"L'édito du Jour"!!
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito du Lundi 5 Mars 2018
Eglise ouverte et moderne nous ne sommes pas allés assez loin.
Eglise ouverte et moderne nous ne sommes pas allés assez loin.
La semaine dernière deux articles ont tourné sur le web.
Deux tribunes qu’il est très instructif de mettre en miroir.
La première est celle d’un prêtre ouvrier qui estime que l’Eglise n’est pas allée assez loin dans l’ouverture au monde et la modernisation et que le pape François est entravé par les conservateurs dans sa volonté d’aller plus loin. Lire Ici
Au même moment, paraissait le livre de Guillaume Cuchet, « Comment notre monde a cessé d’être chrétien ».
Une étude d’historien pointant un fait intéressant, la recatholicisation de la France a littéralement dévissé à partir de 1964.
Plutôt « conciliaire », son étude se veut tout sauf une critique du Concile qu’il cherche plutôt à dédouaner de cette débandade.
Et il est vrai qu’il y eut au moment du Concile un double mouvement convergeant qui a conduit à l’effondrement du catholicisme en France et en Europe.
D’une part un pseudo-concile a fait dire à Vatican II des choses qu’il ne disait pas, laissant se développer une certaine permissivité passive.
D’autre part, le fait d’imaginer qu’on pouvait discuter les dogmes, même s’ils ne furent pas remis en cause, a introduit un relativisme laissant entendre, peu à peu, que l’Eglise ne détenait pas forcément la vérité et donc pas davantage les clefs de la vie éternelle.
De là s’est mis en branle un mouvement catastrophique prenant l’Eglise en tenaille.
D’un côté, une hémorragie fulgurante laissa les pasteurs interdits.
Une hémorragie dont le fiel perçait depuis bien avant 1964 et dont il n’est pas inopportun d’analyser les causes
D’un autre côté, la hiérarchie s’est mise à courir après les brebis perdues, non avec la splendeur de la vérité, mais en tentant de cacher ce qui semblait repoussoir, à savoir, la morale, les sacrements, l’enfer et autres pieusetés jugées désuètes.
Bradant et la foi et le cœur même de sa raison d’être, les sacrements, pont vers le Ciel, une partie consistante des prêtres, évêques et des fidèles s’est lancée dans une course effrénée à la séduction, perdant de vue la vérité même du Christ.
Aujourd’hui certains affirment que si l’Eglise est en perte de vitesse, c’est parce qu’elle ne s’est pas suffisamment transformée, ouverte, bref, je dirais personnellement reniée.
D’autres estiment au contraire que ce n’est qu’en revenant au cœur même de sa vérité propre que l’Eglise redeviendra ce qu’elle est par nature, le lieu du salut.
Ici une question se pose : si l’Eglise n’est plus le lieu du salut, en effet, pourquoi l’Eglise ?
Parler du Christ, même dans la plénitude de la vérité, ne suffit pas à faire l’Eglise.
C’est parce qu’elle est le lieu du salut, la porte du Ciel, comme corps du Christ qu’elle est l’Eglise.
Si elle ne redevient pas cela aux yeux des hommes, elle ne présentera dans le monde d’aujourd’hui pas plus d’intérêt qu’une belle ONG caritative.
C’est du reste ce type de dérive que le pape François vient de dénoncer en approuvant la lettre de la congrégation pour la doctrine de la foi Placuit Deo, qui s’adresse aux évêques catholiques, et qui a été rendue publique le 1er mars.Lire Ici
Elle entend rappeler certains aspects du salut chrétien et met en cause “deux déviances (…) lesquelles ressemblent par certains aspects à deux hérésies de l’Antiquité, le pélagianisme et le gnosticisme”.
Elle fait écho aux critiques du pape François adressées à l’égard de certaines tendances contemporaines qui tendraient à centrer la question du salut sur l’individu et non sur le Christ.
Cyril Brun, rédacteur en chef
Deux tribunes qu’il est très instructif de mettre en miroir.
La première est celle d’un prêtre ouvrier qui estime que l’Eglise n’est pas allée assez loin dans l’ouverture au monde et la modernisation et que le pape François est entravé par les conservateurs dans sa volonté d’aller plus loin. Lire Ici
Au même moment, paraissait le livre de Guillaume Cuchet, « Comment notre monde a cessé d’être chrétien ».
Une étude d’historien pointant un fait intéressant, la recatholicisation de la France a littéralement dévissé à partir de 1964.
Plutôt « conciliaire », son étude se veut tout sauf une critique du Concile qu’il cherche plutôt à dédouaner de cette débandade.
Et il est vrai qu’il y eut au moment du Concile un double mouvement convergeant qui a conduit à l’effondrement du catholicisme en France et en Europe.
D’une part un pseudo-concile a fait dire à Vatican II des choses qu’il ne disait pas, laissant se développer une certaine permissivité passive.
D’autre part, le fait d’imaginer qu’on pouvait discuter les dogmes, même s’ils ne furent pas remis en cause, a introduit un relativisme laissant entendre, peu à peu, que l’Eglise ne détenait pas forcément la vérité et donc pas davantage les clefs de la vie éternelle.
De là s’est mis en branle un mouvement catastrophique prenant l’Eglise en tenaille.
D’un côté, une hémorragie fulgurante laissa les pasteurs interdits.
Une hémorragie dont le fiel perçait depuis bien avant 1964 et dont il n’est pas inopportun d’analyser les causes
D’un autre côté, la hiérarchie s’est mise à courir après les brebis perdues, non avec la splendeur de la vérité, mais en tentant de cacher ce qui semblait repoussoir, à savoir, la morale, les sacrements, l’enfer et autres pieusetés jugées désuètes.
Bradant et la foi et le cœur même de sa raison d’être, les sacrements, pont vers le Ciel, une partie consistante des prêtres, évêques et des fidèles s’est lancée dans une course effrénée à la séduction, perdant de vue la vérité même du Christ.
Aujourd’hui certains affirment que si l’Eglise est en perte de vitesse, c’est parce qu’elle ne s’est pas suffisamment transformée, ouverte, bref, je dirais personnellement reniée.
D’autres estiment au contraire que ce n’est qu’en revenant au cœur même de sa vérité propre que l’Eglise redeviendra ce qu’elle est par nature, le lieu du salut.
Ici une question se pose : si l’Eglise n’est plus le lieu du salut, en effet, pourquoi l’Eglise ?
Parler du Christ, même dans la plénitude de la vérité, ne suffit pas à faire l’Eglise.
C’est parce qu’elle est le lieu du salut, la porte du Ciel, comme corps du Christ qu’elle est l’Eglise.
Si elle ne redevient pas cela aux yeux des hommes, elle ne présentera dans le monde d’aujourd’hui pas plus d’intérêt qu’une belle ONG caritative.
C’est du reste ce type de dérive que le pape François vient de dénoncer en approuvant la lettre de la congrégation pour la doctrine de la foi Placuit Deo, qui s’adresse aux évêques catholiques, et qui a été rendue publique le 1er mars.Lire Ici
Elle entend rappeler certains aspects du salut chrétien et met en cause “deux déviances (…) lesquelles ressemblent par certains aspects à deux hérésies de l’Antiquité, le pélagianisme et le gnosticisme”.
Elle fait écho aux critiques du pape François adressées à l’égard de certaines tendances contemporaines qui tendraient à centrer la question du salut sur l’individu et non sur le Christ.
Cyril Brun, rédacteur en chef
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito du Mardi 6 Mars 2018
Euthanasie et transhumanisme, les contradictions d’un monde hédoniste.
Euthanasie et transhumanisme, les contradictions d’un monde hédoniste.
Depuis plusieurs années les tentatives pour légaliser l’euthanasie reviennent, de législature en législature, sans grand succès, mais dans le but d’habituer l’opinion.
Cette fois-ci, il est bien possible que l’offensive décisive soit décidée.
Président de la commission des affaires sociales, Jean-Louis Touraine est un militant acharné de ce qui restera, même légalisé, le fait de donner la mort.
Sa tribune a reçu le soutien de 156 députés, autant dire qu’un vote favorable est désormais très probable.
Pourquoi un tel acharnement ?
Officiellement, on fait pleurer dans les chaumières sur le droit à mourir dans la dignité.
La première question est donc de savoir de quelle dignité parlons-nous ?
On s’aperçoit très vite qu’il s’agit d’une dignité humaine très utilitariste (ce que partagent libertarien et marxistes, pour des raisons diverses).
A partir du moment où vous n’êtes plus utile ou capable de vous débrouiller seul, vous perdez votre dignité.
En creusant on se rend compte qu’on perd sa dignité dans le regard de ses proches, parce qu’un vieux ça dérange.
Ça dérange parce qu’il faut s’en occuper et s’occuper des vieux, comme avoir des enfants, est perçu comme une restriction à sa liberté (entendons à sa capacité de profiter de la vie).
Ça dérange parce que ça coûte cher pour rien.
Ça dérange enfin parce qu’ils sont le rappel de notre finitude et de l’absurdité d’une vie sans au-delà.
Alors, il faut éradiquer l’image de la dégénérescence et pour ce faire, envoyer ad patres cette image d’un futur personnel qu’on refuse.
Bref « cachez moi cette mort que je ne saurais voir ».
Dans le même temps, le transhumanisme affiche sa volonté de créer un surhomme, infaillible et immortel.
Cherchez l’erreur !
Ainsi le patron de Google, personnellement terrifié à l’idée de mourir, investit milliards sur milliards pour « tuer la mort ».
Bref, d’un côté on tue la mort et de l’autre on tue la vie.
Mais une telle contradiction procède bien d’un même mouvement, jouir sans fin et sans obstacle de la vie.
Refusant l’éternité bienheureuse, l’homme d’aujourd’hui refuse le passage qui conduit à la vie éternelle en sortant de son champ de vision la vieillesse et la souffrance, les confiant à des maisons spécialisées en attendant de les éradiquer tout simplement, comme on éradique les trisomiques, rappels insultants de la finitude humaine.
Mais l’homme ne peut tromper que son quotidien, car, au fond de lui, il sait sa finitude, il sait que « tout s’arrêtera » et cet abyme le terrifie au point de tout miser sur l’éternité du fini en « augmentant l’homme ».
L’euthanasie n’est qu’une étape dans le processus, puisque l’homme immortel est à venir.
Mais l’euthanasie ainsi définie, demeurera alors le moyen d’expurger les éventuelles tares du système transhumaniste
L’un comme l’autre ne sont en fait que le fruit amer de la perte de transcendance et de l’hédonisme qui confond jouissance et bonheur.
M’est avis que nous ne remporterons la victoire contre ces deux fléaux qu’en réintroduisant dans le cœur de nos contemporains la conscience de la transcendance et l’amour de Dieu.
Tout le reste, au mieux retardera la date fatidique (et pour nous donner du temps ce n’est pas inutile), au pire ne sera que pansement sur jambe de bois.
Cyril Brun, rédacteur en chef
Cette fois-ci, il est bien possible que l’offensive décisive soit décidée.
Président de la commission des affaires sociales, Jean-Louis Touraine est un militant acharné de ce qui restera, même légalisé, le fait de donner la mort.
Sa tribune a reçu le soutien de 156 députés, autant dire qu’un vote favorable est désormais très probable.
Pourquoi un tel acharnement ?
Officiellement, on fait pleurer dans les chaumières sur le droit à mourir dans la dignité.
La première question est donc de savoir de quelle dignité parlons-nous ?
On s’aperçoit très vite qu’il s’agit d’une dignité humaine très utilitariste (ce que partagent libertarien et marxistes, pour des raisons diverses).
A partir du moment où vous n’êtes plus utile ou capable de vous débrouiller seul, vous perdez votre dignité.
En creusant on se rend compte qu’on perd sa dignité dans le regard de ses proches, parce qu’un vieux ça dérange.
Ça dérange parce qu’il faut s’en occuper et s’occuper des vieux, comme avoir des enfants, est perçu comme une restriction à sa liberté (entendons à sa capacité de profiter de la vie).
Ça dérange parce que ça coûte cher pour rien.
Ça dérange enfin parce qu’ils sont le rappel de notre finitude et de l’absurdité d’une vie sans au-delà.
Alors, il faut éradiquer l’image de la dégénérescence et pour ce faire, envoyer ad patres cette image d’un futur personnel qu’on refuse.
Bref « cachez moi cette mort que je ne saurais voir ».
Dans le même temps, le transhumanisme affiche sa volonté de créer un surhomme, infaillible et immortel.
Cherchez l’erreur !
Ainsi le patron de Google, personnellement terrifié à l’idée de mourir, investit milliards sur milliards pour « tuer la mort ».
Bref, d’un côté on tue la mort et de l’autre on tue la vie.
Mais une telle contradiction procède bien d’un même mouvement, jouir sans fin et sans obstacle de la vie.
Refusant l’éternité bienheureuse, l’homme d’aujourd’hui refuse le passage qui conduit à la vie éternelle en sortant de son champ de vision la vieillesse et la souffrance, les confiant à des maisons spécialisées en attendant de les éradiquer tout simplement, comme on éradique les trisomiques, rappels insultants de la finitude humaine.
Mais l’homme ne peut tromper que son quotidien, car, au fond de lui, il sait sa finitude, il sait que « tout s’arrêtera » et cet abyme le terrifie au point de tout miser sur l’éternité du fini en « augmentant l’homme ».
L’euthanasie n’est qu’une étape dans le processus, puisque l’homme immortel est à venir.
Mais l’euthanasie ainsi définie, demeurera alors le moyen d’expurger les éventuelles tares du système transhumaniste
L’un comme l’autre ne sont en fait que le fruit amer de la perte de transcendance et de l’hédonisme qui confond jouissance et bonheur.
M’est avis que nous ne remporterons la victoire contre ces deux fléaux qu’en réintroduisant dans le cœur de nos contemporains la conscience de la transcendance et l’amour de Dieu.
Tout le reste, au mieux retardera la date fatidique (et pour nous donner du temps ce n’est pas inutile), au pire ne sera que pansement sur jambe de bois.
Cyril Brun, rédacteur en chef
Voici la liste des 156 signataires de la tribune de Jean-Louis Touraine,Cliquer
Cliquer
président de la commission des affaires sociales, nettement favorable à la légalisation de ce qui demeure ni plus ni moins qu’un meurtre.
Une majorité de LREM et un LR perdu au milieu.
Cliquer
président de la commission des affaires sociales, nettement favorable à la légalisation de ce qui demeure ni plus ni moins qu’un meurtre.
Une majorité de LREM et un LR perdu au milieu.
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Re: "L'édito du Jour"!!
PENDANT QU'ARTE ET LIBÉ NOUS ATTAQUENT...
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M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: "L'édito du Jour"!!
Merci steve pour vos encouragements, cela me fait réellement plaisir!!
Amitiés
Amitiés
L’édito du Jeudi 8 Mars 2018
Femme, libérée ou chosifiée ?
Femme, libérée ou chosifiée ?
Voici donc revenue la journée de la femme, perdue désormais au milieu de 365 autres journées commémoratives.
Pourtant, si bien des journées passent inaperçues, au point qu’on se demande vraiment l’intérêt de cette surenchère, la journée de la femme, elle, est fortement relayée dans les médias.
On pourrait, du reste se demander pourquoi cette journée suscite tant d’engouement dans la classe médiatico-politique.
Car, ne nous leurrons pas, c’est bien cette caste qui fait le succès de telle ou telle journée.
La genèse de cette journée est à elle seule tout un enseignement.
C’est aux USA, que naît la première journée, instaurée par le parti socialiste en 1909.
Très vite, l’internationale socialiste la reprend à son compte, avec le succès que l’on sait.
En France, contrairement à l’histoire totalement inventée de 1857, c’est en réalité dans la mouvance de la CGT qu’émerge cette journée reprise en main par les femmes travailleuses.
Ainsi donc, quels qu’aient pu être par la suite les fruits (bons et mauvais) nés de cette initiative socialiste, la journée de la femme est génétiquement marquée par la conception marxiste de la lutte.
Il ne s’agit pas de libérer la femme d’un carcan qui, par certains égards, portait atteinte et à son épanouissement et à sa dignité humaine, mais d’une émancipation conflictuelle.
De là naquit une confrontation dans laquelle l’homme était un méchant à abattre et non un vis-à-vis avec qui construire et se construire.
Au contraire, dans l’idée marxiste de la femme libre, se construire était forcément en rivalité avec l’homme.
Malgré elles, les femmes se sont donc trouvées instrumentalisées dans la lutte des classes, dans la luttes des sexes.
Et finalement cette liberté, paravent utile d’une déconstruction sociale, a peu à peu chosifié la femme.
Sous couvert de liberté, on lui fait vendre son corps, on la réduit à un objet de désir sexuel et peu à peu on lui interdit toute féminité au nom d’une égalité qui se trompe de comparaison.
Sans s’en rendre compte, on créé une dualité dans la personne humaine.
Alors que c’est dans leur humanité (et donc leur dignité) que l’homme et la femme sont égaux, on a fini par nier la commune humanité en spécifiant les droits de l’Homme et les droits de la femme (puis les droits de l’enfants).
Oubliant que ces droits sont communs à l’humanité, on a créé entre eux des conflits (droit de disposer de son corps, droits de l’enfant, droit à l’enfant) et finalement ce sont trois entités déchirées, homme, femme, enfant, qu’on met face à face.
Cette impasse, difficilement tenable, nourrit de ce fait un troisième phénomène, le gender.
Pour retrouver une communauté humaine, on nie la distinction sexuelle et donc ses spécificités propres.
Cependant, si l’homme est fortement affecté dans sa masculinité, la femme a peut-être encore bien plus perdu.
Car si l’homme est tenu en laisse de plus en plus et prié de refouler sa spécificité masculine, il n’est pas chosifié par la société.
A l’occasion de la journée de la femme, quelques rappels pour lutter pour la dignité de la femme
La question de la femme aujourd’hui est une véritable chausse-trappe.
Bien malgré elle, la femme est la pierre d’achoppement de notre siècle.
Je ne parle pas de telle ou telle femme en particulier, non, mais de la femme comme générique porteur de sens
La femme est devenue un concept abstrait qu’on brandit comme un étendard.
Nous ne pouvons plus parler de la femme, comme être réel, sans devoir d’abord la déshabiller de tout le postiche idéologique dont on l’a affublé depuis des décennies.
Il y a tant et tant de maquillage sur son visage qu’elle en est défigurée
La théorie du gender en perruquier, le féminisme en chirurgien esthétique et le politiquement correct en habilleuse ont totalement travesti la femme.
Voulant en faire l’égal de l’homme, on lui a mis une perruque masculine mal dégrossie, au point, finalement de raser les hommes, pour qu’ils ressemblent aux femmes pastichées en hommes.
Voulant les libérer du joug (indubitablement excessif et déplacé) d’un certain machisme, on a voulu leur greffer des biceps d’hommes et un sexe viril.
Mais la greffe ne prenant pas, on en est venu à émasculer le mâle, rendu coupable de tous les maux.
Et pour être certain de graver dans le marbre cette pantomime, on revêt ce concept de femme d’un arsenal législatif, véritable guillotine pour quiconque tenterait de démystifier cette poupée, ni libre, ni femme, mais asphyxiée et vendue comme esclave sexuelle au nom de sa liberté soi-disant retrouvée.
Toutes les femmes ne sont pas comme ça !
Pourrait-on fort heureusement rétorquer.
Non seulement elles ne sont pas toutes comme ça, mais aucune n’est ainsi !
C’est justement ce que toute une idéologie voudrait nous faire croire.
Parce que ce faisant, on empêche et l’homme et la femme d’être pleinement eux-mêmes et on fausse tous les rapports entre eux, ainsi que tous les rapports sociaux.
A la lutte des classes devenue sans objet, on substitué la lutte des sexes.
Désormais l’Homme et la femme sont présentés, non seulement comme concurrent, mais comme des rivaux en conflits incessants pour dominer l’autre.
Dans ce pugilat, il faut dire que la femme a pour elle le vent de la société médiatico-politique et dispose de l’ultime recours législatif pour l’emporter.
Pourtant, ce conflit est totalement artificiel, créé de toute pièce par une idéologie qui s’en nourrit : le gender.
Cette théorie qui n’existe pas ! Qui existe d’autant moins qu’on en parle beaucoup !
Car en réalité, c’est une théorie et non une science.
Une théorie truffée de contradictions dont celle de vouloir faire de la femme un homme en faisant de l’homme une femme n’est pas la moindre.
La théorie du genre qui prétend qu’il n’y a pas d’homme ni de femme et que chacun est ce qu’il veut, non seulement maintient la distinction homme femme, mais l’enferme dans des stéréotypes réducteurs.
Être homme ou femme n’est pas d’abord biologique, mais putatif. Vous êtes hommes ou femme parce que vous vous sentez tels !
Ce qui suppose que se sentir femme correspond à une réalité identifiable aux contours sinon précis, du moins génériques.
Ces contours, eux, répondent tout à la fois à la biologie qui est incontournable, qu’aux stéréotypes imposés par le Gender.
Nous sommes dans l’absurde le plus total.
Et d’autant plus que ces stéréotypes ont une histoire elle-même absurde.
Au départ il s’agissait de faire la femme l’égale de l’homme.
Ce qui du pont de vue de la dignité humaine devrait aller de soi, mais n’était pas (et n’est encore pas partout) toujours le cas.
Mais une confusion de départ voulait que cette égalité se fasse non en termes de dignité, mais de pouvoir.
Ainsi a-t-on voulu faire de la femme un autre homme.
Pour être scabreux, on a voulu greffer un sexe masculin aux femmes.
Devant l’irréalisme de cette fausse égalité et l’impossibilité de transposer la virilité intégrale aux femmes, on s’est attelé à déviriliser les hommes.
D’où la grande féminisation qui a consisté en un féminisme qui niait la femme pour en faire un homme et n’y parvenant pas, à féminiser la masculinité, leur donnant alors l’illusion d’être devenues des hommes.
En somme, tout repose finalement sur une fausse conception de la dignité posée en termes de pouvoir et donc nécessairement de rivalité, de lutte des sexes.
De sorte que cette confusion des genres bloque tout le processus d’évolution de la société.
Et si vous dénoncez cette déféminisation, comme cette dévirilisation de la société, vous êtes stigmatisé comme discriminant, ostracisé comme machiste.
Alors quelle égalité, quelle altérité le président Macron veut-il vraiment instaurer ?
Je ne peux qu’appeler à a rescousse la grande Maria Callas en 1965
« Nous les femmes, nous pouvons avoir le monde à nos pieds si nous sommes simplement femmes.
Nous voulons nous habiller comme des hommes, commander comme des hommes, mais si nous savons être femmes nous aurons beaucoup plus.” S’il peut vendre son sperme, il n’est pas pressé de louer son corps et ce n’est pas lui qu’on exhibe nu à longueur de panneaux publicitaires.
Finalement de la femme infantilisée à la femme chosifiée, la liberté et l’égalité ne semblent avoir été qu’une éphémère illusion.
Pourtant, si bien des journées passent inaperçues, au point qu’on se demande vraiment l’intérêt de cette surenchère, la journée de la femme, elle, est fortement relayée dans les médias.
On pourrait, du reste se demander pourquoi cette journée suscite tant d’engouement dans la classe médiatico-politique.
Car, ne nous leurrons pas, c’est bien cette caste qui fait le succès de telle ou telle journée.
La genèse de cette journée est à elle seule tout un enseignement.
C’est aux USA, que naît la première journée, instaurée par le parti socialiste en 1909.
Très vite, l’internationale socialiste la reprend à son compte, avec le succès que l’on sait.
En France, contrairement à l’histoire totalement inventée de 1857, c’est en réalité dans la mouvance de la CGT qu’émerge cette journée reprise en main par les femmes travailleuses.
Ainsi donc, quels qu’aient pu être par la suite les fruits (bons et mauvais) nés de cette initiative socialiste, la journée de la femme est génétiquement marquée par la conception marxiste de la lutte.
Il ne s’agit pas de libérer la femme d’un carcan qui, par certains égards, portait atteinte et à son épanouissement et à sa dignité humaine, mais d’une émancipation conflictuelle.
De là naquit une confrontation dans laquelle l’homme était un méchant à abattre et non un vis-à-vis avec qui construire et se construire.
Au contraire, dans l’idée marxiste de la femme libre, se construire était forcément en rivalité avec l’homme.
Malgré elles, les femmes se sont donc trouvées instrumentalisées dans la lutte des classes, dans la luttes des sexes.
Et finalement cette liberté, paravent utile d’une déconstruction sociale, a peu à peu chosifié la femme.
Sous couvert de liberté, on lui fait vendre son corps, on la réduit à un objet de désir sexuel et peu à peu on lui interdit toute féminité au nom d’une égalité qui se trompe de comparaison.
Sans s’en rendre compte, on créé une dualité dans la personne humaine.
Alors que c’est dans leur humanité (et donc leur dignité) que l’homme et la femme sont égaux, on a fini par nier la commune humanité en spécifiant les droits de l’Homme et les droits de la femme (puis les droits de l’enfants).
Oubliant que ces droits sont communs à l’humanité, on a créé entre eux des conflits (droit de disposer de son corps, droits de l’enfant, droit à l’enfant) et finalement ce sont trois entités déchirées, homme, femme, enfant, qu’on met face à face.
Cette impasse, difficilement tenable, nourrit de ce fait un troisième phénomène, le gender.
Pour retrouver une communauté humaine, on nie la distinction sexuelle et donc ses spécificités propres.
Cependant, si l’homme est fortement affecté dans sa masculinité, la femme a peut-être encore bien plus perdu.
Car si l’homme est tenu en laisse de plus en plus et prié de refouler sa spécificité masculine, il n’est pas chosifié par la société.
A l’occasion de la journée de la femme, quelques rappels pour lutter pour la dignité de la femme
La question de la femme aujourd’hui est une véritable chausse-trappe.
Bien malgré elle, la femme est la pierre d’achoppement de notre siècle.
Je ne parle pas de telle ou telle femme en particulier, non, mais de la femme comme générique porteur de sens
La femme est devenue un concept abstrait qu’on brandit comme un étendard.
Nous ne pouvons plus parler de la femme, comme être réel, sans devoir d’abord la déshabiller de tout le postiche idéologique dont on l’a affublé depuis des décennies.
Il y a tant et tant de maquillage sur son visage qu’elle en est défigurée
La théorie du gender en perruquier, le féminisme en chirurgien esthétique et le politiquement correct en habilleuse ont totalement travesti la femme.
Voulant en faire l’égal de l’homme, on lui a mis une perruque masculine mal dégrossie, au point, finalement de raser les hommes, pour qu’ils ressemblent aux femmes pastichées en hommes.
Voulant les libérer du joug (indubitablement excessif et déplacé) d’un certain machisme, on a voulu leur greffer des biceps d’hommes et un sexe viril.
Mais la greffe ne prenant pas, on en est venu à émasculer le mâle, rendu coupable de tous les maux.
Et pour être certain de graver dans le marbre cette pantomime, on revêt ce concept de femme d’un arsenal législatif, véritable guillotine pour quiconque tenterait de démystifier cette poupée, ni libre, ni femme, mais asphyxiée et vendue comme esclave sexuelle au nom de sa liberté soi-disant retrouvée.
Toutes les femmes ne sont pas comme ça !
Pourrait-on fort heureusement rétorquer.
Non seulement elles ne sont pas toutes comme ça, mais aucune n’est ainsi !
C’est justement ce que toute une idéologie voudrait nous faire croire.
Parce que ce faisant, on empêche et l’homme et la femme d’être pleinement eux-mêmes et on fausse tous les rapports entre eux, ainsi que tous les rapports sociaux.
A la lutte des classes devenue sans objet, on substitué la lutte des sexes.
Désormais l’Homme et la femme sont présentés, non seulement comme concurrent, mais comme des rivaux en conflits incessants pour dominer l’autre.
Dans ce pugilat, il faut dire que la femme a pour elle le vent de la société médiatico-politique et dispose de l’ultime recours législatif pour l’emporter.
Pourtant, ce conflit est totalement artificiel, créé de toute pièce par une idéologie qui s’en nourrit : le gender.
Cette théorie qui n’existe pas ! Qui existe d’autant moins qu’on en parle beaucoup !
Car en réalité, c’est une théorie et non une science.
Une théorie truffée de contradictions dont celle de vouloir faire de la femme un homme en faisant de l’homme une femme n’est pas la moindre.
La théorie du genre qui prétend qu’il n’y a pas d’homme ni de femme et que chacun est ce qu’il veut, non seulement maintient la distinction homme femme, mais l’enferme dans des stéréotypes réducteurs.
Être homme ou femme n’est pas d’abord biologique, mais putatif. Vous êtes hommes ou femme parce que vous vous sentez tels !
Ce qui suppose que se sentir femme correspond à une réalité identifiable aux contours sinon précis, du moins génériques.
Ces contours, eux, répondent tout à la fois à la biologie qui est incontournable, qu’aux stéréotypes imposés par le Gender.
Nous sommes dans l’absurde le plus total.
Et d’autant plus que ces stéréotypes ont une histoire elle-même absurde.
Au départ il s’agissait de faire la femme l’égale de l’homme.
Ce qui du pont de vue de la dignité humaine devrait aller de soi, mais n’était pas (et n’est encore pas partout) toujours le cas.
Mais une confusion de départ voulait que cette égalité se fasse non en termes de dignité, mais de pouvoir.
Ainsi a-t-on voulu faire de la femme un autre homme.
Pour être scabreux, on a voulu greffer un sexe masculin aux femmes.
Devant l’irréalisme de cette fausse égalité et l’impossibilité de transposer la virilité intégrale aux femmes, on s’est attelé à déviriliser les hommes.
D’où la grande féminisation qui a consisté en un féminisme qui niait la femme pour en faire un homme et n’y parvenant pas, à féminiser la masculinité, leur donnant alors l’illusion d’être devenues des hommes.
En somme, tout repose finalement sur une fausse conception de la dignité posée en termes de pouvoir et donc nécessairement de rivalité, de lutte des sexes.
De sorte que cette confusion des genres bloque tout le processus d’évolution de la société.
Et si vous dénoncez cette déféminisation, comme cette dévirilisation de la société, vous êtes stigmatisé comme discriminant, ostracisé comme machiste.
Alors quelle égalité, quelle altérité le président Macron veut-il vraiment instaurer ?
Je ne peux qu’appeler à a rescousse la grande Maria Callas en 1965
« Nous les femmes, nous pouvons avoir le monde à nos pieds si nous sommes simplement femmes.
Nous voulons nous habiller comme des hommes, commander comme des hommes, mais si nous savons être femmes nous aurons beaucoup plus.” S’il peut vendre son sperme, il n’est pas pressé de louer son corps et ce n’est pas lui qu’on exhibe nu à longueur de panneaux publicitaires.
Finalement de la femme infantilisée à la femme chosifiée, la liberté et l’égalité ne semblent avoir été qu’une éphémère illusion.
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Re: "L'édito du Jour"!!
C’est un très bon article. Mais l’émancipation de la femme a débuté avant le socialisme. Et lEglise y a jouer un rôle tout à fait remarquable. Je vous met un lien qui en parle :
https://questions.aleteia.org/articles/83/le-christianisme-a-t-il-favorise-lemancipation-des-femmes/?utm_source=Une+minute+avec+Marie+%28fr%29&utm_campaign=ec4ce41a9f-UMM-QM_17-59&utm_medium=email&utm_term=0_a9c0165f22-ec4ce41a9f-105824073
https://questions.aleteia.org/articles/83/le-christianisme-a-t-il-favorise-lemancipation-des-femmes/?utm_source=Une+minute+avec+Marie+%28fr%29&utm_campaign=ec4ce41a9f-UMM-QM_17-59&utm_medium=email&utm_term=0_a9c0165f22-ec4ce41a9f-105824073
Re: "L'édito du Jour"!!
Vous êtes féru d'histoire, merci steve pour ce lien
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito (Matin) du Vendredi 9 Mars 2018
Journée internationale des femmes
Le droit à l'avortement recule en Pologne
Le droit à l'avortement recule en Pologne
À l'occasion de la Journée internationale des femmes, jeudi, direction la Pologne où une nouvelle loi portée par les ultra-conservateurs au pouvoir vise à limiter l'accès à l'avortement.
La malformation du fœtus ne serait notamment plus prise en compte.
La malformation du fœtus ne serait notamment plus prise en compte.
Après avoir échoué en 2016, les conservateurs au pouvoir en Pologne veulent faire passer une nouvelle loi sur l’avortement.
La loi, déjà l’une des plus restrictives d’Europe, prévoit de n’autoriser l’interruption volontaire de grossesse (IVG) que dans deux cas : viol ou danger pour la vie de la mère.
Impossible de se faire avorter si les médecins diagnostiquent une malformation du fœtus : le bébé doit vivre.
Un tabou difficile à briser
Dans cette société très conservatrice, dire que l’on souhaite avorter simplement parce qu’on ne veut pas d’enfant, c’est déjà être regardée comme une criminelle.
Dans l’une de ses chansons, Natalia Przybysz, chanteuse pop, raconte comment elle a pris 42 pilules de Cytotec pour provoquer un avortement, sans succès.
Comment elle est ensuite partie en Slovaquie pour y être soignée et interrompre sa grossesse avec des médecins, ce qu’elle ne pouvait pas faire en Pologne.
Natalia ne voulait pas d’enfant, ce n’était pas le moment, pas le lieu... Concerts annulés, insultes sur internet : son aveu a déclenché une vague de haine.
La société l’a rejetée, les ultra-conservateurs l’ont traitée de "criminelle", un tabloïd a titré :
Elle a tué le bébé pour faire de la place à ses livres.
Être l’une des premières Polonaises à avoir brisé ce tabou en public est lourd à porter.
Mais Natalia préfère retenir les réactions de soutien.
"Les femmes qui viennent à mes concerts me prennent dans leurs bras, elles me remercient.
Les Polonaises ne parlent pas de ces sujets entre elles, il faut construire une solidarité.
C’est pour ça que j’en parle, et que je chante", raconte Natalia.
La loi, déjà l’une des plus restrictives d’Europe, prévoit de n’autoriser l’interruption volontaire de grossesse (IVG) que dans deux cas : viol ou danger pour la vie de la mère.
Impossible de se faire avorter si les médecins diagnostiquent une malformation du fœtus : le bébé doit vivre.
Un tabou difficile à briser
Dans cette société très conservatrice, dire que l’on souhaite avorter simplement parce qu’on ne veut pas d’enfant, c’est déjà être regardée comme une criminelle.
Dans l’une de ses chansons, Natalia Przybysz, chanteuse pop, raconte comment elle a pris 42 pilules de Cytotec pour provoquer un avortement, sans succès.
Comment elle est ensuite partie en Slovaquie pour y être soignée et interrompre sa grossesse avec des médecins, ce qu’elle ne pouvait pas faire en Pologne.
Natalia ne voulait pas d’enfant, ce n’était pas le moment, pas le lieu... Concerts annulés, insultes sur internet : son aveu a déclenché une vague de haine.
La société l’a rejetée, les ultra-conservateurs l’ont traitée de "criminelle", un tabloïd a titré :
Elle a tué le bébé pour faire de la place à ses livres.
Être l’une des premières Polonaises à avoir brisé ce tabou en public est lourd à porter.
Mais Natalia préfère retenir les réactions de soutien.
"Les femmes qui viennent à mes concerts me prennent dans leurs bras, elles me remercient.
Les Polonaises ne parlent pas de ces sujets entre elles, il faut construire une solidarité.
C’est pour ça que j’en parle, et que je chante", raconte Natalia.
Des milieux pro-life très actifs
Si la nouvelle loi est adoptée, l’IVG ne sera plus autorisée que dans deux cas : après un viol ou si la vie de la mère est en danger.
La malformation du fœtus ne sera plus prise en compte.
L’enfant devra naître.
A Varsovie, devant l’hôpital Bielanski où travaille le Pr Romuald Debsky, gynécologue, stationne un camion couvert d’affiches de propagande anti-IVG.
On y voit un fœtus sans vie, noirci.
Les images sont violentes.
"Les milieux pro-life ont pris de l’importance, dit le médecin. Ils se sentent autorisés, ils peuvent tout faire, parce qu’on leur a donné ce droit. Ici j’ai des patientes qui viennent de tout le pays pour un avortement. Passer devant ces images, c’est terrible…"
Le gynécologue sort tout juste du bloc, encore un peu essoufflé, quelques gouttes de sang sur ses sabots en plastique. Il est l’un des rares à oser prendre la parole sur ce sujet.
"Les conséquences de cette loi vont être dramatiques.
Dans le monde entier, interrompre une grossesse pour malformation du fœtus, c’est la routine…
J’ai peur qu’il y ait de plus en plus d’endroits en Pologne où l’on pratiquera des avortements clandestins.
Je me souviens d’une époque où les femmes mouraient de ce genre de pratiques. Ce pays fait de nombreux pas en arrière".
Un durcissement de la loi soutenu par l'Eglise
Plus de 100 000 avortements seraient pratiqués chaque année en Pologne.
Les trois-quarts de manière illégale.
La nouvelle loi risque d’augmenter encore ces statistiques.
Mais au nom du droit à la vie, le PiS ("Droit et Justice"), le parti conservateur au pouvoir, assume le texte.
"J’estime que toute vie mérite d’être protégée", dit Stanislaw Pieta, député. "
Chaque enfant qui naît, même malade, mérite de vivre et d’être soigné.
Il faut préserver sa vie plutôt que de le condamner à mort.
Même l’enfant né d’un viol a le droit à la vie", poursuit-il.
Le politique explique que les médecins se trompent aussi dans leurs diagnostics :
"Combien y a-t-il d’enfants qui naissent malgré l’avis des médecins, et qui finalement vont bien, sont en bonne santé ?
Il faut préserver la vie de tous ceux qui naissent. On ne peut pas prendre le risque de tuer à cause d’une erreur médicale."
Si la nouvelle loi est adoptée, l’IVG ne sera plus autorisée que dans deux cas : après un viol ou si la vie de la mère est en danger.
La malformation du fœtus ne sera plus prise en compte.
L’enfant devra naître.
A Varsovie, devant l’hôpital Bielanski où travaille le Pr Romuald Debsky, gynécologue, stationne un camion couvert d’affiches de propagande anti-IVG.
On y voit un fœtus sans vie, noirci.
Les images sont violentes.
"Les milieux pro-life ont pris de l’importance, dit le médecin. Ils se sentent autorisés, ils peuvent tout faire, parce qu’on leur a donné ce droit. Ici j’ai des patientes qui viennent de tout le pays pour un avortement. Passer devant ces images, c’est terrible…"
Le gynécologue sort tout juste du bloc, encore un peu essoufflé, quelques gouttes de sang sur ses sabots en plastique. Il est l’un des rares à oser prendre la parole sur ce sujet.
"Les conséquences de cette loi vont être dramatiques.
Dans le monde entier, interrompre une grossesse pour malformation du fœtus, c’est la routine…
J’ai peur qu’il y ait de plus en plus d’endroits en Pologne où l’on pratiquera des avortements clandestins.
Je me souviens d’une époque où les femmes mouraient de ce genre de pratiques. Ce pays fait de nombreux pas en arrière".
Un durcissement de la loi soutenu par l'Eglise
Plus de 100 000 avortements seraient pratiqués chaque année en Pologne.
Les trois-quarts de manière illégale.
La nouvelle loi risque d’augmenter encore ces statistiques.
Mais au nom du droit à la vie, le PiS ("Droit et Justice"), le parti conservateur au pouvoir, assume le texte.
"J’estime que toute vie mérite d’être protégée", dit Stanislaw Pieta, député. "
Chaque enfant qui naît, même malade, mérite de vivre et d’être soigné.
Il faut préserver sa vie plutôt que de le condamner à mort.
Même l’enfant né d’un viol a le droit à la vie", poursuit-il.
Le politique explique que les médecins se trompent aussi dans leurs diagnostics :
"Combien y a-t-il d’enfants qui naissent malgré l’avis des médecins, et qui finalement vont bien, sont en bonne santé ?
Il faut préserver la vie de tous ceux qui naissent. On ne peut pas prendre le risque de tuer à cause d’une erreur médicale."
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Re: "L'édito du Jour"!!
Je ne suis pas une femme mais je pense que porter l'enfant né d'un viol pendant 9 mois pour ensuite le confier à une structure (existante ou a créer) serait acceptable et serait un moindre mal pour toutes les parties. Pourquoi ces questions ne sont jamais abordé est un grand mystère.
Quand aux enfants mal formés, il faut avouer que dans nos sociétés modernes nous sommes toujours poussé a être toujours plus performant, utile, efficace, productif et que l'idée d'avoir à faire vivre avec un enfant handicapé devient insupportable pour beaucoup. Mais je suis sur qu'un enfant handicapé apportera toujours plus à la société que nos politiciens d'aujourd'hui qui sont, pour moi, de l'ordre des parasites. Il faut changer les mentalités!
Quand aux enfants mal formés, il faut avouer que dans nos sociétés modernes nous sommes toujours poussé a être toujours plus performant, utile, efficace, productif et que l'idée d'avoir à faire vivre avec un enfant handicapé devient insupportable pour beaucoup. Mais je suis sur qu'un enfant handicapé apportera toujours plus à la société que nos politiciens d'aujourd'hui qui sont, pour moi, de l'ordre des parasites. Il faut changer les mentalités!
Re: "L'édito du Jour"!!
steve2035 a écrit:Je ne suis pas une femme mais je pense que porter l'enfant né d'un viol pendant 9 mois pour ensuite le confier à une structure (existante ou a créer) serait acceptable et serait un moindre mal pour toutes les parties. Pourquoi ces questions ne sont jamais abordé est un grand mystère.
Quand aux enfants mal formés, il faut avouer que dans nos sociétés modernes nous sommes toujours poussé a être toujours plus performant, utile, efficace, productif et que l'idée d'avoir à faire vivre avec un enfant handicapé devient insupportable pour beaucoup. Mais je suis sur qu'un enfant handicapé apportera toujours plus à la société que nos politiciens d'aujourd'hui qui sont, pour moi, de l'ordre des parasites. Il faut changer les mentalités!
Bonjour steve,
Vous voyez en tant que femme, je pense que je ne pourrais pas confier mon enfant à une "association ou autres"!!
Maintenant c'est vrai il y des jeunes filles qui sont confrontées à cela nous ne pouvons que nous mettre à leur place si elles ne peuvent pas assumer l'éducation de cet enfant il est préférable de le confier!!
Pour en revenir à votre deuxième réflexion sur le sujet, un enfant handicapé (disons pas aux normes comme certains veulent nous le faire entendre)....est un enfant très attachant, il a beaucoup à donner!!
Je suis d'accord avec vous qui sont les parasites aujourd'hui et bien nous nous sommes compris..
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito du Vendredi 9 Mars(soir)
« 24 heures pour le Seigneur »
Partout en France pendant le carême à l’appel du Pape François
« 24 heures pour le Seigneur »
Partout en France pendant le carême à l’appel du Pape François
Cette année, comme l’année dernière, aura lieu pendant le carême l’évènement “24h pour le Seigneur” en France et dans le monde.Cliquer
Voilà une occasion de se recentrer très concrètement sur l’adoration, l’écoute de la Parole de Dieu, la prière et de solidifier ainsi notre carême par une clef de voûte spirituelle !
Cette invitation du Pape François est rappelée cette année dans son message de carême :
J’invite tout particulièrement les membres de l’Église à entreprendre avec zèle ce chemin du carême, soutenus par l’aumône, le jeûne et la prière.
S’il nous semble parfois que la charité s’éteint dans de nombreux cœurs, cela ne peut arriver dans le cœur de Dieu !
Il nous offre toujours de nouvelles occasions pour que nous puissions recommencer à aimer.
L’initiative des « 24 heures pour le Seigneur », qui nous invite à célébrer le sacrement de Réconciliation pendant l’adoration eucharistique, sera également cette année encore une occasion propice.
En 2018, elle se déroulera les vendredi 9 et samedi 10 mars, s’inspirant des paroles du Psaume 130 :
« Près de toi se trouve le pardon » (Ps 130, 4).
Dans tous les diocèses, il y aura au moins une église ouverte pendant 24 heures qui offrira la possibilité de l’adoration eucharistique et de la confession sacramentelle.
Les dates de ces évènements varient en fonction des diocèses ; les 9 et 10 mars à Argentan,Cliquer dans le diocèse d’Evry,Cliquer à PauCliquer ; les 16 et 17 mars au Havre,Cliquer autour du 11 mars dans le diocèse d’Annecy…Cliquer et nous annoncerons au fur et à mesure ces évènements dans notre rubrique annonces.
Profitons de ces moments pour nous confesser et (re)découvrir la joie d’être pardonné et délesté de nos fautes et de nos angoisses !
Voilà une occasion de se recentrer très concrètement sur l’adoration, l’écoute de la Parole de Dieu, la prière et de solidifier ainsi notre carême par une clef de voûte spirituelle !
Cette invitation du Pape François est rappelée cette année dans son message de carême :
J’invite tout particulièrement les membres de l’Église à entreprendre avec zèle ce chemin du carême, soutenus par l’aumône, le jeûne et la prière.
S’il nous semble parfois que la charité s’éteint dans de nombreux cœurs, cela ne peut arriver dans le cœur de Dieu !
Il nous offre toujours de nouvelles occasions pour que nous puissions recommencer à aimer.
L’initiative des « 24 heures pour le Seigneur », qui nous invite à célébrer le sacrement de Réconciliation pendant l’adoration eucharistique, sera également cette année encore une occasion propice.
En 2018, elle se déroulera les vendredi 9 et samedi 10 mars, s’inspirant des paroles du Psaume 130 :
« Près de toi se trouve le pardon » (Ps 130, 4).
Dans tous les diocèses, il y aura au moins une église ouverte pendant 24 heures qui offrira la possibilité de l’adoration eucharistique et de la confession sacramentelle.
Les dates de ces évènements varient en fonction des diocèses ; les 9 et 10 mars à Argentan,Cliquer dans le diocèse d’Evry,Cliquer à PauCliquer ; les 16 et 17 mars au Havre,Cliquer autour du 11 mars dans le diocèse d’Annecy…Cliquer et nous annoncerons au fur et à mesure ces évènements dans notre rubrique annonces.
Profitons de ces moments pour nous confesser et (re)découvrir la joie d’être pardonné et délesté de nos fautes et de nos angoisses !
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Re: "L'édito du Jour"!!
Facile à dire Steve:vous n'êtes pas la femme quia été violéesteve2035 a écrit:Je ne suis pas une femme mais je pense que porter l'enfant né d'un viol pendant 9 mois pour ensuite le confier à une structure (existante ou a créer) serait acceptable et serait un moindre mal pour toutes les parties. Pourquoi ces questions ne sont jamais abordé est un grand mystère.
Quand aux enfants mal formés, il faut avouer que dans nos sociétés modernes nous sommes toujours poussé a être toujours plus performant, utile, efficace, productif et que l'idée d'avoir à faire vivre avec un enfant handicapé devient insupportable pour beaucoup. Mais je suis sur qu'un enfant handicapé apportera toujours plus à la société que nos politiciens d'aujourd'hui qui sont, pour moi, de l'ordre des parasites. Il faut changer les mentalités!
jacques58fan- Combat l'antechrist
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Re: "L'édito du Jour"!!
Steve :pourquoi alors les femmes ne peuvent-elles pas devenir prêtre?steve2035 a écrit:C’est un très bon article. Mais l’émancipation de la femme a débuté avant le socialisme. Et lEglise y a jouer un rôle tout à fait remarquable. Je vous met un lien qui en parle :
https://questions.aleteia.org/articles/83/le-christianisme-a-t-il-favorise-lemancipation-des-femmes/?utm_source=Une+minute+avec+Marie+%28fr%29&utm_campaign=ec4ce41a9f-UMM-QM_17-59&utm_medium=email&utm_term=0_a9c0165f22-ec4ce41a9f-105824073
jacques58fan- Combat l'antechrist
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito du Samedi 10 Mars 2018
Bioéthique
Le diocèse de Versailles lance une plateforme
Bioéthique
Le diocèse de Versailles lance une plateforme
Tous les 7 ans, les textes de lois bioéthiques sont révisables et dans ce cadre, le gouvernement a lancé une phase de concertation avec la société civile de janvier à avril 2018.
Pour que les catholiques puissent y prendre part en connaissance de cause, la Conférence des évêques de France a mis en place un espace dédié à ces questions et vous trouverez ici toutes les ressources nécessaires pour approfondir, vous forger une opinion et l’exprimer sur la plateforme publique mise en place à cet effet.
Pour que les catholiques puissent y prendre part en connaissance de cause, la Conférence des évêques de France a mis en place un espace dédié à ces questions et vous trouverez ici toutes les ressources nécessaires pour approfondir, vous forger une opinion et l’exprimer sur la plateforme publique mise en place à cet effet.
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito du Dimanche 11 Mars 2018
Rome – Messe en mémoire de Pie XII
Rome – Messe en mémoire de Pie XII
Le 2 mars 1939, le cardinal Eugenio Pacelli devenait pape sous le nom de Pie XII.
Le pontificat de ce pape, qui a marqué l’Église, a duré 19 ans.
Une messe en la mémoire de ce pape, déclaré vénérable en 2009, doit être célébrée le samedi 10 mars 2018, en l’église Sainte-Anne, au Vatican, par Mgr Guido Marino, actuel Maître des Célébrations liturgiques pontificales.
Source Vatican News
Le pontificat de ce pape, qui a marqué l’Église, a duré 19 ans.
Une messe en la mémoire de ce pape, déclaré vénérable en 2009, doit être célébrée le samedi 10 mars 2018, en l’église Sainte-Anne, au Vatican, par Mgr Guido Marino, actuel Maître des Célébrations liturgiques pontificales.
Source Vatican News
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Re: "L'édito du Jour"!!
jacques58fan a écrit:Steve :pourquoi alors les femmes ne peuvent-elles pas devenir prêtre?
Peut être pour la même raison que les femmes ne sont pas rabbin?
Les rôles et caractères entre homme et femme sont différents. Jésus n'a choisi que des apôtres hommes et même principalement des pécheurs (mobile) et non des agriculteurs (forcément sédentaire dans l'esprit). J'en ai discuté il y a longtemps avec un prêtre.
On ne se pose même plus la question dans l'Eglise catholique. Parlez en à votre prêtre il saura vous répondre à coup sûr avec beaucoup de plaisir
Bien à vous
Re: "L'édito du Jour"!!
Marie du 65 a écrit:L'édito du Dimanche 11 Mars 2018
Rome – Messe en mémoire de Pie XIILe 2 mars 1939, le cardinal Eugenio Pacelli devenait pape sous le nom de Pie XII.
Le pontificat de ce pape, qui a marqué l’Église, a duré 19 ans.
Une messe en la mémoire de ce pape, déclaré vénérable en 2009, doit être célébrée le samedi 10 mars 2018, en l’église Sainte-Anne, au Vatican, par Mgr Guido Marino, actuel Maître des Célébrations liturgiques pontificales.
Source Vatican News
C'est un très grand pape j'en suis convaincu!
C'est lui qui a autorisé les fouilles sous la basilique du Vatican où les restes de saint Pierre étaient supposés être selon la tradition.
Certains lui ont dit: "Mais si sa tombe n'y est pas, que dirons nous au monde?".
Il répondit (je ne connais pas les mots exacts) : "La vérité, il n'y a que la vérité qui importe. Nous n'avons pas à avoir peur de la vérité".
Quel courage et quel confiance.
J'ai visité les dessous du Vatican et je suis tombé sur les fesses! Il y a des rues d'une nécropole et la tombe de saint Pierre avec ces restes sont bien là. Pile à la vertical du dôme. Les preuves sont casi indiscutables.
"Pierre tu es Pierre et sur toi je bâtirais mon Église"
Saint Pierre et Pie XII priez pour nous!
Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito (Matin) du Lundi 12 Mars 2018
Découvrez le manuel sur l’euthanasie de la Fondation Lejeune
Découvrez le manuel sur l’euthanasie de la Fondation Lejeune
Ce manuel sur l’euthanasie, rédigé par un comité d’experts, s’adresse aux jeunes et aussi aux éducateurs, formateurs, professeurs, parents et professionnels de la santé.
Sur le même format que le Manuel Bioéthique des Jeunes, ce Manuel gratuit, pédagogique et accessible, a pour but d’expliquer de façon claire les différentes questions posées par l’euthanasie.
Cliquer
Ces éléments pédagogiques sont assortis de citations, de témoignages et illustrés par des dessins.
Sur le même format que le Manuel Bioéthique des Jeunes, ce Manuel gratuit, pédagogique et accessible, a pour but d’expliquer de façon claire les différentes questions posées par l’euthanasie.
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Ces éléments pédagogiques sont assortis de citations, de témoignages et illustrés par des dessins.
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Re: "L'édito du Jour"!!
steve2035 a écrit:Marie du 65 a écrit:L'édito du Dimanche 11 Mars 2018
Rome – Messe en mémoire de Pie XIILe 2 mars 1939, le cardinal Eugenio Pacelli devenait pape sous le nom de Pie XII.
Le pontificat de ce pape, qui a marqué l’Église, a duré 19 ans.
Une messe en la mémoire de ce pape, déclaré vénérable en 2009, doit être célébrée le samedi 10 mars 2018, en l’église Sainte-Anne, au Vatican, par Mgr Guido Marino, actuel Maître des Célébrations liturgiques pontificales.
Source Vatican News
C'est un très grand pape j'en suis convaincu!
C'est lui qui a autorisé les fouilles sous la basilique du Vatican où les restes de saint Pierre étaient supposés être selon la tradition.
Certains lui ont dit: "Mais si sa tombe n'y est pas, que dirons nous au monde?".
Il répondit (je ne connais pas les mots exacts) : "La vérité, il n'y a que la vérité qui importe. Nous n'avons pas à avoir peur de la vérité".
Quel courage et quel confiance.
J'ai visité les dessous du Vatican et je suis tombé sur les fesses! Il y a des rues d'une nécropole et la tombe de saint Pierre avec ces restes sont bien là. Pile à la vertical du dôme. Les preuves sont casi indiscutables.
"Pierre tu es Pierre et sur toi je bâtirais mon Église"
Saint Pierre et Pie XII priez pour nous!
Bonjour steve
J'ai appris un peu plus à le connaître, car à Lourdes nous devions expliquer aux pèlerins qui figurait sur les médaillons ( la Basilique Notre Dame)
je sais que son médaillon est à droite de la basilique, (en haut) je dépose une photo, vous remarquerez les noms des Papes figurant sur celle-ci
Quelque marche a monter et nous sommes a l'entrée de l'imposante basilique dite de l'Immaculée Conception. Cet édifice, dont la flêche s'élève à plus de 70 mètres, fut inauguré en 1871 après six années de travaux.
Située au sommet du rocher de la Grotte, la basilique de l’Immaculée Conception fut construite de 1866 à 1871, sur les plans d’Hippolyte Durand. Elle fut érigée en basilique mineure par le pape Pie IX le 13 mars 1874.
Sur la façade, le médaillon du haut représente Pie X.
Le visage éclairé d’un léger sourire, il tient dans la main gauche le décret daté du 13 novembre 1907, par lequel la fête de l’Apparition de Notre-Dame de Lourdes est étendue à l’Eglise universelle.
Le médaillon du bas, au-dessus de l’entrée de la Crypte, représente le pape Pie IX qui proclama le dogme de l’Immaculée Conception en 1854.
Voyez ici les Papes à Lourdes
Sur cette image on aperçoit le médaillon de Pie XII(pas clairement)...
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Re: "L'édito du Jour"!!
L’édito(soir) – Et Dieu dans tout ça …
L’actualité médiatique, bioéthique et politique tant nationale qu’internationale donne aux catholiques de larges occasions de monter au créneau pour défendre les vérités fondamentales issues de la révélation chrétienne.
Ces vérités sont de deux ordres.
L’une dite loi naturelle, observable et démontrable rationnellement quoiqu’aujourd’hui, le principe de non contradiction ayant été balayé, la logique rationnelle semble de moins en moins un argument opposable au relativisme irrationnel.
L’autre ordre de vérité comprend les données de foi strictement révélées et auxquels l’Homme ne peut accéder que par la révélation divine et l’adhésion de la foi.
C’est de ces deux ordres, qui ne forment qu’une seule vérité comprise entre foi et raison, que nous tirons les grandes vérités anthropologiques éthiques et spirituelles.
Aussi, défendre « les vérités fondamentales issues de la révélation chrétienne » suppose de pouvoir, selon la demande de saint Pierre, en rendre compte, donc non pas de les ânonner, mais de les comprendre de l’intérieur, c’est-à-dire d’en connaitre les raisons fondamentales.
Or la plus fondamentale des raisons qui explique toute vérité trouve sa source la plus ultime en Dieu et en son dessein pour l’humanité, autrement dit sa volonté.
L’homme et le monde sont créés tels qu’ils sont parce que dans le plan divin c’est le meilleur des mondes possibles en vue du projet divin qui est la vie intime de l’homme avec Dieu, autrement appelée paradis ou vision béatifique.
Si nous ne tenons pas ces deux bouts que sont la volonté divine et la vocation ultime de l’homme, toutes les vérités anthropologiques, éthiques et même spirituelles ne sont qu’un assemblage de vérités sans cohérence dont, de ce fait on peut disposer à sa guise.
Aussi, dans le combat politique, culturel et éthique, il manquera toujours au plus humaniste des militants, la transcendance qui donne toute la cohérence du combat qu’il mène.
Sans cette transcendance et cette vocation de l’homme, les « valeurs » chrétiennes ne sont qu’une philosophie, voire une idéologie parmi d’autres.
Le catholique qui se bat pour le bonheur des hommes et qui oublie qu’au-delà des contingences matérielles le bonheur de l’homme c’est Dieu, et qui donc oublie Dieu dans son discours comme dans sa stratégie, condamne l’homme qu’il veut aider à plafonner en lui-même.
Ce qui est le drame de l’humanisme athée dénoncé par le cardinal de Lubac.
L’impasse du débat bioéthique le révèle bien du reste.
Parler du droit à la vie est une erreur qui montre bien l’aporie d’un discours sans Dieu.Cliquer
Il ne saurait y avoir de droit à la vie pour une personne qui n’est pas encore.
Ce qui existe en revanche, c’est le droit au respect de la vie, une foi celle-ci reçue.
Dieu préexiste à toute vie humaine et il en est le maître.
L’homme qui n’existe pas n’est pas sujet de droit.
Le débat bioéthique pose avant tout la question de la place et des droits de Dieu sur l’humanité.
L’enjeu est hautement spirituel : acceptons-nous Dieu en acceptant qu’il soit maître de la vie et donc de ma vie, ou le rejetons-nous.
A nous en tenir au droit naturel, difficilement défendable sans transcendance divine, nous éludons la partie la plus essentiel de la question.
Une partie qui déborde largement la bioéthique, mais dont elle est l’aspect le plus cuisant :
Et Dieu dans tout ça ?
Cyril Brun, rédacteur en chef
Ces vérités sont de deux ordres.
L’une dite loi naturelle, observable et démontrable rationnellement quoiqu’aujourd’hui, le principe de non contradiction ayant été balayé, la logique rationnelle semble de moins en moins un argument opposable au relativisme irrationnel.
L’autre ordre de vérité comprend les données de foi strictement révélées et auxquels l’Homme ne peut accéder que par la révélation divine et l’adhésion de la foi.
C’est de ces deux ordres, qui ne forment qu’une seule vérité comprise entre foi et raison, que nous tirons les grandes vérités anthropologiques éthiques et spirituelles.
Aussi, défendre « les vérités fondamentales issues de la révélation chrétienne » suppose de pouvoir, selon la demande de saint Pierre, en rendre compte, donc non pas de les ânonner, mais de les comprendre de l’intérieur, c’est-à-dire d’en connaitre les raisons fondamentales.
Or la plus fondamentale des raisons qui explique toute vérité trouve sa source la plus ultime en Dieu et en son dessein pour l’humanité, autrement dit sa volonté.
L’homme et le monde sont créés tels qu’ils sont parce que dans le plan divin c’est le meilleur des mondes possibles en vue du projet divin qui est la vie intime de l’homme avec Dieu, autrement appelée paradis ou vision béatifique.
Si nous ne tenons pas ces deux bouts que sont la volonté divine et la vocation ultime de l’homme, toutes les vérités anthropologiques, éthiques et même spirituelles ne sont qu’un assemblage de vérités sans cohérence dont, de ce fait on peut disposer à sa guise.
Aussi, dans le combat politique, culturel et éthique, il manquera toujours au plus humaniste des militants, la transcendance qui donne toute la cohérence du combat qu’il mène.
Sans cette transcendance et cette vocation de l’homme, les « valeurs » chrétiennes ne sont qu’une philosophie, voire une idéologie parmi d’autres.
Le catholique qui se bat pour le bonheur des hommes et qui oublie qu’au-delà des contingences matérielles le bonheur de l’homme c’est Dieu, et qui donc oublie Dieu dans son discours comme dans sa stratégie, condamne l’homme qu’il veut aider à plafonner en lui-même.
Ce qui est le drame de l’humanisme athée dénoncé par le cardinal de Lubac.
L’impasse du débat bioéthique le révèle bien du reste.
Parler du droit à la vie est une erreur qui montre bien l’aporie d’un discours sans Dieu.Cliquer
Il ne saurait y avoir de droit à la vie pour une personne qui n’est pas encore.
Ce qui existe en revanche, c’est le droit au respect de la vie, une foi celle-ci reçue.
Dieu préexiste à toute vie humaine et il en est le maître.
L’homme qui n’existe pas n’est pas sujet de droit.
Le débat bioéthique pose avant tout la question de la place et des droits de Dieu sur l’humanité.
L’enjeu est hautement spirituel : acceptons-nous Dieu en acceptant qu’il soit maître de la vie et donc de ma vie, ou le rejetons-nous.
A nous en tenir au droit naturel, difficilement défendable sans transcendance divine, nous éludons la partie la plus essentiel de la question.
Une partie qui déborde largement la bioéthique, mais dont elle est l’aspect le plus cuisant :
Et Dieu dans tout ça ?
Cyril Brun, rédacteur en chef
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito(Matin) du Mardi 13 Mars 2018
Bioéthique
L’heure du Débat
Bioéthique
L’heure du Débat
Il reste moins de cinquante jours aux Français pour donner leur avis sur les questions de bioéthique avant la révision de la loi.
Une consultation est ouverte dans tout le pays :
« C’est un moment essentiel pour construire et savoir dans quelle France nous voulons vivre demain », explique Jean-François Delfraissy, président du Comité national consultatif d’éthique (1) qui organise les États généraux de la bioéthique.
De la conception à la mort, des tests génétiques à la médecine prédictive, de la recherche sur l’embryon au don d’organes…
Chaque Français est concerné.
Tout ce qui est scientifiquement possible est-il souhaitable ou « faut-il poser des limites pour éviter les risques et les dérives des technologies ? » interrogeait Jean-Michel Boles, président de l’Espace de réflexion éthique de Bretagne.
Les questions sur le début et la fin de la vie sont extrêmement sensibles.
La loi sur la fin de vie ne devait pas être révisée.
Car la dernière, votée à une écrasante majorité voici trois ans, commence juste à être appliquée.
On s’étonne donc de voir revenir au programme l’euthanasie et le suicide assisté.
D’autant plus qu’avant même la fin des États généraux, des parlementaires sont partis en campagne pour les promouvoir.
Sur le début de la vie : la promesse de campagne du président de la République d’ouvrir la procréation médicalement assistée (PMA) aux femmes vivant seules ou en couple, rajoute à l’impression que les jeux sont faits.
Protéger les plus faibles
Aujourd’hui, la PMA est un acte médical qui soigne la stérilité ou évite la transmission de graves maladies.
Élargir son champ interroge : la médecine doit-elle répondre à des demandes sociales ?
Le besoin de gamètes qui en découlerait conduira-t-il, peu à peu, à considérer le corps humain ou ses parties comme un objet qui peut se vendre ou se louer ?
Ou encore, la société peut-elle organiser la naissance d’enfants sans père ?
Ces décisions fondamentales ne peuvent être prises sans une large consultation.
À l’heure où les populismes progressent en Europe, il est essentiel que les Français gardent confiance dans les institutions démocratiques.
Cette confiance repose sur l’écoute, l’échange et non sur la force du pouvoir.
Pour la renforcer, ce débat doit donc être authentique. Son issue ne saurait être décidée d’avance.
L’extraordinaire développement des connaissances scientifiques ouvre des horizons dont nous ne percevons ni toutes les conséquences ni toute la portée.
Elles exigent humilité et recherche permanente du Bien Commun pour veiller à ce que leurs applications servent toujours l’humanité. C’est notre immense responsabilité vis-à-vis des générations futures.
Les lois bioéthiques peuvent faciliter la vie mais, si nous n’y prenons garde, elles risquent de nous embarquer sur des chemins où l’humanité perdrait son âme.
Il faut donc éviter qu’elles n’ouvrent la voie, par exemple, à la modification irréversible de l’espèce humaine, à l’utilisation du corps comme un matériel, à la fragilisation des plus vulnérables.
Ces lois devraient être l’occasion d’aller vers une plus grande humanité, un plus grand respect des personnes pour que l’être humain soit considéré non comme un moyen mais comme une fin en soi.
Il est donc important que les citoyens participent activement aux États généraux de la bioéthique et que le monde politique, loin des marchandages, soit à la hauteur du défi.
Cliquer
Une consultation est ouverte dans tout le pays :
« C’est un moment essentiel pour construire et savoir dans quelle France nous voulons vivre demain », explique Jean-François Delfraissy, président du Comité national consultatif d’éthique (1) qui organise les États généraux de la bioéthique.
De la conception à la mort, des tests génétiques à la médecine prédictive, de la recherche sur l’embryon au don d’organes…
Chaque Français est concerné.
Tout ce qui est scientifiquement possible est-il souhaitable ou « faut-il poser des limites pour éviter les risques et les dérives des technologies ? » interrogeait Jean-Michel Boles, président de l’Espace de réflexion éthique de Bretagne.
Les questions sur le début et la fin de la vie sont extrêmement sensibles.
La loi sur la fin de vie ne devait pas être révisée.
Car la dernière, votée à une écrasante majorité voici trois ans, commence juste à être appliquée.
On s’étonne donc de voir revenir au programme l’euthanasie et le suicide assisté.
D’autant plus qu’avant même la fin des États généraux, des parlementaires sont partis en campagne pour les promouvoir.
Sur le début de la vie : la promesse de campagne du président de la République d’ouvrir la procréation médicalement assistée (PMA) aux femmes vivant seules ou en couple, rajoute à l’impression que les jeux sont faits.
Protéger les plus faibles
Aujourd’hui, la PMA est un acte médical qui soigne la stérilité ou évite la transmission de graves maladies.
Élargir son champ interroge : la médecine doit-elle répondre à des demandes sociales ?
Le besoin de gamètes qui en découlerait conduira-t-il, peu à peu, à considérer le corps humain ou ses parties comme un objet qui peut se vendre ou se louer ?
Ou encore, la société peut-elle organiser la naissance d’enfants sans père ?
Ces décisions fondamentales ne peuvent être prises sans une large consultation.
À l’heure où les populismes progressent en Europe, il est essentiel que les Français gardent confiance dans les institutions démocratiques.
Cette confiance repose sur l’écoute, l’échange et non sur la force du pouvoir.
Pour la renforcer, ce débat doit donc être authentique. Son issue ne saurait être décidée d’avance.
L’extraordinaire développement des connaissances scientifiques ouvre des horizons dont nous ne percevons ni toutes les conséquences ni toute la portée.
Elles exigent humilité et recherche permanente du Bien Commun pour veiller à ce que leurs applications servent toujours l’humanité. C’est notre immense responsabilité vis-à-vis des générations futures.
Les lois bioéthiques peuvent faciliter la vie mais, si nous n’y prenons garde, elles risquent de nous embarquer sur des chemins où l’humanité perdrait son âme.
Il faut donc éviter qu’elles n’ouvrent la voie, par exemple, à la modification irréversible de l’espèce humaine, à l’utilisation du corps comme un matériel, à la fragilisation des plus vulnérables.
Ces lois devraient être l’occasion d’aller vers une plus grande humanité, un plus grand respect des personnes pour que l’être humain soit considéré non comme un moyen mais comme une fin en soi.
Il est donc important que les citoyens participent activement aux États généraux de la bioéthique et que le monde politique, loin des marchandages, soit à la hauteur du défi.
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito(soir) du Mardi 13 Mars 2018
Le progrès des modernes…. Hypothèque sur notre bonheur
Le progrès des modernes…. Hypothèque sur notre bonheur
Le désarroi de notre société actuelle, la perte d’identification de ce qui fait le bonheur de l’Homme, démultiplient les besoins compensatoires et l’on cherche toujours plus à combler un vide existentiel, par une accumulation d’avoir.
Cette destructuration intérieure de l’Homme est un formidable dopant pour la croissance de la consommation.
C’est même le moteur de notre société de consommation.
Il est étrange que des partis ou mouvements politiques qui cherchent à défendre les plus faibles ne voient pas comment et combien leur idéologie, sous couvert de progrès et de libération de l’Homme, hypothèque gravement son bonheur.
Car défigurer le visage de l’Homme, c’est le condamner à ne plus se reconnaître lui-même et donc à ne plus se connaître.
Or Socrate ne pose-t-il pas comme préalable à toute quête humaine, le « Connais-toi toi-même » ?
Comment l’Homme d’aujourd’hui peut-il se reconnaître dans l’être lacéré de toutes parts qu’on lui présente comme étant lui ?
Dénaturer l’Homme dans sa sexualité, dans sa filiation, dans sa paternité, dans son altérité, dans son origine, c’est le condamner à l’exil.
L’Homme d’aujourd’hui est un exilé dans son propre être, un étranger dans sa propre chair.
Toutes les mesures que souhaite prendre le gouvernement hypothèquent gravement ce bonheur.
De la conception à la mort, en passant par l’intimité de la vie quotidienne ou la construction de son identité, il n’est pas un moment de la vie, pas un instant du développement de l’être humain qui ne soit compromis sérieusement.
Concrètement, les lois sur l’embryon et les projets de loi sur l’euthanasie, la GPA et autres innovations, compromettent la dignité la plus fondamentale de l’Homme, car l’être humain court le risque de ne plus être ce sanctuaire inviolable.
Or cette inviolabilité est un gage de stabilité et de paix.
Combien sont désormais affolés par leur fin de vie, ont peur d’aller à l’hôpital car ils sentent désormais une angoissante épée de Damoclès sur leur propre survie ?
Quant au mariage, à l’identité sexuelle ou à l’éducation des enfants, ce sont autant de « réformes » qui destructurent l’équilibre et donc la construction même de la personne.
C’est là plus que nulle-part ailleurs, dans ce sillon que se creuse la quête existentielle du bonheur.
Tromper l’Homme sur la réalité profonde de son être, par un relativisme de confort, c’est lui interdire toute possibilité d’entreprendre, en vérité et en liberté, cette quête du bonheur.
C’est l’orienter vers la recherche vaine d’un faux-semblant qui ne débouchera que sur cette course effrénée aux plaisirs compensatoires.
Les différents projets de lois sont donc une véritable menace, une hypothèque lourde, véritable épée de Damoclès dont l’un des effets, non négligeable sera de plonger notre pays dans une véritable dépression morale et au-delà économique, l’un n’allant pas sans l’autre.
Cyril Brun, rédacteur en chef
Cette destructuration intérieure de l’Homme est un formidable dopant pour la croissance de la consommation.
C’est même le moteur de notre société de consommation.
Il est étrange que des partis ou mouvements politiques qui cherchent à défendre les plus faibles ne voient pas comment et combien leur idéologie, sous couvert de progrès et de libération de l’Homme, hypothèque gravement son bonheur.
Car défigurer le visage de l’Homme, c’est le condamner à ne plus se reconnaître lui-même et donc à ne plus se connaître.
Or Socrate ne pose-t-il pas comme préalable à toute quête humaine, le « Connais-toi toi-même » ?
Comment l’Homme d’aujourd’hui peut-il se reconnaître dans l’être lacéré de toutes parts qu’on lui présente comme étant lui ?
Dénaturer l’Homme dans sa sexualité, dans sa filiation, dans sa paternité, dans son altérité, dans son origine, c’est le condamner à l’exil.
L’Homme d’aujourd’hui est un exilé dans son propre être, un étranger dans sa propre chair.
Toutes les mesures que souhaite prendre le gouvernement hypothèquent gravement ce bonheur.
De la conception à la mort, en passant par l’intimité de la vie quotidienne ou la construction de son identité, il n’est pas un moment de la vie, pas un instant du développement de l’être humain qui ne soit compromis sérieusement.
Concrètement, les lois sur l’embryon et les projets de loi sur l’euthanasie, la GPA et autres innovations, compromettent la dignité la plus fondamentale de l’Homme, car l’être humain court le risque de ne plus être ce sanctuaire inviolable.
Or cette inviolabilité est un gage de stabilité et de paix.
Combien sont désormais affolés par leur fin de vie, ont peur d’aller à l’hôpital car ils sentent désormais une angoissante épée de Damoclès sur leur propre survie ?
Quant au mariage, à l’identité sexuelle ou à l’éducation des enfants, ce sont autant de « réformes » qui destructurent l’équilibre et donc la construction même de la personne.
C’est là plus que nulle-part ailleurs, dans ce sillon que se creuse la quête existentielle du bonheur.
Tromper l’Homme sur la réalité profonde de son être, par un relativisme de confort, c’est lui interdire toute possibilité d’entreprendre, en vérité et en liberté, cette quête du bonheur.
C’est l’orienter vers la recherche vaine d’un faux-semblant qui ne débouchera que sur cette course effrénée aux plaisirs compensatoires.
Les différents projets de lois sont donc une véritable menace, une hypothèque lourde, véritable épée de Damoclès dont l’un des effets, non négligeable sera de plonger notre pays dans une véritable dépression morale et au-delà économique, l’un n’allant pas sans l’autre.
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Re: "L'édito du Jour"!!
Bonsoir @steve2035steve2035 a écrit:jacques58fan a écrit:Steve :pourquoi alors les femmes ne peuvent-elles pas devenir prêtre?
Peut être pour la même raison que les femmes ne sont pas rabbin?
Les rôles et caractères entre homme et femme sont différents. Jésus n'a choisi que des apôtres hommes et même principalement des pécheurs (mobile) et non des agriculteurs (forcément sédentaire dans l'esprit). J'en ai discuté il y a longtemps avec un prêtre.
On ne se pose même plus la question dans l'Eglise catholique. Parlez en à votre prêtre il saura vous répondre à coup sûr avec beaucoup de plaisir
Bien à vous
Il existe des femmes rabbins
https://fr.wikipedia.org/wiki/Delphine_Horvilleur
jacques58fan- Combat l'antechrist
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Re: "L'édito du Jour"!!
jacques58fan a écrit:Facile à dire Steve:vous n'êtes pas la femme quia été violéesteve2035 a écrit:Je ne suis pas une femme mais je pense que porter l'enfant né d'un viol pendant 9 mois pour ensuite le confier à une structure (existante ou a créer) serait acceptable et serait un moindre mal pour toutes les parties. Pourquoi ces questions ne sont jamais abordé est un grand mystère.
Quand aux enfants mal formés, il faut avouer que dans nos sociétés modernes nous sommes toujours poussé a être toujours plus performant, utile, efficace, productif et que l'idée d'avoir à faire vivre avec un enfant handicapé devient insupportable pour beaucoup. Mais je suis sur qu'un enfant handicapé apportera toujours plus à la société que nos politiciens d'aujourd'hui qui sont, pour moi, de l'ordre des parasites. Il faut changer les mentalités!
Jacques: Vous n’êtes pas l'enfant mis à mort.
Quel est le moindre mal selon vous? :
-une grossesse psychologiquement et socialement douloureuse pour la femme
-la mise à mort d'un enfant
Voila je vous propose de méditer la réponse plutôt que d'ouvrir une polémique sur ce fil qui n'a pas cette vocation.
Bonne journée
Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito du Mercredi 14 Mars 2018
La Mont des Cats
Quand un village affronte le gouvernement pour sauver une abbaye !
La Mont des Cats
Quand un village affronte le gouvernement pour sauver une abbaye !
Ce mois-ci, petit coup de projecteur sur une anecdote peu connue de l’abbaye du Mont des Cats, en France !
Sa bière, l’unique bière trappiste française, sera dans la Divine Box de bières trappistes de mars !Ici
Sa bière, l’unique bière trappiste française, sera dans la Divine Box de bières trappistes de mars !Ici
L’abbaye du Mont des Cats date de 1826
L’abbaye du Mont des Cats sauvée par les villageois
Fondée en 1826, et érigée en abbaye en 1846, l’abbaye du Mont des Cats vit surtout au début grâce à sa fromagerie et à son agriculture.
À la fin du XIXe siècle, les lois anticléricales françaises menacent l’abbaye du Mont des Cats.
Mais lorsque le gouvernement français arrive sur place pour expulser les moines, il se retrouve face à plus de six cents villageois, répartis dans toute l’abbaye.
Ne s’attendant pas à une résistance aussi farouche, le gouvernement finit donc par céder, et reconnaît la légitimité de l’abbaye.
Mais officiellement, on ne trouve pas mention de ce rapport de force.
Si les moines restent, c’est grâce à leurs « réalisations dans le domaine de l’agriculture et de production de fromages » qui profitent au patrimoine français.
Serait-ce un tour de passe-passe du gouvernement ?
On ne le saura probablement jamais, mais une chose est sûre : pour les moines, c’est opération réussie !
Fondée en 1826, et érigée en abbaye en 1846, l’abbaye du Mont des Cats vit surtout au début grâce à sa fromagerie et à son agriculture.
À la fin du XIXe siècle, les lois anticléricales françaises menacent l’abbaye du Mont des Cats.
Mais lorsque le gouvernement français arrive sur place pour expulser les moines, il se retrouve face à plus de six cents villageois, répartis dans toute l’abbaye.
Ne s’attendant pas à une résistance aussi farouche, le gouvernement finit donc par céder, et reconnaît la légitimité de l’abbaye.
Mais officiellement, on ne trouve pas mention de ce rapport de force.
Si les moines restent, c’est grâce à leurs « réalisations dans le domaine de l’agriculture et de production de fromages » qui profitent au patrimoine français.
Serait-ce un tour de passe-passe du gouvernement ?
On ne le saura probablement jamais, mais une chose est sûre : pour les moines, c’est opération réussie !
La bière Mont des Cats est brassée depuis 2011
Une bière signe de charité trappiste
La bière trappiste Mont des Cats est brassée pour subvenir aux besoins de l’abbaye.
Mais l’abbaye n’a pas le matériel ni la main d’œuvre nécessaires, ayant déjà beaucoup à faire à la fromagerie.
C’est pourquoi l’abbaye trappiste de Notre-Dame de Scourmont en Belgique (qui produit les célèbres bières de Chimay, comme la Chimay Dorée) a accepté avec enthousiasme de la brasser pour l’abbaye du Mont des Cats !Cliquez
Grâce à cette collaboration, les moines du Mont des Cats ont même pu créer un fromage à la bière, fabriqué par les moines, et trempé dans leur bière pendant 48h !
L’entraide trappiste : c’est beau, non ?
Une bière trappiste sans logo
Pour décrocher le fameux logo « Authentic Trappist Product » et entrer dans le club très fermé des « bières trappistes », trois critères sont nécessaires : tout d’abord que la bière soit brassée au sein de l’abbaye, ensuite que la bière soit brassée par les moines ou sous leur contrôle, et enfin que les revenus soient reversés à l’abbaye, à la communauté, et à des œuvres sociales en cas de surplus.
En théorie, la bière Mont des Cats fait donc un sans-faute : elle est brassée sous le contrôle des moines de l’abbaye de Scourmont en Belgique, dans une abbaye trappiste et ses revenus sont reversés à l’abbaye du Mont des Cats en France.
Mais en pratique, puisqu’elle n’est pas brassée sur place (dans l’abbaye du Mont des Cats), elle n’a pas le droit d’arborer le précieux logo !
Mais les moines le savent et n’ont même pas demandé le logo pour leur bière : elle est « trappiste » mais sans logo, c’est déjà bien assez !
La bière trappiste Mont des Cats est brassée pour subvenir aux besoins de l’abbaye.
Mais l’abbaye n’a pas le matériel ni la main d’œuvre nécessaires, ayant déjà beaucoup à faire à la fromagerie.
C’est pourquoi l’abbaye trappiste de Notre-Dame de Scourmont en Belgique (qui produit les célèbres bières de Chimay, comme la Chimay Dorée) a accepté avec enthousiasme de la brasser pour l’abbaye du Mont des Cats !Cliquez
Grâce à cette collaboration, les moines du Mont des Cats ont même pu créer un fromage à la bière, fabriqué par les moines, et trempé dans leur bière pendant 48h !
L’entraide trappiste : c’est beau, non ?
Une bière trappiste sans logo
Pour décrocher le fameux logo « Authentic Trappist Product » et entrer dans le club très fermé des « bières trappistes », trois critères sont nécessaires : tout d’abord que la bière soit brassée au sein de l’abbaye, ensuite que la bière soit brassée par les moines ou sous leur contrôle, et enfin que les revenus soient reversés à l’abbaye, à la communauté, et à des œuvres sociales en cas de surplus.
En théorie, la bière Mont des Cats fait donc un sans-faute : elle est brassée sous le contrôle des moines de l’abbaye de Scourmont en Belgique, dans une abbaye trappiste et ses revenus sont reversés à l’abbaye du Mont des Cats en France.
Mais en pratique, puisqu’elle n’est pas brassée sur place (dans l’abbaye du Mont des Cats), elle n’a pas le droit d’arborer le précieux logo !
Mais les moines le savent et n’ont même pas demandé le logo pour leur bière : elle est « trappiste » mais sans logo, c’est déjà bien assez !
La bière trappiste Mont des Cats révèle une robe ambrée et une mousse blanc cassée
Et pour la goûter ?
La bière trappiste Mont des Cats présente au nez des saveurs de caramel et d’orange.
Au palais, de belles notes de caramel, de pain grillé et de fruits noirs se dégagent. A savourer entre 6°C et 8°C, donc plutôt fraîche ! Profitez-en, elle est dans la box trappiste de Divine Box de mars.
Mais ne tardez pas, il n’en reste que quelques-unes !
La bière trappiste Mont des Cats présente au nez des saveurs de caramel et d’orange.
Au palais, de belles notes de caramel, de pain grillé et de fruits noirs se dégagent. A savourer entre 6°C et 8°C, donc plutôt fraîche ! Profitez-en, elle est dans la box trappiste de Divine Box de mars.
Mais ne tardez pas, il n’en reste que quelques-unes !
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Re: "L'édito du Jour"!!
steve2035 a écrit:La prochaine fois que je vais au supermarché je regarde s'il y en a
coucou steve
Vous croyez?
Je pensais que ces bières étaient en quantité limitée!!
Et les commandes (je pense) doivent s'effectuer via leur site?
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Re: "L'édito du Jour"!!
Oui peut être avez vous raison. Dans mon Leclerc il y a au moins 2 petits producteurs locaux de bière mais là c'est vrai qu'il ne font pas parti de mon voisinage...
Re: "L'édito du Jour"!!
@steve On fera une commande groupée!!
Pèlerinage nocturne en l’église saint Sulpice à Paris – nuit du 17 mars 2018
17 mars 2018, 21 h 00 min à 18 mars 2018, 6 h 30 min
Saint-Sulpice, Place Saint-Sulpice, Quartier de l'Odéon, Paris 6e Arrondissement, Paris, Île-de-France, France métropolitaine, 75006, France
Saint-Sulpice, Place Saint-Sulpice, Quartier de l'Odéon, Paris 6e Arrondissement, Paris, Île-de-France, France métropolitaine, 75006, France
Par saint Joseph, prions Dieu pour la France,
la famille et les vocations !
la famille et les vocations !
Célébrants invités
Mgr Georges Colomb
Mgr Colomb a été nommé évêque de La Rochelle et Saintes le 9 mars 2016. Né le 15 juin 1953 à Saint-Anthème (Puy-de-Dôme).
Ordonné prêtre le 13 septembre 1987 pour le diocèse de Clermont.
Incardiné en 1988 à la Société des Missions Étrangères de Paris dont il sera le Supérieur général de 2010 à 2016.
Serge Abad-Gallardo
Franc-maçon pendant vingt-quatre ans, Serge Abad-Gallardo a raccroché son tablier en se convertissant au catholicisme.
Dans son dernier ouvrage, Je servais Lucifer sans le savoir (éd. Téqui), il dévoile le caractère luciférien de la franc-maçonnerie.
Garderie
Garderie pour les enfants (jusqu'à 10 ans) assurée toute la nuit.
Merci de penser à apporter de quoi les coucher (duvet).
Mgr Georges Colomb
Mgr Colomb a été nommé évêque de La Rochelle et Saintes le 9 mars 2016. Né le 15 juin 1953 à Saint-Anthème (Puy-de-Dôme).
Ordonné prêtre le 13 septembre 1987 pour le diocèse de Clermont.
Incardiné en 1988 à la Société des Missions Étrangères de Paris dont il sera le Supérieur général de 2010 à 2016.
Serge Abad-Gallardo
Franc-maçon pendant vingt-quatre ans, Serge Abad-Gallardo a raccroché son tablier en se convertissant au catholicisme.
Dans son dernier ouvrage, Je servais Lucifer sans le savoir (éd. Téqui), il dévoile le caractère luciférien de la franc-maçonnerie.
Garderie
Garderie pour les enfants (jusqu'à 10 ans) assurée toute la nuit.
Merci de penser à apporter de quoi les coucher (duvet).
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Re: "L'édito du Jour"!!
Marie du 65 a écrit:L'édito du Mercredi 14 Mars 2018
La Mont des Cats
Quand un village affronte le gouvernement pour sauver une abbaye !Ce mois-ci, petit coup de projecteur sur une anecdote peu connue de l’abbaye du Mont des Cats, en France !
Sa bière, l’unique bière trappiste française, sera dans la Divine Box de bières trappistes de mars !IciL’abbaye du Mont des Cats date de 1826L’abbaye du Mont des Cats sauvée par les villageois
Fondée en 1826, et érigée en abbaye en 1846, l’abbaye du Mont des Cats vit surtout au début grâce à sa fromagerie et à son agriculture.
À la fin du XIXe siècle, les lois anticléricales françaises menacent l’abbaye du Mont des Cats.
Mais lorsque le gouvernement français arrive sur place pour expulser les moines, il se retrouve face à plus de six cents villageois, répartis dans toute l’abbaye.
Ne s’attendant pas à une résistance aussi farouche, le gouvernement finit donc par céder, et reconnaît la légitimité de l’abbaye.
Mais officiellement, on ne trouve pas mention de ce rapport de force.
Si les moines restent, c’est grâce à leurs « réalisations dans le domaine de l’agriculture et de production de fromages » qui profitent au patrimoine français.
Serait-ce un tour de passe-passe du gouvernement ?
On ne le saura probablement jamais, mais une chose est sûre : pour les moines, c’est opération réussie !La bière Mont des Cats est brassée depuis 2011Une bière signe de charité trappiste
La bière trappiste Mont des Cats est brassée pour subvenir aux besoins de l’abbaye.
Mais l’abbaye n’a pas le matériel ni la main d’œuvre nécessaires, ayant déjà beaucoup à faire à la fromagerie.
C’est pourquoi l’abbaye trappiste de Notre-Dame de Scourmont en Belgique (qui produit les célèbres bières de Chimay, comme la Chimay Dorée) a accepté avec enthousiasme de la brasser pour l’abbaye du Mont des Cats !Cliquez
Grâce à cette collaboration, les moines du Mont des Cats ont même pu créer un fromage à la bière, fabriqué par les moines, et trempé dans leur bière pendant 48h !
L’entraide trappiste : c’est beau, non ?
Une bière trappiste sans logo
Pour décrocher le fameux logo « Authentic Trappist Product » et entrer dans le club très fermé des « bières trappistes », trois critères sont nécessaires : tout d’abord que la bière soit brassée au sein de l’abbaye, ensuite que la bière soit brassée par les moines ou sous leur contrôle, et enfin que les revenus soient reversés à l’abbaye, à la communauté, et à des œuvres sociales en cas de surplus.
En théorie, la bière Mont des Cats fait donc un sans-faute : elle est brassée sous le contrôle des moines de l’abbaye de Scourmont en Belgique, dans une abbaye trappiste et ses revenus sont reversés à l’abbaye du Mont des Cats en France.
Mais en pratique, puisqu’elle n’est pas brassée sur place (dans l’abbaye du Mont des Cats), elle n’a pas le droit d’arborer le précieux logo !
Mais les moines le savent et n’ont même pas demandé le logo pour leur bière : elle est « trappiste » mais sans logo, c’est déjà bien assez !La bière trappiste Mont des Cats révèle une robe ambrée et une mousse blanc casséeEt pour la goûter ?
La bière trappiste Mont des Cats présente au nez des saveurs de caramel et d’orange.
Au palais, de belles notes de caramel, de pain grillé et de fruits noirs se dégagent. A savourer entre 6°C et 8°C, donc plutôt fraîche ! Profitez-en, elle est dans la box trappiste de Divine Box de mars.
Mais ne tardez pas, il n’en reste que quelques-unes !
Merci.
Dans quels couvents peut-on acheter des confitures "bio" svp? voire des calissons ?
jacques58fan- Combat l'antechrist
- Messages : 2263
Inscription : 22/01/2016
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