FÊTE DE L'ACTION DE GRÂCE AU CANADA (THANKSGIVING)...
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FÊTE DE L'ACTION DE GRÂCE AU CANADA (THANKSGIVING)...
Action de grâce (Thanksgiving)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour l’article homonyme?, voir Action de grâce.
L’Action de grâce (ou Thanksgiving en anglais et en France) est une fête célébrée au Canada le deuxième lundi d’octobre et aux États-Unis le quatrième jeudi de novembre. Ce jour-là, on remercie Dieu par des prières et des réjouissances pour les bonheurs que l’on a pu recevoir pendant l’année.
Histoire...
Plusieurs versions ont été évoquées sur l’origine de cette fête américaine et, en particulier, de première célébration. S’il est difficile, du fait du peu de sources disponibles, d’en avoir la certitude, un fait reste peu contesté : l’origine est différente aux États-Unis et au Canada. Les toutes premières Actions de grâce furent des fêtes de la moisson ou des occasions de remercier Dieu pour des récoltes abondantes. Pour cette raison, l’Action de grâce a toujours lieu à la fin de l’automne, après la rentrée des récoltes.
Origine au Canada...
Les origines de l’Action de grâce au Canada remontent à l’explorateur anglais Martin Frobisher, qui tentait de trouver un passage nordique vers l’Orient. En 1578, il tient une cérémonie formelle, sur le territoire actuel de la province de Terre-Neuve-et-Labrador, afin de rendre grâce d’avoir survécu au long voyage. On considère cette cérémonie comme la première Action de grâce canadienne, et la première à avoir eu lieu en Amérique du Nord. Frobisher est subséquemment fait chevalier et son nom fut donné à la Baie de Frobisher.
À la même époque, les colons français, ayant traversé l’Océan Atlantique et s’étant installés au Canada avec l’explorateur Samuel de Champlain, organisent également de grandes fêtes pour rendre grâce à Dieu. Ils forment même « l’Ordre de Bon Temps » et partagent volontiers leur nourriture avec leurs voisins autochtones.
Avec la fin de la Guerre de Sept Ans en 1763 avec la cession de la Nouvelle-France à la Grande-Bretagne, les citoyens tiennent une journée spéciale d'Action de grâce.
Après la Révolution américaine, les réfugiés américains qui étaient demeurés loyaux (les loyalistes) au Royaume-Uni sont exilés des États-Unis et s’installent au Canada. Ils apportent avec eux les coutumes et traditions de l’Action de grâce américaine, bien que, en tant que fête liturgique, l’Action de grâce au Canada correspond également à la fête de la moisson européenne ; les églises sont décorées de cornes d’abondance, de citrouilles, de maïs, de blé et d’autres produits de la récolte, des hymnes de moisson sont chantées le dimanche de l’Action de grâce et les sermons sont tirés des histoires bibliques relatives à la fête de la moisson juive (la Souccot).
La première Action de grâce au Canada après la confédération canadienne est un congé civil qui a lieu le 5 avril 1872 pour célébrer le rétablissement du Prince de Galles (subséquemment le Roi Édouard VII) après une maladie grave. Avant cette date, des jours d'Action de grâce sont observées commençant en 1799 mais n'ont pas lieu à chaque année.
À compter de 1879, le jour de l’Action de grâce revient toutes les années mais est proclamée annuellement, la date pouvant changer d’une année à l’autre. Le thème de la fête change également d’année en année afin de refléter un évènement important. Dans les premières années, c’était pour une moisson abondante et occasionnellement pour un anniversaire particulièrement important. Après la Première Guerre mondiale, le Jour de l'armistice et l’Action de grâce sont tous deux célébrés le lundi de la semaine du 11 novembre. Dix ans plus tard, en 1931, les deux journées deviennent des fêtes distinctes, et le Jour de l’Armistice devient le Jour du souvenir.
Le 31 janvier 1957, le Parlement du Canada fixe la date au deuxième lundi d’octobre de manière permanente par une proclamation : « Une journée pour rendre grâce au Dieu tout-puissant des bienfaits dont jouit le peuple du Canada... »
Origine aux États-Unis
En 1620, une centaine de pèlerins Puritains britanniques, pourchassés, fuirent vers la Hollande. En juillet, ils rejoignirent tout d’abord Southampton puis Plymouth où ils embarquèrent à bord du Mayflower le 6 septembre, à destination de la Virginie. Après avoir accosté à Cap Cod en novembre puis exploré la région, les 102 colons installèrent leur colonie un peu plus au Nord et fondèrent la ville de Plymouth (Massachusetts) en décembre 1620. En raison de leur peu de connaissances agricoles et d’un hiver particulièrement rigoureux, la moitié d’entre eux ne survécut pas. Au printemps suivant, un Indien Wampanoag du nom de Squanto entra en contact avec les immigrants et, avec sa tribu, leur offrit de la nourriture et leur apprit à pêcher, chasser et cultiver du maïs. Pour célébrer la première récolte, à l’automne suivant, le gouverneur William Bradford décréta trois jours de prière et de fête. Les colons invitèrent le chef Massasoit et 90 Indiens à partager leur repas, en guise de remerciement pour sceller une amitié durable et un pacte commercial. Des dindes sauvages et des pigeons furent servis à cette occasion.
Deux ans plus tard, la colonie célébrait à nouveau la fin des récoltes, mais rendant surtout grâce à Dieu. Cette fête devint très vite simplement religieuse, et toute référence aux Amérindiens fut rapidement oubliée, d’autant qu'après la mort du chef Massasoit qui garantissait la paix, les Wampanoag furent finalement exterminés en 1676.
La coutume de l’Action de grâce se répandit de Plymouth à d'autres colonies de la Nouvelle-Angleterre et pendant la guerre d'indépendance, huit jours de fêtes furent consacrés à remercier Dieu pour les victoires et la survie des rescapés. En 1789, le président George Washington proclama le 26 novembre jour de fête nationale. La même année, l’église épiscopale protestante annonça que le dernier jeudi du mois de novembre serait un jour de fête.
Le président Truman célèbrant l’Action de grâce.
Pendant de nombreuses années, il n’exista pas d’Action de grâce nationale. Quelques états seulement instaurèrent un jour spécial. En 1830, New-York_État de New York instaura un jour d’Action de grâce et d’autres États du nord suivirent bientôt l’exemple. La Virginie fut le premier État du sud qui adopta la coutume.
En 1855, Sarah Josepha Hale, éditrice de « Godey’s Lady’s Book », travailla pendant plusieurs années pour promouvoir l’idée d’une Action de grâce nationale. Puis, en 1863, le président Lincoln déclara que le dernier jeudi du mois de novembre serait un jour de remerciements et d’éloges à Dieu.
Chaque année pendant 75 ans, le président des États-Unis décréta que l’Action de grâce devrait être célébré le dernier jeudi du mois de novembre. Cependant, en 1939, le président Roosevelt l’avança d’une semaine. Il voulait ainsi aider le commerce en rallongeant la période d’achats avant Noël. Le Congrès décréta en 1941 que l’Action de grâce serait célébré le quatrième jeudi du mois de novembre comme un jour férié légal. La fête de l’Action de grâce est l’une des plus chômées des États-Unis. Dans le commerce, le lendemain de l’Action de grâce marque le début de la période des achats de Noël et on le nomme Vendredi noir, car il est souvent considéré comme le jour de plus grande activité commerciale de l’année.
Manifestations amérindiennes
Si, depuis l’époque des pèlerins évangéliques, l’Action de grâce est, pour les Américains, une manière de remercier Dieu de la qualité providentielle du Nouveau Monde et d’une bonne entente avec les populations indigènes, pour quelques groupes amérindiens, ce jour représente la destruction de leur continent et le point de départ des guerres indiennes. En 1676, le gouverneur de Charleston, au Massachusetts, profita même de ce jour pour célébrer une victoire sur les Amérindiens. Depuis les années 1970, des manifestations sont organisées en mémoire des indiens natifs.
Le repas de l’Action de grâce...
Le repas de l’Action de grâce est traditionnellement composé d’une dinde, animal tout juste découvert par les premiers Européens dans le Nouveau Monde.
Aux États-Unis, l’Action de grâce est célébré en famille autour de grands dîners et en joyeuses réunions. Le nom de « Thanksgiving » (signification anglophone de l’Action de grâce) évoque des cuisines odorantes et de grands placards à provisions pleins de bonnes choses, mais c’est aussi une fête religieuse avec messes et prières.
La veille l’Action de grâce, les associations distribuent des repas aux personnes sans domicile fixe dans les grandes villes.
Menu-type de l’Action de grâce
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour l’article homonyme?, voir Action de grâce.
L’Action de grâce (ou Thanksgiving en anglais et en France) est une fête célébrée au Canada le deuxième lundi d’octobre et aux États-Unis le quatrième jeudi de novembre. Ce jour-là, on remercie Dieu par des prières et des réjouissances pour les bonheurs que l’on a pu recevoir pendant l’année.
Histoire...
Plusieurs versions ont été évoquées sur l’origine de cette fête américaine et, en particulier, de première célébration. S’il est difficile, du fait du peu de sources disponibles, d’en avoir la certitude, un fait reste peu contesté : l’origine est différente aux États-Unis et au Canada. Les toutes premières Actions de grâce furent des fêtes de la moisson ou des occasions de remercier Dieu pour des récoltes abondantes. Pour cette raison, l’Action de grâce a toujours lieu à la fin de l’automne, après la rentrée des récoltes.
Origine au Canada...
Les origines de l’Action de grâce au Canada remontent à l’explorateur anglais Martin Frobisher, qui tentait de trouver un passage nordique vers l’Orient. En 1578, il tient une cérémonie formelle, sur le territoire actuel de la province de Terre-Neuve-et-Labrador, afin de rendre grâce d’avoir survécu au long voyage. On considère cette cérémonie comme la première Action de grâce canadienne, et la première à avoir eu lieu en Amérique du Nord. Frobisher est subséquemment fait chevalier et son nom fut donné à la Baie de Frobisher.
À la même époque, les colons français, ayant traversé l’Océan Atlantique et s’étant installés au Canada avec l’explorateur Samuel de Champlain, organisent également de grandes fêtes pour rendre grâce à Dieu. Ils forment même « l’Ordre de Bon Temps » et partagent volontiers leur nourriture avec leurs voisins autochtones.
Avec la fin de la Guerre de Sept Ans en 1763 avec la cession de la Nouvelle-France à la Grande-Bretagne, les citoyens tiennent une journée spéciale d'Action de grâce.
Après la Révolution américaine, les réfugiés américains qui étaient demeurés loyaux (les loyalistes) au Royaume-Uni sont exilés des États-Unis et s’installent au Canada. Ils apportent avec eux les coutumes et traditions de l’Action de grâce américaine, bien que, en tant que fête liturgique, l’Action de grâce au Canada correspond également à la fête de la moisson européenne ; les églises sont décorées de cornes d’abondance, de citrouilles, de maïs, de blé et d’autres produits de la récolte, des hymnes de moisson sont chantées le dimanche de l’Action de grâce et les sermons sont tirés des histoires bibliques relatives à la fête de la moisson juive (la Souccot).
La première Action de grâce au Canada après la confédération canadienne est un congé civil qui a lieu le 5 avril 1872 pour célébrer le rétablissement du Prince de Galles (subséquemment le Roi Édouard VII) après une maladie grave. Avant cette date, des jours d'Action de grâce sont observées commençant en 1799 mais n'ont pas lieu à chaque année.
À compter de 1879, le jour de l’Action de grâce revient toutes les années mais est proclamée annuellement, la date pouvant changer d’une année à l’autre. Le thème de la fête change également d’année en année afin de refléter un évènement important. Dans les premières années, c’était pour une moisson abondante et occasionnellement pour un anniversaire particulièrement important. Après la Première Guerre mondiale, le Jour de l'armistice et l’Action de grâce sont tous deux célébrés le lundi de la semaine du 11 novembre. Dix ans plus tard, en 1931, les deux journées deviennent des fêtes distinctes, et le Jour de l’Armistice devient le Jour du souvenir.
Le 31 janvier 1957, le Parlement du Canada fixe la date au deuxième lundi d’octobre de manière permanente par une proclamation : « Une journée pour rendre grâce au Dieu tout-puissant des bienfaits dont jouit le peuple du Canada... »
Origine aux États-Unis
En 1620, une centaine de pèlerins Puritains britanniques, pourchassés, fuirent vers la Hollande. En juillet, ils rejoignirent tout d’abord Southampton puis Plymouth où ils embarquèrent à bord du Mayflower le 6 septembre, à destination de la Virginie. Après avoir accosté à Cap Cod en novembre puis exploré la région, les 102 colons installèrent leur colonie un peu plus au Nord et fondèrent la ville de Plymouth (Massachusetts) en décembre 1620. En raison de leur peu de connaissances agricoles et d’un hiver particulièrement rigoureux, la moitié d’entre eux ne survécut pas. Au printemps suivant, un Indien Wampanoag du nom de Squanto entra en contact avec les immigrants et, avec sa tribu, leur offrit de la nourriture et leur apprit à pêcher, chasser et cultiver du maïs. Pour célébrer la première récolte, à l’automne suivant, le gouverneur William Bradford décréta trois jours de prière et de fête. Les colons invitèrent le chef Massasoit et 90 Indiens à partager leur repas, en guise de remerciement pour sceller une amitié durable et un pacte commercial. Des dindes sauvages et des pigeons furent servis à cette occasion.
Deux ans plus tard, la colonie célébrait à nouveau la fin des récoltes, mais rendant surtout grâce à Dieu. Cette fête devint très vite simplement religieuse, et toute référence aux Amérindiens fut rapidement oubliée, d’autant qu'après la mort du chef Massasoit qui garantissait la paix, les Wampanoag furent finalement exterminés en 1676.
La coutume de l’Action de grâce se répandit de Plymouth à d'autres colonies de la Nouvelle-Angleterre et pendant la guerre d'indépendance, huit jours de fêtes furent consacrés à remercier Dieu pour les victoires et la survie des rescapés. En 1789, le président George Washington proclama le 26 novembre jour de fête nationale. La même année, l’église épiscopale protestante annonça que le dernier jeudi du mois de novembre serait un jour de fête.
Le président Truman célèbrant l’Action de grâce.
Pendant de nombreuses années, il n’exista pas d’Action de grâce nationale. Quelques états seulement instaurèrent un jour spécial. En 1830, New-York_État de New York instaura un jour d’Action de grâce et d’autres États du nord suivirent bientôt l’exemple. La Virginie fut le premier État du sud qui adopta la coutume.
En 1855, Sarah Josepha Hale, éditrice de « Godey’s Lady’s Book », travailla pendant plusieurs années pour promouvoir l’idée d’une Action de grâce nationale. Puis, en 1863, le président Lincoln déclara que le dernier jeudi du mois de novembre serait un jour de remerciements et d’éloges à Dieu.
Chaque année pendant 75 ans, le président des États-Unis décréta que l’Action de grâce devrait être célébré le dernier jeudi du mois de novembre. Cependant, en 1939, le président Roosevelt l’avança d’une semaine. Il voulait ainsi aider le commerce en rallongeant la période d’achats avant Noël. Le Congrès décréta en 1941 que l’Action de grâce serait célébré le quatrième jeudi du mois de novembre comme un jour férié légal. La fête de l’Action de grâce est l’une des plus chômées des États-Unis. Dans le commerce, le lendemain de l’Action de grâce marque le début de la période des achats de Noël et on le nomme Vendredi noir, car il est souvent considéré comme le jour de plus grande activité commerciale de l’année.
Manifestations amérindiennes
Si, depuis l’époque des pèlerins évangéliques, l’Action de grâce est, pour les Américains, une manière de remercier Dieu de la qualité providentielle du Nouveau Monde et d’une bonne entente avec les populations indigènes, pour quelques groupes amérindiens, ce jour représente la destruction de leur continent et le point de départ des guerres indiennes. En 1676, le gouverneur de Charleston, au Massachusetts, profita même de ce jour pour célébrer une victoire sur les Amérindiens. Depuis les années 1970, des manifestations sont organisées en mémoire des indiens natifs.
Le repas de l’Action de grâce...
Le repas de l’Action de grâce est traditionnellement composé d’une dinde, animal tout juste découvert par les premiers Européens dans le Nouveau Monde.
Aux États-Unis, l’Action de grâce est célébré en famille autour de grands dîners et en joyeuses réunions. Le nom de « Thanksgiving » (signification anglophone de l’Action de grâce) évoque des cuisines odorantes et de grands placards à provisions pleins de bonnes choses, mais c’est aussi une fête religieuse avec messes et prières.
La veille l’Action de grâce, les associations distribuent des repas aux personnes sans domicile fixe dans les grandes villes.
Menu-type de l’Action de grâce
- Soupe au potiron ;
- Tarte aux Noix de pécans ;
- Dinde farcie, gelée de canneberges (dit atoca au Canada français) ;
- Purée de patates douces ;
- Tarte à la citrouille (pumpkin pie) ;
- Tarte aux patates douces ;
- Sauce aux canneberges ;
- Farce (parfois aux marrons, huîtres, saucisses, pommes, etc.) ;
- Cidre ;
- Pain de maïs ;
- Tarte aux pommes ;
- Haricots verts en daube ;
- Maïs en épis ;
- Vodka ;
- Petits pains.
SOURCE: fr.wikipedia.org/wiki/Action_de_Grâce_(Thanksgiving)
Gilles. Ville de Québec - Canada
Dernière édition par Gilles le Lun 13 Oct 2008 - 12:14, édité 1 fois
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: FÊTE DE L'ACTION DE GRÂCE AU CANADA (THANKSGIVING)...
Cette fête, très populaire aux États-Unis (Thanksgiving), a été célébrée pour la première fois en 1621
par les pélerins européens qui venaient de s'établir en terre américaine. Il est dit, qu'à cette occasion,
ils festoyèrent durant trois jours avec les peuplades amérindiennes pour les remercier de les avoir aider
à s'acclimater à leur nouvel environnement.
Bien que cette fête ait des origines beaucoup plus anciennes, le thème demeure toujours le même :
celui de rendre grâce à Mère Nature pour l'abondance des bienfaits qu'elle prodigue.
Je vous propose quelques Diaporamas pour illustrer cette générosité.
Aujourd'hui, c'est encore et toujours une fête familliale,
avec le repas traditionnels de dinde et de canneberges.
Afin d'agrémenter ce repas festif,
voici quelques recettes pour en varier la présentation :
Soupe aux légumes, jambon et dinde
Dinde farcie aux pommes
Rigatoni de dinde à la crème
C'est aussi une période de l'année où la nature se pare de mille et une couleurs.
Voici des fonds d'écran et un superbe écran de veille pour vous permettre
d'en apprécier toute la beauté.
Une façon de perpétuer cette fête consisterait à cultiver
un sentiment de gratitude quotidienne envers notre famille,
nos amis et nos partenaires de travail.
Prenez le temps de partager cette gratitude,
en envoyant une carte postale à vos proches.
"Ouvrir son esprit au monde,
ouvrir son coeur aux autres,
c'est rester jeune à n'importe quel âge.
~Jacques Sèvre~
Pour terminer, voici un très beau lien Méli-Mélo * de circonstance.
* (lorsque vous serez sur la page, cliquez sur le chapeau)
Je vous souhaite une très belle journée de l'Action de grâces.
SOURCE: www.chezmaya.com
Gilles. Ville de Québec - Canada
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: FÊTE DE L'ACTION DE GRÂCE AU CANADA (THANKSGIVING)...
L'Action de Grâces
12 Octobre 2009
Saviez-vous que le Jour de l'Action de Grâce ne se fête pas à la même date si vous êtes au Canada ou aux États-Unis?
Cette tradition de rendre grâce remonte loin dans le temps. C'était la fête de la Terre-Mère: féconde, abondante, généreuse – la fête de l'automne et de la récolte.
Dans presque toutes les traditions, c'est une déesse qui a donné l'aliment de base aux hommes. Chez les Grecs anciens, durant la fête de l'automne, on rendait grâce à Demeter, la déesse des épis. En octobre, les Romains célébraient la fête des moissons appelée Cerelia, pour honorer Ceres, le 4 octobre. En offrandes, il y avait toujours les premiers fruits de la moisson et. des porcs.
Cette période est souvent représentée par une corne d'abondance, la "cornucopia" dont l'origine remonte à l'époque mythique. Zeus donna à la nymphe Amalthea - Selon la mythologie, c'est la nourrice qui éleva secrètement Zeus lorsqu'il était petit en le nourrissant au lait de chèvre pour le soustraire aux recherches de Cronos. D'autres sources laissent croire qu'Amathea était elle-même une chèvre - une corne de chèvre en remerciement avec la promesse qu'elle lui apporterait toujours l'abondance dans tous ses souhaits.
Reconnaissance? Superstition? Mieux valait remercier les dieux capricieux pour leur bonté, semble attester les documents à travers les âges. Mais ce jour béni n'a pas toujours été relié à la moisson; c'était aussi un cri d'allégresse après une période noire ou d'incertitude - en Europe, il marquait la fin d'une guerre, la guérison d'un roi ou le bout d'un long voyage. La première mention d'une telle fête en Amérique du Nord remonte à 1578. Après avoir débarqué à Terre-Neuve, l'explorateur Martin Frobisher, entouré de son équipage, remercie Dieu de les avoir menés en terre ferme après une pénible traversée.
Cette première manifestation est souvent passée sous silence et on rattache plus facilement cette fête aux pèlerins Anglais qui, fuyant les contraintes religieuses du roi Jacques 1er, s'embarquèrent pour le Nouveau-Monde à bord du "Mayflower" pour arriver en Nouvelle Angleterre le 10 novembre 1620. Après un hiver fort rigoureux ou plusieurs moururent, ils semèrent les premières graines et la récolte fut abondante. En signe de remerciement au Seigneur, William Bradford, qui gouvernait la colonie de Plymouth, proclama un "Thanksgiving Day" à l'automne 1621. Durant trois jours, les pèlerins festoyèrent de dindes sauvages et de gibiers avec leurs hôtes Amérindiens. Par eux, ils avaient appris à cuisiner la citrouille, à confectionner de petits pains de maïs, à farcir la dinde d'huîtres appréciant les fruits et les noix de la région.
Du XVIIe au XIXe siècle, nous assistons ensuite à des fêtes sporadiques ou régionales.
Pourquoi les Américains fêtent-ils la Thanksgiving le 4e Jeudi de novembre?
Parce que le Président Abraham Lincoln a déclaré ce jour "férié" dans sa célèbre Thanksgiving Proclamation de 1863. Oui, mais qui était à l’origine de cette décision? La réponse est Sarah Josepha Hale, probablement l’un des personnages historiques féminins les plus importants, mais les moins médiatisés de l’histoire américaine. Elle était convaincue qu’une célébration de Thanksgiving à l’échelon national constituerait un ciment suffisant pour garantir la paix.
Au Canada
Durant la révolution américaine, de nombreux colons désirant demeurer loyaux envers la couronne britannique, prirent le chemin du nord et arrivèrent en Canada. C'est en 1799 qu'ils proclamèrent un Jour d'Action de grâce pour célébrer, selon la tradition européenne, les événements royaux, la fin de la guerre ou d'une épidémie. C'est seulement au XIXe siècle qu'on décida de fixer la date "un jeudi" de novembre pour enfin devancer la date en octobre, ceci étant attribuable au climat plus froid, donc aux récoltes plus hâtives. Puis on remplaça le jeudi par un lundi jusqu'en 1920. Le Jour de l'Action de grâce se retrouva placé en novembre, le lundi précédent l'Armistice le 11 novembre commémorant la fin de la Première Guerre Mondiale (1914-1918). Puis on revint en octobre en 1931, fixant enfin la journée au second lundi du mois, date qui fut entérinée par un acte du parlement en 1957.
Mais assez parlé d'histoire! Qui-a-t-il au menu?
C'est une fête très anglaise. Au Canada français, au Québec plus particulièrement, l'événement est très peu souligné. On garde la dinde pour le réveillon de Noël et la citrouille pour l'Halloween. Aux États-Unis, on enregistre plus de 40 millions de dinde dégustées durant cette fin de semaine à chaque année. Ce volatile est généralement rôti entier et farci mais la recette se modifie de région en région. Sur la côte Est, la farce aux huîtres est de tradition, un retour aux sources alors que les coquillages étaient abondants et faisaient parties de la diète quotidienne des premiers colons. Dans le Sud, Mère maïs se faufile partout et le pain de maïs remplace les croûtons tandis que le riz sauvage devient la particularité des régions qui bordent les Grands Lacs, de part et d'autre de la frontière.
La dinde a son cortège: sauce aux canneberges faite maison avec des baies fraîches ou achetée en gelée. Plus on descend vers le Sud, plus on retrouve la patate douce en casserole avec du sucre, du beurre, des épices, parfois recouverte de guimauve! Vous avez bien lu! Un repas traditionnel ne serait pas complet sans la tarte à la citrouille. Autre coutume: C'est de quitter la table pour s'enfoncer dans un grand fauteuil et donner du jeu à sa ceinture car le repas est fort copieux et parfois. quelque peu indigeste!
En terminant, voici une très belle animation. Cliquez sur le smiley et une fois rendus sur la page, cliquez sur le chapeau.
....... (CLIQUER SUR CE LIEN ET... SURPRISE !)
SOURCE: espace.canoe.ca/petitelouve/blog/view/279332
Gilles. Ville de Québec - Canada
12 Octobre 2009
Saviez-vous que le Jour de l'Action de Grâce ne se fête pas à la même date si vous êtes au Canada ou aux États-Unis?
Cette tradition de rendre grâce remonte loin dans le temps. C'était la fête de la Terre-Mère: féconde, abondante, généreuse – la fête de l'automne et de la récolte.
Dans presque toutes les traditions, c'est une déesse qui a donné l'aliment de base aux hommes. Chez les Grecs anciens, durant la fête de l'automne, on rendait grâce à Demeter, la déesse des épis. En octobre, les Romains célébraient la fête des moissons appelée Cerelia, pour honorer Ceres, le 4 octobre. En offrandes, il y avait toujours les premiers fruits de la moisson et. des porcs.
Cette période est souvent représentée par une corne d'abondance, la "cornucopia" dont l'origine remonte à l'époque mythique. Zeus donna à la nymphe Amalthea - Selon la mythologie, c'est la nourrice qui éleva secrètement Zeus lorsqu'il était petit en le nourrissant au lait de chèvre pour le soustraire aux recherches de Cronos. D'autres sources laissent croire qu'Amathea était elle-même une chèvre - une corne de chèvre en remerciement avec la promesse qu'elle lui apporterait toujours l'abondance dans tous ses souhaits.
Reconnaissance? Superstition? Mieux valait remercier les dieux capricieux pour leur bonté, semble attester les documents à travers les âges. Mais ce jour béni n'a pas toujours été relié à la moisson; c'était aussi un cri d'allégresse après une période noire ou d'incertitude - en Europe, il marquait la fin d'une guerre, la guérison d'un roi ou le bout d'un long voyage. La première mention d'une telle fête en Amérique du Nord remonte à 1578. Après avoir débarqué à Terre-Neuve, l'explorateur Martin Frobisher, entouré de son équipage, remercie Dieu de les avoir menés en terre ferme après une pénible traversée.
Cette première manifestation est souvent passée sous silence et on rattache plus facilement cette fête aux pèlerins Anglais qui, fuyant les contraintes religieuses du roi Jacques 1er, s'embarquèrent pour le Nouveau-Monde à bord du "Mayflower" pour arriver en Nouvelle Angleterre le 10 novembre 1620. Après un hiver fort rigoureux ou plusieurs moururent, ils semèrent les premières graines et la récolte fut abondante. En signe de remerciement au Seigneur, William Bradford, qui gouvernait la colonie de Plymouth, proclama un "Thanksgiving Day" à l'automne 1621. Durant trois jours, les pèlerins festoyèrent de dindes sauvages et de gibiers avec leurs hôtes Amérindiens. Par eux, ils avaient appris à cuisiner la citrouille, à confectionner de petits pains de maïs, à farcir la dinde d'huîtres appréciant les fruits et les noix de la région.
Du XVIIe au XIXe siècle, nous assistons ensuite à des fêtes sporadiques ou régionales.
Pourquoi les Américains fêtent-ils la Thanksgiving le 4e Jeudi de novembre?
Parce que le Président Abraham Lincoln a déclaré ce jour "férié" dans sa célèbre Thanksgiving Proclamation de 1863. Oui, mais qui était à l’origine de cette décision? La réponse est Sarah Josepha Hale, probablement l’un des personnages historiques féminins les plus importants, mais les moins médiatisés de l’histoire américaine. Elle était convaincue qu’une célébration de Thanksgiving à l’échelon national constituerait un ciment suffisant pour garantir la paix.
Au Canada
Durant la révolution américaine, de nombreux colons désirant demeurer loyaux envers la couronne britannique, prirent le chemin du nord et arrivèrent en Canada. C'est en 1799 qu'ils proclamèrent un Jour d'Action de grâce pour célébrer, selon la tradition européenne, les événements royaux, la fin de la guerre ou d'une épidémie. C'est seulement au XIXe siècle qu'on décida de fixer la date "un jeudi" de novembre pour enfin devancer la date en octobre, ceci étant attribuable au climat plus froid, donc aux récoltes plus hâtives. Puis on remplaça le jeudi par un lundi jusqu'en 1920. Le Jour de l'Action de grâce se retrouva placé en novembre, le lundi précédent l'Armistice le 11 novembre commémorant la fin de la Première Guerre Mondiale (1914-1918). Puis on revint en octobre en 1931, fixant enfin la journée au second lundi du mois, date qui fut entérinée par un acte du parlement en 1957.
Mais assez parlé d'histoire! Qui-a-t-il au menu?
C'est une fête très anglaise. Au Canada français, au Québec plus particulièrement, l'événement est très peu souligné. On garde la dinde pour le réveillon de Noël et la citrouille pour l'Halloween. Aux États-Unis, on enregistre plus de 40 millions de dinde dégustées durant cette fin de semaine à chaque année. Ce volatile est généralement rôti entier et farci mais la recette se modifie de région en région. Sur la côte Est, la farce aux huîtres est de tradition, un retour aux sources alors que les coquillages étaient abondants et faisaient parties de la diète quotidienne des premiers colons. Dans le Sud, Mère maïs se faufile partout et le pain de maïs remplace les croûtons tandis que le riz sauvage devient la particularité des régions qui bordent les Grands Lacs, de part et d'autre de la frontière.
La dinde a son cortège: sauce aux canneberges faite maison avec des baies fraîches ou achetée en gelée. Plus on descend vers le Sud, plus on retrouve la patate douce en casserole avec du sucre, du beurre, des épices, parfois recouverte de guimauve! Vous avez bien lu! Un repas traditionnel ne serait pas complet sans la tarte à la citrouille. Autre coutume: C'est de quitter la table pour s'enfoncer dans un grand fauteuil et donner du jeu à sa ceinture car le repas est fort copieux et parfois. quelque peu indigeste!
En terminant, voici une très belle animation. Cliquez sur le smiley et une fois rendus sur la page, cliquez sur le chapeau.
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SOURCE: espace.canoe.ca/petitelouve/blog/view/279332
Gilles. Ville de Québec - Canada
Dernière édition par Gilles le Sam 10 Oct 2009 - 5:33, édité 1 fois
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: FÊTE DE L'ACTION DE GRÂCE AU CANADA (THANKSGIVING)...
Fête de l'Action de Grâce
La tradition de rendre grâce remonte loin dans le temps. C'était la fête de la Terre-Mère: féconde, abondante, généreuse...la fête de l'automne et de la récolte. Promenez-vous dans les rubriques afin d'en connaître plus sur cette fête et sur la volaille vedette. Bricolez une dinde avec des plumes de reconnaissances et n'oubliez pas d'envoyer une carte à quelqu'un de cher.
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Re: FÊTE DE L'ACTION DE GRÂCE AU CANADA (THANKSGIVING)...
Action de grâces
La fête de l’Action de grâces provient d’une ancienne tradition de célébrer les récoltes agricoles. On trouve déjà mention, dans l’Ancien Testament, de fêtes hébraïques des récoltes (Soukkhot) pour remercier Yawhé, le Créateur du monde et lui « rendre grâce ». On trouve cette fête également dans la tradition hellène, où elle est consacrée à Cérès, la déesse de l’agriculture (celle qui donna le blé à l’humanité).
Nul doute, au Canada, l’Action de grâces, la fête officielle et le jour de congé, est une fête qui a changé de date un grand nombre de fois.
Cette fête a été apportée au Québec (plutôt au Bas-Canada) par les Québécois d’origine britannique, émigrés des États-Unis vers la fin du XVIIIe siècle.
Le premier jour de l’Action de grâces fut célébré le 10 janvier 1799, « pour souligner la victoire sur nos ennemis et pour les nombreuses et inestimables grâces que nos royaumes et provinces ont reçues et continuent de recevoir chaque jour » (les ennemis, c’étaient les révolutionnaires français avec leurs idées de soulever le Québec contre l’empire britannique).
La deuxième fois, on a célébré l’Action de grâces le jeudi 12 août 1802 tout simplement « pour les grâces divines ». Après, une longue pause de 12 ans s’ensuit, pourtant, en 1814, l’Action de grâces est célébrée deux fois : le jeudi 21 avril 1814 « pour les glorieuses victoires sur nos ennemis » - en raison de la guerre contre les États-Unis, et le mardi 13 septembre 1814 « pour souligner la fin du conflit sanglant en Europe et pour assurer aux domaines du roi les bienfaits de la paix ». Six mois s’écoulent, et on fête de nouveau : le jeudi 6 avril 1815, on célèbre « la fin de la guerre avec les États-Unis et pour ramener les bienfaits de la paix ».
Dans la première moitié du XIXe siècle, on continue à fêter l’Action de grâces non pas à une date fixe mais pour marquer des événements heureux :
- en mai 1816 : la fin de la guerre entre la Grande-Bretagne et la France,
- en février 1833 : la fin de l’épidémie de choléra,
- le 1er novembre 1834 : la fin de la quarantaine imposée aux navires à Grosse-Île sur les îles de la Madeleine,
- en février 1838 : le Bas-Canada célèbre la fin de la Rébellion des Patriotes,
- en juin 1856 : le rétablissement de la paix avec la Russie après la guerre de Crimée.
Toutefois, le retour aux racines de la fête est à chaque fois plus visible et on commence à fêter l’Action de grâces comme un jour de remerciement à Dieu pour une récolte abondante et pour la paix dans le pays, avec quelque exceptions : par exemple, le 15 avril 1872, le jour de l’Action de grâces fut célébré pour remercier la guérison du prince de Galles, le futur roi Édouard VII, d’une grave maladie et en juin 1887, c’est le 50e anniversaire de l’accession au trône de la reine Victoria (mais la même année, en novembre, on fête aussi une récolte abondante). Au XXe siècle, la formule change pour devenir plus généralisée : « pour rendre grâces au Dieu tout-puissant des bienfaits dont jouit le peuple du Canada ».
Dès 1879, on commence à célébrer l’Action de grâces chaque année, d’abord un jeudi de novembre, puis, dès 1899, un jeudi d’octobre, puis entre 1901 et 1904, c’est à nouveau un jeudi de novembre, par la suite, on fête toujours en octobre. Chaque fois, la fête est annoncée avec avec quelque mois d’anticipation et personne ne sait en avance quel lundi ou quel jeudi sera choisi pour fêter.
En 1921, la Loi du jour de l’Armistice prescrit que le jour de l’Action de grâces sera désormais célébré le lundi de la semaine du 11 novembre, mais en 1931, le Parlement canadien modifie cette Loi et le 11 novembre est proclamé le Jour du Souvenir (telle est l’appellation officielle en français de la journée marquant l’armistice).
Finalement l’Action de grâces est fêtée le deuxième lundi d’octobre, mais c’est en 1957 que la célébration du jour de l’Action de grâces est fixée de façon permanente au deuxième lundi d’octobre.
Signalons que même si, au Canada, l’Action de grâces fut empruntée aux Américains (tout comme le menu, composé avant tout de la dinde), il ne faut pas confondre l’Action de grâces canadienne et l’Action de grâces ou Thanksgiving américain qui est célébré aux États-Unis un mois plus tard qu’au Canada pour des raisons géographiques (la récolte a lieu un mois plus tard aux États-Unis).
Rappelons, que le 11 novembre 1620, le bateau, le Mayflower conduit des pèlerins puritains en Virginie, une colonie britannique en Amérique et après la première récolte de l’automne suivant, les colons qui ont survécu la première année (une moitié d’entre eux sont morts les 12 premiers 12) ont commémoré leur survie par une célébration de louanges et de reconnaissance à Dieu. Alors, un premier festin est tenu pour rendre grâce au Seigneur pour cette terre fertile qui assure la survie du groupe. C’est le résumé du « Thanksgiving », célébré chaque année aux États-Unis le dernier jeudi de novembre, une fête très populaire.
Remarquons qu’au Québec (et au Canada) la fête de l’Action de grâces n’a pas la même ampleur que chez les voisins du sud, ni le même contenu.
Source: Action de grâces - Québec
Gilles. Ville de Québec - Canada
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Re: FÊTE DE L'ACTION DE GRÂCE AU CANADA (THANKSGIVING)...
À voir absolument... C'est si beau !
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Re: FÊTE DE L'ACTION DE GRÂCE AU CANADA (THANKSGIVING)...
En ce jour de "L'Action de Grâces" au Canada, je dépose un texte qui convient parfaitement pour l'occasion...
Bonjour chers amis(es) !
Il nous arrive si souvent de faire des demandes à Dieu, mais Le remercions-nous assez souvent pour tous ses bienfaits ?
Je dois avouer qu'il m'arrive d'oublier tout ce qu'Il a fait et fait pour nous chaque jour !
Très beau texte sur la reconnaissance...
Bonjour chers amis(es) !
Il nous arrive si souvent de faire des demandes à Dieu, mais Le remercions-nous assez souvent pour tous ses bienfaits ?
Je dois avouer qu'il m'arrive d'oublier tout ce qu'Il a fait et fait pour nous chaque jour !
Très beau texte sur la reconnaissance...
LA PRIERE DE RECONNAISSANCE
Par Sylvain Freymond
Par Sylvain Freymond
Il n’y a aucun doute dans le fait que nous avons parfois de la peine à louer Dieu en tout temps et en toutes circonstances, car nous manquons souvent de constance dans notre foi en Dieu. Il y a deux principes que nous pouvons apprendre et qui vont nous aider : le contentement et la reconnaissance.
Le contentement.
L’apôtre Paul nous apprend, par sa vie, un principe important. Philippiens 4 :11-13 : « J’ai appris à être content de l’état où je me trouve. Je sais vivre dans l’humiliation, et je sais vivre dans l’abondance. En tout et partout j’ai appris à être rassasié et à avoir faim, à être dans l’abondance et à être dans la disette. Je puis tout par celui qui me fortifie. » Cette maxime de Paul est bien loin de celle de nos contemporains. Je ne sais pas si, à l’époque, les gens étaient tous comme lui. Je ne le pense pas, mais ce verset biblique s’applique à nous tous et nous invite à nous contenter de ce que nous avons ! Voilà une démarche qui est bien contraire à celle de la société actuelle, laquelle nous apprend plutôt à défendre nos droits et à réclamer ce que nous n’avons pas ! Cela commence par notre propre personne. Apprenons à être contents de notre personnalité, de notre apparence, etc. Nous vivons dans un monde instantané et nous voudrions tout, immédiatement. L’Éternel éprouve souvent nos motivations et teste par cela notre patience, notre foi et notre confi ance. Il est primordial d’apprendre à lutter pour garder notre contentement et ne pas se le faire ravir par l’ennemi. Ecclésiaste 6 : 9 : « Il vaut mieux être content de ce que l’on a que de se laisser entraîner par ses désirs, car cela est aussi inutile que de poursuivre le vent. » (version en français courant).
L’apôtre Paul nous apprend, par sa vie, un principe important. Philippiens 4 :11-13 : « J’ai appris à être content de l’état où je me trouve. Je sais vivre dans l’humiliation, et je sais vivre dans l’abondance. En tout et partout j’ai appris à être rassasié et à avoir faim, à être dans l’abondance et à être dans la disette. Je puis tout par celui qui me fortifie. » Cette maxime de Paul est bien loin de celle de nos contemporains. Je ne sais pas si, à l’époque, les gens étaient tous comme lui. Je ne le pense pas, mais ce verset biblique s’applique à nous tous et nous invite à nous contenter de ce que nous avons ! Voilà une démarche qui est bien contraire à celle de la société actuelle, laquelle nous apprend plutôt à défendre nos droits et à réclamer ce que nous n’avons pas ! Cela commence par notre propre personne. Apprenons à être contents de notre personnalité, de notre apparence, etc. Nous vivons dans un monde instantané et nous voudrions tout, immédiatement. L’Éternel éprouve souvent nos motivations et teste par cela notre patience, notre foi et notre confi ance. Il est primordial d’apprendre à lutter pour garder notre contentement et ne pas se le faire ravir par l’ennemi. Ecclésiaste 6 : 9 : « Il vaut mieux être content de ce que l’on a que de se laisser entraîner par ses désirs, car cela est aussi inutile que de poursuivre le vent. » (version en français courant).
La reconnaissance
C’est un principe biblique lié directement au fait de savoir qui nous sommes et qui est Dieu. Si nous réalisons vraiment d’où nous venons et ce à quoi nous sommes appelés, alors nous allons découvrir la vraie reconnaissance. Il s’agit tout simplement de dire merci à quelqu’un pour quelque chose ! Cela se démontre par un geste, une parole, un cadeau ou au travers de notre joie. Salomon reconnaît lui-même que les choses qui nous réjouissent sont un don de Dieu. Elles peuvent être des sujets de reconnaissance constante.
C’est un principe biblique lié directement au fait de savoir qui nous sommes et qui est Dieu. Si nous réalisons vraiment d’où nous venons et ce à quoi nous sommes appelés, alors nous allons découvrir la vraie reconnaissance. Il s’agit tout simplement de dire merci à quelqu’un pour quelque chose ! Cela se démontre par un geste, une parole, un cadeau ou au travers de notre joie. Salomon reconnaît lui-même que les choses qui nous réjouissent sont un don de Dieu. Elles peuvent être des sujets de reconnaissance constante.
Ecclésiaste 3 : 13 : « Si un homme mange et boit et jouit du bien-être au milieu de tout son travail, c’est là un don de Dieu. »
Pourquoi être reconnaissant ?
Pour pouvoir être reconnaissants, il faut savoir ce que nous avons reçu ! Nous avons tous en nous un potentiel extraordinaire : la vie ! Merci pour la personne que je suis ; je suis extraordinaire, unique, créé par Dieu.
Pour pouvoir être reconnaissants, il faut savoir ce que nous avons reçu ! Nous avons tous en nous un potentiel extraordinaire : la vie ! Merci pour la personne que je suis ; je suis extraordinaire, unique, créé par Dieu.
Psaume 139 : 13-14 : « C’est toi qui as formé mes reins, qui m’as tissé dans le sein de ma mère. Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes oeuvres sont admirables, et mon âme le reconnaît bien. » Dieu nous fait cadeau de la vie et nous en donne le mode d’emploi au travers de sa Parole.
Être reconnaissant et dire merci à Dieu
Apocalypse 11 : 17 « Nous te rendons grâces, Seigneur Dieu Tout-Puissant, qui es, et qui étais, de ce que tu as saisi ta grande puissance et pris possession de ton règne. » La reconnaissance est une qualité qui se perd, car nous ne sommes pas enseignés à considérer à sa juste valeur ce que nous avons reçu. Plus on en a, plus on en veut ! Ainsi, la publicité est censée créer un besoin et très souvent, elle y parvient ! Bien qu’elle puisse nous proposer de bonnes choses, son message consiste souvent à nous dire « tu n’as pas encore assez, tu peux avoir plus et encore plus… ». À force d’entendre cela nous commençons à ressentir un manque et le désir de posséder l’objet qu’elle nous vante. Si nous achetons cet objet, le sentiment de satisfaction sera vite oublié et nous commençons à rechercher une autre chose.
Apocalypse 11 : 17 « Nous te rendons grâces, Seigneur Dieu Tout-Puissant, qui es, et qui étais, de ce que tu as saisi ta grande puissance et pris possession de ton règne. » La reconnaissance est une qualité qui se perd, car nous ne sommes pas enseignés à considérer à sa juste valeur ce que nous avons reçu. Plus on en a, plus on en veut ! Ainsi, la publicité est censée créer un besoin et très souvent, elle y parvient ! Bien qu’elle puisse nous proposer de bonnes choses, son message consiste souvent à nous dire « tu n’as pas encore assez, tu peux avoir plus et encore plus… ». À force d’entendre cela nous commençons à ressentir un manque et le désir de posséder l’objet qu’elle nous vante. Si nous achetons cet objet, le sentiment de satisfaction sera vite oublié et nous commençons à rechercher une autre chose.
Ce vide ne sera jamais comblé, car il est uniquement basé sur la spirale de la consommation. C’est un réel danger que d’être pris dans ce système. Il nous conduit à perdre notre reconnaissance et à nous plaindre lorsque la moindre chose nous fait défaut. Cette attitude nous conduira aussi à revendiquer nos droits, faire la grève ou déposer une plainte pour toute entrave à notre confort. Les gens qui ont le moins savent souvent donner et être reconnaissants pour ce qu’ils ont. En Afrique par exemple, de nombreuses personnes remercient Dieu pour l’eau et la nourriture, et elles le font sincèrement car elles en connaissent bien la valeur. Dans les pays occidentaux, il suffit que l’électricité ou l’eau s’arrêtent pendant une heure pour que de nombreuses plaintes soient formulées envers les autorités.
• Être reconnaissant pour Jésus.
1Timothée 1 : 12-13 « Je rends grâces à celui qui m’a fortifié, à Jésus-Christ notre Seigneur, de ce qu’il m’a jugé fidèle, en m’établissant dans le ministère. » Christ est notre Sauveur, il est mort pour nous, il nous aime, nous pardonne, etc. Comment oublier de le remercier ?
1Timothée 1 : 12-13 « Je rends grâces à celui qui m’a fortifié, à Jésus-Christ notre Seigneur, de ce qu’il m’a jugé fidèle, en m’établissant dans le ministère. » Christ est notre Sauveur, il est mort pour nous, il nous aime, nous pardonne, etc. Comment oublier de le remercier ?
• Être reconnaissant pour nos proches
1 Timothée 1 : 2 « Nous rendons continuellement grâces à Dieu pour vous tous, faisant mention de vous dans nos prières. » Dieu a placé à nos côtés nos semblables pour que nous Le découvrions, Lui, aussi à travers eux. Ceux qui nous entourent nous présentent tous une facette de Dieu. Nous pouvons donc lui dire merci pour les gens qu’il a placé à nos côtés dans notre famille, notre église ou notre travail. Ce n’est pas de l’hypocrisie ; il y a sans aucun doute certaines choses qui nous gênent chez les autres, mais cela ne doit pas nous empêcher de louer Dieu pour eux !
1 Timothée 1 : 2 « Nous rendons continuellement grâces à Dieu pour vous tous, faisant mention de vous dans nos prières. » Dieu a placé à nos côtés nos semblables pour que nous Le découvrions, Lui, aussi à travers eux. Ceux qui nous entourent nous présentent tous une facette de Dieu. Nous pouvons donc lui dire merci pour les gens qu’il a placé à nos côtés dans notre famille, notre église ou notre travail. Ce n’est pas de l’hypocrisie ; il y a sans aucun doute certaines choses qui nous gênent chez les autres, mais cela ne doit pas nous empêcher de louer Dieu pour eux !
• Connaître celui qui donne !
Imaginons un instant que votre père terrestre soit riche, puissant, fort, gentil… Avec toutes ces qualités, il ne va faire que de bonnes choses pour vous : de bons choix, les bonnes décisions, les bons cadeaux, les bons voyages, etc. Si vous le connaissez, vous allez lui faire confiance et lui dire merci même sans savoir ce qu’il vous donne, car vous avez confiance qu’il veut le meilleur ! Dieu est comme cela, et même si nous ne le connaissons encore qu’imparfaitement, nous pouvons déjà recevoir la certitude de sa plénitude d’amour et de sa complète fidélité dans l’adversité et l’épreuve. Ainsi, plus nous connaîtrons Dieu, notre Père, plus nous apprendrons à être reconnaissants et à le louer.
Imaginons un instant que votre père terrestre soit riche, puissant, fort, gentil… Avec toutes ces qualités, il ne va faire que de bonnes choses pour vous : de bons choix, les bonnes décisions, les bons cadeaux, les bons voyages, etc. Si vous le connaissez, vous allez lui faire confiance et lui dire merci même sans savoir ce qu’il vous donne, car vous avez confiance qu’il veut le meilleur ! Dieu est comme cela, et même si nous ne le connaissons encore qu’imparfaitement, nous pouvons déjà recevoir la certitude de sa plénitude d’amour et de sa complète fidélité dans l’adversité et l’épreuve. Ainsi, plus nous connaîtrons Dieu, notre Père, plus nous apprendrons à être reconnaissants et à le louer.
Romains 8 : 28 : « Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. »
Comment être reconnaissant
Nos prières, nos louanges et l’adoration sont de précieux moyens de remercier Dieu pour tout ce qu’il a fait et pour ce qu’il est.
Notre reconnaissance peut aussi s’exprimer par des comportements de gratitude. Aider, obéir et servir avec joie sont aussi des actes de reconnaissance. Ceux-ci ne doivent pas être des moyens de « payer » notre salut, mais d’offrir une réponse de gratitude à l’amour de Dieu.
Nos prières, nos louanges et l’adoration sont de précieux moyens de remercier Dieu pour tout ce qu’il a fait et pour ce qu’il est.
Notre reconnaissance peut aussi s’exprimer par des comportements de gratitude. Aider, obéir et servir avec joie sont aussi des actes de reconnaissance. Ceux-ci ne doivent pas être des moyens de « payer » notre salut, mais d’offrir une réponse de gratitude à l’amour de Dieu.
Dans ce sens, il est aussi important de communiquer notre reconnaissance à nos amis, nos proches, nos parents, nos frères et soeurs dans la foi.
Comment développer notre reconnaissance.
Notre reconnaissance va se développer selon la profondeur de notre relation avec Dieu. Ouvrir les yeux sur tout ce qu’il fait dans notre vie et dans ce monde sous l’emprise du mal est un bon moyen de découvrir sa bonté. Le Saint-Esprit est aussi une aide précieuse qui nous apprend à prier et à développer une attitude de reconnaissance envers les bienfaits de Dieu et cela non seulement dans les temps de culte, mais dans notre vécu. Car chaque instant est propice à la louange ! La reconnaissance est un thermomètre dans notre vie spirituelle ; elle montre souvent la température de notre foi. Si nous n’avons pas de gratitude sur nos lèvres, nous risquons bien d’être en dessous de zéro et de commencer à geler… « Afin que l’épreuve de votre foi, plus précieuse que l’or périssable (qui cependant est éprouvé par le feu), ait pour résultat la louange, la gloire et l’honneur, lorsque Jésus-Christ apparaîtra. » 1 Pierre 1 : 7.
Notre reconnaissance va se développer selon la profondeur de notre relation avec Dieu. Ouvrir les yeux sur tout ce qu’il fait dans notre vie et dans ce monde sous l’emprise du mal est un bon moyen de découvrir sa bonté. Le Saint-Esprit est aussi une aide précieuse qui nous apprend à prier et à développer une attitude de reconnaissance envers les bienfaits de Dieu et cela non seulement dans les temps de culte, mais dans notre vécu. Car chaque instant est propice à la louange ! La reconnaissance est un thermomètre dans notre vie spirituelle ; elle montre souvent la température de notre foi. Si nous n’avons pas de gratitude sur nos lèvres, nous risquons bien d’être en dessous de zéro et de commencer à geler… « Afin que l’épreuve de votre foi, plus précieuse que l’or périssable (qui cependant est éprouvé par le feu), ait pour résultat la louange, la gloire et l’honneur, lorsque Jésus-Christ apparaîtra. » 1 Pierre 1 : 7.
L’épreuve doit amener à la louange et non à l’amertume ! Par exemple, Job a eu plus d’épreuves qu’aucun autre homme sur la terre, mais, malgré ses souffrances, il a su garder une attitude de respect et de louange envers son Dieu. « Je suis sorti nu du sein de ma mère, et nu je retournerai dans le sein de la terre. L’Éternel a donné, et l’Éternel a ôté ; que le nom de l’Éternel soit béni ! En tout cela, Job ne pécha point et n’attribua rien d’injuste à Dieu. » Job 1 : 21-22.
Cet exemple de Job au sein du malheur et de l’adversité est une belle invitation à garder une attitude de reconnaissance et d’espérance en toute occasion. Car un jour, le Dieu vivant et généreux paraîtra pleinement et nous verrons alors comme nous étions aimés par lui.
Article tiré du livre « Aimer Dieu » de Sylvain Freymond, Éd. de Jeunesse en Mission
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Re: FÊTE DE L'ACTION DE GRÂCE AU CANADA (THANKSGIVING)...
MERCI MON DIEU POUR TES BIENFAITS !
TRÈS BEAU ! CLIQUER ICI... Merci mon Dieu
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Re: FÊTE DE L'ACTION DE GRÂCE AU CANADA (THANKSGIVING)...
Thanksgiving et Action de Grâce
La fête de la récolte
Action de Grâce et Thanksgiving sont des fêtes de l'automne et de la récolte, que l'on célèbre respectivement au Canada le deuxième lundi d'octobre et aux États-Unis le quatrième jeudi de novembre. Dans les deux cas, la dinde sera au menu !
Aux Etats-Unis
Créée à l’origine par les pèlerins européens pour célébrer leur première récolte obtenue grâce à l’aide des indiens, cette fête est désormais l’occasion de se réunir en famille et rendre grâce pour tous les bienfaits observés dans l’année. C'est tout à la fois une fête nationale chômée, une fête religieuse où l'on rend grâce à Dieu, et dans le même temps une fête qui annonce la période commerciale la plus active de l'année puisque dès le lendemain commencent, aux Etats-Unis, les achats de Noël.
Un menu typique
Le repas typique de Thanksgiving se prépare plusieurs jours à l'avance et se compose généralement d’une dinde rôtie farcie, de purée de pommes de terre ou de patates douces, de maïs, de sauce de "cranberries", de pois verts ou autres légumes. Le dessert fait la part belle aux ingrédients de saison puisque sont généralement présentées des tartes aux pommes, des tartes à la citrouille ou encore des tartes aux noix de pécan. Si la dinde symbolise à elle seule le repas de Thanksgiving, c'est tout simplement parce que cet animal est originaire du nouveau monde et que les premiers colons n'en avaient donc jamais vu avant d'arriver en Amérique. Son succès fut tel que la dinde arriva rapidement en Europe où elle supplanta même, pour les réveillons, l'oie traditionnelle.
L'Action de grâce au Canada
La toute première Action de grâce remonterait au XVIème siècle, lorsque l’explorateur anglais Martin Frobisher célébra une cérémonie pour remercier Dieu de l'avoir protégé durant son périple au Canada. Puis l'Action de Grâce devint une fête de la moisson et des récoltes, qui n'avait pas lieu à date fixe mais pouvait être associée à d'autres thématiques, commémoration ou anniversaires. A l'heure actuelle, cette fête est fixée au deuxième lundi d’octobre, sur une décision du Parlement du Canada, qui l'a définie comme une fête religieuse d'action de grâce.
Gilles. Ville de Québec - Canada
La fête de la récolte
Action de Grâce et Thanksgiving sont des fêtes de l'automne et de la récolte, que l'on célèbre respectivement au Canada le deuxième lundi d'octobre et aux États-Unis le quatrième jeudi de novembre. Dans les deux cas, la dinde sera au menu !
Aux Etats-Unis
Créée à l’origine par les pèlerins européens pour célébrer leur première récolte obtenue grâce à l’aide des indiens, cette fête est désormais l’occasion de se réunir en famille et rendre grâce pour tous les bienfaits observés dans l’année. C'est tout à la fois une fête nationale chômée, une fête religieuse où l'on rend grâce à Dieu, et dans le même temps une fête qui annonce la période commerciale la plus active de l'année puisque dès le lendemain commencent, aux Etats-Unis, les achats de Noël.
Un menu typique
Le repas typique de Thanksgiving se prépare plusieurs jours à l'avance et se compose généralement d’une dinde rôtie farcie, de purée de pommes de terre ou de patates douces, de maïs, de sauce de "cranberries", de pois verts ou autres légumes. Le dessert fait la part belle aux ingrédients de saison puisque sont généralement présentées des tartes aux pommes, des tartes à la citrouille ou encore des tartes aux noix de pécan. Si la dinde symbolise à elle seule le repas de Thanksgiving, c'est tout simplement parce que cet animal est originaire du nouveau monde et que les premiers colons n'en avaient donc jamais vu avant d'arriver en Amérique. Son succès fut tel que la dinde arriva rapidement en Europe où elle supplanta même, pour les réveillons, l'oie traditionnelle.
L'Action de grâce au Canada
La toute première Action de grâce remonterait au XVIème siècle, lorsque l’explorateur anglais Martin Frobisher célébra une cérémonie pour remercier Dieu de l'avoir protégé durant son périple au Canada. Puis l'Action de Grâce devint une fête de la moisson et des récoltes, qui n'avait pas lieu à date fixe mais pouvait être associée à d'autres thématiques, commémoration ou anniversaires. A l'heure actuelle, cette fête est fixée au deuxième lundi d’octobre, sur une décision du Parlement du Canada, qui l'a définie comme une fête religieuse d'action de grâce.
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