Attention Les Drogues du Viol !
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Attention Les Drogues du Viol !
Bonsoir !
Voici un édito du BcnClub 30-08-2010 .
Elles sont souvent à la une dans de nombreux faits divers.
Ex :
Les drogues du viol furent responsables, selon le Figaro, d’un total de 94 cas recensés * de personnes droguées à leur insu entre 2005 et 2006. Ces victimes sont âgées en moyenne de 33 ans, majoritairement des femmes (66 %), victimes d’agressions sexuelles (43 %) ou de vols (38 %).
La Vanguardia, dans un de ces articles, et citant l’Observatoire Européen des Drogue, informe qu’environ 20 % des agressions ont lieu la nuit, sous l’emprise de l’alcool (15 %) et des stupéfiants (5 %). Et il semblerait que dans les 10 dernières années ait été notée une augmentation sensible de l’utilisation des drogues et de l’alcool dans les agressions sexuelles, notamment aux Etats-Unis, au Canada, en France et en Angleterre.
Contre ces drogues du viol, la soumission chimique **, le Conseil Mondial met en garde le grand public.
Initialement apparue dans les pays anglo-saxons, cette pratique se repend de plus en plus. En France, ce sont des hypnotiques comme le Stilnox qui sont le plus utilisés.
Ces drogues sont le plus souvent employées pour avoir des relations sexuelles sans le consentement de la victime.
L’inquiétude suscitée par les viols commis avec l’aide de la drogue et des cocktails surdosés en alcool à l’insu de la victime n’a cessé de grandir.
Si des drogues telles que le GHB ou le Rohypnol sont utilisées par les agresseurs pour commettre un viol (Schwarts, Milteer et LeBeau 2000), l’alcool reste la substance que l’on retrouve le plus souvent dans les analyses des victimes (ElSohly et Salamone, 1999).
Des données scientifiques établissent en effet qu’en matière de violence et d’abus sexuels, l’alcool est à l’origine des problèmes les plus fréquents.
Des études menées dans toute l’Europe, il ressort que la drogue du viol la plus courante est en fait l’alcool. Ses effets sont aggravés par l’usage de drogues multiples, c’est-à-dire l’usage d’alcool en combinaison avec d’autres drogues.
De la même manière, l’étude indique qu’il est difficile de porter la victime inconsciente pour la violer à l’extérieur de la boîte de nuit et que ce type de viol risque beaucoup plus de se produire à domicile (1).
Le problème est donc de dépister de telles agressions,afin de pouvoir les sanctionner. Il faut retrouver dans l’organisme la trace des substances absorbées.
Mais rapidement métabolisées, elles disparaissent dans les 6 à 12 h après leur ingestion, soit avant même que la victime se soit réveillée le lendemain.
De nouvelles techniques permettent maintenant de déceler de plus petites quantités de produits et plus tardivement, après leur ingestion.
Une analyse encore plus récente permet de détecter dans les cheveux la trace d’un anesthésique ou d’un hypnotique 6 à 12 mois après la prise.
Très chères, ces analyses ne peuvent être employées que dès qu’une plainte est déposée (1).
GHB, Rohypnol :
Le GHB, plus connu sous des appellations telles que Grievous Bodily Harm ou encore Liquid Ecstasy (2), se trouve en poudre ou en granulés à dissoudre.
Il était utilisé à l’origine en obstétrique, comme anesthésie. Ce date rape drug est malheureusement mis en cause dans des affaires criminelles.
Les propriétés de la molécule provoquent amnésie et un état semblable à l’ébriété. Ses effets sont rapides – entre 10 et 15 mn et perduraient entre 8 et 18 h.
Ils se traduisent par une légère euphorie, une capacité de communication amplifiée. Associé à de l’alcool, ou en cas de surdosage, il peut provoquer une altération de la conscience, voire un coma de quelques heures, suivi d’une amnésie, d’où son usage dans les cas de viol, notamment aux Etats-Unis.
Selon le docteur Presles (Conseil de l’Europe, février 2007), le GHB ferait plus d’un millier de victimes chaque année.
Vient ensuite le Rohypnol. Utilisé pour traiter l’insomnie, il ne peut être délivré que sur ordonnance. Il crée un dangereux phénomène de dépendance. Un surdosage peut entraîner un sommeil profond, voire un coma (3).
Plus connu sous des noms tels que roofies, La Roche ou encore Rope, c’est un médicament aux effets sédatifs. Il appartient à cette famille médicamenteuse, dépresseurs du système nerveux, qui atténue l’angoisse, et entraîne un état de somnolence, un ralentissement du rythme cardiaque, de la respiration et de la réflexion.
Utilisé de façon criminelle, il est glissé dans une boisson.
Depuis 1997 cependant, la composition des comprimés a été modifiée. Ils se dissolvent plus lentement et font virer au bleu la couleur des boissons transparentes.
Rarement utilisé seul, il sert à accentuer l’effet d’autres drogues – marijuana, héroïne, de l’alcool, et d’atténuer les effets ultérieurs de drogues comme la cocaïne, l’ecstasy ou encore les amphétamines. Ses effets se font ressentir 30 mn après l’absorption et durent au maximum 2 h après. Un seul comprimé peut agir pendant 8 h.
Il peut donner une sensation de détente, de calme ou de somnolence, pouvant entraîner une perte de conscience.
Combiné à l’alcool, il peut entraîner des périodes de blanc de 8 à 24 h, au maximum 72 h.
• Pour se prévenir d’une telle agression :
Ne jamais sortir ou rentrer seul(e) chez soi, se faire accompagner aux toilettes des bars ou des clubs par un(e) ami(e).
La meilleure des solutions pour éviter toute prise illicite de drogue est de ne jamais quitter son verre en soirée. Sous surveillance, personne ne pourra verser quelque chose dedans.
Les hommes aussi sont concernés. En Angleterre, 15 % des victimes sont des hommes (4).
A savoir :
L’AFSSAPS (Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé) a mis en place depuis le 1er juillet 2003 un dispositif d’observation prospectif et permanent permettant de recenser tous les cas enregistrés de soumission chimique avec identification et dosage des substances en cause. Cette étude doit permettre d’identifier les substances impliquées, de mieux définir les contextes des agressions ainsi que le modus operandi des agresseurs et d’évaluer les conséquences cliniques de la prise du produit (5).
* Selon les résultats de l’étude 2005/2006 de l’AFSSAPS, 316 cas de soumissions chimiques avaient été enregistrés. Dans 94 des cas, la substance psychoactive a été identifée et la soumission chimique prouvée.
** La soumission chimique est l'administration à des fins criminelles ou délictuelles d'une substance psychoactive à l'insu de la victime.
D’autres drogues peuvent être utilisées à des fins criminelles, notamment le Burundanga, originaire de Colombie.
Attention cependant aux messages internet qui circulent.
Les événements racontés font partie des légendes urbaines, mais cette drogue existe bel et bien.
Elle est issue de la plante Dantura, et contient de la scopolamine. Elle peut à partir d’une certaine dose faire perdre la volonté et oublier ce que l’on a subi quelques heures auparavant.
Elle s’inhale ou s’avale. Elle aurait été utilisée pendant la seconde guerre mondiale comme sérum de vérité.
Ses noms varient, le plus parlant étant sans doute Le souffle du Diable. Dans un article du journal anglais The Guardian (09/1999), des docteurs informent que le Burundanga est le parfait hypnotique chimique.
(1) Conseil de l’Europe, Guide Drogue et Alcool : violence et insécurité
(2) Danger santé.com
(3) Doctissimo
(4 Centre de toxicomanie et santé mentale
(5) AFSSAPS
Nancy BESSE
----------------
C. . Coment :
Le flunitrazepam commercialisé sous le nom de ROHYPNOL, est un benzodiazépine dix fois plus puissant que le Valium® dont il est de la même famille. Illégal en Amérique du Nord, il est utilisé dans 64 pays du monde pour le traitement de l’insomnie et de l’anxiété.
C'est un comprimé de couleur blanche, légèrement plus petit qu' une aspirine. Cette drogue est peu dispendieuse, environ 10 $ la pilule, et facilement accessible sur le marché noir. Sa réputation de "drogue du viol" en a fait un sédatif rapidement populaire à cause des périodes d'amnésie totale qu'il provoque lorsque consommé avec de l'alcool.
Soyez simplement prudante si vous sorter dans les Bar et prener une consomation d'Alcool.
LE TEMPS LES DROGUES SONT-ELLES DÉTECTABLE DANS L’URINE ?
- AMPHÉTAMINE (Ecstasy, Speed, crystal meth, etc.) -env. 2 à 4 jours
- PCP---------------------------------------env. l0 à l4jours
- ALCOOL -------------------------------- env. 8 à 12 heures
- CANNABIS ----------------------------- env. 30 jours (11 semaines et + si usage régulier)
- COCAÏNE ------------------------------- env. 2 à 4 jours
- LSD -------------------------------------- env. 1 à 4 jours
- HÉROÏNE, MORPHINE -----------------env. 2 à 4 jours
- CODÉÏNE ------------------------------- env. 2 à 5 jours
- MÉTHADONE -------------------------- env. 3 à 5 jours
- BENZODIAZÉPINES (Rohypnol) ---jusqu'à 7 jours
Ces informations sont fournies comme guide et leur justesse ne peut être garantie: le temps de détection peut varier.
Alors si vous avez des doute, ne dépassez pas le temps des trace que laisse les drogues dans le Sang, aller tout de suite a l'Annalise.
Voici un exemple de Lab d'annalise que vous trouvrez surment dans votre régions respective.
http://www.labbiomedic.com/particulier-drogue-alcoolemie.html
Merci !
.
Voici un édito du BcnClub 30-08-2010 .
Elles sont souvent à la une dans de nombreux faits divers.
Ex :
Les drogues du viol furent responsables, selon le Figaro, d’un total de 94 cas recensés * de personnes droguées à leur insu entre 2005 et 2006. Ces victimes sont âgées en moyenne de 33 ans, majoritairement des femmes (66 %), victimes d’agressions sexuelles (43 %) ou de vols (38 %).
La Vanguardia, dans un de ces articles, et citant l’Observatoire Européen des Drogue, informe qu’environ 20 % des agressions ont lieu la nuit, sous l’emprise de l’alcool (15 %) et des stupéfiants (5 %). Et il semblerait que dans les 10 dernières années ait été notée une augmentation sensible de l’utilisation des drogues et de l’alcool dans les agressions sexuelles, notamment aux Etats-Unis, au Canada, en France et en Angleterre.
Contre ces drogues du viol, la soumission chimique **, le Conseil Mondial met en garde le grand public.
Initialement apparue dans les pays anglo-saxons, cette pratique se repend de plus en plus. En France, ce sont des hypnotiques comme le Stilnox qui sont le plus utilisés.
Ces drogues sont le plus souvent employées pour avoir des relations sexuelles sans le consentement de la victime.
L’inquiétude suscitée par les viols commis avec l’aide de la drogue et des cocktails surdosés en alcool à l’insu de la victime n’a cessé de grandir.
Si des drogues telles que le GHB ou le Rohypnol sont utilisées par les agresseurs pour commettre un viol (Schwarts, Milteer et LeBeau 2000), l’alcool reste la substance que l’on retrouve le plus souvent dans les analyses des victimes (ElSohly et Salamone, 1999).
Des données scientifiques établissent en effet qu’en matière de violence et d’abus sexuels, l’alcool est à l’origine des problèmes les plus fréquents.
Des études menées dans toute l’Europe, il ressort que la drogue du viol la plus courante est en fait l’alcool. Ses effets sont aggravés par l’usage de drogues multiples, c’est-à-dire l’usage d’alcool en combinaison avec d’autres drogues.
De la même manière, l’étude indique qu’il est difficile de porter la victime inconsciente pour la violer à l’extérieur de la boîte de nuit et que ce type de viol risque beaucoup plus de se produire à domicile (1).
Le problème est donc de dépister de telles agressions,afin de pouvoir les sanctionner. Il faut retrouver dans l’organisme la trace des substances absorbées.
Mais rapidement métabolisées, elles disparaissent dans les 6 à 12 h après leur ingestion, soit avant même que la victime se soit réveillée le lendemain.
De nouvelles techniques permettent maintenant de déceler de plus petites quantités de produits et plus tardivement, après leur ingestion.
Une analyse encore plus récente permet de détecter dans les cheveux la trace d’un anesthésique ou d’un hypnotique 6 à 12 mois après la prise.
Très chères, ces analyses ne peuvent être employées que dès qu’une plainte est déposée (1).
GHB, Rohypnol :
Le GHB, plus connu sous des appellations telles que Grievous Bodily Harm ou encore Liquid Ecstasy (2), se trouve en poudre ou en granulés à dissoudre.
Il était utilisé à l’origine en obstétrique, comme anesthésie. Ce date rape drug est malheureusement mis en cause dans des affaires criminelles.
Les propriétés de la molécule provoquent amnésie et un état semblable à l’ébriété. Ses effets sont rapides – entre 10 et 15 mn et perduraient entre 8 et 18 h.
Ils se traduisent par une légère euphorie, une capacité de communication amplifiée. Associé à de l’alcool, ou en cas de surdosage, il peut provoquer une altération de la conscience, voire un coma de quelques heures, suivi d’une amnésie, d’où son usage dans les cas de viol, notamment aux Etats-Unis.
Selon le docteur Presles (Conseil de l’Europe, février 2007), le GHB ferait plus d’un millier de victimes chaque année.
Vient ensuite le Rohypnol. Utilisé pour traiter l’insomnie, il ne peut être délivré que sur ordonnance. Il crée un dangereux phénomène de dépendance. Un surdosage peut entraîner un sommeil profond, voire un coma (3).
Plus connu sous des noms tels que roofies, La Roche ou encore Rope, c’est un médicament aux effets sédatifs. Il appartient à cette famille médicamenteuse, dépresseurs du système nerveux, qui atténue l’angoisse, et entraîne un état de somnolence, un ralentissement du rythme cardiaque, de la respiration et de la réflexion.
Utilisé de façon criminelle, il est glissé dans une boisson.
Depuis 1997 cependant, la composition des comprimés a été modifiée. Ils se dissolvent plus lentement et font virer au bleu la couleur des boissons transparentes.
Rarement utilisé seul, il sert à accentuer l’effet d’autres drogues – marijuana, héroïne, de l’alcool, et d’atténuer les effets ultérieurs de drogues comme la cocaïne, l’ecstasy ou encore les amphétamines. Ses effets se font ressentir 30 mn après l’absorption et durent au maximum 2 h après. Un seul comprimé peut agir pendant 8 h.
Il peut donner une sensation de détente, de calme ou de somnolence, pouvant entraîner une perte de conscience.
Combiné à l’alcool, il peut entraîner des périodes de blanc de 8 à 24 h, au maximum 72 h.
• Pour se prévenir d’une telle agression :
Ne jamais sortir ou rentrer seul(e) chez soi, se faire accompagner aux toilettes des bars ou des clubs par un(e) ami(e).
La meilleure des solutions pour éviter toute prise illicite de drogue est de ne jamais quitter son verre en soirée. Sous surveillance, personne ne pourra verser quelque chose dedans.
Les hommes aussi sont concernés. En Angleterre, 15 % des victimes sont des hommes (4).
A savoir :
L’AFSSAPS (Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé) a mis en place depuis le 1er juillet 2003 un dispositif d’observation prospectif et permanent permettant de recenser tous les cas enregistrés de soumission chimique avec identification et dosage des substances en cause. Cette étude doit permettre d’identifier les substances impliquées, de mieux définir les contextes des agressions ainsi que le modus operandi des agresseurs et d’évaluer les conséquences cliniques de la prise du produit (5).
* Selon les résultats de l’étude 2005/2006 de l’AFSSAPS, 316 cas de soumissions chimiques avaient été enregistrés. Dans 94 des cas, la substance psychoactive a été identifée et la soumission chimique prouvée.
** La soumission chimique est l'administration à des fins criminelles ou délictuelles d'une substance psychoactive à l'insu de la victime.
D’autres drogues peuvent être utilisées à des fins criminelles, notamment le Burundanga, originaire de Colombie.
Attention cependant aux messages internet qui circulent.
Les événements racontés font partie des légendes urbaines, mais cette drogue existe bel et bien.
Elle est issue de la plante Dantura, et contient de la scopolamine. Elle peut à partir d’une certaine dose faire perdre la volonté et oublier ce que l’on a subi quelques heures auparavant.
Elle s’inhale ou s’avale. Elle aurait été utilisée pendant la seconde guerre mondiale comme sérum de vérité.
Ses noms varient, le plus parlant étant sans doute Le souffle du Diable. Dans un article du journal anglais The Guardian (09/1999), des docteurs informent que le Burundanga est le parfait hypnotique chimique.
(1) Conseil de l’Europe, Guide Drogue et Alcool : violence et insécurité
(2) Danger santé.com
(3) Doctissimo
(4 Centre de toxicomanie et santé mentale
(5) AFSSAPS
Nancy BESSE
----------------
C. . Coment :
Le flunitrazepam commercialisé sous le nom de ROHYPNOL, est un benzodiazépine dix fois plus puissant que le Valium® dont il est de la même famille. Illégal en Amérique du Nord, il est utilisé dans 64 pays du monde pour le traitement de l’insomnie et de l’anxiété.
C'est un comprimé de couleur blanche, légèrement plus petit qu' une aspirine. Cette drogue est peu dispendieuse, environ 10 $ la pilule, et facilement accessible sur le marché noir. Sa réputation de "drogue du viol" en a fait un sédatif rapidement populaire à cause des périodes d'amnésie totale qu'il provoque lorsque consommé avec de l'alcool.
Soyez simplement prudante si vous sorter dans les Bar et prener une consomation d'Alcool.
LE TEMPS LES DROGUES SONT-ELLES DÉTECTABLE DANS L’URINE ?
- AMPHÉTAMINE (Ecstasy, Speed, crystal meth, etc.) -env. 2 à 4 jours
- PCP---------------------------------------env. l0 à l4jours
- ALCOOL -------------------------------- env. 8 à 12 heures
- CANNABIS ----------------------------- env. 30 jours (11 semaines et + si usage régulier)
- COCAÏNE ------------------------------- env. 2 à 4 jours
- LSD -------------------------------------- env. 1 à 4 jours
- HÉROÏNE, MORPHINE -----------------env. 2 à 4 jours
- CODÉÏNE ------------------------------- env. 2 à 5 jours
- MÉTHADONE -------------------------- env. 3 à 5 jours
- BENZODIAZÉPINES (Rohypnol) ---jusqu'à 7 jours
Ces informations sont fournies comme guide et leur justesse ne peut être garantie: le temps de détection peut varier.
Alors si vous avez des doute, ne dépassez pas le temps des trace que laisse les drogues dans le Sang, aller tout de suite a l'Annalise.
Voici un exemple de Lab d'annalise que vous trouvrez surment dans votre régions respective.
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