☼☼☼ L'Imitation de Jésus-Christ ☼☼☼

Joël2013 a écrit:Si ce réalisme, vous l’appliquez à la manière du monde, vous avez tout faux !

Dans ce cas, supprimons la police, la justice, le code civil, le code pénal, l'instruction civique etc etc..

Joël, je ne sais pas qui vous êtes mais ou vous êtes au dessus de la mêlée ou vous faites l'âne pour avoir du son!

Evidemment qu'il faut des lois!!! et des sanctions à leur transgression. Sinon où irait-on?

C'est cela le réalisme dont je parle.

Maintenant rien interdit d'imprégner le réalisme de l'idéal évangélique!

Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu!

Joël, cela ne veut-il pas dire qu'il faut savoir distinguer ce qui est de la terre -et qui peut être bon et juste aussi -et ce qui est du Ciel?

Dites-moi: Si quelqu'un vous agresse, vous vole (vous ou vos enfants par exemple) concrètement, vous Joël, vous faites quoi?

Vous vous laissez tuer, voler ?

Ou vous vous défendez, vous portez plainte?

Répondez en toute honnêteté, Joël! Concrètement, vous faites quoi?

Si quelqu'un vous agresse

un coup de poing et je pars vite me confesser   

Marie Rose a écrit:

Si quelqu'un vous agresse

un coup de poing et je pars vite me confesser   

Vous confesser de quoi, Marie-Rose?

Ah oui!

De n'en avoir donné qu'un!  

Ceci dit, félicitations vous devez avoir une poigne de fer!

OK Joël! Finalement tu es réaliste!

En effet, si l'on peut comprendre les martyrs qui se laissent tuer pour témoigner de leur foi on ne peut pas admettre l'idée de se laisser tuer parce que quelqu'un, par exemple, en veut à notre argent. Ou nous jalouse..Ou en laisser tuer d'autres.

De sorte qu'en bout de course nous sommes d'accord.

Et effectivement mieux vaut prévenir que guérir. En clair demander protection afin de n'avoir pas à affronter ce type de situation..

Marie Rose a écrit:

Si quelqu'un vous agresse

un coup de poing et je pars vite me confesser   

Le père Guy Gilbert que tout le monde connait, appelle cela: une "droite" évangélique (lol)!

Et le coup de poing,il l'a fait. Cela ne l'empêche pas d'être un saint homme; et drôle qui plus est!

Moi lorsque j'ai parlé ce matin je pensais à ma Mère.
Son Mari l'a agressé verbalement et même physiquement et moralement.
Elle a eu soin de son mari jusqu'à sa mort.
En a dit d'elle, elle est une Sainte.
Moi, je me demande. Le message qu'elle laisse à ses enfants. Il y en a qui pensent que l'on doit agir comme son Père.
Et il y a des filles qui se disent on doit agir comme notre Mère.
Moi, je dis il faut casser ces messages pour en laisser d'autres.
Je dis pas se taire.
bon c'est pour ça que je réagissais ce matin.

   la droite évangélique!!!
carmila, si l'on voit une personne se faire agresser,on se doit de la défendre,et de plus cela s'appelle la charité me semble t il
Mais la charité est aussi pour soi même,Dieu ne nous demande pas de nous faire maltraiter,dire amen à chaque coup! Ou alors tout n'est qu'hypocrisie!
la personne en face de moi est enfant de Dieu et je me dois de la respecter, mais moi aussi, je suis aimée de Dieu et suis son enfant!
En plus, tu a bien dit,que laisse t elle comme message à ses enfants"on vous frappe! chut! vous frappez! ce n'est pas grave!" c'est de la tromperie du démon!
Je ne la juge pas, mais pour moi ce n'est pas cela être une sainte
Mais bon, je ne la connais pas
Quand j'ai travaillé en paroisse, après m'être plainte et désirant tout stopper, on m'a dit, "Jésus aussi a souffert"
J'ai donc parlé des abus de mon père, de mes blessures qui s'ouvraient encore plus avec les paroles et les comportements méchants de certaines femmes,j'ai entendu"encore, il faut continuer,encore"
Et quand j'ai voulu me retirer j'ai entendu dire "là Jésus n'est pas content"
Je n'avais plus de santé,plus d’appétit!
Je me suis retrouvée dans un état suicidaire,10 kg en moins! et mon foyer n'avait plus ni épouse ni mère! J'avais l'impression de ne plus être prêt de Dieu,celui qui était toute ma vie, n'était pas content parce que je n'en pouvais plus
Quand j'ai commencé à aller mieux,à la confession j'ai entendu "vous avez quitté car vous n'étiez pas assez unie à Jésus!"
J'en ai eu assez! J'ai dit à Jésus"c'est ça la charité! et moi je ne compte pas pour toi?et bine ça tombe bien, tu n'es pas content? moi non plus!"
je suis allée me confesser à un prêtre qui m'a bien aidé,bien éclairé,et très en colère de ce que l'on me demandait de supporter,soit disant pour le nom de Jésus!
Alors stop à la culpabilité!
Stop à la manipulation!
Faut pas tout confondre et tout mélanger

Merci bien Marie-Rose j'avais bien besoin de me le faire redire.
Dès fois la culpabilité reprend le dessus.

Joël2013 a écrit:Delsantos, tu es dans un monologue et tu n’écoutes pas beaucoup tes frères et sœurs ! Mais sache qui si il fallait tuer mon agresseur pour sauver ma peau, je ne le ferai pas !

Si je comprends bien, tu serais mobilisé pour défendre ta patrie, tu déserterais ou laisserais l'envahisseur prendre possession de ton pays.

Ou si tes enfants -si tu en as- étaient attaqués tu les laisserais se faire tuer..

Pour toi la notion de légitime défense est sans objet?

Joël, je ne suis pas dans un monologue mais je ne change pas mes opinions quand je suis certain qu'elles sont bonnes...Désolé!

Et si tu persistes à me dire que j'ai tort, alors il va falloir m'apprendre ce qu'est la vie exactement.. Car vois-tu on ne m'a jamais dit qu'il fallait se laisser tuer, voler, calomnier et que sais-je encore sans réagir. Bref, qu'il fallait laisser le désordre prendre la place de l'ordre; la mort prendre la place de la vie etc.

Encore une fois le martyre c'est une chose. On témoigne de sa foi et cela sert à l'édification du plus grand nombre. L'assassinat de sa personne par des crapules pour de vulgaires motifs, cela ne sert à rien!

Enfin, c'est mon opinion. Mais je veux bien entendre le contraire.

Avec argumentation convaincante, dans ce cas.

Marie-Rose, j'adhère à ce que vous dites... Et pour cause: cela me parait le bon sens même..

Effectivement au nom de Dieu j'ai peur qu'on ne dise beaucoup d'inexactitudes ou commette beaucoup d'abus.

Oui Merci JoËl j'essaie, et je vais continuer a essayer que le démon ne me tourment pas avec ça.

Oui je n'oublie pas

Sauf Joël, que peut être à la place de delsanto nous serions pire!
Je ne connais pas toute sa vie, mais j'ai bien l'impression qu'il en a bavé!
Quand on vous met le doigt sur une plaie bien fraiche et bien ouverte vous hurlez
Si on vous tape dessus alors que vous êtes encore fatigué de ce que la vie vous a fait subir, vous tombez ou hurlez ou les deux
Bien sur, Jésus est venu nous délivrer et nous guérir
Mais pour certains la convalescence est plus longue et plus difficile
Qu'importe, ce qui compte c'est l'amour que l'on porte en soi
On peut crier et se révolter, satan ne réussira jamais à nous ravir cet amour que l'on emportera

Joël2013 a écrit:Delsantos, tu prends toujours des situations terribles, ne vois-tu pas ta révolte intérieure, car tu n'as pas pardonné aux personnes qui ton fait du mal ! Moi je t'aime et je prie pour toi et les tiens !


Joël.

D'abord, Joël, tu ne peux pas savoir ce que j'ai au fond du coeur. Si je pardonne ou pas.

Sachant que le pardon est une notion dont on use et abuse..

Il me semble que pour être pardonné il faut regretter ses fautes, non?

Penses-tu que quelqu'un qui irait à confesse exposer un péché qu'il ne regretterait pas serait pardonné? Non, bien sûr.

Ce qui veut dire qu'en ce qui me concerne le pardon est disponible. Le problème c'est que je n'ai pas observé le moindre aveu et encore moins le premier regret chez ceux qui nous ont offensés...

Ce n'est pas la première fois que je l'écris mais je vais le réécrire. Il m'a toujours semblé que dans le "notre Père", la phrase "Pardonne-nous nos offenses" était une demande de pardon.

Une demande de pardon!!!

Ce qui me donne à penser que pour être pardonnés il faut demander pardon..

Sinon, pourquoi nous mettre en garde contre ce qui nous attend dans l'au-delà si , aveux ou pas aveux, contrition ou pas contrition, justice ou pas justice, tout sera OK. (justice, sous ma plume ne voulant pas forcément dire: incarcération ou encore moins peine capitale. Car que m'apporterait de savoir l'autre en prison? rien! ).

Le pardon implique nécessairement une démarche (courageuse) de deux parties et non point d'une seule: l'offenseur et l'offensé. Car enfin, pardonner , on veut bien..Mais qui nous dit que l'autre en veut de notre pardon, quand il refuse de se manifester et de rendre justice?

Ha!!!

Le pardon, pour être vrai, authentique, suppose un certain nombre de conditions factuelles. Et émotionnelles.

Sinon, c'est une démarche volontariste qui peut, certes, avoir beaucoup de valeur spirituellement parlant. Pour soi et l'autre.

Mais "seulement" spirituellement.

Mais humainement, si ces conditions ne sont pas réunies, je dirais non pas seulement: que vaut le pardon? mais comment pourrait-il même commencer à prendre corps?

On nous parle de guérison intérieure. J'accepte totalement cette notion. Sauf.. que nous sommes aussi des êtres de chair et d'os et que je ne crois pas qu'on puisse guérir facilement toute la personne (êtres spirituel, psychique et physique indissolublement liés sur cette terre) en n'en mobilisant qu'une partie. Ou alors c'est un miracle...

Alors il est vrai que Dieu peut tout...avec la collaboration de ses créatures, toutefois.

Et, pour en revenir à ton message, je peux t'assurer que si des problèmes demeurent chez moi à ce jour, en lien avec des méfaits graves subis, ce n'est certainement pas par manque de pardon de ma part...

ça sert d'avoir souffert   
tout à l'heure va falloir que je remercie mes bourreaux   

Frères et soeurs dans le Christ, tout le monde et moi-même avons eu notre part de souffrance et bien tassée, et personne dans ce domaine peut prévaloire à la première place, d'ailleurs la première place, c'est le Christ qui l'a pris !

Tout à fait Joël, et je m'incline devant toute souffrance. Mais nous n'avons pas tous la même réaction face à une même souffrance.je reste persuadée que beaucoup ont souffert et souffrent le martyr sans rien dire et offrent dans le silence .

Moi, je voudrais vous dire, Marie Rose, avez-vous pensée à la situation de votre enfant au moment ou je vous écrit ! Elle est dans les bras de Jésus dans une Amour merveilleux et suave, d'une beauté indescriptible et d'une douceur fabuleuse... 

L" Imitation de Jésus-Christ - Livre Premier - Chapitre 25


Travailler à perfectionner sa vie


1. Reste un serviteur de Dieu, vigilant et attentif, et pose-toi souvent ces questions: pourquoi ai-je quitté le siècle? N'est-ce pas afin de vivre pour Dieu et atteindre à un haut degré de vie spirituelle?

Emplis-toi donc du désir de te perfectionner, parce que tu recevras bientôt le prix de ton labeur, et alors, il n'y aura plus pour toi ni crainte ni souffrance. Un peu de labeur maintenant, et puis le repos même de Dieu, une joie immense, une joie sans fin.
Si tu restes fidèle et dévoué à Dieu, il saura te récompenser fidèlement.

Garde le ferme espoir de parvenir à la gioire, mais sans te fier trop à toi-même, de peur de tomber dans la présomption ou dans la paresse.


2. Un homme vivait dans l'anxiété, sans cesse partagé entre la crainte et l'espérance. Un jour, accablé de tristesse, il entra dans une église et là, prosterné devant l'autel, il disait et redisait en lui-même: "Oh! si j'étais sûr de persévérer!" Aussitôt, il entendit intérieurement cette réponse divine: "Si tu le savais, que ferais-tu? Agis maintenant comme tu agirais alors et tu retrouveras la paix." Rasséréné à l'instant même et réconforté, il s'abandonna à la volonté de Dieu, et son angoisse cessa. Il ne chercha plus à connaître son avenir, mais s'appliqua à discerner la volonté et le bon plaisir de Dieu, afin de mener à bien toutes les œuvres justes et bonnes qu'il entreprenait.


3. Compte sur la grâce de Dieu et agis bien, dit le prophète; habite la terre et vis tranquille; place en Dieu toute ta joie, et il comblera les désirs de fon cœur (Ps. 36,3).
Il est une chose qui en empêche beaucoup d'avancer dans la voie de la conversion et du progrès: c'est la peur devant l'effort et les difficultés du combat. Et pourtant, ceux qui luttent courageusement pour se vaincre en ce qui leur est le plus pénible, parce que le plus contraire à leurs penchants, sont les plus dignes d'admiration. Car l'homme mérite d'autant plus de grâces qu'il se surmonte lui-même et se mortifie davantage.


4. Il est vrai que tous n'ont pas un égal combat à soutenir pour se vaincre et mourir à eux-mêmes; cependant, un homme plein de passions, mais doué d'une grande volonté, fera plus de progrès qu'un homme qui a moins à lutter mais est moins ardent pour la vertu.

Il y a deux buts essentiels à atteindre: s'arracher aux inclinations mauvaises de la nature, et travailler ardemment à acquérir la vertu qui nous manque le plus.
Tâche aussi d'éviter de commettre ces mêmes fautes qui te déplaisent chez les autres.


5. Saisis toutes les occasions pour te fortifier dans la vertu. Ainsi, tâche d'imiter tous les bons exemples que tu pourras voir ou qu'on te rapportera.

Si tu aperçois quelque chose de répréhensible, prends garde de tomber dans le même piège, et si jamais cela t'arrive, tâche de te corriger au plus tôt.

Ton œil observe les autres, mais les autres aussi te jugent.

Qu'il est bon et réconfortant de voir des religieux pieux et fervents, observant fidèlement la Règle! Mais comme on s'attriste devant ceux qui ne suivent pas la voie que Dieu avait tracée devant eux!

Qu'il est nuisible de négliger les devoirs de sa vocation pour prendre goût à des choses dont on n'est pas chargé!


6. Souviens-toi de ce que tu as promis et garde toujours devant les yeux l'image de Jésus crucifié.

Si tu considères la vie de Jésus Christ, tu y verras matière à rougir de toi-même d'avoir fait jusqu'ici si peu d'efforts pour y conformer la tienne.

Un religieux qui médite sérieusement la vie et la Passion du Seigneur y puisera en abondance tout ce qui lui est utile et nécessaire, et il n'a pas besoin de chercher hors de Jésus quelque chose de meilleur.

Oh! si Jésus crucifié entrait dans notre cœur, comme nous serions vite instruits!


7. Un religieux fervent comprend le sens de ce qu'on lui ordonne et s'y soumet sans peine. Le religieux tiède ne rencontrera qu'adversité et amertume de toutes parts, parce qu'il est privé du réconfort intérieur et que le réconfort extérieur lui est interdit.
Un religieux qui vit en marge de la discipline s'expose à un grand danger. Celui qui recherche une vie plus libre et moins austère connaît une inquiétude! perpétuelle, car il trouve sans cesse des sujets d'incertitude sur son chemin.


8. Quelle est l'existence de tant d'autres religieux qui observent la sévère discipline du cloître? Ils sortent rarement, ils vivent retirés, ils ont une table frugale, un vêtement grossier, ils travaillent beaucoup, parlent peu, veillent tard, se lèvent tôt, font de longues prières, de fréquentes lectures et observent en tout une obéissance parfaite.
Regarde les Chartreux, les Cisterciens, les religieux et les religieuses de différents Ordres: ils se lèvent chaque nuit pour chanter la gioire du Seigneur. Ne serait-ce donc pas une honte que tu te montres paresseux dans une tâche si sainte, à l'heure même où tant de religieux célèbrent Dieu dans la joie?


9. Oh! si nous n'avions d'autre tâche à accomplir que celle de louer Dieu de toutes nos forces, à tout instant!

Si tu n'éprouvais jamais le besoin de manger, de boire, de dormir, et si tu pouvais te consacrer uniquement à l'étude des matières spirituelles, tu serais alors beaucoup plus heureux que maintenant où tu es assujetti à ton corps et à toutes ses nécessités.
Oh! si elles n'existaient pas, ces nécessités, mais seule la nourriture spirituelle que nous goûtons si rarement!


10. Quand un homme est arrivé au point de ne rechercher de réconfort auprès d'aucune créature humaine, alors Dieu commence à devenir pour lui une nourriture délicieuse dont il continuera à se rassasier, quoi qu'il arrive.

Il ne se laissera emporter ni par l'élan d'un grand bonheur ni par l'accablement d'une petite peine; il s'abandonnera tout entier, avec une pleine confiance, à Dieu, qui lui est tout en toutes choses, et en qui rien ne périt.


11. Souviens-toi toujours que tu es mortel et que le temps perdu ne revient plus. Les vertus ne s'acquièrent qu'avec beaucoup de patience et d'efforts constants.

Si tu commences à tiédir, tu commences à devenir malheureux. Mais si tu persévères dans la ferveur, tu trouveras une grande paix; la grâce de Dieu et ton amour de la vertu rendront ton fardeau léger.

L'homme diligent et charitable est toujours prêt à toute œuvre bonne.

Il y a plus de labeur à résister aux vices et aux passions qu'à peiner dans les travaux corporels.

Celui qui n'évite pus les petites fautes tombera peu à peu dans les plus grandes (Eccli. 19,1).

Tu te sentiras plein de bonheur le soir si tu as bien employé ta journée.
Veille sur toi-même, ne laisse pas ton zèle s'éteindre et, quelle que soit la conduite des autres, ne néglige pas la tienne.

Tu accompliras des progrès dans la mesure où tu te feras violence à toi-même.

Amen.





   

joël a écrit:
Moi, je voudrais vous dire, Marie Rose, avez-vous pensée à la situation de votre enfant au moment ou je vous écrit ! Elle est dans les bras de Jésus dans une Amour merveilleux et suave, d'une beauté indescriptible et d'une douceur fabuleuse...

C'est vrai joël que lorsque j'y pense, ma révolte s'en va et je plains ceux qui font le mal,je n'aimerais pas être à leur place et prie pour leur conversion, là le pardon est plus facile
Et c'est normalement la réaction d'un chrétien
Tout un travail à faire

Veille sur toi-même, ne laisse pas ton zèle s'éteindre et, quelle que soit la conduite des autres, ne néglige pas la tienne.

Cette dernière phrase complète la votre Joël!