Histoire de la communion Eucharistique.

- 1- La célébration de la Messe.
On distingue 4 périodes :
1) du 1er au 3ème siècle ;
L’Eucharistie est célébrée à la maison, le dimanche, jour du Seigneur (voire dans toutes les catacombes) et seul l’évêque préside L’eucharistie.
Tous les baptisés u participent (les catéchumènes uniquement à la liturgie de la parole) et en période de persécution, les diacres et les sous-diacres veillent à ce qu’aucun instruit ne puisse pénétrés dans le lieu tenu ou peu visible.
La liturgie de la Messe comprend la proclamation de la parole homélie, prière universelle, baiser de paix, apport de pain et du vin, prière d’action de grâce et prière eucharistique ; la prière eucharistique comprend : une libre inspiration du célébrant, la prière de consécration, la prière d’action de grâce à Dieu le Père pour la vie donnée en son Fils par l’Esprit Saint.
L’assemblée répond à la fin par un AMEN vigoureux. Puis les diacres assurent le service de la communion qui sera porté aussi au absents malades il y a pas de réserve eucharistiques

2) du4ème au 8 ème siècle

Les chrétiens ont alors toute leur place dans l’empire romain décadent, puis b seront à nouveau persécutés par les barbares.
Se construit des églises non sou forme de temple mais de basiliques. Les temples étaient réservés au prêtre, les fidèles restant sur le parvis, les basiliques sont ouvert à tous. L’Eucharistie est maintenant présidée aussi par les prêtres dans des églises qui se construisent en dépendance avec les grande basiliques la liturgie est plus grandiose, se ritualise progressivement, mais avec une diversité de rites admis, suivant les villes et les langues.
Les vêtements liturgiques se généralisent de la liturgie (le Kyrie guc). L’église d’Occident utilise le latin, alors qu’en Orient, plusieurs langues demeurent araméen, copte, grec, syriaque. On ajoute quelques oraisons au moment des offrandes et après la communion, la prédication par contre se raréfie.

3) des 9-10 ème siècles
Le rôle des prêtres est renforcé, avec la séparation de l’Église d’Orient et de l’Église d’Occident, il y a une forte tendance à une vérification de la liturgie et une séparation prêtres – fidèles- à la fois physique et une forme de prière où certaines sont dites à voix basse pendant la messe ; l’accent est mis sur le mystère de l’eucharistie, le sacrifice, la valeur de la messe comme actes de salut. La messe se célèbre aussi dos au peuple puisque l’on recule l’autel au fond du chœur afin de laisser un large espace pour le clerc.
La réserve eucharistique se généralise et la Présence Réelle avec procession et adoration devient fréquent. Et ceci est d’autan plus marqué que l’on assiste à la messe sans la suivre vraiment, sinon de loin.
Par ailleurs la dévotion des fidèle se tourne vers les pèlerinages et autres actes pénitentiels, car la communion en tant que telle est peut fréquente, et n’est finalement pas au centre de la vie chrétienne.

4) Du 16eme (concile de trente) au 20ème :
La réforme protestante presse l’église catholique à réaffirmer sa théologie du sacrifice eucharistique.
La piété eucharistique se développe en réaction contre le culte protestant et la seule célébration de la Cène désacralisée.
_ La prédication a lieu en dehors de la messe pour ne pas l’interrompe.
_ La communion est un peut plus fréquente, mais a lieu en dehors de la ce n’est qu’une manière d’honorer le Seigneur, avec les processions et le salut du Saint Sacrement.
_ L’autel prend une forme grandiose avec la mise en valeur du Tabernacle la réforme qui suit le Concile de Vatican II, va bientôt dans les années 70 bouleverses, beaucoup de choses, sous l’influence des protestants, l’Eucharistie est présentée beaucoup plus un repas qu’un sacrifice, les formes de dévotion eucharistiques vont diminuer, mais par contre la fréquence de la messe va augmenter. On privilège la Parole, les formes de célébration sont variés, avec une participation les fidèle renforces / chant, langue vernaculaire, ect/.