Une seconde fillette touchée par le chikungunya dans le Var!
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Une seconde fillette touchée par le chikungunya dans le Var!
Une seconde fillette touchée par le chikungunya dans le Var
Deux jours après l'annonce d'un cas de chikungunya contracté par une petite fille à Fréjus, un deuxième cas a été découvert dans son entourage.
Vendredi, la Préfecture du Var avait annoncé le renforcement des mesures de surveillance du moustique tigre ou aedes albopictus dans le département après le diagnostic du chikungunya sur une enfant de 12 ans.
Grâce à la mobilisation des services sanitaires, "un deuxième cas suspect, toujours à Fréjus" a été détecté "sur une patiente de même âge et ayant des activités communes avec le premier cas diagnostiqué", a indiqué la préfecture ce dimanche matin, précisant qu'"un prélèvement sanguin, réalisé aussitôt le signalement effectué dans la journée du 25 septembre" avait confirmé l'infection par le virus du chikungunya.
Les deux fillettes sous surveillance à leur domicile se portent bien.
Ce sont les premiers cas autochtones autrement dit contractés en France métropolitaine et non à l'étranger de cette maladie virale d'origine tropicale dont les symptômes s'apparentent à ceux de la grippe : fièvres, courbatures, douleurs articulaires et autres céphalées.
Avant cet épisode, durant l'été quatre cas de chikungunya avaient déjà été détectés dans la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, mais "importés", notamment par une fillette de sept ans qui a contracté la maladie à son retour d'Asie à la fin du mois d'août et pourrait être à l'origine de ce foyer viral.
Comme la dengue dont deux cas ont été diagnostiqués en septembre à Nice, dans le département voisin des Alpes maritimes, le chikungunya ne se transmet pas d'homme à homme, mais peut l'être par des moustiques "locaux" ayant piqué une personne porteuse du virus.
Tandis que des opérations de démoustication ciblées sont en cours dans la région PACA, les autorités qui ont appelé les professionnels de santé à une vigilance accrue, soulignent qu'"aucun autre cas suspect de chikungunya, autochtone ou importé, n'a été signalé" et que la situation est suivie avec "une extrême attention".
En tout état de cause, il n'est pas lieu de paniquer, car la maladie se soigne, ni de redouter une épidémie d'envergure, mais éventuellement d'éviter de laisser croupir de l'eau dans son jardin, afin d'éviter la prolifération des moustiques et en cas de forte fièvre, de consulter un médecin...
métro
Deux jours après l'annonce d'un cas de chikungunya contracté par une petite fille à Fréjus, un deuxième cas a été découvert dans son entourage.
Vendredi, la Préfecture du Var avait annoncé le renforcement des mesures de surveillance du moustique tigre ou aedes albopictus dans le département après le diagnostic du chikungunya sur une enfant de 12 ans.
Grâce à la mobilisation des services sanitaires, "un deuxième cas suspect, toujours à Fréjus" a été détecté "sur une patiente de même âge et ayant des activités communes avec le premier cas diagnostiqué", a indiqué la préfecture ce dimanche matin, précisant qu'"un prélèvement sanguin, réalisé aussitôt le signalement effectué dans la journée du 25 septembre" avait confirmé l'infection par le virus du chikungunya.
Les deux fillettes sous surveillance à leur domicile se portent bien.
Ce sont les premiers cas autochtones autrement dit contractés en France métropolitaine et non à l'étranger de cette maladie virale d'origine tropicale dont les symptômes s'apparentent à ceux de la grippe : fièvres, courbatures, douleurs articulaires et autres céphalées.
Avant cet épisode, durant l'été quatre cas de chikungunya avaient déjà été détectés dans la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, mais "importés", notamment par une fillette de sept ans qui a contracté la maladie à son retour d'Asie à la fin du mois d'août et pourrait être à l'origine de ce foyer viral.
Comme la dengue dont deux cas ont été diagnostiqués en septembre à Nice, dans le département voisin des Alpes maritimes, le chikungunya ne se transmet pas d'homme à homme, mais peut l'être par des moustiques "locaux" ayant piqué une personne porteuse du virus.
Tandis que des opérations de démoustication ciblées sont en cours dans la région PACA, les autorités qui ont appelé les professionnels de santé à une vigilance accrue, soulignent qu'"aucun autre cas suspect de chikungunya, autochtone ou importé, n'a été signalé" et que la situation est suivie avec "une extrême attention".
En tout état de cause, il n'est pas lieu de paniquer, car la maladie se soigne, ni de redouter une épidémie d'envergure, mais éventuellement d'éviter de laisser croupir de l'eau dans son jardin, afin d'éviter la prolifération des moustiques et en cas de forte fièvre, de consulter un médecin...
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sylvia- Avec les anges
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