Covid-19 un enfumage mondial: Qui dit la vérité et qui ment ? Preuve en image.
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Covid-19 un enfumage mondial: Qui dit la vérité et qui ment ? Preuve en image.
Les hôpitaux qu'on nous dit pleins sont vides dans le monde entier. Vidéo à voir jusqu'au bout pour avoir la preuve définitive du mensonge de la fausse pandémie et de la complicité de tous les medias. Il n'y a que nous qui pourrons nous guérir de ce mensonge et empêcher ce qu'ils nous préparent. Les gouvernements du monde sont aux ordres de la mafia qui s'est emparé du pouvoir médical. Ils n'hésitent pas à payer des acteurs à la télé pour faire passer leur mensonge et nous convaincre par l'émotion. A diffuser à toutes les personnes que l'on aime.
Si vous voulez rester libres et que vos enfants ne vivent pas demain dans une dictature mondiale, diffusez ces documents à tous ceux que vous aimez et à tous ceux que vous connaissez qui auront le courage d'accepter d'ouvrir les yeux même si cela doit changer leur vision rassurante du monde.
Si vous voulez rester libres et que vos enfants ne vivent pas demain dans une dictature mondiale, diffusez ces documents à tous ceux que vous aimez et à tous ceux que vous connaissez qui auront le courage d'accepter d'ouvrir les yeux même si cela doit changer leur vision rassurante du monde.
Maurice d'Elbée- Aime la Divine Volonté
- Messages : 825
Inscription : 06/09/2019
Re: Covid-19 un enfumage mondial: Qui dit la vérité et qui ment ? Preuve en image.
Une commission officielle révèle que l’ensemble des chiffres diffusés par le gouvernement Macron sur les hospitalisations et décès durant la période #COVID19 étaient inventés car… inexistants. Macron et Véran ont menti durant 2 ans
https://www.europe-israel.org/2022/11/nouveau-scandale-une-commission-officielle-revele-que-lensemble-des-chiffres-diffuses-par-le-gouvernement-macron-sur-les-hospitalisations-et-deces-durant-la-periode-covid19-etaient-bidonnes-car/
Oh ! mais quelle surprise !!!
Desiderius Ulixes- Enfant de Dieu
- Messages : 3031
Inscription : 04/04/2019
territoire en héritage aime ce message
Re: Covid-19 un enfumage mondial: Qui dit la vérité et qui ment ? Preuve en image.
Lecture dissidente :
«Ceux ayant fréquenté les médias dissidents et alternatifs seront familier avec les propos deRobert Kennedy Jr, puisque son ouvrage sur Anthony Fauci et Bill Gates, pourrait être considéré comme la Bible du mouvement sceptique de la pandémie.
Établissons d'emblée la généalogie de l'auteur. Il s'agit du fils de Robert Kennedy, assassiné en 1968, et donc le neveu de John F. Kennedy, le président américain lui aussi assassiné en 1963. Son lien intellectuel avec lecamp démocrate biaise son idéologie et ce sera l'objet de notre critique plus bas. Malgré tout, "The Real Anthony Fauci" est un livre instructif et bien organisé.
Le portrait dressé du fonctionnaire américain, à la tête du National Institute of Allergy and Infectious Diseases, et du milliardaire Bill Gates, est fort peu flatteur, tous deux étant avides de pouvoir et d'argent. Ils érigèrent une immense machine de corruption des institutions médicales en lien avec les médias, la politique et le militaire.
Au départ, Fauci développa un système de création des médicaments, ou son institut identifie des molécules prometteuses, puis passe les essais cliniques à des «instigateurs premiers», c'est à dire des académiciens chercheurs dans les Universités. Leurs résultats serviront aux pharmaceutiques pour développer les médicaments et les mettre en marché, tout en rétribuant avec des droits d'auteurs Fauci lui-même, déjà le fonctionnaire le mieux payé de l'histoire.
Ce milieu médical cherche donc à favoriser le profit des pharmaceutiques, cela formera son idéologie de base ou toute maladie doit avoir une origine virale, et tout virus doit avoir son médicament (vaccin), d'ailleurs, les recherches elles-mêmes sont financées par les pharmaceutiques à côté de l'argent public. La prévention des maladies, la recherche des causes environnementales et dans le mode de vie passent à la trappe. Le résultat est un bilan de santé catastrophique pour les américains. Une fois le médicament ou le vaccin produit, il faut écarter les remèdes efficaces et bons marchés dont la licence est épuisée, pour favoriser le nouveau remède coûteux, mais profitable pour les fabricants. Le National Institute of Allergy and Infectious Diseases sera ensuite en mesure d'agir comme une agence de marketing puisqu'il endosse les médicaments du haut de son statut scientifique, les déclarant "standard of care" ou norme de soins, obligeant les assurances à le rembourser.
La vérité est que cet institut est une création des deux guerres mondiales et devrait disparaître, les maladies infectieuses sont devenues marginales. Et le mérite ne revient pas aux vaccins, mais plutôt à l'hygiène, la nutrition et les équipements sanitaires. La vaccination, beaucoup trop payante, n'en finit pas pour autant de se répandre tout comme l'autisme. Mais tout rapprochement entre vaccination et autisme sera dénoncé comme de l'antiscience.
Autre stratégie faucienne est d'exagérer la dangerosité des virus, tout amorce de maladie contagieuse appelant les pronostics les plus alarmants, ceci bien sûr pour déclencher les investissements publics et la vente de médicaments. Et les fausses pandémies se sont succédées depuis des décennies. !976, une fièvre porcine, 2005, une grippe aviaire, 2009, une autre grippe porcine située à Hong Kong, 2016, Zika et Dengue. Ce sont des cas dans lesquels le danger a été outrageusement exagéré et ou les vaccins se sont souvent avérés plus mortels que le virus.
Fauci advint avec le Sida et ce sera l'occasion d'une transformation de la science et d'une corruption sans précédent. Si une maladie doit avoir son virus, pour le Sida Robert Galo déclara que c'était le VIH, alors que rien ne permettait de l'affirmer avec certitude. Des trilliards ont été dépensés avec la promesse d'un vaccin alors que cela n'a jamais réussi. Les homosexuels ont adopté l'idée que le Sida est causé par un seul pathogène, car cela écartait l'hypothèse vraisemblable qu'il s'agit plutôt de leur mode de vie alliant sexe à tout va et consommation de drogues.
Là aussi Fauci exagéra la dangerosité du Sida, affirmant qu'il pouvait se transmettre par un contact civil et anodin avec un infecté et que des millions d'hétérosexuels allaient potentiellement en mourir. On inclut toute personne étant positive au VIH pour gonfler les chiffres, ce rétrovirus très ancien ne causant probablement pas la maladie à lui seul. A défaut d'un vaccin, on put toujours faire de l'argent en produisant l'AZT, un médicament nullement efficace mais extrêmement toxique.
Le Sida inaugura un nouveau type de science liée aux médias et au politiquement correct. Prétendre que le VIH n'est peut-être pas la cause du Sida devint immorale, homophobe et anti-scientifique, la personne qui ose transgresser la rectitude méritant bannissement et la ruine de sa carrière. La conférence de presse devint le moyen de communiquer l'état des recherches plutôt que par la publication d'études dans les revues scientifiques, pour qu'elles puissent être critiquées et discutées. Les revues sont de toutes façons financées par les pharmaceutiques, elles ne publient pas d'articles qui leur sont défavorables, ceux exprimant que le VIH n'est pas la seule cause du Sida par exemple. Et lorsqu'un scientifique réussit quand même à percer la censure, sa carrière sera impitoyablement détruite.
Le covid est une autre opportunité pour profiter de ce système. Il y a le virus, il faut le vaccin.
L'éminent chef de la santé aux États-Unis insista que le vaccin est la seule solution alors qu'il existe des médicaments efficaces et bon marché, l'ivermectine et l'hydroxchloroquine, libres de droit, donc peu rentables pour les pharmaceutiques. L'Institut et son directeur produisirent et poussèrent plutôt leur médicament à eux, coûteux et inefficace, voire toxique, le remdesivir. Des études truquées nièrent aux deux médicaments non profitables leur efficacité et affirmèrent l'efficacité du remdesevir et des vaccins tout en niant la toxicité aigüe du premier et les effets secondaires des seconds.
Si cette corruption scientifique put opérer aussi librement, c'est qu'il y a des objectifs plus profonds à l'oeuvre, et une série d'acteurs pouvant espérer faire fortune avec la biosécurité.»
(voir la suite)
The Real Anthony Fauci
Bill Gates,Big Pharma, and
the Global War on Democracy
and Public Health
Robert F. Kennedy Jr.
«Ceux ayant fréquenté les médias dissidents et alternatifs seront familier avec les propos deRobert Kennedy Jr, puisque son ouvrage sur Anthony Fauci et Bill Gates, pourrait être considéré comme la Bible du mouvement sceptique de la pandémie.
Établissons d'emblée la généalogie de l'auteur. Il s'agit du fils de Robert Kennedy, assassiné en 1968, et donc le neveu de John F. Kennedy, le président américain lui aussi assassiné en 1963. Son lien intellectuel avec lecamp démocrate biaise son idéologie et ce sera l'objet de notre critique plus bas. Malgré tout, "The Real Anthony Fauci" est un livre instructif et bien organisé.
Le portrait dressé du fonctionnaire américain, à la tête du National Institute of Allergy and Infectious Diseases, et du milliardaire Bill Gates, est fort peu flatteur, tous deux étant avides de pouvoir et d'argent. Ils érigèrent une immense machine de corruption des institutions médicales en lien avec les médias, la politique et le militaire.
Au départ, Fauci développa un système de création des médicaments, ou son institut identifie des molécules prometteuses, puis passe les essais cliniques à des «instigateurs premiers», c'est à dire des académiciens chercheurs dans les Universités. Leurs résultats serviront aux pharmaceutiques pour développer les médicaments et les mettre en marché, tout en rétribuant avec des droits d'auteurs Fauci lui-même, déjà le fonctionnaire le mieux payé de l'histoire.
Ce milieu médical cherche donc à favoriser le profit des pharmaceutiques, cela formera son idéologie de base ou toute maladie doit avoir une origine virale, et tout virus doit avoir son médicament (vaccin), d'ailleurs, les recherches elles-mêmes sont financées par les pharmaceutiques à côté de l'argent public. La prévention des maladies, la recherche des causes environnementales et dans le mode de vie passent à la trappe. Le résultat est un bilan de santé catastrophique pour les américains. Une fois le médicament ou le vaccin produit, il faut écarter les remèdes efficaces et bons marchés dont la licence est épuisée, pour favoriser le nouveau remède coûteux, mais profitable pour les fabricants. Le National Institute of Allergy and Infectious Diseases sera ensuite en mesure d'agir comme une agence de marketing puisqu'il endosse les médicaments du haut de son statut scientifique, les déclarant "standard of care" ou norme de soins, obligeant les assurances à le rembourser.
La vérité est que cet institut est une création des deux guerres mondiales et devrait disparaître, les maladies infectieuses sont devenues marginales. Et le mérite ne revient pas aux vaccins, mais plutôt à l'hygiène, la nutrition et les équipements sanitaires. La vaccination, beaucoup trop payante, n'en finit pas pour autant de se répandre tout comme l'autisme. Mais tout rapprochement entre vaccination et autisme sera dénoncé comme de l'antiscience.
Autre stratégie faucienne est d'exagérer la dangerosité des virus, tout amorce de maladie contagieuse appelant les pronostics les plus alarmants, ceci bien sûr pour déclencher les investissements publics et la vente de médicaments. Et les fausses pandémies se sont succédées depuis des décennies. !976, une fièvre porcine, 2005, une grippe aviaire, 2009, une autre grippe porcine située à Hong Kong, 2016, Zika et Dengue. Ce sont des cas dans lesquels le danger a été outrageusement exagéré et ou les vaccins se sont souvent avérés plus mortels que le virus.
Fauci advint avec le Sida et ce sera l'occasion d'une transformation de la science et d'une corruption sans précédent. Si une maladie doit avoir son virus, pour le Sida Robert Galo déclara que c'était le VIH, alors que rien ne permettait de l'affirmer avec certitude. Des trilliards ont été dépensés avec la promesse d'un vaccin alors que cela n'a jamais réussi. Les homosexuels ont adopté l'idée que le Sida est causé par un seul pathogène, car cela écartait l'hypothèse vraisemblable qu'il s'agit plutôt de leur mode de vie alliant sexe à tout va et consommation de drogues.
Là aussi Fauci exagéra la dangerosité du Sida, affirmant qu'il pouvait se transmettre par un contact civil et anodin avec un infecté et que des millions d'hétérosexuels allaient potentiellement en mourir. On inclut toute personne étant positive au VIH pour gonfler les chiffres, ce rétrovirus très ancien ne causant probablement pas la maladie à lui seul. A défaut d'un vaccin, on put toujours faire de l'argent en produisant l'AZT, un médicament nullement efficace mais extrêmement toxique.
Le Sida inaugura un nouveau type de science liée aux médias et au politiquement correct. Prétendre que le VIH n'est peut-être pas la cause du Sida devint immorale, homophobe et anti-scientifique, la personne qui ose transgresser la rectitude méritant bannissement et la ruine de sa carrière. La conférence de presse devint le moyen de communiquer l'état des recherches plutôt que par la publication d'études dans les revues scientifiques, pour qu'elles puissent être critiquées et discutées. Les revues sont de toutes façons financées par les pharmaceutiques, elles ne publient pas d'articles qui leur sont défavorables, ceux exprimant que le VIH n'est pas la seule cause du Sida par exemple. Et lorsqu'un scientifique réussit quand même à percer la censure, sa carrière sera impitoyablement détruite.
Le covid est une autre opportunité pour profiter de ce système. Il y a le virus, il faut le vaccin.
L'éminent chef de la santé aux États-Unis insista que le vaccin est la seule solution alors qu'il existe des médicaments efficaces et bon marché, l'ivermectine et l'hydroxchloroquine, libres de droit, donc peu rentables pour les pharmaceutiques. L'Institut et son directeur produisirent et poussèrent plutôt leur médicament à eux, coûteux et inefficace, voire toxique, le remdesivir. Des études truquées nièrent aux deux médicaments non profitables leur efficacité et affirmèrent l'efficacité du remdesevir et des vaccins tout en niant la toxicité aigüe du premier et les effets secondaires des seconds.
Si cette corruption scientifique put opérer aussi librement, c'est qu'il y a des objectifs plus profonds à l'oeuvre, et une série d'acteurs pouvant espérer faire fortune avec la biosécurité.»
(voir la suite)
Cinci- Avec Saint Joseph
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Inscription : 22/04/2021
territoire en héritage et Isabelle-Marie aiment ce message
Re: Covid-19 un enfumage mondial: Qui dit la vérité et qui ment ? Preuve en image.
(suite)
Bill Gates se fit construire une immense villa sur la rive escarpée du lac Washington, voilà pour l'écologie. C'est là qu'il proposa en 2000 à Anthony Fauci de devenir associés. Faire de l'argent avec les vaccins est certainement un objectif naturel évident, le fondateur de Miscrosoft admet un retour de 20 pour 1 sur ses investissements, mais cela se combine à des objectifs de contrôle de la part d'une caste de milliardaires, de politiciens et de militaires.
En 1969, l'administration Nixon interdisait la possession d'armes biologiques, sauf dans le dessin de la production de vaccins, aussi l'armement et les vaccins virent leur destin se croiser. Les militaires ont besoin d'ennemis, le terrorisme était bon, mais les bioattaques marchent mieux. Là aussi on doit chercher à produire des vaccins contre les virus (dont l'anthrax). Mais on cherchera également à perfectionner les méthodes de contrôle des masses pour faire de l'État l'instrument qui imposera une médecine militarisée. On enchaîna les simulations de pandémies, en relation avec le militaire, ou l'emphase a été de plus en plus sur les mesures de contrôle dictatoriales sur la population, culminant avec Event 201 en octobre 2019. Dans ces scénarios, l'isolement social est toujours une règle d'or et la référence à l'autorité une arme de prédilection. L'expérience bien connue de Milgram faisait partie du projet MK ultra, et montre que le respect de l'autorité est plus fort que la conscience. Songeons au slogan «faire confiance aux experts».
Livre constructif encore une fois, une mine d'informations bien sourcées, mais nous croyons à propos de faire des commentaires qui vont au-delà de ce que Robert Kennedy Jr développe. Car tout en n'étant pas aussi odieux que bon nombre d'ouvrages émanant du complexe universitaire à la doxa gauchiste, il sombre malgré tout lui aussi dans le politiquement correct.
Comment la tradition familiale progressiste de l'auteur peut-elle être maintenue ? Il met en cause l'érosion du système public, maintenant à la merci du privé. L'avidité est pourtant universelle, Fauci et ses instigateurs premiers sont bien des fonctionnaires. Mais soit, admettons qu'une médecine entièrement nationalisée serait une solution.
Mais monsieur Kennedy devrait reconnaître que cette grande panique covidienne est l'oeuvre des médias farouchement démocrates et soi-disant progressistes. Qu'est-ce qui fait que les médias demeurent crédules face aux multiples pandémies frauduleuses si ce n'est pas à cause d'un culte pour la science faisant en sorte que quiconque est identifié à elle de façon institutionnelle se voit doté d'une licence sans limite au mensonge ?
Le camp libéral est né de cette tromperie ayant prétention d'être science, tel le marxisme, on pouvait remplacer les anciens usages et hiérarchies, les anciennes traditions et croyances, par une science réformée qui allait enfin amener paix et prospérité. On cherche alors un pouvoir centralisé qui imposerait la dictature du progrès. Rappelons les mots d'une grande figure de cette marche en avant des lettrés vers une république universelle dirigée par la raison, Emmanuel Kant : «Il est une évidence que le grand dessin de la Nature est la création d'un ordre civil qui soit administré universellement" (Kant, Emmanuel, La philosophie de l'histoire, Paris, Éditions de Noël,1947). Tel est le dessin du covid, du moins.
Robert Kennedy Jr devrait reconnaître que les artistes et intellectuels qui prirent la parole de façon explicite et soutenue pour dénoncer la mascarade étaient minoritaires et que ceux qui osèrent furent attaqués par la grande masse des artistes, écrivains et auteurs. Les gafam ont interdit les propos sceptiques des vaccins et de la pandémie, mais à leur côté furent aussi touchés les «droitards» et les «fachos», certainement pas les progressistes.
RKJ dénonce le politiquement correct qui donne à Anthony Fauci le champ libre. Il devrait reconnaître que le politiquement correct émane du milieu progressiste, le sien. Le slogan «faire confiance à la science» ou «aux experts», (pourquoi pas mettre "In science we trust" sur les billets de banque ?), trahit-il qu'il y a culte pour la science, alors que la confiance n'est pas une valeur scientifique, sa pratique exigeant que tout doit être contre-vérifié et que c'est du débat et de la discussion que la connaissance peut être établie.
Autre moyen [de Robert Kennedy] de lier cette fraude au recul du progressisme, est d'évoquer le recul de la démocratie à Hong Kong et le recul des droits des homosexuels en Hongrie durant la pandémie. De même, RKJ rappelle la remise en cause du droit à l'avortement en Pologne. Qu'essaie-t-on de nous dire ? Que depuis le printemps 2020, nous assistons à l'avancée d'un pouvoir de plus en plus autoritaire, ce qui est vrai, et que ce serait l'oeuvre des fascistes ou de la droite chrétienne ? Ça ne manque pas de culot. Peut-être plutôt le peuple en a assez des excès de la science et de ses méfaits et remet donc en question son intrusion dans les utérus pour abréger la vie humaine.
RKJ devrait reconnaître que Stonewall a crée le Sida, car ce mouvement de libération des homosexuels entraîna un déchaînement de leurs moeurs débridées qui mena à l'épidémie par l'effondrement du système immunitaire des partisans de la copulation compulsive , de la consommation de drogue et peut-être aussi, du grand cosmopolitisme dans la sélection des partenaires.
The Real Anthony Fauci se lamente beaucoup sur le traitement des Noirs américains, des hispaniques et de l'Afrique. En effet, ce milieu médical n'hésita aucunement à tester leurs concoctions sur les populations pauvres aux États-Unis mais, aussi, en Afrique. Une grande part des activités lucratives du couple Fauci-Gates concernait le continent noir. Les pharmaceutiques y déversèrent leur stock de médicaments rejetés dans les pays industrialisés, aux frais de ces derniers bien entendu.
Les médias sont hystériques à propos des pensionnats autochtones, car l'Église est (faussement) accusée, mais sont très peu enclins à fouiller les agissements du National Institute of Allergy and Infectious Diseases ou des diverses organisations vaccino-compulsives de Bill Gates sur les populations du Tiers-monde.
Si la mort de Dieu évoquée par Nietzsche engendra la mort des monarchies, la mort de la science comme idole engendra-t-elle la mort du libéralisme ? Le monde pourra peut-être mieux respirer.
Source :Candide Lefranc, «The Real Anthony Fauci» dans Le Harfang, vol 11, no 1, automne 2022, p. 48 (note : Le Harfang est une revue canadienne de résistance à la doxa ambiante)
Cinci- Avec Saint Joseph
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