Témoignage de vie : " Jésus a changé ma vie et j'en suis heureux
Page 1 sur 1
Témoignage de vie : " Jésus a changé ma vie et j'en suis heureux
"Jésus a changé ma Vie et j’en suis vraiment heureux "
témoignage reçu mardi 13 septembre 2011
Quand Robert m’annonça son prochain licenciement, je sentis en moi un malaise paralysant, glacial, presque mortel ! Le travail c’était la vie, les projets, la sécurité, la notoriété et tout à coup face à moi, face à nous, le vide ! Je criais vers Dieu qu’il nous épargne cette épreuve puisqu’il était « tout-puissant ». Mais ce n’était pas là son projet pour nous.
Jésus a changé ma Vie et j’en suis vraiment heureux
• Robert : [1] A 45 ans, après une vie de « bon » chrétien, bien engagé dans mon église, j’ai décidé de confier véritablement ma vie à Jésus-Christ. Je me sentais enfin totalement libre, je fus rempli d’un grand bonheur.
La connaissance essentiellement intellectuelle que j’avais de Dieu se transforma en un Amour tout neuf. « Je briserai vos cœurs de pierre, je vous donnerai un cœur de chair », cette parole de la Bible prenait tout son sens.
Ensuite, je devins membre de la Communauté « Chrétiens, témoins dans le monde », répondant à cela à ce que je percevais comme un appel de Dieu. Tout allait bien. Josiane, mon épouse, vivait simultanément la même découverte. Elle partageait mes convictions et cet engagement.
Notre vie personnelle et familiale s’en trouvait nettement améliorée. Nos trois enfants poursuivaient leurs études. J’étais reconnu dans un travail qui m’intéressait. Aidé par cette « énergie nouvelle » qui m’habitait, j’avais fait progresser mon job et j’y trouvais beaucoup de satisfactions.
Avec le recul, je reconnais que j’y plaçais également quelques vanités. Aussi quel choc lorsque mon directeur général me convoqua et prononça cette phrase terrible : « Je dois me séparer de vous. Vos compétences ne sont pas en cause, mais je n’en ai plus besoin ».
Un vide s’ouvrait sous mes pieds. J’avais 49 ans, la crise de l’emploi s’amplifiait. Les conditions d’une longue « galère » me paraissaient réunies. Rentré dans mon bureau, j’étais atterré, je fermai la porte pour m’isoler et je saisis comme une bouée de sauvetage la petite bible qui était dans un tiroir.
En moi-même, je criais au secours vers ce Jésus-Christ qui avait métamorphosé ma vie quelques années auparavant. J’ouvris le livre au hasard. Une Parole du Psaume 32 me sauta au visage : « N’imite pas le cheval ou la mule stupides, dont mors et bride doivent freiner la fougue, et il ne t’arrivera rien »*. Instantanément, je compris que cette phrase m’était adressée, il s’agissait d’une promesse.
Pourtant, c’est une chose de croire, d’espérer, cela en est une autre d’agir en conséquence. J’étais habité de sentiments contradictoires : l’espérance d’un côté, et de l’autre l’inquiétude pour un avenir qui m’apparaissait sombre.
• Josiane : Quand Robert m’annonça son prochain licenciement, je sentis en moi un malaise paralysant, glacial, presque mortel ! Le travail c’était la vie, les projets, la sécurité, la notoriété et tout à coup face à moi, face à nous, le vide ! Je criais vers Dieu qu’il nous épargne cette épreuve puisqu’il était « tout-puissant ». Mais ce n’était pas là son projet pour nous.
• Robert : Je fus licencié, mais j’ai souhaité que mon départ se fasse dans les meilleures conditions et je voulus rester en bons termes avec ceux dont j’avais partagé le travail pendant 15 années.
Le dernier jour, j’ai rassemblé mes collègues, mes supérieurs, mon directeur général, pour une petite réunion que l’on pratique ordinairement lorsqu’on part pour un meilleur emploi.
J’eus droit à quelques cadeaux de départ et à un petit discours de mon directeur. Heureusement, le travail de mon épouse assurait une partie des revenus familiaux.
Pendant deux années, j’écrivis de nombreuses lettres, postulai pour quantité de postes …sans succès. Nous confiions à Dieu chaque jour nos soucis et nos espoirs et lui manifestions une confiance récompensée par peu de résultats visibles.
Pourtant bien des signes de sa présence, de son soutien nous étaient donnés ; ainsi la paix dans le foyer, ainsi la volonté de persévérer ; ainsi telle formation obtenue en quelques instants alors que le délai d’attente était de plusieurs mois ou telle rencontre hautement improbable survenant à l’instant même où je criais au secours ; ou encore tels conseils et soutiens essentiels au moral.
. Josiane : Il y eut des périodes parfois très difficiles, l’avenir semblait fermé. J’avais l’impression que tout irritait Robert, je ne savais plus quelle attitude avoir avec lui. J’essayais de me faire la plus discrète possible, Robert le ressentait alors comme de l’indifférence ou une agression.
L’isolement lui pesait, il me reprochait mes absences, mon travail même. Alors le ressentiment me guettait, le silence s’installait entre nous, les sentiments amoureux devenaient fugitifs. Plusieurs fois j’ai crié vers Dieu le suppliant de conserver mon amour pour Robert et Il a répondu. Comme Jonas dans la Bible, moi aussi, je peux dire à Dieu : « Quand j’étais dans la détresse j’ai crié vers toi, Seigneur, et tu m’as répondu ; j’ai appelé au secours et tu m’as entendu »*.
Dieu s’intéresse à tout ce qui fait notre vie. J’ai supporté, j’ai pardonné, j’ai aimé et la paix s’est installée, la joie et l’amour se sont renouvelés. J’étais le témoin des craintes, des abattements, des espérances et des demandes que Robert exprimait dans nos moments de prières, mais chaque jour la parole de Dieu nous éclairait, nous guidait, nous fortifiait.
Jésus nous aimait tels que nous étions, nous rassurait, nous rappelait sa promesse d’un avenir de bonheur et non de malheur ; grâce à lui nous pouvions scruter les évènements, profiter des circonstances et rendre nos actions victorieuses. Ainsi, je ne me suis pas retournée, pleine de regrets, sur le passé et j’ai vécu au présent. J’ai ignoré le regard et le jugement des autres.
Encouragée, j’ai accepté de prendre plusieurs heures supplémentaires par semaine pour améliorer la situation financière de notre famille. Ma santé était bonne et malgré la surcharge de travail je suis restée sereine.
Dieu m’a appris à accorder ma confiance à Robert pour ses actions et ses méthodes de travail dans sa recherche d’emploi et par la suite pour sa création d’entreprise. Dieu m’a aussi appris à attendre ses bénédictions. Chaque jour, j’ai pu le remercier pour tout ce qu’il faisait pour nous et nos proches bien-aimés. Il est devenu le guide, le confident, l’ami.
• Robert : En cette période difficile qui a parfois provoqué la destruction de couples, le soutien discret et puissant que m’apporta Josiane fut indispensable mais aussi source d’un bonheur nouveau. La prière en commun, le partage nous ont permis de vivre en harmonie, confiants que notre Dieu prenait soin de nous et nous préparait un avenir.
C’est d’ailleurs au cours d’une prière commune que cette phrase magnifique me fit résonner comme un tambour : « Je te justifierai ». Je fus fortifié par cette promesse en relation avec mon travail passé, mais de quelle relation s’agissait-il exactement ?
Le temps passait, la nécessité de retrouver un travail et les revenus qui s’y attachent se faisait impérieuse.
Guidé de manière surprenante, je m’installai comme consultant indépendant, proposant mes services à des entreprises et à des organismes de formation. Cette solution à mon problème d’emploi demandait des compétences nouvelles que je n’avais pas acquises dans mes responsabilités passées. Pourtant, très rapidement j’obtins les premiers contrats qui me permirent d’assurer les revenus nécessaires à ma famille.
La « justification » promise est venue très rapidement lorsque j’ai été poussé à proposer mes services à mon ancien employeur et qu’ils furent très rapidement acceptés… !
Ainsi à plusieurs reprises, j’eu à former et conseiller le personnel dont j’avais eu la responsabilité quelques années auparavant. Mes compétences étaient jugées bonnes ; mes anciens responsables avaient à nouveau besoin de moi et confiance en moi ! J’étais reconnu par ceux même qui m’avaient écarté et qui avaient détruit ce que j’avais mis en place.
Pendant les années qui suivirent j’ai travaillé et bénéficié de revenus suffisants qui aujourd’hui encore me surprennent. On m’a confié des opérations dépassant le niveau de compétences que je me connaissais. A chaque fois, impressionné par les enjeux de mon activité, Toujours je me suis appuyé sur Jésus. Toujours il a répondu. Tout ne fut pas facile mais je suis intervenu dans des domaines nouveaux pour moi et j’ai fortement progressé dans ceux que je maîtrisais. Cette nouvelle carrière a été une évolution constante et enrichissante.
• Josiane : Des partages et des échanges m’ont permis d’admirer les capacités et les compétences de Robert, de voir ce que Dieu le rendait capable de faire, mais également de lui donner mon avis dans les orientations, les choix pour ses entreprises. J’ai eu à cœur de l’encourager dans ses projets afin de soutenir ses efforts. Nous avons eu beaucoup de bienfaits.
• Robert : La suite de l’histoire me surprend encore aujourd’hui. Pour bénéficier des droits à la retraite accumulés lors de mes situations précédentes, il me fallait reprendre un emploi salarié. Des contraintes techniques liées à mes activités de consultant ne permettaient pas ce type de contrat.
Il me fallait trouver autre chose. Je m’y suis employé à 58 ans malgré le scepticisme de tous les spécialistes de l’emploi que j’ai rencontrés. Et bien j’ai trouvé un emploi salarié, professeur de mathématiques !.
Ainsi j’ai retrouvé mes droits anciens et je viens juste de cesser mes activités. Durant dix ans, malgré mes peurs et mes craintes bien naturelles, maîtrisant les élans dus à mon caractère et à mon passé, j’ai accepté de me laisser conduire par Jésus, c’est-à-dire de comprendre les événements qui arrivent, d’entrer dans la démarche que Dieu souhaite, en accomplissant ma part de travail.
Il y a eu des moments difficiles, mais il ne m’est rien arrivé de déplaisant, au contraire, beaucoup de joies, de satisfactions, de bonnes surprises. J’ai toujours bénéficié du nécessaire pour le quotidien, je n’ai manqué de rien - Père, donne-nous notre pain de ce jour - et il m’a même été donné en abondance ; j’ai vécu des expériences impossibles dans mon emploi précédent.
Dix années d’expériences nouvelles pour mieux apprendre la confiance en ce Père qui nous aime, apprendre à écouter la tendre voix de Jésus, à oser suivre une route que je ne connais pas.
Quelle belle expérience ! Aucun doute : Jésus a changé ma vie et j’en suis très heureux. Impossible de garder pour moi cette bonne nouvelle : « l’Amour de Dieu pour nous est manifesté dès maintenant ! ». Oui, cette bonne nouvelle est pour vous aussi !
*******
[1] Robert et Josiane sont mariés et ont 3 enfants. Ils habitent dans les Yvelines. Robert est ingénieur conseil en management industriel et Josiane enseignante.
Témoignage reçu le Mardi 13 Septembre
En partage
Maud
témoignage reçu mardi 13 septembre 2011
Quand Robert m’annonça son prochain licenciement, je sentis en moi un malaise paralysant, glacial, presque mortel ! Le travail c’était la vie, les projets, la sécurité, la notoriété et tout à coup face à moi, face à nous, le vide ! Je criais vers Dieu qu’il nous épargne cette épreuve puisqu’il était « tout-puissant ». Mais ce n’était pas là son projet pour nous.
Jésus a changé ma Vie et j’en suis vraiment heureux
• Robert : [1] A 45 ans, après une vie de « bon » chrétien, bien engagé dans mon église, j’ai décidé de confier véritablement ma vie à Jésus-Christ. Je me sentais enfin totalement libre, je fus rempli d’un grand bonheur.
La connaissance essentiellement intellectuelle que j’avais de Dieu se transforma en un Amour tout neuf. « Je briserai vos cœurs de pierre, je vous donnerai un cœur de chair », cette parole de la Bible prenait tout son sens.
Ensuite, je devins membre de la Communauté « Chrétiens, témoins dans le monde », répondant à cela à ce que je percevais comme un appel de Dieu. Tout allait bien. Josiane, mon épouse, vivait simultanément la même découverte. Elle partageait mes convictions et cet engagement.
Notre vie personnelle et familiale s’en trouvait nettement améliorée. Nos trois enfants poursuivaient leurs études. J’étais reconnu dans un travail qui m’intéressait. Aidé par cette « énergie nouvelle » qui m’habitait, j’avais fait progresser mon job et j’y trouvais beaucoup de satisfactions.
Avec le recul, je reconnais que j’y plaçais également quelques vanités. Aussi quel choc lorsque mon directeur général me convoqua et prononça cette phrase terrible : « Je dois me séparer de vous. Vos compétences ne sont pas en cause, mais je n’en ai plus besoin ».
Un vide s’ouvrait sous mes pieds. J’avais 49 ans, la crise de l’emploi s’amplifiait. Les conditions d’une longue « galère » me paraissaient réunies. Rentré dans mon bureau, j’étais atterré, je fermai la porte pour m’isoler et je saisis comme une bouée de sauvetage la petite bible qui était dans un tiroir.
En moi-même, je criais au secours vers ce Jésus-Christ qui avait métamorphosé ma vie quelques années auparavant. J’ouvris le livre au hasard. Une Parole du Psaume 32 me sauta au visage : « N’imite pas le cheval ou la mule stupides, dont mors et bride doivent freiner la fougue, et il ne t’arrivera rien »*. Instantanément, je compris que cette phrase m’était adressée, il s’agissait d’une promesse.
Pourtant, c’est une chose de croire, d’espérer, cela en est une autre d’agir en conséquence. J’étais habité de sentiments contradictoires : l’espérance d’un côté, et de l’autre l’inquiétude pour un avenir qui m’apparaissait sombre.
• Josiane : Quand Robert m’annonça son prochain licenciement, je sentis en moi un malaise paralysant, glacial, presque mortel ! Le travail c’était la vie, les projets, la sécurité, la notoriété et tout à coup face à moi, face à nous, le vide ! Je criais vers Dieu qu’il nous épargne cette épreuve puisqu’il était « tout-puissant ». Mais ce n’était pas là son projet pour nous.
• Robert : Je fus licencié, mais j’ai souhaité que mon départ se fasse dans les meilleures conditions et je voulus rester en bons termes avec ceux dont j’avais partagé le travail pendant 15 années.
Le dernier jour, j’ai rassemblé mes collègues, mes supérieurs, mon directeur général, pour une petite réunion que l’on pratique ordinairement lorsqu’on part pour un meilleur emploi.
J’eus droit à quelques cadeaux de départ et à un petit discours de mon directeur. Heureusement, le travail de mon épouse assurait une partie des revenus familiaux.
Pendant deux années, j’écrivis de nombreuses lettres, postulai pour quantité de postes …sans succès. Nous confiions à Dieu chaque jour nos soucis et nos espoirs et lui manifestions une confiance récompensée par peu de résultats visibles.
Pourtant bien des signes de sa présence, de son soutien nous étaient donnés ; ainsi la paix dans le foyer, ainsi la volonté de persévérer ; ainsi telle formation obtenue en quelques instants alors que le délai d’attente était de plusieurs mois ou telle rencontre hautement improbable survenant à l’instant même où je criais au secours ; ou encore tels conseils et soutiens essentiels au moral.
. Josiane : Il y eut des périodes parfois très difficiles, l’avenir semblait fermé. J’avais l’impression que tout irritait Robert, je ne savais plus quelle attitude avoir avec lui. J’essayais de me faire la plus discrète possible, Robert le ressentait alors comme de l’indifférence ou une agression.
L’isolement lui pesait, il me reprochait mes absences, mon travail même. Alors le ressentiment me guettait, le silence s’installait entre nous, les sentiments amoureux devenaient fugitifs. Plusieurs fois j’ai crié vers Dieu le suppliant de conserver mon amour pour Robert et Il a répondu. Comme Jonas dans la Bible, moi aussi, je peux dire à Dieu : « Quand j’étais dans la détresse j’ai crié vers toi, Seigneur, et tu m’as répondu ; j’ai appelé au secours et tu m’as entendu »*.
Dieu s’intéresse à tout ce qui fait notre vie. J’ai supporté, j’ai pardonné, j’ai aimé et la paix s’est installée, la joie et l’amour se sont renouvelés. J’étais le témoin des craintes, des abattements, des espérances et des demandes que Robert exprimait dans nos moments de prières, mais chaque jour la parole de Dieu nous éclairait, nous guidait, nous fortifiait.
Jésus nous aimait tels que nous étions, nous rassurait, nous rappelait sa promesse d’un avenir de bonheur et non de malheur ; grâce à lui nous pouvions scruter les évènements, profiter des circonstances et rendre nos actions victorieuses. Ainsi, je ne me suis pas retournée, pleine de regrets, sur le passé et j’ai vécu au présent. J’ai ignoré le regard et le jugement des autres.
Encouragée, j’ai accepté de prendre plusieurs heures supplémentaires par semaine pour améliorer la situation financière de notre famille. Ma santé était bonne et malgré la surcharge de travail je suis restée sereine.
Dieu m’a appris à accorder ma confiance à Robert pour ses actions et ses méthodes de travail dans sa recherche d’emploi et par la suite pour sa création d’entreprise. Dieu m’a aussi appris à attendre ses bénédictions. Chaque jour, j’ai pu le remercier pour tout ce qu’il faisait pour nous et nos proches bien-aimés. Il est devenu le guide, le confident, l’ami.
• Robert : En cette période difficile qui a parfois provoqué la destruction de couples, le soutien discret et puissant que m’apporta Josiane fut indispensable mais aussi source d’un bonheur nouveau. La prière en commun, le partage nous ont permis de vivre en harmonie, confiants que notre Dieu prenait soin de nous et nous préparait un avenir.
C’est d’ailleurs au cours d’une prière commune que cette phrase magnifique me fit résonner comme un tambour : « Je te justifierai ». Je fus fortifié par cette promesse en relation avec mon travail passé, mais de quelle relation s’agissait-il exactement ?
Le temps passait, la nécessité de retrouver un travail et les revenus qui s’y attachent se faisait impérieuse.
Guidé de manière surprenante, je m’installai comme consultant indépendant, proposant mes services à des entreprises et à des organismes de formation. Cette solution à mon problème d’emploi demandait des compétences nouvelles que je n’avais pas acquises dans mes responsabilités passées. Pourtant, très rapidement j’obtins les premiers contrats qui me permirent d’assurer les revenus nécessaires à ma famille.
La « justification » promise est venue très rapidement lorsque j’ai été poussé à proposer mes services à mon ancien employeur et qu’ils furent très rapidement acceptés… !
Ainsi à plusieurs reprises, j’eu à former et conseiller le personnel dont j’avais eu la responsabilité quelques années auparavant. Mes compétences étaient jugées bonnes ; mes anciens responsables avaient à nouveau besoin de moi et confiance en moi ! J’étais reconnu par ceux même qui m’avaient écarté et qui avaient détruit ce que j’avais mis en place.
Pendant les années qui suivirent j’ai travaillé et bénéficié de revenus suffisants qui aujourd’hui encore me surprennent. On m’a confié des opérations dépassant le niveau de compétences que je me connaissais. A chaque fois, impressionné par les enjeux de mon activité, Toujours je me suis appuyé sur Jésus. Toujours il a répondu. Tout ne fut pas facile mais je suis intervenu dans des domaines nouveaux pour moi et j’ai fortement progressé dans ceux que je maîtrisais. Cette nouvelle carrière a été une évolution constante et enrichissante.
• Josiane : Des partages et des échanges m’ont permis d’admirer les capacités et les compétences de Robert, de voir ce que Dieu le rendait capable de faire, mais également de lui donner mon avis dans les orientations, les choix pour ses entreprises. J’ai eu à cœur de l’encourager dans ses projets afin de soutenir ses efforts. Nous avons eu beaucoup de bienfaits.
• Robert : La suite de l’histoire me surprend encore aujourd’hui. Pour bénéficier des droits à la retraite accumulés lors de mes situations précédentes, il me fallait reprendre un emploi salarié. Des contraintes techniques liées à mes activités de consultant ne permettaient pas ce type de contrat.
Il me fallait trouver autre chose. Je m’y suis employé à 58 ans malgré le scepticisme de tous les spécialistes de l’emploi que j’ai rencontrés. Et bien j’ai trouvé un emploi salarié, professeur de mathématiques !.
Ainsi j’ai retrouvé mes droits anciens et je viens juste de cesser mes activités. Durant dix ans, malgré mes peurs et mes craintes bien naturelles, maîtrisant les élans dus à mon caractère et à mon passé, j’ai accepté de me laisser conduire par Jésus, c’est-à-dire de comprendre les événements qui arrivent, d’entrer dans la démarche que Dieu souhaite, en accomplissant ma part de travail.
Il y a eu des moments difficiles, mais il ne m’est rien arrivé de déplaisant, au contraire, beaucoup de joies, de satisfactions, de bonnes surprises. J’ai toujours bénéficié du nécessaire pour le quotidien, je n’ai manqué de rien - Père, donne-nous notre pain de ce jour - et il m’a même été donné en abondance ; j’ai vécu des expériences impossibles dans mon emploi précédent.
Dix années d’expériences nouvelles pour mieux apprendre la confiance en ce Père qui nous aime, apprendre à écouter la tendre voix de Jésus, à oser suivre une route que je ne connais pas.
Quelle belle expérience ! Aucun doute : Jésus a changé ma vie et j’en suis très heureux. Impossible de garder pour moi cette bonne nouvelle : « l’Amour de Dieu pour nous est manifesté dès maintenant ! ». Oui, cette bonne nouvelle est pour vous aussi !
*******
[1] Robert et Josiane sont mariés et ont 3 enfants. Ils habitent dans les Yvelines. Robert est ingénieur conseil en management industriel et Josiane enseignante.
Témoignage reçu le Mardi 13 Septembre
En partage
Maud
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
- Messages : 14722
Localisation : France
Inscription : 16/01/2010
Sujets similaires
» Témoignage d'un homme heureux
» * Témoignage d'une Maman "L’espérance change tout !"
» Je suis heureux de m'accrocher à un propos d'Isabelle Marie
» Je Suis - Jésus la même personne.
» Mgr 23 n’exclut pas d’aller saluer les manifestants le 13 janvier...
» * Témoignage d'une Maman "L’espérance change tout !"
» Je suis heureux de m'accrocher à un propos d'Isabelle Marie
» Je Suis - Jésus la même personne.
» Mgr 23 n’exclut pas d’aller saluer les manifestants le 13 janvier...
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum