Le SAINT ROSAIRE
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Re: Le SAINT ROSAIRE
anlise a écrit:Et le mystère lumineux ?
Bonsoir,
svp, relisez ma réponse du 23/03/2013 à 15h43, en espérant que ça réponde à votre question.
Re: Le SAINT ROSAIRE
Quelle est l’origine du chapelet ?
Attribuée à saint Dominique (1170-1221), la pratique du chapelet s’est développée progressivement …
Pendant des centaines d’années, l’Eglise a eu recours au chapelet dans les moments de conflit. Pour saint Dominique, la prière du rosaire était devenue « une arme spirituelle », et les papes appelaient Marie « la victorieuse des hérésies », invoquant son secours pour les combattre toutes, du catharisme au communisme.
La dévotion au Rosaire s’est développée lentement, sur à peu près 500 ans.
La récitation du chapelet comporte 150 (ou 200) Ave Maria (Je vous salue Marie), chaque dizaine étant introduite par un Pater (Notre Père) et suivie par un Gloria (Gloire au Père). Un rosaire correspond à la récitation de trois chapelets. Pendant leur récitation, on médite sur les mystères de la vie du Christ et de sa Mère.
Bien que la tradition populaire attribue l’origine du chapelet à saint Dominique (1170-1221), aujourd’hui les historiens défendent la thèse d’un développement lent et progressif de sa pratique. Comme paraît l’affirmer aussi Jean Paul II dans sa lettre « Rosarium Virginis Mariae » (2002), quand il dit que le rosaire « s’est développé progressivement au cours du deuxième millénaire sous le souffle de l’Esprit de Dieu ».
Aucun texte de l’histoire n’illustre clairement l’essor de cette pratique, mais le père Etienne Richer, dans le « Mariology », explique qu’à la fin du XIème siècle, soit une centaine d’années avant saint Dominique, « une dévotion mariale, caractérisée par de nombreux Ave Maria et des gestes de prostration répétés, était déjà connue et pratiquée en l’honneur de la Vierge, d’abord en l’honneur de ses joies, puis de ses souffrances ». On parle déjà d’une fête du « Rosaire », nom qui vient de la couronne de roses dont était ornée la tête des statues mariales.
A la même période, les frères et moines cisterciens, qui n’arrivaient pas à mémoriser les 150 psaumes que leur ordre priait chaque semaine, récitaient 150 Pater. Les laïcs copièrent très vite cette forme de prière, mais en remplaçant le Notre Père par un Ave Maria. Cette dévotion sera appelée « Psautier de Marie ».
Vers 1200, on dit que la Vierge Marie est apparue à saint Dominique et qu’elle lui a dit : « Récite mon Psautier et enseigne-le à tes hommes. Jamais cette prière n’échouera ». Ce que celui-ci fera en le répandant autour de lui, explique Etienne Richer, au point que cette dévotion au Psautier de Marie sera « incorporée divinement » à la sienne.
Au fil des décennies suivantes, le rosaire et le Psautier de Marie finirent par converger, donnant à cette pratique la forme qu’on lui connaît aujourd’hui : 150 Ave Maria divisés en dizaines, un Pater Noster entre chaque dizaine et trois séries de mystères – joyeux, douloureux et glorieux.
En 2002, Jean Paul II ajoutera au chapelet cinq autres mystères, les mystères « lumineux », expliquant que son dessein principal est de « donner une consistance nettement plus christologique au Rosaire », et de « prendre en compte également les mystères de la vie publique du Christ entre le Baptême et la Passion ».
Le chapelet est l’arme spirituelle de l’Eglise pour «chasser les démons».
Dès le XIIème siècle, l’Eglise a recours au chapelet dans les périodes de difficulté et de trouble. En 1569, saint Pie V officialise sa pratique, attribuant à sa récitation la destruction de l’hérésie et la conversion de tant de peuples, et sollicitant les fidèles à en faire usage, face à une époque « terriblement tourmentée et affligée par tant de guerres, et par la morale dépravée des hommes ».
Le prolifique Léon XIII (1878-1903), connu surtout pour ses encycliques sociales, a aussi écrit au moins 16 textes sur le saint Rosaire, dont une douzaine sont des encycliques.
Ce « pape du rosaire », comme on le surnommait, a rédigé sa première encyclique sur le rosaire en 1883 (Supremi Apostolatus officio), marquant de cette façon le 25ème anniversaire des apparitions de la Vierge à Lourdes. Il y évoque le rôle de saint Dominique et rappelle que la diffusion du chapelet fut d’un grand secours pour vaincre les hérétiques albigeois dans le sud de la France aux XIIème et XIIIème siècles. Saint Dominique, écrit le pape, « s'avança contre les ennemis de l'Eglise catholique, animé de l'Esprit d'en haut ; non avec la violence et avec les armes, mais avec la foi la plus absolue en cette dévotion du Saint Rosaire que le premier il a divulguée ».
« Il prévoyait, en effet, par la grâce divine, poursuit le pape, que cette dévotion, comme un puissant engin de guerre, mettrait en fuite les ennemis et confondrait leur audace et leur folle impiété ».
Le pape y commente aussi « l'efficacité et la puissance » des prières du rosaire dans la bataille historique de Lépante entre forces chrétiennes et musulmanes en 1521. Les forces islamiques avaient pris pied en Espagne et étaient sur le point de l’emporter sur le christianisme, lorsque le pape Pie V exhorta les fidèles à réciter leur chapelet. Les chrétiens triomphèrent et le pape, en l’honneur de cette victoire, donna à Marie le nom de « Notre-Dame des Victoires », et lui institua un jour de fête, le 7 octobre, que son successeur, Grégoire XIII, transformera ensuite en fête du « saint Rosaire ».
Revenant au besoin de recourir au chapelet à cette époque, le pape écrit : « c'est une chose des plus douloureuses et des plus lamentables de voir tant d'âmes rachetées par le Sang de Jésus-Christ arrachées au salut par le tourbillon d'un siècle égaré, et précipitées dans l'abîme et dans une mort éternelle. Nous avons, de nos jours, autant besoin du secours divin qu'à l'époque où le grand Dominique leva l'étendard du Rosaire de Marie à l'effet de guérir les maux de son époque ».
En 1937, Pie XI (1922-1939) consacre au rosaire sa dernière encyclique « Ingravescentibus malis » (29 septembre). C’est aussi l’année où il écrit sa lettre « Mit brennender Sorge » (traduite en français par « Avec une brûlante inquiétude ») qui critique les nazis, et la « Divini Redemptoris », sur le communisme athée qu’il accuse de « vouloir renverser l'ordre social et saper jusque dans ses fondements la civilisation chrétienne. »
Critiquant l’esprit de l’époque qui « dans l’enivrement de son orgueil, se moque du saint Rosaire et le rejette avec dédain », le pape souligne les bienfaits de cette façon de prier, disant qu’elle a « le parfum de la simplicité évangélique et requiert un esprit d'humilité».
« Une multitude considérable de saints hommes de tout âge, toute condition, y ont toujours eu recours », écrit-il. « Ils l’ont récitée avec grande dévotion et, à chaque moment, l’ont utilisée comme une arme très puissante pour chasser les démons. Pour conserver l'intégrité de la vie, pour acquérir plus facilement la vertu, en un mot pour obtenir la véritable paix aux hommes ».
En 1951, Pie XII (1939-1958) écrit l’encyclique « Ingruentium malorum » (sur la récitation du chapelet). « Nous n’hésitons pas à affirmer de nouveau publiquement que nous mettons une grande espérance dans le rosaire pour la guérison des maux qui affligent notre époque », déclare-t-il. « Ce n'est pas avec la force, ni avec les armes, ni avec la puissance humaine, mais avec l'aide divine obtenue par cette prière que l'Eglise, forte comme David avec sa fronde, pourra affronter, intrépide, l'ennemi infernal ».
Pour connaître le Christ, il nous faut revenir à Marie.
En 1985, le futur pape Joseph Ratzinger, alors préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, admet, dans ses « Entretiens sur la foi » écrit avec Vittorio Messori, que la déclaration selon laquelle Marie serait « la victorieuse de toutes les hérésies » lui paraît un peu « exagérée ».
« Quand j’étais jeune théologien, avant et même pendant les sessions du Concile, explique-t-il, comme il est arrivé et comme il arrivera encore aujourd’hui à beaucoup, je nourrissais quelques réserves sur certaines formules anciennes comme, par exemple, la fameuse De maria nunquam satis – “sur Marie on ne dira jamais assez” ».
A noter que Joseph Ratzinger a grandi dans un milieu profondément marial. Nous savons en lisant le livre « mon frère le pape », de son frère Mgr Georg Ratzinger, que ses grands-parents se sont mariés au sanctuaire Notre-Dame d’Absam, et que ses parents se sont rencontrés grâce à une annonce personnelle que son père avait fait publier (deux fois) sur le journal du sanctuaire marial d’Altötting. En général, le soir, les Ratzinger récitaient ensemble le chapelet, et en mai, ils assistaient à de nombreuses célébrations en l’honneur de Marie et du saint Rosaire.
Malgré toute cette familiarité avec Marie et leur grande dévotion mariale, Joseph Ratzinger ne semblait pas convaincu.
Comme il est rapporté dans les « Entretiens sur la Foi », le cardinal, a vécu comme une sorte de conversion. « Aujourd’hui seulement - en cette période de confusion où toutes sortes de déviations hérétiques semblent venir frapper à la porte de la foi authentique -, aujourd’hui je comprends qu’il ne s’agissait pas d’une exagération de dévots, mais de vérités plus que jamais valables », affirme-t-il, ajoutant : « Il nous faut revenir à Marie si nous voulons revenir à cette vérité sur Jésus-Christ, sur l’Eglise, sur l’homme ».
« Que la récitation des prières du chapelet nous permette de fixer notre regard et notre cœur en Jésus, comme le faisait sa Mère, modèle inégalable de la contemplation du Fils », pria-t-il en 2010, lors de sa visite au sanctuaire Notre-Dame de Fatima. « En méditant les mystères joyeux, lumineux, douloureux et glorieux, tandis que nous récitons les ‘Ave Maria’, nous contemplons le mystère de Jésus tout entier, de l’Incarnation jusqu’à la Croix et à la gloire de la Résurrection ; nous contemplons l’intime participation de Marie à ce mystère et notre vie en Christ aujourd’hui, qui apparaît tellement entremêlée de moments de joie et de souffrance, d’ombre et de lumière, d’anxiété et d’espérance ».
« La grâce envahit notre cœur en suscitant le désir d’un changement de vie incisif et évangélique, afin de pouvoir dire avec saint Paul : « Pour moi, vivre c’est le Christ » (Ph 1, 21), dans une communion de vie et de destin avec le Christ ».
source
http://www.aleteia.org/fr/religion/q&r/quelle-est-lorigine-du-chapelet-112009
Attribuée à saint Dominique (1170-1221), la pratique du chapelet s’est développée progressivement …
Pendant des centaines d’années, l’Eglise a eu recours au chapelet dans les moments de conflit. Pour saint Dominique, la prière du rosaire était devenue « une arme spirituelle », et les papes appelaient Marie « la victorieuse des hérésies », invoquant son secours pour les combattre toutes, du catharisme au communisme.
La dévotion au Rosaire s’est développée lentement, sur à peu près 500 ans.
La récitation du chapelet comporte 150 (ou 200) Ave Maria (Je vous salue Marie), chaque dizaine étant introduite par un Pater (Notre Père) et suivie par un Gloria (Gloire au Père). Un rosaire correspond à la récitation de trois chapelets. Pendant leur récitation, on médite sur les mystères de la vie du Christ et de sa Mère.
Bien que la tradition populaire attribue l’origine du chapelet à saint Dominique (1170-1221), aujourd’hui les historiens défendent la thèse d’un développement lent et progressif de sa pratique. Comme paraît l’affirmer aussi Jean Paul II dans sa lettre « Rosarium Virginis Mariae » (2002), quand il dit que le rosaire « s’est développé progressivement au cours du deuxième millénaire sous le souffle de l’Esprit de Dieu ».
Aucun texte de l’histoire n’illustre clairement l’essor de cette pratique, mais le père Etienne Richer, dans le « Mariology », explique qu’à la fin du XIème siècle, soit une centaine d’années avant saint Dominique, « une dévotion mariale, caractérisée par de nombreux Ave Maria et des gestes de prostration répétés, était déjà connue et pratiquée en l’honneur de la Vierge, d’abord en l’honneur de ses joies, puis de ses souffrances ». On parle déjà d’une fête du « Rosaire », nom qui vient de la couronne de roses dont était ornée la tête des statues mariales.
A la même période, les frères et moines cisterciens, qui n’arrivaient pas à mémoriser les 150 psaumes que leur ordre priait chaque semaine, récitaient 150 Pater. Les laïcs copièrent très vite cette forme de prière, mais en remplaçant le Notre Père par un Ave Maria. Cette dévotion sera appelée « Psautier de Marie ».
Vers 1200, on dit que la Vierge Marie est apparue à saint Dominique et qu’elle lui a dit : « Récite mon Psautier et enseigne-le à tes hommes. Jamais cette prière n’échouera ». Ce que celui-ci fera en le répandant autour de lui, explique Etienne Richer, au point que cette dévotion au Psautier de Marie sera « incorporée divinement » à la sienne.
Au fil des décennies suivantes, le rosaire et le Psautier de Marie finirent par converger, donnant à cette pratique la forme qu’on lui connaît aujourd’hui : 150 Ave Maria divisés en dizaines, un Pater Noster entre chaque dizaine et trois séries de mystères – joyeux, douloureux et glorieux.
En 2002, Jean Paul II ajoutera au chapelet cinq autres mystères, les mystères « lumineux », expliquant que son dessein principal est de « donner une consistance nettement plus christologique au Rosaire », et de « prendre en compte également les mystères de la vie publique du Christ entre le Baptême et la Passion ».
Le chapelet est l’arme spirituelle de l’Eglise pour «chasser les démons».
Dès le XIIème siècle, l’Eglise a recours au chapelet dans les périodes de difficulté et de trouble. En 1569, saint Pie V officialise sa pratique, attribuant à sa récitation la destruction de l’hérésie et la conversion de tant de peuples, et sollicitant les fidèles à en faire usage, face à une époque « terriblement tourmentée et affligée par tant de guerres, et par la morale dépravée des hommes ».
Le prolifique Léon XIII (1878-1903), connu surtout pour ses encycliques sociales, a aussi écrit au moins 16 textes sur le saint Rosaire, dont une douzaine sont des encycliques.
Ce « pape du rosaire », comme on le surnommait, a rédigé sa première encyclique sur le rosaire en 1883 (Supremi Apostolatus officio), marquant de cette façon le 25ème anniversaire des apparitions de la Vierge à Lourdes. Il y évoque le rôle de saint Dominique et rappelle que la diffusion du chapelet fut d’un grand secours pour vaincre les hérétiques albigeois dans le sud de la France aux XIIème et XIIIème siècles. Saint Dominique, écrit le pape, « s'avança contre les ennemis de l'Eglise catholique, animé de l'Esprit d'en haut ; non avec la violence et avec les armes, mais avec la foi la plus absolue en cette dévotion du Saint Rosaire que le premier il a divulguée ».
« Il prévoyait, en effet, par la grâce divine, poursuit le pape, que cette dévotion, comme un puissant engin de guerre, mettrait en fuite les ennemis et confondrait leur audace et leur folle impiété ».
Le pape y commente aussi « l'efficacité et la puissance » des prières du rosaire dans la bataille historique de Lépante entre forces chrétiennes et musulmanes en 1521. Les forces islamiques avaient pris pied en Espagne et étaient sur le point de l’emporter sur le christianisme, lorsque le pape Pie V exhorta les fidèles à réciter leur chapelet. Les chrétiens triomphèrent et le pape, en l’honneur de cette victoire, donna à Marie le nom de « Notre-Dame des Victoires », et lui institua un jour de fête, le 7 octobre, que son successeur, Grégoire XIII, transformera ensuite en fête du « saint Rosaire ».
Revenant au besoin de recourir au chapelet à cette époque, le pape écrit : « c'est une chose des plus douloureuses et des plus lamentables de voir tant d'âmes rachetées par le Sang de Jésus-Christ arrachées au salut par le tourbillon d'un siècle égaré, et précipitées dans l'abîme et dans une mort éternelle. Nous avons, de nos jours, autant besoin du secours divin qu'à l'époque où le grand Dominique leva l'étendard du Rosaire de Marie à l'effet de guérir les maux de son époque ».
En 1937, Pie XI (1922-1939) consacre au rosaire sa dernière encyclique « Ingravescentibus malis » (29 septembre). C’est aussi l’année où il écrit sa lettre « Mit brennender Sorge » (traduite en français par « Avec une brûlante inquiétude ») qui critique les nazis, et la « Divini Redemptoris », sur le communisme athée qu’il accuse de « vouloir renverser l'ordre social et saper jusque dans ses fondements la civilisation chrétienne. »
Critiquant l’esprit de l’époque qui « dans l’enivrement de son orgueil, se moque du saint Rosaire et le rejette avec dédain », le pape souligne les bienfaits de cette façon de prier, disant qu’elle a « le parfum de la simplicité évangélique et requiert un esprit d'humilité».
« Une multitude considérable de saints hommes de tout âge, toute condition, y ont toujours eu recours », écrit-il. « Ils l’ont récitée avec grande dévotion et, à chaque moment, l’ont utilisée comme une arme très puissante pour chasser les démons. Pour conserver l'intégrité de la vie, pour acquérir plus facilement la vertu, en un mot pour obtenir la véritable paix aux hommes ».
En 1951, Pie XII (1939-1958) écrit l’encyclique « Ingruentium malorum » (sur la récitation du chapelet). « Nous n’hésitons pas à affirmer de nouveau publiquement que nous mettons une grande espérance dans le rosaire pour la guérison des maux qui affligent notre époque », déclare-t-il. « Ce n'est pas avec la force, ni avec les armes, ni avec la puissance humaine, mais avec l'aide divine obtenue par cette prière que l'Eglise, forte comme David avec sa fronde, pourra affronter, intrépide, l'ennemi infernal ».
Pour connaître le Christ, il nous faut revenir à Marie.
En 1985, le futur pape Joseph Ratzinger, alors préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, admet, dans ses « Entretiens sur la foi » écrit avec Vittorio Messori, que la déclaration selon laquelle Marie serait « la victorieuse de toutes les hérésies » lui paraît un peu « exagérée ».
« Quand j’étais jeune théologien, avant et même pendant les sessions du Concile, explique-t-il, comme il est arrivé et comme il arrivera encore aujourd’hui à beaucoup, je nourrissais quelques réserves sur certaines formules anciennes comme, par exemple, la fameuse De maria nunquam satis – “sur Marie on ne dira jamais assez” ».
A noter que Joseph Ratzinger a grandi dans un milieu profondément marial. Nous savons en lisant le livre « mon frère le pape », de son frère Mgr Georg Ratzinger, que ses grands-parents se sont mariés au sanctuaire Notre-Dame d’Absam, et que ses parents se sont rencontrés grâce à une annonce personnelle que son père avait fait publier (deux fois) sur le journal du sanctuaire marial d’Altötting. En général, le soir, les Ratzinger récitaient ensemble le chapelet, et en mai, ils assistaient à de nombreuses célébrations en l’honneur de Marie et du saint Rosaire.
Malgré toute cette familiarité avec Marie et leur grande dévotion mariale, Joseph Ratzinger ne semblait pas convaincu.
Comme il est rapporté dans les « Entretiens sur la Foi », le cardinal, a vécu comme une sorte de conversion. « Aujourd’hui seulement - en cette période de confusion où toutes sortes de déviations hérétiques semblent venir frapper à la porte de la foi authentique -, aujourd’hui je comprends qu’il ne s’agissait pas d’une exagération de dévots, mais de vérités plus que jamais valables », affirme-t-il, ajoutant : « Il nous faut revenir à Marie si nous voulons revenir à cette vérité sur Jésus-Christ, sur l’Eglise, sur l’homme ».
« Que la récitation des prières du chapelet nous permette de fixer notre regard et notre cœur en Jésus, comme le faisait sa Mère, modèle inégalable de la contemplation du Fils », pria-t-il en 2010, lors de sa visite au sanctuaire Notre-Dame de Fatima. « En méditant les mystères joyeux, lumineux, douloureux et glorieux, tandis que nous récitons les ‘Ave Maria’, nous contemplons le mystère de Jésus tout entier, de l’Incarnation jusqu’à la Croix et à la gloire de la Résurrection ; nous contemplons l’intime participation de Marie à ce mystère et notre vie en Christ aujourd’hui, qui apparaît tellement entremêlée de moments de joie et de souffrance, d’ombre et de lumière, d’anxiété et d’espérance ».
« La grâce envahit notre cœur en suscitant le désir d’un changement de vie incisif et évangélique, afin de pouvoir dire avec saint Paul : « Pour moi, vivre c’est le Christ » (Ph 1, 21), dans une communion de vie et de destin avec le Christ ».
source
http://www.aleteia.org/fr/religion/q&r/quelle-est-lorigine-du-chapelet-112009
flou- Combat l'antechrist
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Re: Le SAINT ROSAIRE
Voici donc un extrait de l'encyclique de Pie XII sur le rosaire : ( de 1951 citée dans le post précédent )
Lettre encyclique Ingruentium malorum
"… nous connaissons bien la puissante efficacité du rosaire pour obtenir l'aide maternelle de la Sainte Vierge. Bien que certainement il n'y ait point qu'une unique manière de prier pour obtenir cette aide, nous estimons néanmoins que le rosaire est le moyen le mieux adapté et le plus fructueux, comme cela est du reste clairement suggéré par son origine même, plus divine qu'humaine et par sa nature intime. Y a-t-il, en effet, prière plus appropriée et plus belle que l'Oraison dominicale et la Salutation angélique, qui sont comme les fleurs dont se compose cette couronne mystique ? Il résulte un autre grand avantage lorsque les prières orales s'accompagnent de la méditation des mystères : tous les fidèles, même les plus simples et les moins instruits, ont là une manière facile et rapide d'alimenter et d'affermir leur foi. Par la méditation fréquente des mystères, l'Ame atteint et absorbe insensiblement les vertus qu'ils contiennent, elle s'enflamme vivement à l'espérance des biens immortels et se sent fortement et doucement stimulée à suivre la voie tracée par le Christ Lui-même et par sa Mère. La récitation même de formules identiques, tant de fois répétées, loin de rendre cette prière stérile et ennuyeuse, possède au contraire l'admirable vertu d'inculquer la confiance à celui qui prie et de faire une douce violence au Cœur maternel de Marie.
Mais c'est surtout au sein des familles que nous désirons que la pratique du rosaire soit répandue, religieusement conservée, et sans cesse développée. C'est en vain qu'on s'efforce d'enrayer le déclin de la civilisation si on ne ramène pas à la loi de l'Evangile la famille, principe et fondement de la société. Nous tenons à le déclarer : la récitation du rosaire en famille est un moyen des plus efficaces pour réaliser une entreprise si difficile. Quel spectacle suave et très agréable à Dieu quand, à la tombée de la nuit, le foyer chrétien résonne des louanges en l'honneur de la Reine auguste du ciel ! Alors la récitation du rosaire rassemble devant l'image de la Sainte Vierge, dans une admirable union des cœurs, les parents et les enfants, qui reviennent du travail de la journée; cette prière les unit aux absents et aux défunts : elle les attache, enfin, plus étroitement à Notre-Dame, qui, en Mère très aimante, viendra au milieu de la couronne de ses enfants, répandant avec abondance dans le foyer les dons de l'union et de la paix. Semblable à la famille de Nazareth, le foyer chrétien deviendra alors une demeure terrestre de sainteté et comme un temple, où le rosaire, non seulement sera une forme particulière de prière montant chaque jour vers le ciel avec un parfum de suavité, mais constituera encore une école des plus efficaces de vertu et de vie chrétienne. En effet, la méditation des mystères de la Rédemption enseignera aux grands à vivre en imitant chaque jour les splendides exemples de Jésus et de Marie, à puiser en eux le réconfort dans l'adversité et à tendre vers les trésors célestes « où les voleurs n'ont pas d'accès et où les mites ne rongent point ». (Luc XII, 33) Aux enfants, la récitation méditée du rosaire apprendra les principales vérités de la foi; l'amour du très aimable Sauveur s'épanouira presque spontanément dans leurs âmes innocentes, tandis que l'exemple de leurs parents agenouillés avec respect devant la majesté de Dieu leur inculquera, dès leurs plus tendres années, l'éminente valeur de la prière récitée en commun.
Nous n'hésitons donc pas à le répéter : nous mettons une grande espérance dans le rosaire pour la guérison des maux qui affligent notre époque. Ce n'est pas avec la force, ni avec les armes, ni avec la puissance humaine, mais avec l'aide divine obtenue par cette prière que l'Eglise, forte comme David avec sa fronde, pourra affronter, intrépide, l'ennemi infernal, en lui adressant les paroles du jeune berger : « Tu viens contre moi avec l'épée, la lance et le javelot, mais moi je vais contre toi au nom du Dieu des armées... et toute cette multitude saura que ce n'est ni par l'épée, ni par la lance que Dieu sauve » (Rois XVII, 44,49)
Nous désirons donc vivement, Vénérables Frères, que, stimulés par votre exemple et vos exhortations, tous les fidèles répondent avec empressement à nos consignes et unissent leurs cœurs et leurs voix dans un même élan de charité. Si les maux et les attaques des méchants vont se multipliant, le zèle de tous les hommes de bien doit également augmenter. Que les fidèles s'efforcent d'obtenir de notre Mère, très aimante, spécialement au moyen du rosaire, qui lui est si agréable, le retour prochain de temps meilleurs pour l'Eglise et pour la société."
Lettre encyclique Ingruentium malorum
"… nous connaissons bien la puissante efficacité du rosaire pour obtenir l'aide maternelle de la Sainte Vierge. Bien que certainement il n'y ait point qu'une unique manière de prier pour obtenir cette aide, nous estimons néanmoins que le rosaire est le moyen le mieux adapté et le plus fructueux, comme cela est du reste clairement suggéré par son origine même, plus divine qu'humaine et par sa nature intime. Y a-t-il, en effet, prière plus appropriée et plus belle que l'Oraison dominicale et la Salutation angélique, qui sont comme les fleurs dont se compose cette couronne mystique ? Il résulte un autre grand avantage lorsque les prières orales s'accompagnent de la méditation des mystères : tous les fidèles, même les plus simples et les moins instruits, ont là une manière facile et rapide d'alimenter et d'affermir leur foi. Par la méditation fréquente des mystères, l'Ame atteint et absorbe insensiblement les vertus qu'ils contiennent, elle s'enflamme vivement à l'espérance des biens immortels et se sent fortement et doucement stimulée à suivre la voie tracée par le Christ Lui-même et par sa Mère. La récitation même de formules identiques, tant de fois répétées, loin de rendre cette prière stérile et ennuyeuse, possède au contraire l'admirable vertu d'inculquer la confiance à celui qui prie et de faire une douce violence au Cœur maternel de Marie.
Mais c'est surtout au sein des familles que nous désirons que la pratique du rosaire soit répandue, religieusement conservée, et sans cesse développée. C'est en vain qu'on s'efforce d'enrayer le déclin de la civilisation si on ne ramène pas à la loi de l'Evangile la famille, principe et fondement de la société. Nous tenons à le déclarer : la récitation du rosaire en famille est un moyen des plus efficaces pour réaliser une entreprise si difficile. Quel spectacle suave et très agréable à Dieu quand, à la tombée de la nuit, le foyer chrétien résonne des louanges en l'honneur de la Reine auguste du ciel ! Alors la récitation du rosaire rassemble devant l'image de la Sainte Vierge, dans une admirable union des cœurs, les parents et les enfants, qui reviennent du travail de la journée; cette prière les unit aux absents et aux défunts : elle les attache, enfin, plus étroitement à Notre-Dame, qui, en Mère très aimante, viendra au milieu de la couronne de ses enfants, répandant avec abondance dans le foyer les dons de l'union et de la paix. Semblable à la famille de Nazareth, le foyer chrétien deviendra alors une demeure terrestre de sainteté et comme un temple, où le rosaire, non seulement sera une forme particulière de prière montant chaque jour vers le ciel avec un parfum de suavité, mais constituera encore une école des plus efficaces de vertu et de vie chrétienne. En effet, la méditation des mystères de la Rédemption enseignera aux grands à vivre en imitant chaque jour les splendides exemples de Jésus et de Marie, à puiser en eux le réconfort dans l'adversité et à tendre vers les trésors célestes « où les voleurs n'ont pas d'accès et où les mites ne rongent point ». (Luc XII, 33) Aux enfants, la récitation méditée du rosaire apprendra les principales vérités de la foi; l'amour du très aimable Sauveur s'épanouira presque spontanément dans leurs âmes innocentes, tandis que l'exemple de leurs parents agenouillés avec respect devant la majesté de Dieu leur inculquera, dès leurs plus tendres années, l'éminente valeur de la prière récitée en commun.
Nous n'hésitons donc pas à le répéter : nous mettons une grande espérance dans le rosaire pour la guérison des maux qui affligent notre époque. Ce n'est pas avec la force, ni avec les armes, ni avec la puissance humaine, mais avec l'aide divine obtenue par cette prière que l'Eglise, forte comme David avec sa fronde, pourra affronter, intrépide, l'ennemi infernal, en lui adressant les paroles du jeune berger : « Tu viens contre moi avec l'épée, la lance et le javelot, mais moi je vais contre toi au nom du Dieu des armées... et toute cette multitude saura que ce n'est ni par l'épée, ni par la lance que Dieu sauve » (Rois XVII, 44,49)
Nous désirons donc vivement, Vénérables Frères, que, stimulés par votre exemple et vos exhortations, tous les fidèles répondent avec empressement à nos consignes et unissent leurs cœurs et leurs voix dans un même élan de charité. Si les maux et les attaques des méchants vont se multipliant, le zèle de tous les hommes de bien doit également augmenter. Que les fidèles s'efforcent d'obtenir de notre Mère, très aimante, spécialement au moyen du rosaire, qui lui est si agréable, le retour prochain de temps meilleurs pour l'Eglise et pour la société."
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Re: Le SAINT ROSAIRE
Liza2028 a écrit:Est-ce bien ça ?
http://www.aidez-moi.org/prier/rosaire_methode.html
Moi je débute avec le rosaire.
Bonjour Liza.
Excellent!!!
Bonne journée.
Union de prières.
Michael- Dans la prière
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Re: Le SAINT ROSAIRE
j'ai commencé le saint rosaire cette semaine et j'ai remarqué beaucoup de fruits dans mes journées surtout l'espérance et la joie merci marie comblée de grâce pour chacun de nous
par Marie en Jésus- Avec Saint Maximilien Kolbe
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Localisation : au québec
Inscription : 19/10/2011
Re: Le SAINT ROSAIRE
Bonsoir Michael !
Je te souhaite une excellente fin de journée.
Je te souhaite une excellente fin de journée.
Liza2028- Avec Saint Joseph
- Messages : 1366
Inscription : 26/09/2013
Réciter le Rosaire avec 7 chapelets
J'ai inventé 3 chapelets à ajouter aux 4 qui existent déjà.
Après les mystères joyeux, j'ai les 5 mystères suivants, qui sont la première série de mystères de la vie publique de Jésus :
1. La vie cachée à Nazareth
2. Le baptême de Jésus
3. Jeûne et tentation au désert
4. Les noces de Cana
5. Convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle
Un autre chapelet : les mystères « bienheureux » :
1. Heureux les pauvres en esprit
2. Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice
3. Heureux les coeurs purs
4. Heureux les artisans de paix
5. Bienheureuse celle qui a cru
Un autre chapelet : les mystères de « Je suis » :
1. Je suis le pain vivant descendu du ciel
2. Je suis la lumière du monde
3. Je suis le Bon Pasteur
4. Je suis la Résurrection et la Vie
5. Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie
Puis, c'est la deuxième série des mystères de la vie publique de Jésus :
1. La Transfiguration
2. L'entrée triomphale de Jésus à Jérusalem (Béni soit Celui qui vient au nom du Seigneur)
3. Bienheureux les miséricordieux (J'avais faim et vous m'avez donné à manger)
4. Le lavement des pieds
5. l'institution de l'Eucharistie
Puis ce sont les mystères douloureux et les mystères glorieux.
Après les mystères joyeux, j'ai les 5 mystères suivants, qui sont la première série de mystères de la vie publique de Jésus :
1. La vie cachée à Nazareth
2. Le baptême de Jésus
3. Jeûne et tentation au désert
4. Les noces de Cana
5. Convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle
Un autre chapelet : les mystères « bienheureux » :
1. Heureux les pauvres en esprit
2. Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice
3. Heureux les coeurs purs
4. Heureux les artisans de paix
5. Bienheureuse celle qui a cru
Un autre chapelet : les mystères de « Je suis » :
1. Je suis le pain vivant descendu du ciel
2. Je suis la lumière du monde
3. Je suis le Bon Pasteur
4. Je suis la Résurrection et la Vie
5. Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie
Puis, c'est la deuxième série des mystères de la vie publique de Jésus :
1. La Transfiguration
2. L'entrée triomphale de Jésus à Jérusalem (Béni soit Celui qui vient au nom du Seigneur)
3. Bienheureux les miséricordieux (J'avais faim et vous m'avez donné à manger)
4. Le lavement des pieds
5. l'institution de l'Eucharistie
Puis ce sont les mystères douloureux et les mystères glorieux.
Pierre Bilodeau- Débutant
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Inscription : 20/07/2013
Re: Le SAINT ROSAIRE
Bonjour Pierre, j'aime votre créativité une bonne façon de méditer la vie de Jésus par notre mère Marie merci
par Marie en Jésus- Avec Saint Maximilien Kolbe
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Localisation : au québec
Inscription : 19/10/2011
Re: Le SAINT ROSAIRE
par Marie en Jésus a écrit:j'ai commencé le saint rosaire cette semaine et j'ai remarqué beaucoup de fruits dans mes journées surtout l'espérance et la joie merci marie comblée de grâce pour chacun de nous
Merci pour ce beau témoignage.
Il y a tellement de grâces accordées au Rosaire....et pour ceux qui persévèrent,des grâces de choix.
C'est ma prière favorite tout comme le Rosaire était la prière préférée de notre regretté Pape Jean-Paul II.
Liza2028 a écrit:Bonsoir Michael !
Je te souhaite une excellente fin de journée.
À toi aussi...
Union de prières.
Michael- Dans la prière
- Messages : 5204
Inscription : 08/03/2009
Re: Le SAINT ROSAIRE
un bon pdf de méditations des 20 mystères du rosaire donné aujourd'hui : par @"Jeanne de la montagne"
sur le fil : https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t35079p270-echanges-questions-durant-le-parcours-entre-tous-et-chacun#370922
aller en fin de son message c'est là que se trouve le fichier .pdf
sur le fil : https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t35079p270-echanges-questions-durant-le-parcours-entre-tous-et-chacun#370922
aller en fin de son message c'est là que se trouve le fichier .pdf
Dernière édition par azais le Dim 17 Juil 2016 - 20:33, édité 1 fois
azais- MEDIATEUR
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Age : 73
Inscription : 10/02/2016
Re: Le SAINT ROSAIRE
bonsoir,
1) 200 ouff c'est bcq !!!
Ensuite, je ne poste pas souvent mais je viens lire et là ... ??? Accès refusé !!!
Allez bye bye, bonne continuation à ceux qui pourront lire.
1) 200 ouff c'est bcq !!!
Ensuite, je ne poste pas souvent mais je viens lire et là ... ??? Accès refusé !!!
Allez bye bye, bonne continuation à ceux qui pourront lire.
Re: Le SAINT ROSAIRE
@misi c'était sur ce fil posté par :
Echanges, questions durant le parcours, entre tous et chacun
Message par Jeannedelamontagne Hier à 12:51
à la fin de son message vous avez le pdf ...
200 c'est un zéro de trop ; excusez moi
en fait 4 chapelets de 5 mystères chacun ( qui peuvent être répartis sur ... 20 jours : chaque méditation proposée nécessité bien de s'y plonger une fois par jour ....)
Echanges, questions durant le parcours, entre tous et chacun
Message par Jeannedelamontagne Hier à 12:51
à la fin de son message vous avez le pdf ...
200 c'est un zéro de trop ; excusez moi
en fait 4 chapelets de 5 mystères chacun ( qui peuvent être répartis sur ... 20 jours : chaque méditation proposée nécessité bien de s'y plonger une fois par jour ....)
azais- MEDIATEUR
- Messages : 9459
Age : 73
Inscription : 10/02/2016
Re: Le SAINT ROSAIRE
Bonjour,
Merci pour le suivi, mais quand je clique sur votre lien voici la réponse ==> Désolé, mais seuls les utilisateurs avec un accès spécial peuvent lire des sujets dans ce forum.
Merci pour le suivi, mais quand je clique sur votre lien voici la réponse ==> Désolé, mais seuls les utilisateurs avec un accès spécial peuvent lire des sujets dans ce forum.
.... pas trouvé ???Echanges, questions durant le parcours, entre tous et chacun Message par Jeannedelamontagne Hier à 12:51 a écrit:
Re: Le SAINT ROSAIRE
@misi
il fallait être inscrit à la retraite du Père spirituel c'est pour ça ... bon je vais voir comment déposer le pdf directement ici
il fallait être inscrit à la retraite du Père spirituel c'est pour ça ... bon je vais voir comment déposer le pdf directement ici
azais- MEDIATEUR
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Age : 73
Inscription : 10/02/2016
Re: Le SAINT ROSAIRE
VOICI LE FICHIER PROMIS
une médiation pour une dizaine de chapelet ( Une dizaine = 10 Je vous salue + 1 Notre Père )
En 3 semaines le rosaire ( 4 chapelets de 50 petits grains ) est bouclé
une excellente visite priante des Mystères catholiques sous le regard de Marie
une médiation pour une dizaine de chapelet ( Une dizaine = 10 Je vous salue + 1 Notre Père )
En 3 semaines le rosaire ( 4 chapelets de 50 petits grains ) est bouclé
une excellente visite priante des Mystères catholiques sous le regard de Marie
- Fichiers joints
azais- MEDIATEUR
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Inscription : 10/02/2016
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