Sommet de Washington : Une stratégie à définir ...
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Sommet de Washington : Une stratégie à définir ...
Sommet de Washington
Une stratégie à définir
Mise à jour le samedi 15 novembre 2008 à 8 h 41
L'Europe estime qu'un consensus est à portée de main sur la façon de s'attaquer à la double tâche de mieux réguler et surveiller l'activité financière mondiale, afin de juguler la crise et d'éviter que persiste les conditions l'ayant permise.
À l'issue d'un souper à la Maison-Blanche vendredi soir, la présidence française a indiqué qu'un plan d'action en ce sens serait publié au terme des entretiens de samedi entre les leaders du G20.
Selon des sources européennes, le texte qui serait adopté défendrait l'idée qu'aucun marché, qu'aucune institution, ne doit rester sans une régulation, une réglementation ou une surveillance appropriée. Une telle approche se traduirait par une surveillance accrue des fonds d'investissement à risques, des paradis fiscaux et des produits financiers complexes.
Samedi matin, peu avant l'ouverture des discussions, la chancelière allemande Angela Merkel a promis que le sommet déboucherait sur un plan d'action qui fera en sorte qu'acteurs, produits et marchés feront désormais tous objet d'une surveillance.
Réticences américaines
Washington ne semble pas partager pleinement ce goût pour un encadrement accru du marché et des ses acteurs affiché par les Européens. Samedi, peu avant l'ouverture des discussions, le président George W. Bush s'est brièvement adressé aux médias pour mettre les pays en garde contre la tentation du protectionnisme.
La veille, à l'occasion du souper réunissant les dirigeants du G20, il avait réaffirmé sa foi dans les vertus du libre marché, après avoir, au cours des derniers jours, fait part de ses craintes face l'effet contre-productif qu'aurait un excès de règles.
Jusqu'ici, la Maison-Blanche s'est dite favorable à deux mesures concrètes, tournées davantage vers la surveillance que la régulation : la création d'un collège de superviseurs pour surveiller les 30 plus grandes banques du monde, afin d'éviter les prises de risque excessives, et la mise sur pied d'un système d'alerte précoce des crises.
Washington se dit aussi prêt à accorder plus de place aux pays émergents au sein du FMI et de la banque mondiale. Cette proposition vise notamment à amadouer la Chine, dont on souhaite qu'elle mette ses importantes réserves financières à contribution pour aider les pays en difficulté, par l'intermédiaire du FMI.
Mais au-delà des divergences idéologiques, il est difficile pour les États-Unis de s'engager à fond en cette période d'interrègne. Le président-élu, Barack Obama, ne prendra ses fonctions que le 20 janvier 2009. Il faudra probablement attendre le second sommet du G20, prévu au printemps prochain, pour prendre la mesure de ce à quoi est prêt Washington en terme de réforme des règles de l'économie mondiale.
L'économie avant la loi
Plusieurs participants au sommet du G20 souhaitent d'autre part que l'accent soit davantage mis, lors des discussions de samedi, sur la détérioration de l'économie mondiale.
Le ministre des Finances du Brésil Guido Mantega a agité le spectre d'une dépression économique mondiale et appelé à des mesures coordonnées pour stimuler les économies, notamment par une baisse des taux d'intérêt.
Le président de la commission européenne, José Manuel Barroso, tout en souhaitant des réformes d'ampleur, a reconnu que dans le court terme, s'atteler à la relance de l'économie était davantage réaliste.
« Il y a un vrai accord sur la nécessité d'agir sur l'économie réelle. Nous savons tous que nous ne pouvons pas réformer les institutions financières mondiales en un ou deux jours, mais que nous pouvons, aussitôt que possible, créer les conditions pour une croissance mondiale et une prospérité mondiale ».
Vendredi, les pays de la zone euro sont officiellement entrés en récession.
Les participants
La rencontre regroupe le G8 (Allemagne, France, États-Unis, Japon, Canada, Italie, Royaume-Uni et Russie), l'Union européenne, 11 pays émergents (Argentine, Australie, Arabie saoudite, Afrique du Sud, Brésil, Chine, Corée du Sud, Inde, Indonésie, Mexique, Turquie) ainsi que l'Espagne et les Pays-Bas, qui ne font pas partie du G20, mais qui ont été invités à la rencontre.
Radio-Canada.ca avec Agence France Presse, Associated Press et BBC
Gilles. Ville de Québec - Canada
Une stratégie à définir
Mise à jour le samedi 15 novembre 2008 à 8 h 41
Photo: AFP/Bundesregierung Les leaders du G20 durant l'allocution du président américain |
L'Europe estime qu'un consensus est à portée de main sur la façon de s'attaquer à la double tâche de mieux réguler et surveiller l'activité financière mondiale, afin de juguler la crise et d'éviter que persiste les conditions l'ayant permise.
À l'issue d'un souper à la Maison-Blanche vendredi soir, la présidence française a indiqué qu'un plan d'action en ce sens serait publié au terme des entretiens de samedi entre les leaders du G20.
Selon des sources européennes, le texte qui serait adopté défendrait l'idée qu'aucun marché, qu'aucune institution, ne doit rester sans une régulation, une réglementation ou une surveillance appropriée. Une telle approche se traduirait par une surveillance accrue des fonds d'investissement à risques, des paradis fiscaux et des produits financiers complexes.
Samedi matin, peu avant l'ouverture des discussions, la chancelière allemande Angela Merkel a promis que le sommet déboucherait sur un plan d'action qui fera en sorte qu'acteurs, produits et marchés feront désormais tous objet d'une surveillance.
Réticences américaines
Washington ne semble pas partager pleinement ce goût pour un encadrement accru du marché et des ses acteurs affiché par les Européens. Samedi, peu avant l'ouverture des discussions, le président George W. Bush s'est brièvement adressé aux médias pour mettre les pays en garde contre la tentation du protectionnisme.
La veille, à l'occasion du souper réunissant les dirigeants du G20, il avait réaffirmé sa foi dans les vertus du libre marché, après avoir, au cours des derniers jours, fait part de ses craintes face l'effet contre-productif qu'aurait un excès de règles.
Jusqu'ici, la Maison-Blanche s'est dite favorable à deux mesures concrètes, tournées davantage vers la surveillance que la régulation : la création d'un collège de superviseurs pour surveiller les 30 plus grandes banques du monde, afin d'éviter les prises de risque excessives, et la mise sur pied d'un système d'alerte précoce des crises.
Washington se dit aussi prêt à accorder plus de place aux pays émergents au sein du FMI et de la banque mondiale. Cette proposition vise notamment à amadouer la Chine, dont on souhaite qu'elle mette ses importantes réserves financières à contribution pour aider les pays en difficulté, par l'intermédiaire du FMI.
Mais au-delà des divergences idéologiques, il est difficile pour les États-Unis de s'engager à fond en cette période d'interrègne. Le président-élu, Barack Obama, ne prendra ses fonctions que le 20 janvier 2009. Il faudra probablement attendre le second sommet du G20, prévu au printemps prochain, pour prendre la mesure de ce à quoi est prêt Washington en terme de réforme des règles de l'économie mondiale.
L'économie avant la loi
Plusieurs participants au sommet du G20 souhaitent d'autre part que l'accent soit davantage mis, lors des discussions de samedi, sur la détérioration de l'économie mondiale.
Le ministre des Finances du Brésil Guido Mantega a agité le spectre d'une dépression économique mondiale et appelé à des mesures coordonnées pour stimuler les économies, notamment par une baisse des taux d'intérêt.
Le président de la commission européenne, José Manuel Barroso, tout en souhaitant des réformes d'ampleur, a reconnu que dans le court terme, s'atteler à la relance de l'économie était davantage réaliste.
« Il y a un vrai accord sur la nécessité d'agir sur l'économie réelle. Nous savons tous que nous ne pouvons pas réformer les institutions financières mondiales en un ou deux jours, mais que nous pouvons, aussitôt que possible, créer les conditions pour une croissance mondiale et une prospérité mondiale ».
Vendredi, les pays de la zone euro sont officiellement entrés en récession.
Les participants
La rencontre regroupe le G8 (Allemagne, France, États-Unis, Japon, Canada, Italie, Royaume-Uni et Russie), l'Union européenne, 11 pays émergents (Argentine, Australie, Arabie saoudite, Afrique du Sud, Brésil, Chine, Corée du Sud, Inde, Indonésie, Mexique, Turquie) ainsi que l'Espagne et les Pays-Bas, qui ne font pas partie du G20, mais qui ont été invités à la rencontre.
Radio-Canada.ca avec Agence France Presse, Associated Press et BBC
Gilles. Ville de Québec - Canada
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Sommet de Washington : Une stratégie à définir ...
Bonjour Gilles,
Je ne suis pas du tout une experte en économie mais je ne me fais pas d'illusions quant aux résultats qui sortiront de leur fameux G20. On dirait qu'ils cherchent juste à nous dire "ne craignez rien, nous sommes là"
En attendanr le chômage et la misère sont de plus en plus présents; je ne sais pas ce qu'il en est au Canada mais en France, les associations tirent la sonnette d'alarme... Et ce ne sont pas les beaux discours qui vont régler quelque chose...
Amicalement
Roselyne
Je ne suis pas du tout une experte en économie mais je ne me fais pas d'illusions quant aux résultats qui sortiront de leur fameux G20. On dirait qu'ils cherchent juste à nous dire "ne craignez rien, nous sommes là"
En attendanr le chômage et la misère sont de plus en plus présents; je ne sais pas ce qu'il en est au Canada mais en France, les associations tirent la sonnette d'alarme... Et ce ne sont pas les beaux discours qui vont régler quelque chose...
Amicalement
Roselyne
roselyne- Pour le roi
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Localisation : normandie
Inscription : 15/07/2008
Re: Sommet de Washington : Une stratégie à définir ...
Effectivement Roselyne...
La situation n'est guère plus reluisante au Canada. Par contre, la Province de Québec connaît moins le chômage que les autres provinces.
Ici dans les supers-marchés, le coût des aliments augmente à chaque semaine... et tout coûte cher !
Je remercie le Ciel d'avoir un emploi et des revenus qui me permettent de ne pas manquer de l'essentiel.
Mais il existe même dans notre pays dit "civilisé" des gens qui ne mangent pas à leur faim.
Remercions la Providence de pourvoir encore à nos besoins !
Un bon site bien documenté sur la pauvreté au Canada et au Québec...
www.pauvrete.org
Que Dieu vous bénisse !
Gilles. Ville de Québec - Canada
La situation n'est guère plus reluisante au Canada. Par contre, la Province de Québec connaît moins le chômage que les autres provinces.
Ici dans les supers-marchés, le coût des aliments augmente à chaque semaine... et tout coûte cher !
Je remercie le Ciel d'avoir un emploi et des revenus qui me permettent de ne pas manquer de l'essentiel.
Mais il existe même dans notre pays dit "civilisé" des gens qui ne mangent pas à leur faim.
Remercions la Providence de pourvoir encore à nos besoins !
Un bon site bien documenté sur la pauvreté au Canada et au Québec...
www.pauvrete.org
Que Dieu vous bénisse !
Gilles. Ville de Québec - Canada
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Sommet de Washington : Une stratégie à définir ...
Vous avez raison Gilles remercions Dieu de pourvoir à noe besoins quotidiens. En France même des personnes qui travaillent se retrouvent à la rue à cause du montant des loyers. les retraites qui ne possèdent pas leur maison ont beaucoup de difficultés aussi loyer, aliments aussi de plus en plus onéreux. alors que les producteurs de viande de lait de légumes crient aussi au secours tant leurs produits sont achetés à petits prix mais derrière eux il y a tous les intermédiaires qui cherchent à gagner bien gagner leur vie.
Nous vivons dans un monde féroce, c'est chacun pour soi et je crois bien que tant que cette mentalité subsistera rien ne changera. C'est la triste réalité d'un monde sans Dieu, sans fraternité et sans espérance!!
Je vous souhaite un bon week end.
Roselyne
PS: le défilement du côut de la guerre en Irak est impressionnant... Tous ces dollars perdus....
Nous vivons dans un monde féroce, c'est chacun pour soi et je crois bien que tant que cette mentalité subsistera rien ne changera. C'est la triste réalité d'un monde sans Dieu, sans fraternité et sans espérance!!
Je vous souhaite un bon week end.
Roselyne
PS: le défilement du côut de la guerre en Irak est impressionnant... Tous ces dollars perdus....
roselyne- Pour le roi
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Age : 71
Localisation : normandie
Inscription : 15/07/2008
Re: Sommet de Washington : Une stratégie à définir ...
Comme on pouvait s'y attendre et comme je vous l'avais déjà signalé, on a décidé de créer, durant ce G20, un COLLEGE DE SUPERVISEURS POUR SURVEILLER LES 30 PLUS GRANDES BANQUES DU MONDE !
Donc, une CENTRALISATION du pouvoir économique, et qui nous prépare de nouvelles restrictions des libertés !
La phase numéro 2 du nouvel ordre mondial - la phase économique due à la crise économique mondiale, qui est un véritable "11 septembre 2001 financier" - vient de démarrer, suite aux cris des peuples TERRORISES par la crise et qui ont réagi à chaud et sans bien réfléchir. Et bien entendu, soyez absolument certains que TOUTES les "mesures nécessaires" seront prises pour évciter que cela se reproduise... y compris si cela doit vous faire vivre sous le DIKTAT d'une GOUVERNANCE ECONOMIQUE MONDIALE !
Donc, une CENTRALISATION du pouvoir économique, et qui nous prépare de nouvelles restrictions des libertés !
La phase numéro 2 du nouvel ordre mondial - la phase économique due à la crise économique mondiale, qui est un véritable "11 septembre 2001 financier" - vient de démarrer, suite aux cris des peuples TERRORISES par la crise et qui ont réagi à chaud et sans bien réfléchir. Et bien entendu, soyez absolument certains que TOUTES les "mesures nécessaires" seront prises pour évciter que cela se reproduise... y compris si cela doit vous faire vivre sous le DIKTAT d'une GOUVERNANCE ECONOMIQUE MONDIALE !
isabella- Avec Saint Joseph
- Messages : 1455
Inscription : 29/08/2007
Re: Sommet de Washington : Une stratégie à définir ...
Le commentaire de vic à ce sujet, + un autre article de confirmation...
RESULTAT DU G20 : LA CREATION D'UN CONTRÔLE MONDIAL ASSURE PAR LE FMI ET DE "COLLEGES DE SURVEILLANCE DES GRANDES BANQUES MONDIALES", DANS LE BUT D'UNE "GOUVERNANCE MONDIALE" !!!
Chers amis,
Si vous avez lu les articles que je vous ai postés et commentés récemment concernant la crise économique mondiale, vous savez que le but de cette crise - un véritable "11 septembre 2001 financier" - était de CREER UN ORGANE DE CONTRÔLE FINANCIER MONDIAL.
L'article ci-dessous ne devrait donc pas vous surprendre...
CAR EN EFFET, DE SURPRISE IL N'Y A POINT : LES CHEFS D'ETAT (= PIONS DU NOUVEL ORDRE MONDIAL) DU G20 SE SONT EN EFFET TOUS MIS D'ACCORD POUR QUE LE FMI JOUE UN RÔLE DE SURVEILLANT FINANCIER MONDIAL (et qui dit surveillant, dans ce cas-ci, dit "gendarme" ou "dictateur") ET POUR QUE DES COLLEGES DE CONTRÔLE SOIENT CREES AFIN DE SURVEILLER LES GRANDES BANQUES MONDIALES !!!
LE TOUT AFIN DE PARVENIR A UNE "GOUVERNANCE ECONOMIQUE MONDIALE", COMME LE REPETE ENCORE L'IMMONDE SARKOZY DANS L'ARTICLE CI-DESSOUS !!!
LE FMI ET LA BANQUE MONDIALE VONT EN OUTRE ETRE "REFORMES"... AFIN D'OBTENIR DE PLUS GRANDS POUVOIRS !
L'effet de TERREUR déclenché par la crise économique mondial a donc eu l'effet escompté : les populations ont réclamé D'ELLES-MEMES des "MESURES" (fussent-elles d'EXCEPTION) afin que ce genre de crise "ne se reproduise plus jamais"... Les ordures de l'élite mondiale - et qui ont elles-mêmes délibérément construit et provoqué cette crise - se frottent les mains et proposent donc aujourd'hui de nouvelles mesures qui n'auraient jamais été acceptées en temps normal. La méthode de l'électrochoc, la méthode du terrorisme d'Etat, la méthode du "problème-réaction-solution" a donc une fois encore marché, hélas !
La seconde phase du nouvel ordre mondial vient donc d'être lancée... et nous verrons encore, dans les mois et années qui arrivent, de nouvelles contraintes surgir, supprimant encore davantage de libertés.
Les putes des mass médias, afin de vous effrayer encore un peu davantage , en profitent pour vous signaler que les pays d'Europe viennent "d'entrer en récession". Sans doute afin que vous paniquiez un peu plus encore et que vous aggraviez par vous-même la situation en exigeant de nouvelles mesures despotiques... Tomberez-vous une nouvelle fois dans le piège ?
L'article, ci-dessous.
BONNE REVOLUTION, OU BON ESCLAVAGE ! Vic.
Source : http://qc.news.yahoo.com/s/15112008/3/business-sommet-de-washington-terrain-d-entente.html
SOMMET DE WASHINGTON : TERRAIN D'ENTENTE
samedi 15 nov, 23 h 10
Les pays du G20, réunis en sommet à Washington aux États-Unis, ont réussi à s'entendre sur un ensemble de principes et un plan d'action pour relancer l'économie de la planète.
Ils sont d'accord sur le fait qu'il doit y avoir une plus grande coopération entre les pays afin de mieux orchestrer cette relance.
La rencontre du G20 aura permis aux dirigeants de dégager un plan d'action qui repose sur quelques grands points:
Renforcer la transparence et la responsabilité des marchés financiers;
Promouvoir une régulation saine, notamment avec des mesures qui permettront aux banques et institutions d'éviter de prendre des risques démesurés. Le Fonds monétaire international (FMI) doit formuler des recommandations pour atténuer la tendance des marchés à exagérer les mouvements à la hausse ou à la baisse;
Promouvoir l'intégrité des marchés financiers en améliorant le partage d'informations et la coopération entre les juridictions;
Renforcer la coopération internationale en créant des collèges de surveillance, pour toutes les grandes banques mondiales dans le but d'examiner les activités et les risques qu'encourent ces institutions;
Réformer le FMI et la Banque mondiale en étudiant les moyens de rétablir le crédit des pays émergents et en développement. Du même coup, les membres du G20 promettent aussi d'accorder plus de place aux pays émergents au sein du FMI et de la Banque mondiale, en fonction de leur poids économique réel.
Pour mettre en forme ces grands principes, le G20 s'est donné un an. À court terme, les ministres des Finances des pays participants ont jusqu'au 31 mars pour formuler des recommandations concrètes.
Elles seront ensuite présentées lors de la prochaine rencontre du G20, qui doit avoir lieu d'ici le 30 avril prochain, probablement à Londres.
Les membres du G20 devront aussi faire une liste des institutions délinquantes, c'est-à-dire les centres off shore et les paradis fiscaux, et renforcer l'échange d'informations sur ces places financières.
Attention au protectionnisme, dit Bush
En conférence de presse après la fin des travaux, le président américain George W. Bush a insisté sur la nécessité de protéger l'intégrité des marchés et d'éviter le protectionnisme. Il a souhaité que le libre-échange soit au coeur de la relance économique.
Du même coup, le président Bush a invité les autres dirigeants du monde à reprendre les négociations du cycle de Doha à l'Organisation mondiale du commerce pour tenter de conclure une entente de principe d'ici la fin de l'année.
Ces pourparlers sur la libéralisation des échanges ont peu avancé depuis leurs débuts, en 2001, en raison notamment d'un blocage entre pays riches et pauvres au sujet des subventions agricoles.
Le président élu des États-Unis, Barack Obama, a été mis au courant des développements de samedi par l'entourage du président Bush. M. Obama avait volontairement choisi de demeurer à Chicago et de rester à l'écart du sommet, pour éviter de nuire au travail de l'administration sortante.
M. Obama avait cependant délégué l'ancienne secrétaire d'État Madeleine Albright et l'ancien représentant républicain Jim Leach pour des rencontres avec les dirigeants australien, sud-coréen, mexicain, turc et argentin, ainsi qu'avec la ministre française Christine Lagarde. Barack Obama s'est dit satisfait de la réponse coordonnée qu'ont fournie les membres du G20.
Sur le plan intérieur, M. Obama a souhaité qu'un nouveau plan de relance de l'économie américaine soit mis en place avant son entrée à la Maison-Blanche, le 20 janvier prochain. Les démocrates tentent de faire adopter un plan de 60 à 100 milliards de dollars pour les infrastructures et l'aide aux propriétaires en difficulté.
Président en exercice de l'Union européenne, le président français Nicolas Sarkozy a pour sa part conclu que le G20 était d'accord sur une « relance coordonnée, concertée de l'action économique » comme le réclamaient le Brésil, la Turquie et l'Espagne.
M. Sarkozy a parlé d'un sommet historique où le G20 s'était mis d'accord sur la création d'une nouvelle gouvernance économique mondiale.
Le président Sarkozy et le premier ministre britannique Gordon Brown ont plaidé, dans le cadre du sommet, en faveur d'un rôle accru du FMI et d'autres organisations internationales dans la réglementation des marchés financiers. Dans ses commentaires, Nicolas Sarkozy a salué l'intervention du directeur du FMI, Dominique Strauss-Kahn, en faveur de la relance économique.
Quant au président américain George W. Bush, M. Sarkozy s'est contenté de dire qu'il n'avait pas toujours été facile, mais qu'il avait été loyal.
Le président français n'a pas reparlé de sa remise en question de la place du dollar américain comme monnaie de référence mondiale. D'autres, comme le premier ministre japonais Taro Aso, ont jugé qu'il fallait laisser les choses telles quelles.
Rappelons que les pays de la zone euro sont entrés officiellement en récession vendredi
RESULTAT DU G20 : LA CREATION D'UN CONTRÔLE MONDIAL ASSURE PAR LE FMI ET DE "COLLEGES DE SURVEILLANCE DES GRANDES BANQUES MONDIALES", DANS LE BUT D'UNE "GOUVERNANCE MONDIALE" !!!
Chers amis,
Si vous avez lu les articles que je vous ai postés et commentés récemment concernant la crise économique mondiale, vous savez que le but de cette crise - un véritable "11 septembre 2001 financier" - était de CREER UN ORGANE DE CONTRÔLE FINANCIER MONDIAL.
L'article ci-dessous ne devrait donc pas vous surprendre...
CAR EN EFFET, DE SURPRISE IL N'Y A POINT : LES CHEFS D'ETAT (= PIONS DU NOUVEL ORDRE MONDIAL) DU G20 SE SONT EN EFFET TOUS MIS D'ACCORD POUR QUE LE FMI JOUE UN RÔLE DE SURVEILLANT FINANCIER MONDIAL (et qui dit surveillant, dans ce cas-ci, dit "gendarme" ou "dictateur") ET POUR QUE DES COLLEGES DE CONTRÔLE SOIENT CREES AFIN DE SURVEILLER LES GRANDES BANQUES MONDIALES !!!
LE TOUT AFIN DE PARVENIR A UNE "GOUVERNANCE ECONOMIQUE MONDIALE", COMME LE REPETE ENCORE L'IMMONDE SARKOZY DANS L'ARTICLE CI-DESSOUS !!!
LE FMI ET LA BANQUE MONDIALE VONT EN OUTRE ETRE "REFORMES"... AFIN D'OBTENIR DE PLUS GRANDS POUVOIRS !
L'effet de TERREUR déclenché par la crise économique mondial a donc eu l'effet escompté : les populations ont réclamé D'ELLES-MEMES des "MESURES" (fussent-elles d'EXCEPTION) afin que ce genre de crise "ne se reproduise plus jamais"... Les ordures de l'élite mondiale - et qui ont elles-mêmes délibérément construit et provoqué cette crise - se frottent les mains et proposent donc aujourd'hui de nouvelles mesures qui n'auraient jamais été acceptées en temps normal. La méthode de l'électrochoc, la méthode du terrorisme d'Etat, la méthode du "problème-réaction-solution" a donc une fois encore marché, hélas !
La seconde phase du nouvel ordre mondial vient donc d'être lancée... et nous verrons encore, dans les mois et années qui arrivent, de nouvelles contraintes surgir, supprimant encore davantage de libertés.
Les putes des mass médias, afin de vous effrayer encore un peu davantage , en profitent pour vous signaler que les pays d'Europe viennent "d'entrer en récession". Sans doute afin que vous paniquiez un peu plus encore et que vous aggraviez par vous-même la situation en exigeant de nouvelles mesures despotiques... Tomberez-vous une nouvelle fois dans le piège ?
L'article, ci-dessous.
BONNE REVOLUTION, OU BON ESCLAVAGE ! Vic.
Source : http://qc.news.yahoo.com/s/15112008/3/business-sommet-de-washington-terrain-d-entente.html
SOMMET DE WASHINGTON : TERRAIN D'ENTENTE
samedi 15 nov, 23 h 10
Les pays du G20, réunis en sommet à Washington aux États-Unis, ont réussi à s'entendre sur un ensemble de principes et un plan d'action pour relancer l'économie de la planète.
Ils sont d'accord sur le fait qu'il doit y avoir une plus grande coopération entre les pays afin de mieux orchestrer cette relance.
La rencontre du G20 aura permis aux dirigeants de dégager un plan d'action qui repose sur quelques grands points:
Renforcer la transparence et la responsabilité des marchés financiers;
Promouvoir une régulation saine, notamment avec des mesures qui permettront aux banques et institutions d'éviter de prendre des risques démesurés. Le Fonds monétaire international (FMI) doit formuler des recommandations pour atténuer la tendance des marchés à exagérer les mouvements à la hausse ou à la baisse;
Promouvoir l'intégrité des marchés financiers en améliorant le partage d'informations et la coopération entre les juridictions;
Renforcer la coopération internationale en créant des collèges de surveillance, pour toutes les grandes banques mondiales dans le but d'examiner les activités et les risques qu'encourent ces institutions;
Réformer le FMI et la Banque mondiale en étudiant les moyens de rétablir le crédit des pays émergents et en développement. Du même coup, les membres du G20 promettent aussi d'accorder plus de place aux pays émergents au sein du FMI et de la Banque mondiale, en fonction de leur poids économique réel.
Pour mettre en forme ces grands principes, le G20 s'est donné un an. À court terme, les ministres des Finances des pays participants ont jusqu'au 31 mars pour formuler des recommandations concrètes.
Elles seront ensuite présentées lors de la prochaine rencontre du G20, qui doit avoir lieu d'ici le 30 avril prochain, probablement à Londres.
Les membres du G20 devront aussi faire une liste des institutions délinquantes, c'est-à-dire les centres off shore et les paradis fiscaux, et renforcer l'échange d'informations sur ces places financières.
Attention au protectionnisme, dit Bush
En conférence de presse après la fin des travaux, le président américain George W. Bush a insisté sur la nécessité de protéger l'intégrité des marchés et d'éviter le protectionnisme. Il a souhaité que le libre-échange soit au coeur de la relance économique.
Du même coup, le président Bush a invité les autres dirigeants du monde à reprendre les négociations du cycle de Doha à l'Organisation mondiale du commerce pour tenter de conclure une entente de principe d'ici la fin de l'année.
Ces pourparlers sur la libéralisation des échanges ont peu avancé depuis leurs débuts, en 2001, en raison notamment d'un blocage entre pays riches et pauvres au sujet des subventions agricoles.
Le président élu des États-Unis, Barack Obama, a été mis au courant des développements de samedi par l'entourage du président Bush. M. Obama avait volontairement choisi de demeurer à Chicago et de rester à l'écart du sommet, pour éviter de nuire au travail de l'administration sortante.
M. Obama avait cependant délégué l'ancienne secrétaire d'État Madeleine Albright et l'ancien représentant républicain Jim Leach pour des rencontres avec les dirigeants australien, sud-coréen, mexicain, turc et argentin, ainsi qu'avec la ministre française Christine Lagarde. Barack Obama s'est dit satisfait de la réponse coordonnée qu'ont fournie les membres du G20.
Sur le plan intérieur, M. Obama a souhaité qu'un nouveau plan de relance de l'économie américaine soit mis en place avant son entrée à la Maison-Blanche, le 20 janvier prochain. Les démocrates tentent de faire adopter un plan de 60 à 100 milliards de dollars pour les infrastructures et l'aide aux propriétaires en difficulté.
Président en exercice de l'Union européenne, le président français Nicolas Sarkozy a pour sa part conclu que le G20 était d'accord sur une « relance coordonnée, concertée de l'action économique » comme le réclamaient le Brésil, la Turquie et l'Espagne.
M. Sarkozy a parlé d'un sommet historique où le G20 s'était mis d'accord sur la création d'une nouvelle gouvernance économique mondiale.
Le président Sarkozy et le premier ministre britannique Gordon Brown ont plaidé, dans le cadre du sommet, en faveur d'un rôle accru du FMI et d'autres organisations internationales dans la réglementation des marchés financiers. Dans ses commentaires, Nicolas Sarkozy a salué l'intervention du directeur du FMI, Dominique Strauss-Kahn, en faveur de la relance économique.
Quant au président américain George W. Bush, M. Sarkozy s'est contenté de dire qu'il n'avait pas toujours été facile, mais qu'il avait été loyal.
Le président français n'a pas reparlé de sa remise en question de la place du dollar américain comme monnaie de référence mondiale. D'autres, comme le premier ministre japonais Taro Aso, ont jugé qu'il fallait laisser les choses telles quelles.
Rappelons que les pays de la zone euro sont entrés officiellement en récession vendredi
isabella- Avec Saint Joseph
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