeure partie de leurs journées à manger du foin. Elles mangent tellement de foin qu’elles m’exaspèrent. Et je me demande comment elles font pour en manger autant. On dirait qu’elles n’ont que ça à faire, manger, manger, manger.
C’est vrai que je les vois se reposer aussi, mais il me semble qu’elles mangent plus qu’elles ne se reposent. D’ailleurs, elles se reposent comme si elles étaient éveillées et attentives. Parce qu’elles ont la tête élevée lors de leur sommeil. Et pendant le repos, elles digèrent, elles digèrent constamment. Elles cherchent les réalités d’en bas, elles mangent les réalités du sol.
Et Saint Paul nous dit : « Si donc vous êtes ressuscités avec le Christ, recherchez les réalités d’en haut : c’est là qu’est le Christ, assis à la droite de Dieu. » Les vaches cherchent les réalités d’en bas et elles en mangent, saint Paul nous invite à rechercher les réalités d’en haut et d’en manger constamment. Jésus-Christ est dans les réalités d’en haut, dans le Royaume de Dieu.
Nous sommes invités à ressusciter avec Jésus-Christ et passer notre temps à trouver des moyens de demeurer unis à lui, dans la prière, dans la charité, dans la paix, la joie simple, les encouragements, les soutiens, l’entraide, le partage, créer des liens signifiants avec les autres personnes des autres paroisses, et surtout nous retrouver au repas que Dieu nous offre chaque jour, l’Eucharistie. Dieu nous offre les réalités d’en haut et il veut que nous en mangions constamment.

Saint Paul est totalement éclairé de la lumière de la Résurrection lorsqu’il nous implore de chercher continuellement les réalités d’en haut.
Dans l’Évangile, il y a des personnes qui recherchent les réalités de Dieu. Marie-Madeleine, Pierre, Jean et combien d’autres.
« Marie Madeleine se rend au tombeau de grand matin ; c’était encore les ténèbres. » Pourquoi c’était les ténèbres, même si Jésus était ressuscité, c’est simplement parce que Marie Madeleine n’avait pas fait l’expérience de la résurrection, dans sa vie à elle. Tant qu’elle ne fera pas l’expérience de la résurrection, c’est les ténèbres dans sa vie.
Elle voit que la pierre a été roulée et elle a le bon réflexe, elle court avertir les Apôtres. Jean et Pierre qui cherchent aussi Jésus ‘court tous les deux ensemble’ pour voir. La communauté c’est ça, de courir ensemble pour trouver les réalités d’en haut, courir ensemble pour trouver Jésus :
« Simon-Pierre, qui le suivait, arrive à son tour. Il entre dans le tombeau ; il aperçoit les linges, posés à plat, ainsi que le suaire qui avait entouré la tête de Jésus, non pas posé avec les linges, mais roulé à part à sa place. C’est alors qu’entra l’autre disciple, [Jean] lui qui était arrivé le premier au tombeau. Il vit, et il crut. » Jean croit et Pierre va croire aussi, si l’on se fie à son premier discours qu’il a proclamé. Je vous relis ce que Pierre a dit : « Nous qui avons mangé et bu avec lui après sa résurrection d’entre les morts. »
Recherchons les réalités d’en haut et n’ayons pas peur de perdre du temps avec Jésus, car ce n’est pas une perte de temps, ce n’est jamais une perte de temps, mais la joie constante de manger et boire continuellement à la source, aux réalités d’en-haut, dans le Royaume de Dieu.
L’Eucharistie nous sera maintenant offerte, nous mangerons la chaire divine de Dieu, après nous être abreuvés à sa Parole. Mangeons, mangeons, mangeons et buvons les réalités d’en haut. Recevons constamment l’Amour de Dieu en nous.
Jean 20,1-9 Colossiens 3,1-4 Actes des Apôtres 10,34a.37-43
Aujourd’hui, Saint Pierre nous offre un de ses premiers discours comme Pape. Et il le fait en se rappelant ce que Jésus a transmis aux Apôtres.
Nous nous arrêterons sur ce message de Pierre : « Dieu l’a ressuscité le troisième jour. Il lui a donné de se manifester, non pas à tout le peuple, mais à des témoins que Dieu avait choisis d’avance, à nous qui avons mangé et bu avec lui après sa résurrection d’entre les morts. » Pierre confirme que Jésus a bu et mangé avec des témoins, dont il fait partie. Pour que Jésus soit avec des personnes à manger et boire après sa mort, c’est le signe évident qu’il est ressuscité. Pierre en a été témoin. Jésus est réellement vivant et tout ce qu’il a fait est à croire absolument.
Saint Paul pour sa part, nous invite à ressusciter avec le Christ. Il nous dit : « Si vous êtes ressuscités avec le Christ, recherchez les réalités d’en haut : c’est là qu’est le Christ, assis à la droite de Dieu. » La clef de tout croyante, de tout croyant est de rechercher constamment les « réalités d’en haut ». Je me suis beaucoup promené sur les routes de l’Est du Témiscamingue, et je remarque que les vaches dans les champs passent leur journée entière à chercher du foin assez long pour manger, et elles passent la majeure partie de leurs journées à manger du foin. Elles mangent tellement de foin qu’elles m’exaspèrent. Et je me demande comment elles font pour en manger autant. On dirait qu’elles n’ont que ça à faire, manger, manger, manger.
C’est vrai que je les vois se reposer aussi, mais il me semble qu’elles mangent plus qu’elles ne se reposent. D’ailleurs, elles se reposent comme si elles étaient éveillées et attentives. Parce qu’elles ont la tête élevée lors de leur sommeil. Et pendant le repos, elles digèrent, elles digèrent constamment. Elles cherchent les réalités d’en bas, elles mangent les réalités du sol.
Et Saint Paul nous dit : « Si donc vous êtes ressuscités avec le Christ, recherchez les réalités d’en haut : c’est là qu’est le Christ, assis à la droite de Dieu. » Les vaches cherchent les réalités d’en bas et elles en mangent, saint Paul nous invite à rechercher les réalités d’en haut et d’en manger constamment. Jésus-Christ est dans les réalités d’en haut, dans le Royaume de Dieu.
Nous sommes invités à ressusciter avec Jésus-Christ et passer notre temps à trouver des moyens de demeurer unis à lui, dans la prière, dans la charité, dans la paix, la joie simple, les encouragements, les soutiens, l’entraide, le partage, créer des liens signifiants avec les autres personnes des autres paroisses, et surtout nous retrouver au repas que Dieu nous offre chaque jour, l’Eucharistie. Dieu nous offre les réalités d’en haut et il veut que nous en mangions constamment.

Saint Paul est totalement éclairé de la lumière de la Résurrection lorsqu’il nous implore de chercher continuellement les réalités d’en haut.
Dans l’Évangile, il y a des personnes qui recherchent les réalités de Dieu. Marie-Madeleine, Pierre, Jean et combien d’autres.
« Marie Madeleine se rend au tombeau de grand matin ; c’était encore les ténèbres. » Pourquoi c’était les ténèbres, même si Jésus était ressuscité, c’est simplement parce que Marie Madeleine n’avait pas fait l’expérience de la résurrection, dans sa vie à elle. Tant qu’elle ne fera pas l’expérience de la résurrection, c’est les ténèbres dans sa vie.
Elle voit que la pierre a été roulée et elle a le bon réflexe, elle court avertir les Apôtres. Jean et Pierre qui cherchent aussi Jésus ‘court tous les deux ensemble’ pour voir. La communauté c’est ça, de courir ensemble pour trouver les réalités d’en haut, courir ensemble pour trouver Jésus :
« Simon-Pierre, qui le suivait, arrive à son tour. Il entre dans le tombeau ; il aperçoit les linges, posés à plat, ainsi que le suaire qui avait entouré la tête de Jésus, non pas posé avec les linges, mais roulé à part à sa place. C’est alors qu’entra l’autre disciple, [Jean] lui qui était arrivé le premier au tombeau. Il vit, et il crut. » Jean croit et Pierre va croire aussi, si l’on se fie à son premier discours qu’il a proclamé. Je vous relis ce que Pierre a dit : « Nous qui avons mangé et bu avec lui après sa résurrection d’entre les morts. »
Recherchons les réalités d’en haut et n’ayons pas peur de perdre du temps avec Jésus, car ce n’est pas une perte de temps, ce n’est jamais une perte de temps, mais la joie constante de manger et boire continuellement à la source, aux réalités d’en-haut, dans le Royaume de Dieu.
L’Eucharistie nous sera maintenant offerte, nous mangerons la chaire divine de Dieu, après nous être abreuvés à sa Parole. Mangeons, mangeons, mangeons et buvons les réalités d’en haut. Recevons constamment l’Amour de Dieu en nous.
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
368. Semons la paix
Jésus dit aux disciples et aux Apôtres :
« En entrant dans la maison, saluez ceux qui l’habitent. Si cette maison en est digne, que votre paix vienne sur elle. Si elle n’en est pas digne, que votre paix retourne vers vous. » Matthieu, chapitre 10, versets 12 à 13
Cette affirmation de Jésus, « que votre paix retourne vers vous », est doublement réconfortante et une fois décevante.
Elle est doublement réconfortante parce qu’elle nous garantit que toute paix que nous offrons procurera la paix de Jésus à la personne qui la reçoit. C’est plaisant de savoir que lorsque nous réalisons le bien, que cela transforme les personnes. Cela nous réjouit.

La paix, la joie, l’espérance, l’amour et les autres biens que Dieu nous offre sont gratuits et elles sont à partager à grand déploiement. Le monde s’améliore de jour en jour avec ces grâces reçues de Dieu.
Ce qui est décevant, c’est qu’il est possible que des personnes n’en veuillent pas. Difficile à croire qu’une personne refuserait les grâces de Dieu. Mais cela semble bien possible. Nous trouverons cela peinant pour cette personne.
La grâce de Dieu ne sera pas perdue puisqu’elle est déjà là. Si ce que nous offrons vient de Dieu et non pas de nous, et si la personne refuse les grâces, nous sommes assurés de ne pas perdre la paix. C’est le signe que nous œuvrons avec Jésus et non pour notre propre intérêt d’ajouter un nombre de conversions à notre acquis au lieu de laisser à la personne sa liberté et sa responsabilité de choisir. Dieu lui laisse sa liberté et sa responsabilité, nous aussi nous lui laissons.
Prions du cœur pour elle et remettons-la à Jésus. Continuons la route avec la Trinité en recherche d’âmes intéressées qui ne demandent qu’une petite poussée, un petit encouragement de douceur et d’accompagnement.
Lv: Debout! Allons!
Normand Thomas
Jésus dit aux disciples et aux Apôtres :
« En entrant dans la maison, saluez ceux qui l’habitent. Si cette maison en est digne, que votre paix vienne sur elle. Si elle n’en est pas digne, que votre paix retourne vers vous. » Matthieu, chapitre 10, versets 12 à 13
Cette affirmation de Jésus, « que votre paix retourne vers vous », est doublement réconfortante et une fois décevante.
Elle est doublement réconfortante parce qu’elle nous garantit que toute paix que nous offrons procurera la paix de Jésus à la personne qui la reçoit. C’est plaisant de savoir que lorsque nous réalisons le bien, que cela transforme les personnes. Cela nous réjouit.

La paix, la joie, l’espérance, l’amour et les autres biens que Dieu nous offre sont gratuits et elles sont à partager à grand déploiement. Le monde s’améliore de jour en jour avec ces grâces reçues de Dieu.
Ce qui est décevant, c’est qu’il est possible que des personnes n’en veuillent pas. Difficile à croire qu’une personne refuserait les grâces de Dieu. Mais cela semble bien possible. Nous trouverons cela peinant pour cette personne.
La grâce de Dieu ne sera pas perdue puisqu’elle est déjà là. Si ce que nous offrons vient de Dieu et non pas de nous, et si la personne refuse les grâces, nous sommes assurés de ne pas perdre la paix. C’est le signe que nous œuvrons avec Jésus et non pour notre propre intérêt d’ajouter un nombre de conversions à notre acquis au lieu de laisser à la personne sa liberté et sa responsabilité de choisir. Dieu lui laisse sa liberté et sa responsabilité, nous aussi nous lui laissons.
Prions du cœur pour elle et remettons-la à Jésus. Continuons la route avec la Trinité en recherche d’âmes intéressées qui ne demandent qu’une petite poussée, un petit encouragement de douceur et d’accompagnement.
Lv: Debout! Allons!
Normand Thomas
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
369. Acceptons d’évangéliser
Évangéliser doit devenir une décision, puis un passage éclairé par le Seigneur. Sinon, demandons à la Trinité la grâce d’évangéliser. Ce bout de texte de Paul à Timothée est fondamental pour devenir des évangélisateurs :
« Le Seigneur, lui, m’a assisté. Il m’a rempli de force pour que, par moi, la proclamation de l’Évangile s’accomplisse jusqu’au bout et que toutes les nations l’entendent. » 2e lettre de Paul à Timothée, chapitre 4, verset 17
C’est la base et le sommet de quiconque veut se lancer comme évangélisateur. Nous pouvons nous dire que nous ne savons pas quoi faire, nous n’avons pas d’études, nous ne sommes pas compétents pour l’évangélisation et nous resterons toujours sur cette chaise, sans plus.
Cependant, dès que nous nous levons et osons accepter d’évangéliser, à ce moment précis, le Seigneur passe en nous. Si nous ne sommes pas en mouvement, le Seigneur ne pourra pas nous soutenir dans sa mission à lui.

La condition première pour l’évangélisateur, après une rencontre sincère avec le Christ, c’est de mettre un pas devant l’autre et y aller, c’est placer une parole à la suite de l’autre, dans les meilleures intentions possibles et les partager, c’est se servir de ses bras et de ses jambes, de son cœur pour rejoindre et embrasser le cœur des autres.
L’idée ici est limpide. Cette phrase de Paul est un rappel de sa rencontre avec le Seigneur et le moment précis où il s’est décidé à se former pour la mission et évangéliser : « Le Seigneur, lui, m’a assisté. Il m’a rempli de force pour que, par moi, la proclamation de l’Évangile s’accomplisse jusqu’au bout et que toutes les nations l’entendent ».
Nous sommes invités à la même évangélisation que Paul, mais à partir de qui nous sommes et dans le milieu où nous sommes. Cela prend « moi », « nous », avec les évangélisateurs, avec Jésus.
L’Esprit Saint promet de nous assister, après notre accord et la décision de marcher, de nous offrir sa force pour « annoncer l’Évangile jusqu’au bout » et « le faire entendre de tous ». C’est majeur. La décision d’évangéliser permet à l’action de Dieu de se déployer en nous et de nous assister. Nous y observerons et y ressentirons la différence en nous.
Lv: Debout! Allons!
Normand Thomas
Évangéliser doit devenir une décision, puis un passage éclairé par le Seigneur. Sinon, demandons à la Trinité la grâce d’évangéliser. Ce bout de texte de Paul à Timothée est fondamental pour devenir des évangélisateurs :
« Le Seigneur, lui, m’a assisté. Il m’a rempli de force pour que, par moi, la proclamation de l’Évangile s’accomplisse jusqu’au bout et que toutes les nations l’entendent. » 2e lettre de Paul à Timothée, chapitre 4, verset 17
C’est la base et le sommet de quiconque veut se lancer comme évangélisateur. Nous pouvons nous dire que nous ne savons pas quoi faire, nous n’avons pas d’études, nous ne sommes pas compétents pour l’évangélisation et nous resterons toujours sur cette chaise, sans plus.
Cependant, dès que nous nous levons et osons accepter d’évangéliser, à ce moment précis, le Seigneur passe en nous. Si nous ne sommes pas en mouvement, le Seigneur ne pourra pas nous soutenir dans sa mission à lui.

La condition première pour l’évangélisateur, après une rencontre sincère avec le Christ, c’est de mettre un pas devant l’autre et y aller, c’est placer une parole à la suite de l’autre, dans les meilleures intentions possibles et les partager, c’est se servir de ses bras et de ses jambes, de son cœur pour rejoindre et embrasser le cœur des autres.
L’idée ici est limpide. Cette phrase de Paul est un rappel de sa rencontre avec le Seigneur et le moment précis où il s’est décidé à se former pour la mission et évangéliser : « Le Seigneur, lui, m’a assisté. Il m’a rempli de force pour que, par moi, la proclamation de l’Évangile s’accomplisse jusqu’au bout et que toutes les nations l’entendent ».
Nous sommes invités à la même évangélisation que Paul, mais à partir de qui nous sommes et dans le milieu où nous sommes. Cela prend « moi », « nous », avec les évangélisateurs, avec Jésus.
L’Esprit Saint promet de nous assister, après notre accord et la décision de marcher, de nous offrir sa force pour « annoncer l’Évangile jusqu’au bout » et « le faire entendre de tous ». C’est majeur. La décision d’évangéliser permet à l’action de Dieu de se déployer en nous et de nous assister. Nous y observerons et y ressentirons la différence en nous.
Lv: Debout! Allons!
Normand Thomas
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
370. Nous avons le Seigneur
Jésus nous dit de prier :
« La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson. » Luc, chapitre 10, verset 2

Les deux citations ne font qu’une. Prions la Trinité et agissons. Puisque la phrase qui suit c’est :
« Allez ! Je vous envoie comme des agneaux au milieu des loups. » Luc, chapitre 10, verset 3
Nous n’avons rien au départ, mais nous avons le Seigneur ; or nous avons tout. N’ayons pas peur d’interpeller doucement, avec respect et charité et beaucoup de loups redeviendront doux comme des agneaux.
Lv: Debout! Allons!
Normand Thomas
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
371. La zone de confort
Cette phrase de Jésus invite à nous dépasser :
« Si vous ne saluez que vos frères, que faites-vous d’extraordinaire ? Les païens eux-mêmes n’en font-ils pas autant ? » Matthieu, chapitre 5, verset 47
Saluer les personnes que nous connaissons déjà, c’est assez simple. Mais arriver dans un nouveau groupe que nous ne connaissons pas, c’est un défi.
Les premiers moments dans un nouveau groupe sont les plus importants. Souvent les gens vont se faire une idée dès les premiers mots que nous allons dire et les premiers gestes que nous ferons.
Arriver dans un milieu où nous avons certaines responsabilités est aussi un piège lorsque les personnes ont déjà leurs habitudes et leurs coutumes. Les craintes se ressentent des deux côtés. Comment se comportera-t-il avec nous ? Nous avons la même question : Comment seront-ils avec moi ?
Loin de saluer toujours les mêmes personnes, il est nécessaire et sage d’aller visiter d’autres personnes à l’occasion, de sortir de notre zone de confort qui est peut-être devenu une habitude.

Aussi, il est important de savoir comment accueillir une personne toujours de manière nouvelle. Surtout, si nous n’avons pas eu une bonne impression au départ, nous sommes invités à dépasser cette impression et à entrer davantage en relation et en communion avec cette personne.
Le premier contact avec de nouvelles personnes guide ce que les personnes penseront. Si la personne semble hésitante à évangéliser, voire même à parler, il se peut qu’elle soit définie par cette hésitation. Il devra y avoir un effort de part et d’autre, afin de créer un dialogue et une confiance.
Pensons-y. Quand une personne arrive nouvellement dans une communauté, elle a déjà une nouvelle langue à apprendre et c’est le langage de l’Église. Elle aura de la difficulté à dire les mots et souvent aussi selon leur signification de foi. Cela est déjà un défi pour elle. Cela lui demande de la concentration, donc de l’énergie et du temps.
Voilà quelques difficultés de rencontres qui existent. Cela nous aide possiblement à trouver d’autres difficultés que nous rencontrons. Essayons d’accueillir ce que la personne porte en elle de beau, de bon, de bien, de vrai et de réel. Accueillons-la comme elle est et non pas avec nos premières impressions. L’Église en soi et les personnes sauront l’aider à devenir de plus en plus à l’aise et l’aideront à comprendre mieux les enjeux et les défis de la foi.
Elle grandira en communauté dans la mesure où nous lui donneront des occasions de s’améliorer et de grandir dans la foi.
Nous ne savons pas quel trésor nous découvrirons dans le cœur d’une personne tant que nous ne l’aurons pas entendu réellement, puis découvert plus profondément en la laissant se dire et dire sa foi. Car au fond de chaque cœur, Jésus s’y repose.
Lv: Debout! Allons!
Normand Thomas
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
372. Semons largement
« À semer trop peu, on récolte trop peu ; à semer largement, on récolte largement. » 2e lettre de Paul aux Corinthiens, chapitre 9, verset 6
C’est Paul qui nous dit cela ! C’est vrai dans le jardin comme dans la vie. Plus nous semons ce que nous avons et ce que nous sommes, aussi petite soit la semence, plus nous récoltons ou d’autres récolterons le fruit de notre labeur. Vérifions que nous recevons tout de Jésus :
« Jésus Christ : lui qui est riche, il s’est fait pauvre à cause de vous, pour que vous deveniez riches par sa pauvreté. » 2e lettre de Paul aux Corinthiens, chapitre 8, verset 9

Jésus nous le confirme, il sait que le Père va nous le rendre au centuple :
« Quand tu jeûnes, parfume-toi la tête et lave-toi le visage ; ainsi, ton jeûne ne sera pas connu des hommes, mais seulement de ton Père qui est présent au plus secret ; ton Père qui voit au plus secret te le rendra. » Matthieu, chapitre 6, verset 17
Offrons ce qu’il y a de plus précieux pour une mission qui est précieuse aux yeux de Dieu, pour le salut de toutes personnes. Dieu nous rend selon ce que nous offrons de lui.
Lv: Là, où nous sommes
Normand Thomas
« À semer trop peu, on récolte trop peu ; à semer largement, on récolte largement. » 2e lettre de Paul aux Corinthiens, chapitre 9, verset 6
C’est Paul qui nous dit cela ! C’est vrai dans le jardin comme dans la vie. Plus nous semons ce que nous avons et ce que nous sommes, aussi petite soit la semence, plus nous récoltons ou d’autres récolterons le fruit de notre labeur. Vérifions que nous recevons tout de Jésus :
« Jésus Christ : lui qui est riche, il s’est fait pauvre à cause de vous, pour que vous deveniez riches par sa pauvreté. » 2e lettre de Paul aux Corinthiens, chapitre 8, verset 9

Jésus nous le confirme, il sait que le Père va nous le rendre au centuple :
« Quand tu jeûnes, parfume-toi la tête et lave-toi le visage ; ainsi, ton jeûne ne sera pas connu des hommes, mais seulement de ton Père qui est présent au plus secret ; ton Père qui voit au plus secret te le rendra. » Matthieu, chapitre 6, verset 17
Offrons ce qu’il y a de plus précieux pour une mission qui est précieuse aux yeux de Dieu, pour le salut de toutes personnes. Dieu nous rend selon ce que nous offrons de lui.
Lv: Là, où nous sommes
Normand Thomas
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
373. L’Amour se transmet
Les saints donnent librement :
« Qui aime sa vie la perd ; qui s’en détache en ce monde la gardera pour la vie éternelle. » Jean, chapitre 12, verset 25
L’Amour de Dieu ne coûte rien. Il se transmet toujours dans la liberté et il rejoint la liberté de la personne qui le reçoit.
Nous sommes invités à offrir le 100 % de ce que nous recevons de Dieu. Si nous pensons que nous ne pouvons pas donner beaucoup, donnons le 100 % du peu que nous pouvons offrir. Le Seigneur sera heureux puisque nous donnons le maximum de ce que nous sommes :
« Dieu aime celui qui donne joyeusement. Et Dieu est assez puissant pour vous donner toute grâce en abondance, afin que vous ayez, en toute chose et toujours, tout ce qu’il vous faut, et même que vous ayez en abondance de quoi faire toutes sortes de bien. » 2e lettre de Paul aux Corinthiens, chapitre 9, versets 7 à 8
C’est assez spécial que nous ayons tant de grâces et en surabondance, parce que Dieu ne sait pas compter. Il donne en trop, et après avoir tout donné, nous en avons encore en superflu pour faire toutes sortes de bien.

Pour les enfants, lorsqu’ils partagent leurs bonbons, les bonbons disparaissent vite. Plus ils en partagent, moins ils en ont et le petit sac se vide. C’est différent pour ce que Dieu nous donne. Nous avons beau partager l’Amour de Dieu et plus nous le partageons, plus nous en recevons. Puis, nous en avons encore et encore.
Beaucoup de saintes personnes que nous avons croisées nous ont démontré par leur vie que l’Amour de Dieu était possible et facile à partager. C’est ce qu’il y a de plus simple à offrir. Leur cœur était gonflé de la sève divine qui déborde sur leur entourage.
Il n’est pas question d’épreuves de force ou de nous épuiser à trop vouloir convertir le monde, dans ce que Jésus nous propose, mais bien de partager ce que lui-même nous offre, simplement, pour la foi des personnes.
Aimer sa vie, c’est égoïste, c’est la prendre strictement pour soi. Mais offrir ce que nous recevons de Dieu, être juste, c’est devenir de plus en plus généreux avec l’Amour que nous recevons de lui. Plus nous avons d’expérience à transmettre ce que Dieu nous donne, plus nous développons des moyens pour qu’il passe par nous, jusqu’au cœur des personnes.
Nous sommes créés pour offrir l’Amour de notre vie, l’Amour de Dieu, en abondance. Le partage des grâces (l’évangélisation) que nous recevons de Dieu, c’est la mission par excellence.
L’Amour qui nourrit et abreuve notre vie, lorsqu’elle est vécue joyeusement, procure du bon fruit en abondance. Toutes les personnes peuvent venir se nourrir et s’abreuver à notre arbre rempli de fruits. Puis, nous leur dirons que ces fruits sont fournis par Dieu, pour les nourrir.
Lv: Là, où nous sommes
Normand Thomas
Les saints donnent librement :
« Qui aime sa vie la perd ; qui s’en détache en ce monde la gardera pour la vie éternelle. » Jean, chapitre 12, verset 25
L’Amour de Dieu ne coûte rien. Il se transmet toujours dans la liberté et il rejoint la liberté de la personne qui le reçoit.
Nous sommes invités à offrir le 100 % de ce que nous recevons de Dieu. Si nous pensons que nous ne pouvons pas donner beaucoup, donnons le 100 % du peu que nous pouvons offrir. Le Seigneur sera heureux puisque nous donnons le maximum de ce que nous sommes :
« Dieu aime celui qui donne joyeusement. Et Dieu est assez puissant pour vous donner toute grâce en abondance, afin que vous ayez, en toute chose et toujours, tout ce qu’il vous faut, et même que vous ayez en abondance de quoi faire toutes sortes de bien. » 2e lettre de Paul aux Corinthiens, chapitre 9, versets 7 à 8
C’est assez spécial que nous ayons tant de grâces et en surabondance, parce que Dieu ne sait pas compter. Il donne en trop, et après avoir tout donné, nous en avons encore en superflu pour faire toutes sortes de bien.

Pour les enfants, lorsqu’ils partagent leurs bonbons, les bonbons disparaissent vite. Plus ils en partagent, moins ils en ont et le petit sac se vide. C’est différent pour ce que Dieu nous donne. Nous avons beau partager l’Amour de Dieu et plus nous le partageons, plus nous en recevons. Puis, nous en avons encore et encore.
Beaucoup de saintes personnes que nous avons croisées nous ont démontré par leur vie que l’Amour de Dieu était possible et facile à partager. C’est ce qu’il y a de plus simple à offrir. Leur cœur était gonflé de la sève divine qui déborde sur leur entourage.
Il n’est pas question d’épreuves de force ou de nous épuiser à trop vouloir convertir le monde, dans ce que Jésus nous propose, mais bien de partager ce que lui-même nous offre, simplement, pour la foi des personnes.
Aimer sa vie, c’est égoïste, c’est la prendre strictement pour soi. Mais offrir ce que nous recevons de Dieu, être juste, c’est devenir de plus en plus généreux avec l’Amour que nous recevons de lui. Plus nous avons d’expérience à transmettre ce que Dieu nous donne, plus nous développons des moyens pour qu’il passe par nous, jusqu’au cœur des personnes.
Nous sommes créés pour offrir l’Amour de notre vie, l’Amour de Dieu, en abondance. Le partage des grâces (l’évangélisation) que nous recevons de Dieu, c’est la mission par excellence.
L’Amour qui nourrit et abreuve notre vie, lorsqu’elle est vécue joyeusement, procure du bon fruit en abondance. Toutes les personnes peuvent venir se nourrir et s’abreuver à notre arbre rempli de fruits. Puis, nous leur dirons que ces fruits sont fournis par Dieu, pour les nourrir.
Lv: Là, où nous sommes
Normand Thomas
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