LA TYRANNIE LIBERTICIDE FRAPPE LA BELGIQUE DE PLEIN FOUET !
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LA TYRANNIE LIBERTICIDE FRAPPE LA BELGIQUE DE PLEIN FOUET !
BELGIQUE NAZIE : LE DEBUT DES SOUFFRANCES LIEES A LA TYRANNIE "ANTITERRORISTE" ET DE L'ETAT-POLICIER !!!
Lorsque les nazis sont venus chercher les communistes
Je me suis tu, je n'étais pas communiste.
Lorsqu'ils sont venus chercher les syndicalistes
Je me suis tu, je n'étais pas syndicaliste.
Lorsqu'ils sont venus chercher les sociaux-démocrates
Je me suis tu, je n'étais pas social-démocrate.
Lorsqu'ils sont venus chercher les juifs
Je me suis tu, je n'étais pas juif.
Puis ils sont venus me chercher
Et il ne restait plus personne pour protester.
Poème du pasteur Martin Niemöller, qui fut arrêté et envoyé au camp de concentration nazi de Sachsenhausen en 1937.
Chers amis,
Je vous avais averti contre les dangers liés à votre apathie depuis bien longtemps, en vous montrant ce qui se passait dans d'autres pays... Peut-être n'aviez -vous pas pris ces centazines d'articles au sérieux ?... VOICI LE RESULTAT AUJOURD'HUI. Vous ne pourrez pas dire que je ne vous avais pas avertis !!!
Nous avons déjà, en Belgique, le cas de Bahar Kimyongür, dont le énième jugement menace en réalité tous les citoyens belges, ainsi que la liberté d'association et la liberté d'expression. Aujourd'hui, nous avons à nouveau des exemples flagrants de bavures et d'exagérations de la "nouvelle police" (comprenez les néo-S.S. de la Gestapo "antiterroriste")...
Souvenez-vous : pour les gouvernements félons, nous sommes TOUS des "terroristes" !!! Opposants, manifestants, travailleurs mécontents, activistes, dissidents, militants... et bien d'autres encore ! CHAQUE citoyen, MÊME INNOCENT, représente à présent l'image de cet "Adversaire Universel" contre lequel les forces de l'ordre mondial luttent ! Vous êtes sympathisant de telle ou telle cause "rebelle", de tel ou tel groupement revendicatif, de tel ou tel groupe de défense des droits de l'homme ou de défense des libertés ? EH BIEN, POUR LES CRAPULES DU GOUVERNEMENT, VOUS ETES UN(E) CRIMINEL(LE) !!!!!!!!!
CE QUE VOUS ALLEZ LIRE AUJOURD'HUI NE S'EST PAS PRODUIT EN CHINE, NI AUX USA DICTATORIAUX, NI AU ROYAUME-UNI DE BIG BROTHER, NI EN FRANCE LIBERTICIDE... CELA SE PASSE DESORMAIS CHEZ NOUS, EN BELGIQUE !!!
Votre apathie personnelle est RESPONSABLE et COUPABLE de ce qui arrive à présent ! Demain, ce pourrait bien être VOUS qui vous retrouverez à la place des infortunés dont il est question ci-dessous...
Souvenez-vous : la Gestapo nouvelle est aveugle et n'épargnera PERSONNE, tout comme l'anciene Gestapo nazie avait fini par suspecter et contrôler tout le monde et n'importe qui !!!
Pour ce nouvel ordre mondial pourri, nous sommes tous coupables de VIVRE et de réclamer des LIBERTES.
ALLEZ-VOUS ENCORE TOLERER CETTE CHUTE DANS L'INACCEPTABLE ET DANS LE FASCISME ? REAGISSEZ, BON SANG ! ET MEDITEZ BIEN LE POEME DU PASTEUR NIEMÖLLER, POSTE CI-DESSUS...
Les terribles articles, ci-dessous...
BONNE REVOLUTION... OU BONNES SOUFFRANCES ET BON ESCLAVAGE DANS LE MONDE LIBERTICIDE DE LA TYRANNIE DU NOUVEL ORDRE MONDIAL "ANTITERRORISTE", POLICIER, "SECURITAIRE" ET LIBERTICIDE ! Vic.
ARTICLE 1 : source : http://www.lesoir.be/actualite/belgique/justice-pierre-carette-joue-2008-06-17-606806.shtml
Wahoub Fayoumi:« pourquoi suis-je en prison ?»
MARC METDEPENNINGEN
mardi 17 juin 2008, 07:06
Wahoub Fayoumi, journaliste à la RTBF arrêtée début juin pour « appartenance à une organisation terroriste », en compagnie notamment de Bertrand Sassoye (ex-CCC), a fait parvenir au « Soir » le récit impressionnant de son arrestation, des interrogatoires, de sa détention.
La lettre que nous a fait parvenir, depuis la prison de Berkendael, Wahoub Fayoumi, la journaliste de la RTBF inculpée avec trois autres personnes « d'appartenance à une organisation terroriste », est le premier témoignage authentique (et journalistique) des circonstances dans lesquelles son arrestation et son inculpation se sont déroulées.
Dans ce témoignage, la jeune femme raconte la brutalité de l'opération lancée par le parquet fédéral. Elle dénonce cette confusion apparente entre sympathies politiques affichées et incriminations « terroristes ». Comme ses autres coïnculpés dont la libération a été prononcée par la chambre du conseil de Bruxelles, elle attend la décision de la chambre des mises en accusation, saisie d'un appel du parquet, qui devrait examiner leur maintien en détention le 24 juin prochain.
Aujourd'hui, à 13 h 30, c'est Pierre Carette, l'ex-chef des CCC qui tentera d'obtenir sa libération devant le tribunal d'application des peines (TAP) de Bruxelles chargé d'examiner la révocation de sa libération conditionnelle.
Hier, le « Secours rouge », organisation de soutien aux prisonniers politiques, a réuni la presse pour faire part de ses inquiétudes suite à l'arrestation de ses sympathisants. « L'arrestation de Pierre Carette a permis de ressusciter les CCC. Cette instrumentalisation a entretenu l'idée d'une menace terroriste en se servant de noms. Les arrestations ont également permis de nourrir l'idée que le Secours rouge est un repaire de criminels », a déploré Flor Dewit, porte-parole du Secours Rouge. Il a constaté que depuis un an et demi, les activités du Secours rouge avaient été soumises aux « méthodes particulières de recherche » de la police.
L'avocat de Bertrand Sassoye, Me Laurent Kennes a déploré une « confusion des genres » : « On confond la lutte des classes, qui est une terminologie marxiste, avec une activité terroriste », a-t-il dit, rappelant les vives critiques émises lors de la promulgation de loi sur les organisations terroristes. Bertrand Sassoye comparaîtra le 24 juin devant le TAP. Son ami Jean-François Legros, un ancien détenu, verra son cas examiné le 1er juillet.
ARTICLE 2 : source : http://www.lesoir.be/actualite/belgique/le-cauchemar-lettre-de-prison-2008-06-17-606807.shtml
Le Cauchemar, lettre de prison
Rédaction en ligne
mardi 17 juin 2008, 07:08
Je suis journaliste. Mais ce n'est pas pour ça que j'écris aujourd'hui. Ce texte est mon témoignage. Quelque chose d'immense et d'effrayant m'est arrivé, il y a plus d'une semaine.
C'était jeudi. Le 5 juin, c'est l'anniversaire de mon compagnon. A 5h00 du matin, on frappe à la porte. Je dormais encore, je m'habille vite, ça a l'air important. Lorsque j'ouvre, je vois des policiers dans la cage d'escalier. Il y en a beaucoup. Je pense à un cambriolage. On me dit que c'est pour une perquisition. Chez moi ? « Vous venez chez moi ? » je dis. Oui. Je leur demande pourquoi. « On ne sait pas. On a juste un mandat. » Ils entrent. « Vous êtes seule ? Vous êtes sûres ? » Ils sont 6 ou 7. Ce n'est pas normal. « Que ce passe-t-il ? » je dis. Sur le papier, il y a écrit « terrorisme », « urgence ». « Vous êtes privée de liberté, madame. » On ne réalise rien à ce moment-là. On ne comprend simplement pas les mots. La tête tourne. Ils fouillent. Tout. La cuisine, la salle de bain, mes vêtements, mes livres. Ils mettent des choses de côté, ils disent « on saisit ». ça dure 3 heures. Ils prennent les ordinateurs, des affiches, des livres, un bouquin en arabe. Je leur dit « je dois aller au travail. » « Je ne pense pas que ce soit possible. » Je voudrais téléphoner, mon GSM est déjà saisi. Mon équipe attendra à Reyers, mon compagnon aussi, je ne verrai pas mon frère qui prépare un voyage de plus d'un an en Espagne et au Mali. Personne ne saura où je suis aujourd'hui.
« Au bureau » comme ils disent, c'est l'interrogatoire. Des questions sur mon nom, mon âge, mon loyer, mon numéro de carte de banque, mes opinions politiques, mes amis. Des heures passent, je commence à trembler. Aux questions auxquelles je réponds « je ne sais pas », ils insistent. Avant de comprendre ce qu'ils veulent. Le choc se diffuse lentement, à chaque question. C'est l'après-midi. J'aperçois des hommes cagoulés, armés. Ils viendront me chercher. Il doit être 17 ou 18 heures. Je suis menottée, attachée par une corde que tiennent deux hommes. Je suis masquée, je ne peux rien voir. Trajet en voiture. Sirènes hurlantes, escorte. Arrivée au Palais de Justice. Des couloirs, des ascenseurs, je ne vois rien. On s'arrête. Un homme m'enlève les menottes, mains sur la tête ; un autre, le masque. Je suis face à un mur gris. Une porte se ferme. Je n'ai vu personne. Je n'ai rien vu à part cette porte grise qui s'est fermée, grise comme les murs, comme le rebord en béton. Les murs lisses, affreusement lisses. Il n'y a aucune ouverture. J'ai l'impression d'étouffer. Envie de taper sur ces murs lisses. Je ne dois pas pleurer. Personne ne m'a dit un mot. J'attends. Des heures. 20h ? 22h ? Interrogatoire chez la juge d'instruction. « Vous n'avez pas tout dit ». Un cauchemar qui se poursuit. Je ne sais pas où j'ai mal. Ça va s'arrêter, j'en suis sûre. Je pleure quand elle parle de ma famille. C'en est trop.
A nouveau le cachot. Ma tête est raide. Je m'allonge sur le rebord en béton. Quelle heure est-il ? Est-ce que le temps s'allonge ou se rétrécit ? On reviendra me chercher. Chez la juge, dans ce bureau allumé au fond d'un couloir. « J'ai hésité » elle dit. Alors je sais. Sur mon mandat d'arrêt, il est 2h30.
C'était il y a une semaine et quatre jours. Beaucoup de choses à dire sur le mandat d'arrêt, sur l'inculpation, sur les méthodes.
Des méthodes de cowboys, des interrogatoires où on renverse la charge de la preuve. On m'a épié, surveillée, mise sur écoute, analysé mes comptes bancaires et mon écriture, depuis plus d'un an. Attendait-on de moi que je conforte une hypothèse de départ ? Que je donne des noms qui alimenteraient leur idée ? Leur enquête est restée désespérément vide. Est-ce pour cela que je suis en prison ? Sommes-nous là parce qu'il DOIT y avoir quelque chose ? Il suffirait alors de bien peu : d'affirmer des solidarités, d'avoir des idées politiques. Je l'ai entendu à notre charge, ces idées politiques ont été présentées comme en soi terroristes !
Je n'ai jamais caché mon engagement. Il est public, libre et réfléchi. Défendre des étudiants, des sans-papiers, des prisonniers politiques, se battre pour un monde plus juste, ce ne sont pas des engagements dont on doit avoir honte. Si je n'avais pas été ici, j'aurais été devant ces prisons, j'aurais écrit des communiqués, j'aurais contacté des associations.
La souffrance de ma mère et de mes frères, la solitude de mon compagnon, la tristesse de mes amis, l'incompréhension sur mon lieu de travail, la privation de liberté de quatre militants, la criminalisation de la solidarité, sont-ils des prix à payer ?
Wahoub
Prison de Berkendael
ARTICLE 3 : source : http://www.metrotime.be/digipaperArticlefr.html?storyId=12068536
Le Secours Rouge se justifie
BRUXELLES Le Secours Rouge a dénoncé hier une criminalisation de leur association par les autorités judiciaires et les médias à la suite de l’arrestation de quatre de leurs membres, inculpés du chef d’appartenance à une organisation terroriste.
Le Secours Rouge, une association de solidarité internationale d’extrême gauche qui «vient en aide aux prisonniers politiques détenus pour leur action progressiste, antifasciste et anticapitaliste», estime que les arrestations du 5 juin dernier de Bertrand Sassoye, Wahoub Fayoumi, Ibrahim Abdallah et Constant Hormans ont entretenu «confusion et amalgames» au sein des médias.
«Ces arrestations ont également permis de nourrir l’idée que le Secours Rouge est un repaire de criminels», a déclaré le porte-parole Flor De Wit.
isabella- Avec Saint Joseph
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Re: LA TYRANNIE LIBERTICIDE FRAPPE LA BELGIQUE DE PLEIN FOUET !
Suite à ces articles, j'espère que vous réalisez que nous sommes bien dans un schéma 200% nazi, avec une Gestapo qui combat tout ce qui fait opposition, une Gestapo qui essaie d'installer une atmosphère de peur et d'intimidation, afin que les gens ne réagissent plus.
C'est pourtant là la seule solution : l'opposition et la réaction vive, farouche et irrépressible face aux dictateurs.
Si cette réaction épidermique, citoyenne et saine ne de produit pas très vite, les citoyens belges seront semblables aux "bons Allemands" de la seconde guerre mondiale qui ont accepté l'inacceptable, fût-ce par leur apathie. Et les tyrans se serviront d'eux comme de carpette pour essuyer leurs bottes cloutées... ou pour installer la marque de la bête et le règne de la bête.
Posez-vous donc la question : qu'aurait fait Jésus en présence de démons, d'individus possédés ne respectant rien ? Il les aurait chassés, il les aurait combattus. Car il n'aurait pas permis que le mal l'emporte. Nous nous devons de faire de même, en tant que chrétiens et en tant que citoyens.
C'est pourtant là la seule solution : l'opposition et la réaction vive, farouche et irrépressible face aux dictateurs.
Si cette réaction épidermique, citoyenne et saine ne de produit pas très vite, les citoyens belges seront semblables aux "bons Allemands" de la seconde guerre mondiale qui ont accepté l'inacceptable, fût-ce par leur apathie. Et les tyrans se serviront d'eux comme de carpette pour essuyer leurs bottes cloutées... ou pour installer la marque de la bête et le règne de la bête.
Posez-vous donc la question : qu'aurait fait Jésus en présence de démons, d'individus possédés ne respectant rien ? Il les aurait chassés, il les aurait combattus. Car il n'aurait pas permis que le mal l'emporte. Nous nous devons de faire de même, en tant que chrétiens et en tant que citoyens.
isabella- Avec Saint Joseph
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