Pape a réintroduit la communion sur la langue des fidèles agenouillés.
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Silvano
sylvia
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Pape a réintroduit la communion sur la langue des fidèles agenouillés.
Par l’abbé Christian Gouyaud —
Benoît XVI a réintroduit, pour ce qui le concerne, la distribution de la communion sur la langue des fidèles agenouillés. Cette manière de procéder est tout à fait caractéristique du pape qui prêche pédagogiquement par l’exemple et n’impose pas brutalement par décret.
Mgr Ranjith estime que « le moment est arrivé de bien évaluer cette pratique, de revoir et, si nécessaire, d’abandonner la pratique actuelle » de la communion reçue debout et dans la main.
L’actuel Secrétaire de la Congrégation pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements s’exprime ainsi dans une préface à un remarquable opuscule de Mgr A. Schneider, évêque au Kazakhstan, intitulé Dominus est. La question du mode de distribution de la communion est sans doute l’une des plus exemplaires de l’affaiblissement du gouvernement ecclésiastique dans les années 1970.
En voulant avaliser pour canaliser, les responsables sciaient la branche sur laquelle ils étaient assis. En cédant aux pratiques de désobéissance objective émanant de lobbies progressistes, l’autorité sapait le principe même d’autorité.
Rappelons que ni le Concile Vatican II, ni le Novus Ordo Missae promulgué par Paul VI ne prévoyaient que la communion fût reçue debout et dans la main.
Consultés par une Lettre émanant du président et du secrétaire du Consilium pour l’exécution de la Constitution sur la liturgie en date du 29 octobre 1968, près des deux tiers des évêques latins du monde s’opposèrent à l’introduction de cette manière de communier. Comment une minorité agissante put-elle alors imposer une telle pratique ?
L’Instruction Memoriale Domini, publiée par la Congrégation pour le Culte Divin le 29 mai 1969, était précisément consacrée à « la façon de distribuer la communion ».
Elle prenait acte de ce que, « dans certains endroits », l’autorisation de distribuer la communion dans la main avait été présumée ! Le document commençait par énumérer les avantages de la communion sur la langue pour aboutir à la conclusion suivante :
« Compte tenu de la situation actuelle de l’Église dans le monde entier, cette façon de distribuer la sainte communion [sur la langue] doit être conservée, non seulement parce qu’elle a derrière elle une tradition multiséculaire, mais surtout parce qu’elle exprime le respect des fidèles envers l’Eucharistie. [...]
De plus, cette façon de faire, qui doit déjà être considérée comme traditionnelle, assure plus efficacement que la sainte communion soit distribuée avec le respect, le décorum et la dignité qui lui conviennent [...] C’est pourquoi, le Souverain Pontife n’a pas pensé devoir changer la façon traditionnelle de distribuer la sainte communion aux fidèles.
Aussi, le Saint-Siège exhorte-t-il vivement les évêques, les prêtres et les fidèles à respecter attentivement la loi toujours en vigueur et qui se trouve confirmée de nouveau ». Cette décision devait cependant être inopérante par le fameux renvoi à la compétence des Conférences épiscopales qui généraliseront la communion dans la main. De plus, une Lettre pastorale accompagnait l’Instruction Memoriale Domini, qui donnait le mode d’emploi d’une pratique que l’Instruction réprouvait.
Une autorité impuissante ?
A relire ce document quarante ans après, on a vraiment le sentiment d’une autorité impuissante qui assortit la nouvelle manière de communier de conditions idéales qui sont autant de vœux pieux! Par exemple, « qu’on fasse attention à ne pas laisser tomber ni se disperser des fragments de pain eucharistique, comme aussi à la propreté convenable des mains et à la bonne tenue des gestes selon les usages des divers peuples »!
Allait-on instaurer pour les fidèles un rite de purification (avant la communion) puis d’ablution des mains (après) ? De plus, l’Instruction octroyait l’induit pour entériner des situations de fait tandis que la Lettre abondait dans le sens d’une initiation et, par conséquent, d’une incitation progressive: « II convient donc de l’introduire graduellement, en commençant par des groupes et des milieux qualifiés et plus préparés. »
L’argument de fond pour introduire la nouvelle manière de communier avait été avancé dans la Lettre du 29 octobre 1968 :
« La manière traditionnelle de recevoir la communion sur la langue apparaît de plus en plus à nos contemporains comme un geste infantile; il rappelle trop la manière de nourrir les petits enfants incapables de manger seuls. Beaucoup d’adultes ressentent de la gêne à faire en public un acte qui n’a aucune beauté extérieure et qui les rabaisse à la petite enfance. »
En d’autres termes: le chrétien moderne est un chrétien adulte qui se tient debout face à son Seigneur et qui se communie lui-même car l’eucharistie est un droit de l’homme! Dans son excellent Dominus est qui reprend toute cette question, Mgr Schneider cite, au contraire, un grand nombre de Pères de l’Église et de saints qui présentent l’eucharistie comme le Don ineffable qu’on ne reçoit qu’en devenant comme de petits enfants!
Il évoque aussi le risque objectif de profanation des parcelles quand celles-ci ne sont pas recueillies. Il reste enfin la question lancinante de savoir si, quarante ans après, le fait de se communier soi-même debout, joint à la grave désaffection du sacrement de la réconciliation, a apporté une valeur ajoutée au respect du sacré?
En 1980, Jean-Paul II confessa franchement ne pas être favorable à cette pratique de la communion debout et dans la main et ne pas la recommander. Ce n’est qu’avec réticence qu’il adopta finalement la praxis en vigueur. On mesure aujourd’hui l’héroïcité du courage de Benoît XVI qui cherche à inverser ce processus
Benoît XVI a réintroduit, pour ce qui le concerne, la distribution de la communion sur la langue des fidèles agenouillés. Cette manière de procéder est tout à fait caractéristique du pape qui prêche pédagogiquement par l’exemple et n’impose pas brutalement par décret.
Mgr Ranjith estime que « le moment est arrivé de bien évaluer cette pratique, de revoir et, si nécessaire, d’abandonner la pratique actuelle » de la communion reçue debout et dans la main.
L’actuel Secrétaire de la Congrégation pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements s’exprime ainsi dans une préface à un remarquable opuscule de Mgr A. Schneider, évêque au Kazakhstan, intitulé Dominus est. La question du mode de distribution de la communion est sans doute l’une des plus exemplaires de l’affaiblissement du gouvernement ecclésiastique dans les années 1970.
En voulant avaliser pour canaliser, les responsables sciaient la branche sur laquelle ils étaient assis. En cédant aux pratiques de désobéissance objective émanant de lobbies progressistes, l’autorité sapait le principe même d’autorité.
Rappelons que ni le Concile Vatican II, ni le Novus Ordo Missae promulgué par Paul VI ne prévoyaient que la communion fût reçue debout et dans la main.
Consultés par une Lettre émanant du président et du secrétaire du Consilium pour l’exécution de la Constitution sur la liturgie en date du 29 octobre 1968, près des deux tiers des évêques latins du monde s’opposèrent à l’introduction de cette manière de communier. Comment une minorité agissante put-elle alors imposer une telle pratique ?
L’Instruction Memoriale Domini, publiée par la Congrégation pour le Culte Divin le 29 mai 1969, était précisément consacrée à « la façon de distribuer la communion ».
Elle prenait acte de ce que, « dans certains endroits », l’autorisation de distribuer la communion dans la main avait été présumée ! Le document commençait par énumérer les avantages de la communion sur la langue pour aboutir à la conclusion suivante :
« Compte tenu de la situation actuelle de l’Église dans le monde entier, cette façon de distribuer la sainte communion [sur la langue] doit être conservée, non seulement parce qu’elle a derrière elle une tradition multiséculaire, mais surtout parce qu’elle exprime le respect des fidèles envers l’Eucharistie. [...]
De plus, cette façon de faire, qui doit déjà être considérée comme traditionnelle, assure plus efficacement que la sainte communion soit distribuée avec le respect, le décorum et la dignité qui lui conviennent [...] C’est pourquoi, le Souverain Pontife n’a pas pensé devoir changer la façon traditionnelle de distribuer la sainte communion aux fidèles.
Aussi, le Saint-Siège exhorte-t-il vivement les évêques, les prêtres et les fidèles à respecter attentivement la loi toujours en vigueur et qui se trouve confirmée de nouveau ». Cette décision devait cependant être inopérante par le fameux renvoi à la compétence des Conférences épiscopales qui généraliseront la communion dans la main. De plus, une Lettre pastorale accompagnait l’Instruction Memoriale Domini, qui donnait le mode d’emploi d’une pratique que l’Instruction réprouvait.
Une autorité impuissante ?
A relire ce document quarante ans après, on a vraiment le sentiment d’une autorité impuissante qui assortit la nouvelle manière de communier de conditions idéales qui sont autant de vœux pieux! Par exemple, « qu’on fasse attention à ne pas laisser tomber ni se disperser des fragments de pain eucharistique, comme aussi à la propreté convenable des mains et à la bonne tenue des gestes selon les usages des divers peuples »!
Allait-on instaurer pour les fidèles un rite de purification (avant la communion) puis d’ablution des mains (après) ? De plus, l’Instruction octroyait l’induit pour entériner des situations de fait tandis que la Lettre abondait dans le sens d’une initiation et, par conséquent, d’une incitation progressive: « II convient donc de l’introduire graduellement, en commençant par des groupes et des milieux qualifiés et plus préparés. »
L’argument de fond pour introduire la nouvelle manière de communier avait été avancé dans la Lettre du 29 octobre 1968 :
« La manière traditionnelle de recevoir la communion sur la langue apparaît de plus en plus à nos contemporains comme un geste infantile; il rappelle trop la manière de nourrir les petits enfants incapables de manger seuls. Beaucoup d’adultes ressentent de la gêne à faire en public un acte qui n’a aucune beauté extérieure et qui les rabaisse à la petite enfance. »
En d’autres termes: le chrétien moderne est un chrétien adulte qui se tient debout face à son Seigneur et qui se communie lui-même car l’eucharistie est un droit de l’homme! Dans son excellent Dominus est qui reprend toute cette question, Mgr Schneider cite, au contraire, un grand nombre de Pères de l’Église et de saints qui présentent l’eucharistie comme le Don ineffable qu’on ne reçoit qu’en devenant comme de petits enfants!
Il évoque aussi le risque objectif de profanation des parcelles quand celles-ci ne sont pas recueillies. Il reste enfin la question lancinante de savoir si, quarante ans après, le fait de se communier soi-même debout, joint à la grave désaffection du sacrement de la réconciliation, a apporté une valeur ajoutée au respect du sacré?
En 1980, Jean-Paul II confessa franchement ne pas être favorable à cette pratique de la communion debout et dans la main et ne pas la recommander. Ce n’est qu’avec réticence qu’il adopta finalement la praxis en vigueur. On mesure aujourd’hui l’héroïcité du courage de Benoît XVI qui cherche à inverser ce processus
sylvia- Avec les anges
- Messages : 6631
Inscription : 22/01/2011
BENOÎT XVI & LA COMMUNION SUR LA LANGUE DES FIDELES AGENOUILLES
Bonsoir,
Je rebondis sur ce sujet qui est d'un importance cruciale, car il est au coeur d'une lutte invisible.
La Vierge Marie a dicté à Don Gobbi le 17 juin 1989 : "Combattez avec moi, mes petits enfants, contre la bête noire (Ap 13, 1-9), la franc-maçonnerie qui veut conduire les âmes à la perdition. Combattez avec Moi contre la bête semblable à un agneau, la franc-maçonnerie qui s'est infiltrée à l'intérieur de la vie ecclésiale pour détruire le Christ et l'Eglise. (...)
A Françoise du 2 au 7 octobre 1997, Jésus dit : "La franc-maçonnerie ne régnera pas dans mon Eglise, Je l'ai juré. Ce temps vient où chacun de ceux qui me frappent sera dénoncé et mis dehors. (...) Satan pousse les âme sacerdotales à anéantir Mon don de Pain Eucharistique... Commençant d'abord à faire douter les uns de ma Présence réelle, il envisage de pousser les plus féroces à commettre un crime irréparable, celui de M'anéantir, privant Mon peuple de la Communion. Cela se prépare en cachette, enfant. (Voir aussi la Vraie Vie en Dieu à ce sujet).
Des écrits des francs-maçons qui attesteraient de cela?
Dans l'hebdomadaire espagnol "Que Pasa" du 26 avril 1976 est paru un article relatant les échanges écrits entre Stanislas de Guaïta 1861-1897 réformateur de l'ordre de la Rose-Croix, écrivant au chanoine apostat Paul Rocca (33e degré de la FM) qu'il fallait "travailler à ce que les catholiques communient debout".
"Le jour disait-il où nous aurons obtenu cela notre triomphe sera consommé". "C'est alors que le malheureux chanoine apostat Paul Rocca lui répondit qu'il "fallait aussi que le Pain soir mis dans la main.
Plus que satisfait Stanislas de Guaïta répliqua ": ces 2 buts atteints, le reste tombera comme un fruit mûr".
Communier à genoux et sur la langue me semble évident pour résister à l'adversaire et reconnaître la Présence réelle de Dieu dans l'Eucharistie.
Silvano
Annexe: 3 fichiers PDF (6 pages) tirés d'un texte anonyme nommé la "Croisade en l'Honneur du Christ, contre la Communion dans la main - la manipulation- et pour une Communion digne".
A l'occasion de créerai un seul fichier PDF des 32 page de ce petit texte édifiant.
Je rebondis sur ce sujet qui est d'un importance cruciale, car il est au coeur d'une lutte invisible.
La Vierge Marie a dicté à Don Gobbi le 17 juin 1989 : "Combattez avec moi, mes petits enfants, contre la bête noire (Ap 13, 1-9), la franc-maçonnerie qui veut conduire les âmes à la perdition. Combattez avec Moi contre la bête semblable à un agneau, la franc-maçonnerie qui s'est infiltrée à l'intérieur de la vie ecclésiale pour détruire le Christ et l'Eglise. (...)
A Françoise du 2 au 7 octobre 1997, Jésus dit : "La franc-maçonnerie ne régnera pas dans mon Eglise, Je l'ai juré. Ce temps vient où chacun de ceux qui me frappent sera dénoncé et mis dehors. (...) Satan pousse les âme sacerdotales à anéantir Mon don de Pain Eucharistique... Commençant d'abord à faire douter les uns de ma Présence réelle, il envisage de pousser les plus féroces à commettre un crime irréparable, celui de M'anéantir, privant Mon peuple de la Communion. Cela se prépare en cachette, enfant. (Voir aussi la Vraie Vie en Dieu à ce sujet).
Des écrits des francs-maçons qui attesteraient de cela?
Dans l'hebdomadaire espagnol "Que Pasa" du 26 avril 1976 est paru un article relatant les échanges écrits entre Stanislas de Guaïta 1861-1897 réformateur de l'ordre de la Rose-Croix, écrivant au chanoine apostat Paul Rocca (33e degré de la FM) qu'il fallait "travailler à ce que les catholiques communient debout".
"Le jour disait-il où nous aurons obtenu cela notre triomphe sera consommé". "C'est alors que le malheureux chanoine apostat Paul Rocca lui répondit qu'il "fallait aussi que le Pain soir mis dans la main.
Plus que satisfait Stanislas de Guaïta répliqua ": ces 2 buts atteints, le reste tombera comme un fruit mûr".
Communier à genoux et sur la langue me semble évident pour résister à l'adversaire et reconnaître la Présence réelle de Dieu dans l'Eucharistie.
Silvano
Annexe: 3 fichiers PDF (6 pages) tirés d'un texte anonyme nommé la "Croisade en l'Honneur du Christ, contre la Communion dans la main - la manipulation- et pour une Communion digne".
A l'occasion de créerai un seul fichier PDF des 32 page de ce petit texte édifiant.
- Fichiers joints
Silvano- Contre la puce électronique
- Messages : 129
Localisation : Indéterminée
Inscription : 02/06/2012
Re: Pape a réintroduit la communion sur la langue des fidèles agenouillés.
Bonjour,
Merci Silvano. Ma concentration est difficile, mais j'ai pu lire le premier document, qui est très lumineux. J'encourage chacun qui le désire à faire la lecture de ces écrits précieux et instructifs.
Union de prières,
Emmanuel
Merci Silvano. Ma concentration est difficile, mais j'ai pu lire le premier document, qui est très lumineux. J'encourage chacun qui le désire à faire la lecture de ces écrits précieux et instructifs.
Union de prières,
Emmanuel
Re: Pape a réintroduit la communion sur la langue des fidèles agenouillés.
le principal n'est-il pas de communier le plus souvent possible ?
La communion en Christ est un acte de foi majeur qui fait grandir
ET qui, nous rapprochant toujours plus du Christ, nous rapproche de Dieu.
(comment être forts dans la société d'aujourd'hui, sans cette foi entretenue ?
sans savoir le rôle qui doit être le nôtre en tant que Chrétiens,
SANS LES SACREMENTS)
Quand à la façon de communier,
personnellement, j'ai toujours préféré la communion "hors mains",
car je sens au plus profond de moi que je suis indigne de "toucher" le Christ.
(et je remercie les soeurs qui ont eu en charge mon éducation chrétienne,
car pour rien au monde je voudrais penser autrement)
Ceci dit, d'autres penseront que toucher le Christ c'est se rapprocher encore plus de lui.
Chacun a sa vérité... son rythme... etc...
le tout est que cette communion soit faite avec amour ET respect.
J'en arrive dont à cette conclusion :
le principal c'est de communier, et peu importe de quelle manière.
(DIEU sonde nos coeurs)
D'après moi, il s'agit ENCORE d'un sujet pour nous diviser.
La communion en Christ est un acte de foi majeur qui fait grandir
ET qui, nous rapprochant toujours plus du Christ, nous rapproche de Dieu.
(comment être forts dans la société d'aujourd'hui, sans cette foi entretenue ?
sans savoir le rôle qui doit être le nôtre en tant que Chrétiens,
SANS LES SACREMENTS)
Quand à la façon de communier,
personnellement, j'ai toujours préféré la communion "hors mains",
car je sens au plus profond de moi que je suis indigne de "toucher" le Christ.
(et je remercie les soeurs qui ont eu en charge mon éducation chrétienne,
car pour rien au monde je voudrais penser autrement)
Ceci dit, d'autres penseront que toucher le Christ c'est se rapprocher encore plus de lui.
Chacun a sa vérité... son rythme... etc...
le tout est que cette communion soit faite avec amour ET respect.
J'en arrive dont à cette conclusion :
le principal c'est de communier, et peu importe de quelle manière.
(DIEU sonde nos coeurs)
D'après moi, il s'agit ENCORE d'un sujet pour nous diviser.
françoise dumoulin- Avec Saint Thomas d'Aquin
- Messages : 363
Age : 69
Localisation : Chabeuil
Inscription : 25/01/2012
Re: Pape a réintroduit la communion sur la langue des fidèles agenouillés.
@ Francoise Dumoulin
il ne s'agit pas d'un sujet pour nous diviser, nous pouvons toujours débattre dans le respect des uns et des autres.
comme vous je communie dans la bouche , jamais je n'aurai eu l'idée de le faire autrement ,Nous ne sommes pas dignes de toucher le Corps et le Sang du Christ, et c'est une souffrance pour Jésus de voir cela.
et surtout c'est un devoir pour nous qui savons de le dire pour éviter ces péchés qui font tant souffrir Jésus, Recevons le Corps et le Sang du Christ à genoux et hors mains
Amicalement
violaine
Quand à la façon de communier,
personnellement, j'ai toujours préféré la communion "hors mains",
car je sens au plus profond de moi que je suis indigne de "toucher" le Christ.
(et je remercie les soeurs qui ont eu en charge mon éducation chrétienne,
car pour rien au monde je voudrais penser autrement)
Ceci dit, d'autres penseront que toucher le Christ c'est se rapprocher encore plus de lui.
Chacun a sa vérité... son rythme... etc...
le tout est que cette communion soit faite avec amour ET respect.
J'en arrive dont à cette conclusion :
le principal c'est de communier, et peu importe de quelle manière.
(DIEU sonde nos coeurs)
D'après moi, il s'agit ENCORE d'un sujet pour nous diviser.
il ne s'agit pas d'un sujet pour nous diviser, nous pouvons toujours débattre dans le respect des uns et des autres.
comme vous je communie dans la bouche , jamais je n'aurai eu l'idée de le faire autrement ,Nous ne sommes pas dignes de toucher le Corps et le Sang du Christ, et c'est une souffrance pour Jésus de voir cela.
et surtout c'est un devoir pour nous qui savons de le dire pour éviter ces péchés qui font tant souffrir Jésus, Recevons le Corps et le Sang du Christ à genoux et hors mains
Amicalement
violaine
violaine- Avec les anges
- Messages : 6385
Localisation : bretagne
Inscription : 10/12/2009
Re: Pape a réintroduit la communion sur la langue des fidèles agenouillés.
bonsoir,
pour ma part avant mon baptême je n'avais qu'un désir c'est de communier dans la bouche.
pour la préparation de mon baptême a paques j'ai demander a plusieurs reprise la communions sur la langue.
malheureusement cela c'est fais sur la main. je me suis sentie vraiment indigne pour une seul raison, car moi créature tenir mon cr"ateur comme cela c'était impensable.
depuis je communie sur la langue et quand je peu a genoux.
en udp
nicolas
pour ma part avant mon baptême je n'avais qu'un désir c'est de communier dans la bouche.
pour la préparation de mon baptême a paques j'ai demander a plusieurs reprise la communions sur la langue.
malheureusement cela c'est fais sur la main. je me suis sentie vraiment indigne pour une seul raison, car moi créature tenir mon cr"ateur comme cela c'était impensable.
depuis je communie sur la langue et quand je peu a genoux.
en udp
nicolas
Nicolas77- Contemplatif
- Messages : 1754
Age : 37
Localisation : Seine et Marne
Inscription : 06/05/2011
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