Corée du Nord menace l'Amérique d'une frappe nucléaire "à tout moment"
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Re: Corée du Nord menace l'Amérique d'une frappe nucléaire "à tout moment"
jeudi 1er septembre 2016
La Corée du Nord aurait équipé ses troupes d'élite de «sacs à dos nucléaires»
Une source militaire a révélé à Radio Free Asia que, lors d’exercices militaires, les troupes d'élite de Kim Jong-Un seraient équipées d’étranges «sacs à dos nucléaires» qui leur permettraient d'attaquer la Corée du Sud en cas d’escalade.
Selon les informations obtenues par les journalistes de Radio Free Asia, le secret des mystérieux sacs à dos dont étaient doté les soldats nord-coréens lors de la parade célébrant les 70 ans du Parti National des Travailleurs en octobre dernier serait éventé.
Dans ces sacs à dos, les soldats de ces troupes d’élite auraient un ballon qui pèserait entre 10 et 30 kilogrammes et permettrait de projeter une substance radioactive, vraisemblablement de l'uranium, sur un ennemi en cas de nécessité.
Ces informations présentées par Radio Free Asia, financée par les Etats-Unis n’ont pour autant pas été vérifiées.
Les relations entre les deux Corées voisines, traditionnellement tendues, ne cessent de s’aggraver. Le 27 août, la Corée du Nord a menacé de tirer sur des infrastructures électriques utilisées par les armées américaine et sud-coréenne dans un village situé à l'intérieur de la zone démilitarisée, entre les deux pays.
Lire aussi : Pyongyang menace les garnisons américaines et sud-coréennes à sa frontière
La Corée du Nord aurait équipé ses troupes d'élite de «sacs à dos nucléaires»
Une source militaire a révélé à Radio Free Asia que, lors d’exercices militaires, les troupes d'élite de Kim Jong-Un seraient équipées d’étranges «sacs à dos nucléaires» qui leur permettraient d'attaquer la Corée du Sud en cas d’escalade.
Selon les informations obtenues par les journalistes de Radio Free Asia, le secret des mystérieux sacs à dos dont étaient doté les soldats nord-coréens lors de la parade célébrant les 70 ans du Parti National des Travailleurs en octobre dernier serait éventé.
Dans ces sacs à dos, les soldats de ces troupes d’élite auraient un ballon qui pèserait entre 10 et 30 kilogrammes et permettrait de projeter une substance radioactive, vraisemblablement de l'uranium, sur un ennemi en cas de nécessité.
Ces informations présentées par Radio Free Asia, financée par les Etats-Unis n’ont pour autant pas été vérifiées.
Les relations entre les deux Corées voisines, traditionnellement tendues, ne cessent de s’aggraver. Le 27 août, la Corée du Nord a menacé de tirer sur des infrastructures électriques utilisées par les armées américaine et sud-coréenne dans un village situé à l'intérieur de la zone démilitarisée, entre les deux pays.
Lire aussi : Pyongyang menace les garnisons américaines et sud-coréennes à sa frontière
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Corée du Nord menace l'Amérique d'une frappe nucléaire "à tout moment"
samedi 10 septembre 2016
Ici, une manifestation anti-Corée du Nord à Séoul, au Sud, le 10 septembre 2016
Menacée de nouvelles sanctions par l'ONU, la Corée du Nord défie les États-Unis
La Corée du Nord a défié ce samedi les États-Unis en affirmant qu'elle ne plierait pas devant le "chantage" américain, alors que le Conseil de sécurité de l'ONU va préparer de nouvelles sanctions en réaction au nouvel essai nucléaire effectué par le régime.
Le régime de Kim Jong-un reste droit dans ses bottes. La Corée du Nord a défié ce samedi les Etats-Unis par le biais de la presse officielle, en affirmant qu'elle ne plierait pas devant le "chantage" américain, au lendemain d'un cinquième essai nucléaire effectué malgré toutes les interdictions internationales.
"L'époque où les Etats-Unis pouvaient faire un chantage nucléaire unilatéral à la RPDC est révolue", écrit ce samedi le Rodong Sinmun, journal du parti au pouvoir à Pyongyang, en référence au nom officiel de la Corée du Nord (République populaire et démocratique de Corée)."Les Etats-Unis sont exaspérés par les mesures militaires fortes prises progressivement par la RPDC", ajoute-t-il.
L'article 41 concerne "des mesures n'impliquant pas l'utilisation de la force armée".Les Etats-Unis, la France et le Japon ont réclamé de nouvelles et lourdes sanctions contre le régime autoritaire. Celui-ci est frappé depuis mars par de très sévères restrictions économiques, financières et commerciales, à la suite de son quatrième test atomique mené en janvier. Washington et Pékin avaient mis deux mois à mettre au point cette résolution.L'ambassadeur chinois Liu Jieyi s'est lui montré très prudent, estimant qu'il fallait "s'abstenir de toute provocation des deux côtés".
Or pour imposer de nouvelles sanctions ou appliquer strictement celles existantes, il faudra compter sur la bonne volonté de Pékin, premier partenaire économique de Pyongyang.S'il a dénoncé l'"aventurisme dangereux" de Pyongyang, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a jugé depuis Genève qu'il fallait "s'abstenir de prendre des mesures qui pourraient aggraver les tensions et mettre la région à deux doigts d'un affrontement armé".
"Notre patience, comme celle de la communauté internationale, a atteint ses limites", a déclaré vendredi la présidente sud-coréenne Park Geun-Hye, dénonçant "l'inconscience maniaque" du dirigeant nord-coréen Kim Jong-Un.
Samedi, la Corée du Nord a renouvelé une bordée d'injures personnelles contre la présidente sud-coréenne. Le Rodong Sinmun, organe officiel du parti au pouvoir à Pyongyang l'a notamment qualifiée de "sale prostituée" des forces étrangères, pour des critiques que Park Geun-Hye avait formulées contre les récents tirs nord-coréens de missiles balistiques.
Mais pour le journal Hankyoreh, classé à gauche, ce cinquième essai, huit mois après le précédent, illustre l'échec de la stratégie internationale de sanctions. "Il faut cesser de tout miser sur la théorie illusoire selon laquelle le Nord serait proche de l'implosion. Une nouvelle stratégie globale est nécessaire", préconise le journal.
Les résolutions de l'ONU interdisent au Nord toute activité nucléaire ou balistique et cinq séries de sanctions internationales ont visé le pays depuis son premier test atomique en 2006.
"Cette explosion de dix kilotonnes, c'était presque deux fois plus que le quatrième essai nucléaire et légèrement moins que le bombardement d'Hiroshima, qui avait été mesuré à 15 kilotonnes environ", a expliqué Kim Nam-Wook de l'agence météorologique sud-coréenne.
Si Pyongyang arrivait à fabriquer une bombe nucléaire assez petite pour équiper un missile, et renforcer la précision, la portée et la capacité de ses vecteurs, elle se rapprocherait de son objectif maintes fois affiché: être capable d'atteindre des cibles américaines.
Ici, une manifestation anti-Corée du Nord à Séoul, au Sud, le 10 septembre 2016
Menacée de nouvelles sanctions par l'ONU, la Corée du Nord défie les États-Unis
La Corée du Nord a défié ce samedi les États-Unis en affirmant qu'elle ne plierait pas devant le "chantage" américain, alors que le Conseil de sécurité de l'ONU va préparer de nouvelles sanctions en réaction au nouvel essai nucléaire effectué par le régime.
Le régime de Kim Jong-un reste droit dans ses bottes. La Corée du Nord a défié ce samedi les Etats-Unis par le biais de la presse officielle, en affirmant qu'elle ne plierait pas devant le "chantage" américain, au lendemain d'un cinquième essai nucléaire effectué malgré toutes les interdictions internationales.
"L'époque où les Etats-Unis pouvaient faire un chantage nucléaire unilatéral à la RPDC est révolue", écrit ce samedi le Rodong Sinmun, journal du parti au pouvoir à Pyongyang, en référence au nom officiel de la Corée du Nord (République populaire et démocratique de Corée)."Les Etats-Unis sont exaspérés par les mesures militaires fortes prises progressivement par la RPDC", ajoute-t-il.
Sanctions et prudence
Vendredi soir, le Conseil de sécurité de l'ONU a décidé de s'atteler à une nouvelle résolution pour imposer des sanctions à Pyongyang. Dans une déclaration unanime, les 15 membres du Conseil de sécurité, dont la Chine alliée de Pyongyang, ont indiqué qu'ils allaient "commencer immédiatement à travailler sur des mesures appropriées, selon l'article 41 de la Charte de l'ONU, et sur une résolution du Conseil".L'article 41 concerne "des mesures n'impliquant pas l'utilisation de la force armée".Les Etats-Unis, la France et le Japon ont réclamé de nouvelles et lourdes sanctions contre le régime autoritaire. Celui-ci est frappé depuis mars par de très sévères restrictions économiques, financières et commerciales, à la suite de son quatrième test atomique mené en janvier. Washington et Pékin avaient mis deux mois à mettre au point cette résolution.L'ambassadeur chinois Liu Jieyi s'est lui montré très prudent, estimant qu'il fallait "s'abstenir de toute provocation des deux côtés".
Or pour imposer de nouvelles sanctions ou appliquer strictement celles existantes, il faudra compter sur la bonne volonté de Pékin, premier partenaire économique de Pyongyang.S'il a dénoncé l'"aventurisme dangereux" de Pyongyang, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a jugé depuis Genève qu'il fallait "s'abstenir de prendre des mesures qui pourraient aggraver les tensions et mettre la région à deux doigts d'un affrontement armé".
Le Nord insulte son voisin
Les sanctions actuellement à l'oeuvre sont loin d'avoir eu l'effet escompté. Avant de faire exploser vendredi une cinquième bombe nucléaire, la Corée du Nord avait multiplié les tirs de missiles balistiques, certains projectiles allant s'abîmer jusque dans les eaux japonaises."Notre patience, comme celle de la communauté internationale, a atteint ses limites", a déclaré vendredi la présidente sud-coréenne Park Geun-Hye, dénonçant "l'inconscience maniaque" du dirigeant nord-coréen Kim Jong-Un.
Samedi, la Corée du Nord a renouvelé une bordée d'injures personnelles contre la présidente sud-coréenne. Le Rodong Sinmun, organe officiel du parti au pouvoir à Pyongyang l'a notamment qualifiée de "sale prostituée" des forces étrangères, pour des critiques que Park Geun-Hye avait formulées contre les récents tirs nord-coréens de missiles balistiques.
Manifestation à Séoul
De leur côté, les médias sud-coréens apparaissent partagés entre l'idée de durcir la riposte internationale, ou au contraire de changer radicalement de stratégie face à l'entêtement de la Corée du Nord. "Il faut mettre en oeuvre une stratégie pour isoler Kim Jong-Un et sa clique de l'intérieur, et les renverser", demande le quotidien conservateur Chosun Ilbo. Plusieurs dizaines de Sud-Coréens ont manifesté à Séoul et incendié une effigie du leader nord-coréen.Mais pour le journal Hankyoreh, classé à gauche, ce cinquième essai, huit mois après le précédent, illustre l'échec de la stratégie internationale de sanctions. "Il faut cesser de tout miser sur la théorie illusoire selon laquelle le Nord serait proche de l'implosion. Une nouvelle stratégie globale est nécessaire", préconise le journal.
Les résolutions de l'ONU interdisent au Nord toute activité nucléaire ou balistique et cinq séries de sanctions internationales ont visé le pays depuis son premier test atomique en 2006.
L'objectif, atteindre les Etats-Unis
La Corée du Nord a affirmé vendredi avoir réussi à tester une tête nucléaire susceptible d'équiper un missile. D'après les médias officiels nord-coréens, ce dernier test a permis à Pyongyang d'atteindre une capacité de miniaturiser une ogive nucléaire afin de pouvoir la monter sur un missile."Cette explosion de dix kilotonnes, c'était presque deux fois plus que le quatrième essai nucléaire et légèrement moins que le bombardement d'Hiroshima, qui avait été mesuré à 15 kilotonnes environ", a expliqué Kim Nam-Wook de l'agence météorologique sud-coréenne.
Si Pyongyang arrivait à fabriquer une bombe nucléaire assez petite pour équiper un missile, et renforcer la précision, la portée et la capacité de ses vecteurs, elle se rapprocherait de son objectif maintes fois affiché: être capable d'atteindre des cibles américaines.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Corée du Nord menace l'Amérique d'une frappe nucléaire "à tout moment"
dimanche 25 septembre 2016
La Corée du Sud dit avoir un plan pour tuer Kim Jong-un
"Si la Corée du Sud se sent menacée, nous avons l'intention d'utiliser des missiles de précision", a déclaré le ministre sud-coréen de la Défense alors que Pyongyang a mené, début septembre, son cinquième essai nucléaire.
L'information ne va pas arranger les relations entre Séoul et Pyongyang. La Corée du Sud aurait un plan pour assassiner Kim Jong-un si le leader de la Corée du Nord, Kim Jong-un, n'arrête pas les essais nucléaires. Cité par CNN(en anglais), vendredi 23 septembre, le ministre sud-coréen de la Défense a indiqué que son pays dispose de troupes d'élite prêtes à éliminer le dirigeant si les essais se poursuivent.
"Si la Corée du Sud se sent menacée, nous avons l'intention d'utiliser des missiles de précision pour cibler les installations de l'ennemi [la Corée du Nord] dans des zones stratégiques, ainsi que d'éliminer son leader", a-t-il déclaré au Parlement sud-coréen.
La Corée du Nord a affirmé avoir réussi son cinquième essai nucléaire, le 9 septembre. Il s'agit, d'après Séoul, du plus puissant test réalisé à ce jour. Selon un membre de l'agence météorologique sud-coréenne, "cette explosion de 10 kilotonnes était presque deux fois plus puissante que le quatrième essai nucléaire et légèrement moins que le bombardement d'Hiroshima, qui avait été mesuré à 15 kilotonnes environ".
Franceinfo
La Corée du Sud dit avoir un plan pour tuer Kim Jong-un
"Si la Corée du Sud se sent menacée, nous avons l'intention d'utiliser des missiles de précision", a déclaré le ministre sud-coréen de la Défense alors que Pyongyang a mené, début septembre, son cinquième essai nucléaire.
L'information ne va pas arranger les relations entre Séoul et Pyongyang. La Corée du Sud aurait un plan pour assassiner Kim Jong-un si le leader de la Corée du Nord, Kim Jong-un, n'arrête pas les essais nucléaires. Cité par CNN(en anglais), vendredi 23 septembre, le ministre sud-coréen de la Défense a indiqué que son pays dispose de troupes d'élite prêtes à éliminer le dirigeant si les essais se poursuivent.
"Si la Corée du Sud se sent menacée, nous avons l'intention d'utiliser des missiles de précision pour cibler les installations de l'ennemi [la Corée du Nord] dans des zones stratégiques, ainsi que d'éliminer son leader", a-t-il déclaré au Parlement sud-coréen.
La Corée du Nord a affirmé avoir réussi son cinquième essai nucléaire, le 9 septembre. Il s'agit, d'après Séoul, du plus puissant test réalisé à ce jour. Selon un membre de l'agence météorologique sud-coréenne, "cette explosion de 10 kilotonnes était presque deux fois plus puissante que le quatrième essai nucléaire et légèrement moins que le bombardement d'Hiroshima, qui avait été mesuré à 15 kilotonnes environ".
Franceinfo
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