Lien entre avortement et dépression post partum
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Lien entre avortement et dépression post partum
Vous connaissez sans doute le phénomène de la dépression post avortement. Nombre de femmes le vivent immédiatement suite à leurs IVG.
J'aimerai vous parler d'un phénomène moins connu.
Il y a des femmes qui se sont faites avorter et qui semblent aller bien. Elles reprennent leurs vies et banalisent cet acte.
Cependant quand elles tombent à nouveau enceintes, mènent leurs grossesses à terme, après l'accouchement, elles font souvent des dépressions post partum.
On voit ici que l'avortement n'est pas anodin, et à des répercussions sur le long terme. Quand ces femmes sont confrontées à la maternité réelle, l'acte de mort qu'elles se sont infligées resurgit de manière violente et sournoise. Comprennent elles enfin, lorsqu'elles donnent la vie, sa sacralité ?
Elles sentent en elles une grande tristesse, un vide, elles n'arrivent pas à s'occuper de leurs bébés. Le lien entre l'enfant et la mère a du mal à se faire. Il leur faut plusieurs semaines à plusieurs mois pour sortir la tete de l'eau et que la vie reprenne le dessus. C'est un chemin pour elles très douloureux et culpabilisant.
Le corps médical essaye de les soigner mais ils ne s'intéressent jamais à un avortement antérieur.
Le taux de rechute lors d'une nouvelle grossesse est donc élevé. Le problème n'est pas résolu.
Si vous avez des femmes autour de vous qui connaissent des dépressions post partum, demandez leur si elles ont pratiqué des avortements. Vous pouvez les aider et aider leurs touts petits, qui ne demandent qu'à avoir une maman épanouie à leurs côtés.
J'aimerai vous parler d'un phénomène moins connu.
Il y a des femmes qui se sont faites avorter et qui semblent aller bien. Elles reprennent leurs vies et banalisent cet acte.
Cependant quand elles tombent à nouveau enceintes, mènent leurs grossesses à terme, après l'accouchement, elles font souvent des dépressions post partum.
On voit ici que l'avortement n'est pas anodin, et à des répercussions sur le long terme. Quand ces femmes sont confrontées à la maternité réelle, l'acte de mort qu'elles se sont infligées resurgit de manière violente et sournoise. Comprennent elles enfin, lorsqu'elles donnent la vie, sa sacralité ?
Elles sentent en elles une grande tristesse, un vide, elles n'arrivent pas à s'occuper de leurs bébés. Le lien entre l'enfant et la mère a du mal à se faire. Il leur faut plusieurs semaines à plusieurs mois pour sortir la tete de l'eau et que la vie reprenne le dessus. C'est un chemin pour elles très douloureux et culpabilisant.
Le corps médical essaye de les soigner mais ils ne s'intéressent jamais à un avortement antérieur.
Le taux de rechute lors d'une nouvelle grossesse est donc élevé. Le problème n'est pas résolu.
Si vous avez des femmes autour de vous qui connaissent des dépressions post partum, demandez leur si elles ont pratiqué des avortements. Vous pouvez les aider et aider leurs touts petits, qui ne demandent qu'à avoir une maman épanouie à leurs côtés.
Giannini- Avec Sainte Therese de l'Enfant Jésus
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