Les antidépresseurs seraient inefficaces?!

Les antidépresseurs sont inefficaces : Les données obtenues en vertu de la loi le prouvent
jeu., 23 fév. 2012 12:59 CST

Le fait que les antidépresseurs n'agissent pas est déjà bien assez blâmable. Mais que Big Pharma l'a toujours su est à présent prouvé. Il a fallu une demande en vertu de la loi sur l'accès libre à l'information pour obtenir les données, mais maintenant que nous les avons, rien ne pourra justifier l'usage de masse des antidépresseurs, surtout à la lumière des énormes dégâts qu'ils font.

Irving Kirsch, de la faculté de médecine de Harvard, a étudié l'effet placebo pendant plus de 30 ans. Il a demandé les données des études [sur les antidépresseurs] qui n'avaient pas été publiées. En les prenant en compte, les avantages des antidépresseurs ne sont quasiment pas démontrables [à cause de l'effet placebo, ndt].

Comment la psychiatrie tente d'entortiller la Vérité

L'argument mis en avant contre la découverte de Kirsch est révélateur. Les psychiatres prétendent qu'il ignore la réalité des résultats. Le Dr Michael Thase, professeur de psychiatrie à la faculté de médecine de l'université de Pennsylvanie, a été consultant auprès de grandes compagnies pharmaceutiques. Selon lui, Kirsch « confond les résultats des études avec ce qui se passe dans la réalité. » Il dit que l'analyse des études laisse entrevoir des avantages chez certains patients. Mis à part que ceci à lui seul aille à l'encontre de leurs racontars à la gloire de la médecine factuelle, l'affaire se corse.

Thase reconnaît que la majorité des gens déprimés s'améliorent uniquement du fait de l'effet placebo, mais dit que ça ne l'embête pas. Il préconise à des millions de gens l'usage de remèdes inutiles, avec tous leurs effets délétères !

Dans ces conditions, comment les psychiatres peuvent-ils prétendre pratiquer une médecine factuelle ? Ils se réfèrent à des publications d'études pour démontrer que ce qu'ils font s'appuie sur des preuves. Puis, quand ces études sont démontré être la pointe d'un iceberg, dont la majeure partie montre des résultats se situant en dessous du seuil d'efficacité, ils prétendent que... Eh bien, ces études n'ont pas vraiment d'importance, car nous savons que les antidépresseurs agissent.

S'il vous plaît... pourrait-on faire taire définitivement toutes les affirmations de la psychiatrie qu'elle dit appuyées par des preuves, en particulier par le soi-disant étalon-or de l'étude en double aveugle contrôlée par placebo ?

Comment la FDA distord la vérité

Professeur de psychiatrie clinique à la faculté de médecine de l'université Brown, le Dr Walter Brown reconnaît que la théorie derrière les antidépresseurs modernes, selon laquelle ils modèrent le dérèglement de la sérotonine, est probablement fausse. Les conditions requises par la FDA sont insuffisantes. Elle attend juste des compagnies pharmaceutiques qu'elles fournissent deux essais cliniques montrant les avantages par rapport à un placebo. Elle ne tient aucun compte du fait qu'elles ont beaucoup d'autres essais qui montrent le contraire ! Répondant à ceci, Brown ironise : « Ce n'est pas ainsi que je ferais si j'étais le roi. »

Le Dr Tom Laughren, directeur des produits psychiatriques de la FDA, défend cette politique :
Il est vraiment très rare d'obtenir que les résultats d'une étude soient positifs par hasard, s'il ne s'agit pas véritablement d'un effet. Il s'agit de statistiques élémentaires, et c'est ainsi que les essais cliniques sont interprétés.
En réalité, Laughren essaie de nous faire croire que deux essais cliniques, conçus et fabriqués par une compagnie pharmaceutique, sont plus significatifs que les dizaines, voire les centaines d'autres qu'elles ont faits et qui sont incapables d'aboutir à des conclusions identiques. Pourrait-il aussi expliquer pourquoi nous devrions faire confiance à la FDA [ou à l'AFSSAPS en France, ndt] ?

Réalité de quelques dommages dus aux antidépresseurs

Voici quelques effets indésirables des antidépresseurs inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine et de la norépinéphrine, tels qu'ils sont enregistrés par Medscape :
- Tremblement,

- suicide,

- maux de tête,

- manies,

- impuissance,

- nervosité,

- sensations anormales,

- syndrome de Lyell (nécrose de la peau, potentiellement mortel),

- hépatite,

- saignements anormaux,

- hyponatrémie (carence en sodium, potentiellement mortel).
Ainsi, la FDA, Laughren et apparemment la plupart des psychiatres, ne s'embarrassent nullement de prescrire des remèdes qui, ne faisant aucun bien, n'en peuvent néanmoins gâcher la vie ou y mettre fin. Ils s'en tirent avec cette parodie depuis des décennies. Le temps de les faire cesser ne serait-il pas venu depuis belle lurette
fr.sott.net

O SEIGNEUR ET MOI QUI, DEPUIS TRES LONTEMPS, AIE UN TRAITEMENT QU ON ME DECONSEILLE D ARRETER QUE DOIS JE FAIRE ?

OUI ! Après mon "incident" , j'en ai pris pour cas de conscience. J'étais suicidaire moi qui venait de passer par la porte de la mort !

Moi je pense que les antidépresseurs peuvent aider certaines personnes.
Après ça dépend du psychiatre que vous voyez , si il est bien ou pas...
En cas d'effets indésirable , il faut en parler avec sont psychiatre! C'est même marqué sur les notices!

ERICMASGMSFA a écrit:O SEIGNEUR ET MOI QUI, DEPUIS TRES LONTEMPS, AIE UN TRAITEMENT QU ON ME DECONSEILLE D ARRETER QUE DOIS JE FAIRE ?

Ben, tu peux t'en défaire mais tu le fais avec un médecin car il y a un protocole pour "déshabituer" le corps à respecter. Il me semble que c'est sur 5 semaines, c'est une diminution progressive.


Cyrille

Bonjour à vous,

J'aimerai apporter un peu de nuances: J'ai pris des anti dépresseurs dans ma vie. Ca m'a aidé.

Peut être que c'était qu'un effet placebo. Mais j'en doute: J'étais dans une profonde, mais profonde dépression.

En revanche, c'est vrai que l'Amour, c'est probablement bien plus efficace que les antidépresseurs !

Donc une personne ayant confiance dans l'Esprit Saint peut se débarrasser de sa dépression assez facilement et ceci sans ces substances chimiques....

Cyrille

Il faut faire trés attention avec les antidéprésseur, anxio et autre, il y a un éta de sevrage trés important, surtout ne jamais les arreter brutalement mais par étape en diminuant progréssivement et en prenant le temps, cela dépend aussi de la durée de votre traiment si vous en avez pris longtemps sachez que le corps est accro ainsi que le cerveau, j'ai moi même eu cette mauvaise expérience, mon médecin de l'époque m'a conseillé de prendre du xanax aprés une petite dépréssion et angoisse, les résultats furent catastrophique car ce médecin ne me suivait pas vraiment ni les prises je n'avais pas eu de conseil ni de suivie je me suis enfoncé dans une prise de médoc terrible, un beau jour j'ai fais une crise d'angoisse si forte que les pompiers sont intervenus chez moi, le landemain j'arretais bêtement le xanax j'avais tous jeté d'un seul coup ! mais je ne connaissais pas le risque de sevrage..J'ai vécu un enfer comme vous ne pourriez pas l'imaginer, j'avais mal dans ton mon cord, ma tête d'atroce serrements, mon crane se compressait...J'étais en manque ! Comme une droguée ! Forcément je l'étais puisqu'il faut savoir en réalité que ce sont aussi des stupéfiants...Je l'ai lu sur internet...Je vous épargnerais l'enfer que j'ai vécu et qui a durer plus de deux ans...(sevrage) j'ai pris cet anxio 8 mois et j'ai eu un sevrage trés brutale pendant deux ans avec des effets terribles : Serrements de tête et céphalés, perte de convergence contenant mes yeux ainsi qu'une apparition d'une allergie conjonctivite... Impossible de suporter la lumiére, la téla et mes lunettes... J'ai à l'époque en 2008 chercher un autre médecin qui lui m'a sortie de cette galére ...en me faisant reprendre du xanax pour pouvoir arreter progréssivement et aténuer les éffets du sevrage.... J'ai mis deux ans ! Plus les crises d'angoisses à gérer et anxieté panique... Jamais avant cela ne m'était arrivé, si je fus sauvé quelque part c'est d'avoir eu la chance d'être entouré de mon mari et de mére, je suis revenu vers dieux à cette même époque...
Aujourd'hui je fais du sport, et tout va bien, j'ai vécu mon propre enfer, ce que je ne souhaiterais même pas à mon propre ennemi... Si mon témoignage peut servir ? Tans mieux.