Alerte à la sêcheresse en France!

Merci beaucoup pour le liens vers l'extrait.

oui c'est beau un prêtre qui impose les mains mais pour ma part cela me donne plus de force mais c'est pas facile de la demander.
oui panetier nous avez raison quand vous disez que c'est a cause de notre coeur sec. mais comme vous le dite aussi très justement ses signe ne sont t'il pas les Signes qui nous annonce Son Prochain retour ?
mais je suis assé inculte sur le sujet mais c'est le fond de ma pensé.
en tout cas aujourd'hui à 15h j'ai prier le chapelet de la miséricorde pour cette intention.
il a plus 2 minute pas plus malheureusement et maintenant le soleil est revenue.
mais nous devons garder courage.

fraternellement nicolas

Bonjour à Tous,

Aujourd'hui, fête de la Visitation de la Vierge Marie, je remercie tout particulièrement Marie qui nous envoie une pluie de grâces !

Depuis ce matin, il tombe une pluie fine et continue et cela semble bien parti pour la journée !

Merci Vierge Bénie, Tu as entendu nos humbles prières et nous te rendons grâce !

Le Livre de Sophonie (3, 14-18a) dit :

"Pousse des cris de Joie, fille de Sion ! Eclate en ovations, Israël ! Réjouis-toi, tressaille d'allégresse, fille de Jérusalem ! Le Seigneur a écarté tes accusateurs, Il a fait rebrousser chemin à ton ennemi. Le roi d'Israël, le Seigneur est en toi. Tu n'as plus à craindre le malheur.

Ce jour-là, on dira à Jérusalem : "Ne Crains pas, Sion ! Ne laisse pas tes mains défaillir ! Le Seigneur Ton Dieu est en toi, c'est Lui, le héros qui porte le salut. Il aura en toi sa joie et son allégresse, Il te renouvellera par son amour ; Il dansera pour toi avec des cris de joie, comme au jour de fête."

Bonne fête de la Visitation à Tous,
Françoise.

Oui rendons grâce a notre mère.

pour notre part ce fut très très faible mais bon c'est mieux que rien.

j'ai pensé a vous tous ce matin car je passais un examen et avant je voulais allé à la messe au Carmel a coté.
et bien le prêtre à fait référence au rogation et a leur utilité.

je vous souhaite une bonne fin de journée.

en union de prière.

J'ai eu une amie au téléphone qui m'a dit qu'un prêtre dans son sermon avait parlé "d'irrigations" et pas de rogations...car cela était dépassé! J'espère qu'il n'aura pas à payer pour ce jeu de mots!...Sylvia.

La météo contraint des éleveurs à abattre leurs bêtes
Même en 1976, la sécheresse n'avait pas été aussi précoce et les éleveurs avaient pu sauver l'essentiel de la première fauche de foin.Des champs jaunes, "grillés, transformés en paillasson". Jamais Christian Guy, éleveur dans le Cantal, n'avait connu un tel paysage de désolation aussi tôt dans l'année : "Normalement, ce n'est pas avant le 15 août que cela arrive. Et à cette date, on a déjà fait toutes les récoltes. Même en 1976, la sécheresse n'avait pas été aussi précoce, on avait pu sauver l'essentiel de la première fauche de foin."

Si la sécheresse actuelle frappant la France alarme tous les agriculteurs, la situation est délicate pour les céréaliers et surtout pour les éleveurs. Ces derniers, commençant à peine à sortir de quatre ans de crise, parlent même de double peine : à l'augmentation du prix de l'alimentation animale, entraîné par l'envolée des cours mondiaux de céréales, vient maintenant s'ajouter une réduction drastique de leur production de fourrage.

Les pertes sur les premières coupes s'élèvent entre 50 % et 60 %, si ce n'est plus. Et les foins de cette première maigre récolte viennent à peine d'être ensilés, qu'il faut puiser dedans, tant les prairies où paissent les bêtes à cette époque sont sèches.

"A ce rythme-là, relève Thierry Chalmin, éleveur en Haute-Saône, on risque de ne plus rien avoir pour l'hiver. D'autant que si la sécheresse se poursuit, il ne sera pas question de faire une seconde fauche comme à l'habitude."

Partout, la même question se pose : jusqu'à quand va-t-on pouvoir nourrir les bêtes? L'alternative est simple, explique Alain Chaubauty dans les Deux-Sèvres : "Soit acheter de quoi nourrir les bêtes à l'extérieur, soit vendre une partie de notre cheptel." Autant dire un "choix cornélien", résume Emmanuel Bernard, dans la Nièvre.

Une opération solidarité entre céréaliers et éleveurs, lancée par la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA), le principal syndicat agricole, est bien en train de se mettre en place pour que les premiers conservent leur paille au lieu de la broyer.

120 EUROS LA TONNE DE PAILLE

"Faut-il encore pouvoir payer, lâche Patrick Benezit. On nous annonce un prix entre 20 et 25 euros la tonne de paille mise à disposition dans les champs. Mais va s'ajouter le coût du pressage, de la mise en silo et du transport. Et la paille qu'on pourrait normalement trouver dans les pourtours de la région, il va nous falloir aller la chercher bien plus loin", explique cet éleveur du Cantal, qui n'espère pas trouver de la paille à moins de 400 kilomètres de son exploitation. Une distance qui porterait le coût de la paille achetée à 120 euros la tonne. "Et ce n'est que de la paille", dit-il.

"Avec de la paille, on ne fait que maintenir nos animaux en vie. Ce n'est pas avec cela qu'on les engraisse", abonde Thierry Chalmin. Faut-il encore apporter des compléments énergétiques et en protéines. Or tout laisse à penser que la récolte du maïs semé début avril ne sera pas, elle non plus, à la hauteur des espérances. Quand aux autres compléments, tels que la luzerne, leurs prix s'envolent.

Pris en tenaille, avant même cette sécheresse, entre la hausse du coût de l'alimentation du bétail et des prix de vente très bas depuis plusieurs années, les éleveurs font vite leurs comptes. "Cette sécheresse arrive alors que nos trésoreries sont exsangues", explique Patrick Benezit qui s'étrangle à la vue des sommes "vertigineuses" qu'il va lui falloir dépenser.

De plus en plus en viennent ainsi à se résoudre à faire abattre une partie de leur cheptel. Seul moyen de se faire un peu de trésorerie pour pouvoir acheter de l'alimentation pour leur bétail, tout en "limitant le nombre de bouches à nourrir".

Depuis deux semaines, Philippe Alazard, directeur de l'abattoir Bigard à Castres (Tarn), ne cache pas ainsi avoir connu un afflux inhabituel de bestiaux. "Nous sommes montés à 2 000 bovins par semaine, contre 1 500 en temps normal", relève-t-il. Un chiffre qu'il s'attend à voir fortement gonfler.

Résultat, cet abatteur s'apprête à limiter les arrivages de bêtes : "La situation dans laquelle se trouvent les éleveurs est dramatique. Mais quand bien même nous aurions la capacité d'abattage, encore nous faut-il pouvoir écouler en aval la marchandise. Or les animaux qui nous arrivent n'ont pas un niveau d'engraissement satisfaisant."

PERTE DE LA PLUS-VALUE

Lorsqu'ils se résolvent à envoyer à l'abattage des animaux, les éleveurs commencent en effet par les plus jeunes "pour ne pas trop hypothéquer l'avenir de l'exploitation". Mais ces bêtes étant vendues prématurément non finies d'engraisser, ils en perdent toute la plus-value.

Le prix moyen du kilo de carcasse de viande bovine, qui s'était redressé depuis le début de l'année à 3,20 euros contre 3,05 euros en 2010, a ainsi reperdu au cours des deux dernières semaines entre 5 et 10 centimes selon la catégorie de bêtes. Et tous craignent que l'afflux croissant de bêtes à l'abattoir n'accentue encore cette baisse.

Certains en viennent même alors à "décapitaliser", allant jusqu'à vendre leurs vaches allaitantes qui servent au renouvellement de leur cheptel. En l'espace de ces deux dernières semaines, Jean-Paul Thenot, dans le Puy-de-Dôme, a vendu une centaine de bêtes sur les 300 que compte son cheptel. "J'ai 57 ans et je vis pour la troisième fois une sécheresse, explique-t-il. Celle de 1976, je l'ai mal vécue car je m'installais mais c'était plus facile car j'avais un plus petit cheptel. En 2003, je me suis fortement endetté. Et alors que je commençais tout juste à voire le bout du tunnel, une nouvelle sécheresse nous tombe dessus. Mais cette fois, je n'ai plus envie de m'endetter. C'est fini!"

De vingt-sept ans son cadet, Philippe Mougin, installé depuis dix ans en Haute-Saône, a lui aussi pris cette même décision radicale de se séparer de la moitié de ses 300 bêtes. "Je vais me diversifier dans autre chose que l'agriculture, lâche-t-il. Je préfère cela que de dépendre d'aides.
http://fr.sott.net/articles/show/3894-La-meteo-contraint-des-eleveurs-a-abattre-leurs-betes

je crois sincèrement que nous devons, nous tous, prendre garde à ne pas traiter tous cela avec légèreté et humour.
tout cela est très sérieux et risque de prendre une ampleur que l'on ne soupçonne pas mais bon peut tre que ce n'était pas méchant de la par de ce prêtre mais bon en l'état actuel des choses...
mais qui suis je pour dire cela
nicolas

Sécheresse : pas d'herbe pour le bétail en France

Mise à jour le jeudi 2 juin 2011 à 19 h 06 HAE

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Un fermier donne du foin à ses vaches, l'herbe dans les champs étant totalement desséchée.

La sécheresse sévit toujours en France. La situation est tellement difficile pour les agriculteurs, qui peinent à nourrir leur bétail, que Xavier Beulin, le président de la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA), a demandé jeudi l'aide de l'armée pour le transport des aliments vers les élevages frappés par la sécheresse.
M. Beulin estime que « toute initiative solidaire ira dans le bon sens ». Il a d'ailleurs qualifié d'« utiles » les mesures prises par certains départements français, qui ont choisi de faucher l'herbe autour des routes afin de la donner aux agriculteurs, et a tenu à remercier les particuliers qui ont décidé de donner le foin issu de leurs parcelles.
Pour aider à l'acheminement des denrées destinées au bétail, Xavier Beulin suggère également de rouvrir certaines gares rurales. Il évoque aussi la possibilité de lancer une action solidaire aux péages d'autoroute pour le transport de paille gratuit.
« Tout cela peut [...] donner de l'oxygène aux paysans, même s'il faut avant tout reconstituer les trésoreries des exploitations », un point sur lequel « le gouvernement, l'Union européenne, les banques, les organismes sociaux et les assurances sont attendus », a déclaré Xavier Beulin.

De l'aide de l'État
Le ministre français de l'Agriculture, Bruno Le Maire, dit craindre une sécheresse plus grave que celle de 1976, où l'on avait enregistré le tiers seulement des précipitations habituelles.
Il a par ailleurs annoncé mardi que les agriculteurs affectés par la sécheresse recevraient plusieurs centaines de millions d'euros d'aide qui seront tirés du Fonds national de garantie des calamités agricoles. Les premières indemnisations seraient prévues en septembre.
La Société nationale des chemins de fer a de son côté annoncé qu'elle apporterait sa contribution.
Selon Météo France, le pays vit le printemps le plus chaud depuis au moins l'année 1900. Plus de la moitié des départements font l'objet d'un arrêté préfectoral limitant l'usage de l'eau.
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2011/06/02/008-secheresse-france-agriculture.shtml

Bonjour à tous !

oui l'état de la sécheresse en France commence a devenir dramatique. mais cela pas beaucoup de monde c'en apperçoivent.
j'ai beaucoup aimé l'idée de prier 1 dizaine du chapelet de la miséricorde Divine pour cette intention.
je propose a toutes les personnes qui viennent ici à le faire chaque jours.
je crois que nous avons dorénavant que la prières comme recour.

en union de prière
nicolas

Incroyable: il neige en France !
2 juin 2011 | Auteur: Jo

Paradoxe du déréglement climatique: alors que la France fait aussi face à une sécheresse sans précédent, d’importantes chutes de neige ont été enregistrées ces dernières heures en Savoie. Une couche épaisse de 30 à 40 centimètres en plein mois de juin.
De la neige est tombée au mois de juin à Chamrousse (Savoie), en France. Inutile de le préciser, les Savoyards ont l’impression que la nature a disjoncté. D’autant plus que depuis plusieurs semaines, 55 départements français souffrent d’une importante sécheresse. De ce côté, la Savoie fait exception à la règle. « C’est du jamais vu. Il y avait 30 centimètres mesurés sur la table de jardin », a confié un habitant, étonné.
De 30 à -1 degrés en quatre jours
Cet amas de neige s’est formé dès 600 mètres d’altitude. Sur les sommets des montagnes, cette épaisse couche de flocons atteint même les 40 centimètres. Ce qui est assez incroyable, c’est que quatre jours auparavant, la température avoisinait les 30 degrés dans la région. Alors que désormais, il est impossible de s’y promener sans chausser une paire de ski.
15.000 foyers sans électricité
Bien entendu, cette abondance de neige a occasionné plusieurs dégâts. 15.000 foyers ont été privés d’électricité suite à des chutes d’arbres sur des lignes à haute tension.

Notons encore que les températures annoncées dans la région pour les prochains jours remonteront aux alentours des 20 degrés. La couche de neige ne tiendra donc pas bien longtemps.
http://noxmail.us/Syl20Jonathan/?p=23470

VIDÉO:
http://www.rtl.be/videos/video/322158.aspx?CategoryID=316

Moi c’est la différence de 32 en 4 jours qui me dit qu’il y a quelque chose qui ne va pas dans le climat, et 40 cm de neige en Juin, faut l’faire!!!…Imaginez si ça arrive en plein été! on vient de perdre toute nos récoltes

Bonjour a tous !

oui nous vivons une époque troublé même au niveau de la nature.
mais j'ai l'impression que pour la plupart de nos concitoyens, cela reste un probleme de second ordre car cela ne les touche pas directement..... pour l'instant.
hier soir, durant notre chapelet, nous avons prier une dizaine spécialement à cette intention.

prions, prions, prions,

nicolas

Oui Nicolas,

Et la prière entretient l'éveil en nous.
Ceux qui ne prient pas sont anesthésiés ou étourdis par mille préoccupations et sollicitations.
Invitons nos connaissances à prier ou à prier davantage.

Quand on adopte la prière régulière dans notre vie, on ne peut plus s'en passer car
l'ancrage en Dieu devient indispensable.

A propos de sécheresse, une amie me rapporte qu'un agriculteur en pélerinage à Lourdes pleurait en emplissant un bidon d'eau de la grotte, parce que , disait-il, à l'abbatoir de sa ville, en ce moment , on tue 700 vaches supplémentaires par jour parce qu'on ne sait plus comment les nourrir.

bonjour panetier et a tous.

oui je suis tout a fait d'accord avec ce que vous dite sur la prière.
c'est pour cela que des fois c'est le combat entre les tentation du monde et la prière.

je suis touché par cette histoire sur cet agriculteur, cela fait mal pour lui. mais c'est la réalité actuelle.

pour aujourd'hui je rends grâce a Dieu pour cette pluie salvatrice qui nous est tombé. même si c'est bien loin de changer la situation mais c'est déja très bien.

rendons grâce à Dieu !!

bon dimanche
en union de prière

Bonjour à Tous,

Juste en écho à Nicolas, je voudrais rendre grâce pour toute la pluie reçue comme une grâce du ciel, pendant ces quatre jours passés.

Bien sûr, il en manque et certains dégâts sont irréversibles, mais c'est tellement beau de voir notre nature reverdir !

Merci Seigneur !

Et toujours en union de prières.
Françoise.

Dans notre département de l'Hérault (34) il a beaucoup plu depuis 2 jours, et cette nuit c'était le déluge!!!tant ça tombait fort! Le jardin a été bien arrosé...MERCI MON DIEU! BENI SOIS-TU!

Comme quoi aucune prière n'est vaine.

qu'elle beau message d'espoir :

Oui, même si parfois nous en doutons aucune prière n’est vaine.

Je partage aussi une nouvelle donnée par l’association Terre de Dieu qui a permis l’élévation de la Croix de tous les Peuples sur le Mont Sannine au Liban : après 4 années de sécheresse, ce mont est appelé maintenant « la montagne verte » .

Merci Seigneur pour tes grâces visibles et invisibles

bonjour,

j'avais, il y a peu, lu un article sur cette croix au Liban et je suis heureux de voir que déja de nombreuses grâce ce produise sur ce lieu

rendons grâce à Notre Seigneur!!

16.06.2011
Une «sécheresse sans précédent»
«Regarde le ciel», nous conseillait ce matin, sur le chemin du bureau, un pochoir aperçu sur le bitume, dans notre quartier du onzième arrondissement. On se disait que l'auteur de ce slogan avait bien raison. On a toujours trouvé incomparablement déstressant de s'octroyer une petite pause pour contempler le ciel, qu'il soit uniformément azur ou rempli de nuages. Les Parisiens, souvent si énervés, devraient faire cela plus souvent.

Ciel changeant voire un peu morose cela dit sur Paris, ces derniers jours. En le constatant ce matin, on se prenait à déjà regretter le printemps si sublimement estival auquel on a eu droit. Puis, on s'est ravisé: pensant à tous ces gens qui, dans cette région aussi, ont été très heureux qu'il pleuve un peu.

Car, oui, la région parisienne – en dépit de la caricature qu'on s'en fait souvent à l'étranger (en gros: la «Ville lumière» entourée de banlieues horribles et délinquantes) –, a elle aussi son agriculture. Et donc des gens qui, actuellement, sont touchés de plein fouet par la sécheresse. Très exactement 228.000 hectares du territoire de la région-capitale sont consacrés à l'agriculture: pour 60% à la culture des céréales. Ce paysage risque de ne pas perdurer éternellement. Selon la chambre régionale de l'agriculture (ici), «100.000 hectares de terres fertiles ont disparu en l’espace de 50 ans au profit de l’expansion parisienne. Ces dernières années, ce sont 1 300 hectares de terres agricoles qui sont transformées chaque année en espaces urbains».

Et, cette année, ces agriculteurs parisiens souffrent eux aussi de la sécheresse. Sécheresse qui ne date pas d'hier, du reste: cela fait plusieurs années (relire ici, par exemple) que sont mal en point les nappes phréatiques de la grande banlieue Est de Paris, qui alimentent la capitale en eau. Mais cette année, les céréaliers de l'Essonne, des Yvelines et du Val d'Oise trinquent plus que jamais. Ils estiment que le manque d'eau leur a déjà fait perdre... 40% de leur production! L'autre jour, la majorité de gauche qui gouverne la région parisienne a été sommée par la droite de réagir de manière «immédiate et adaptée» à cette «sécheresse sans précédent», en étant «aux côtés des agriculteurs». L'UMP demande au Conseil régional «de mettre en place une aide au transport et à l'achat de fourrage, d'intervenir auprès des banques pour bonifier les prêts aux agriculteurs, et de participer financièrement à la création de bassins de stockage des écoulements d'eau».

En guise de chute à cette note, quelques précisions qu'en bon Parisien moyen, donc indécrottablement urbain, on trouve délicieusement bucoliques. L'agriculture de la région parisienne est la première productrice nationale de cresson, de persil et d'azalées, et la deuxième pour ce qui concerne les plantes en pot. Elle produit aussi d'énormes quantités de «pois protéagineux» et de «féverole» – on ne voit pas même ce que c'est, donc rien que ces noms nous semblent furieusement exotiques.

12:23 Publié dans Dans la rue | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette
http://parislibre.blogs.lalibre.be/archive/2011/06/16/une-secheresse-sans-precedent.html

Il est bien vrai que notre agriculture est atteinte. Déjà qu'elle n'était pas florissante ! La première coupe de foin est fichue, tant le sol a manqué d'eau. Je parle pour mon département.

Depuis quelques semaines (nos prières y sont pour quelque chose sans doute), il pleut régulièrement. Aujourd'hui encore, plusieurs grosses averses sont tombées. Donc cela est bon, mais bien tardif.

Où en ètes-vous dans vos différentes régions ?
Jamais, on a autant interrogé le ciel.

Françoise.

En Bretagne, le peu d'eau qui est tombé ces derniers jours est totalement insuffisant d'autant que le fort vent qui souffle actuellement dessèche l'humidité acquise... Je crois que les effets négatifs vont se faire sentir sur l'économie dès l'automne. Confions nous à la Sainte Providence

@ Francoise

Comme Antoine, je suis de bretagne, et c'est vrai que le peu de pluie qui est tombée s'évapore et se déssèche avec ce vent.

et pour cette été, il annonce très chaud

Violaine

France : les réserves des nappes phréatiques deviennent inquiétantes

BRGM
ven., 17 juin 2011 17:31 CDT



Situation du niveau des nappes phréatiques en France au mois de Juin

Au 1er juin 2011, la plus grande majorité des réservoirs (79%) affichent un niveau inférieur à la normale. C'est le cas sur la plus grande partie du Bassin parisien et dans le Sud-Ouest pour plusieurs grands aquifères. On peut citer les nappes de Beauce, du Bas-Dauphiné, du Champigny en Ile-de-France ou encore les nappes du bassin de la Garonne.


Seuls les secteurs du Sud-Est du pays (Région Languedoc-Roussillon) présentent des niveaux plus favorables.

Cette situation est le résultat de plusieurs années de déficit pluviométrique.

Tendance d'évolution du niveau des nappes

Une proportion extrêmement réduite des niveaux de nappe est en hausse ou stable (11%) en mai. La grande majorité des niveaux est en baisse (88%) pour ce mois. Cette situation confirme la tendance assez négative observée les mois précédents. Les données du mois de mai confirment, avec le déficit pluviométrique conséquent observé depuis le début de l'année, que la période de recharge des nappes a été très peu effective sur une grande partie du territoire.

Avec les conditions anticycloniques persistantes, la sécheresse se poursuit et ce mois de mai 2011 se classe comme le plus sec depuis les cinquante dernières années.

Si la pluviométrie a dépassé ponctuellement 150 mm sur les Alpes du Nord et le Béarn, une situation pluviométrique déficitaire a été observée sur l'essentiel du pays avec, notamment, un déficit qui dépasse 75 % depuis le Poitou-Charentes et les Pays de la Loire jusqu'au Nord - Pas-de-Calais, sur l'ouest de la Gironde, l'ouest de la Corse, de la Provence à la basse vallée du Rhône et à l'Hérault.

Le niveau des nappes à fin mai est en hausse pour 3% d'entre elles, en baisse relative pour 88% et stable pour les 8% restants.

Certaines situations déficitaires restent caractéristiques (Bassin Parisien, Bassin Aquitain, Bas-Dauphiné, Plaine de Valence). Quelques rares situations proches de la normale, sont observées dans les seuls contextes aquifères du Languedoc-Roussillon.

Plusieurs grandes nappes présentent une situation déficitaire :

- la nappe des calcaires de Beauce est en forte baisse en mai 2011. Dans un contexte général de baisse des niveaux depuis 2002, les niveaux piézométriques enregistrés sont largement inférieurs aux normales de saison, ils sont représentatifs de niveaux de crise.

- La nappe de la molasse Miocène accuse à nouveau une forte baisse en mai 2011. Les niveaux sont réellement déprimés, sous les valeurs décennales de basses-eaux, en partie nord (Bas Dauphiné) et proches de valeurs historiques également en partie sud (Plaine de Valence).

- Les niveaux de la nappe de la Craie sont en baisse en mai 2011, notamment en Basse-Normandie, dans un contexte général de baisse des niveaux depuis 2001. Les niveaux sont largement sous les normales, au plus bas depuis le début des enregistrements.

- La situation de la nappe des calcaires de Champigny reste critique. Les niveaux sont globalement en baisse en mai 2011 et la vidange est en cours pour la grande majorité des points de suivi. Les niveaux sont tous inférieurs aux normales de saison.

- Les nappes des formations karstiques en région PACA : A la Fontaine de Vaucluse, il n'y a pas eu d'épisode de crue durant le mois de mai. Le débit mesuré suit une courbe classique de vidange de la nappe. En mai, le débit moyen est parmi les 10 plus faibles valeurs enregistrées depuis 1970. Il est compris entre le débit quinquennal sec (15,5 m³/s) et le débit décennal sec (11,1 m³/s).

Avec la recharge des derniers mois, liée à des précipitations efficaces notables, seules les nappes du Languedoc-Roussillon présentent fin mai 2011 des situations proches des normales

http://fr.sott.net/articles/show/4186-France-les-reserves-des-nappes-phreatiques-deviennent-inquietantes
http://fr.sott.net/image/image/s3/70397/full/nappesjuin2011.jpg

Oui tous cela deviens inquiétant mais, je le remarque en étant au contact avec de la clientèle a longueur de journée.
de voir cette pluie pour ses gens sa y est la sécheresse est terminé et maintenant il y a trop d'eau.
la situation actuelle passe complétement inaperçu.

prions prions.

Merci Sylvia pour cet intéressant document "BRGM".

La situation reste bien préoccupante dans l'ensemble de la France. Notre région "Languedoc-Roussillon" semble un peu mieux que la normale mais cela reste quand même un gros problème pour notre agriculture.

Et Nicolas qui fait remarquer justement que de trop grosses tombées d'eau sur nos sols asséchés, peuvent être à l'origine d'autres problèmes !

Nos yeux tournés vers le Ciel, prions ! Le plus compliqué est d'entrainer nos frères et soeurs à faire de même, alors nous le faisons pour eux !

La neuvaine à la Divine Miséricorde me semble tellement importante en ce moment ! Seigneur, nous Te Le demandons avec ardeur ! Reçois nos vies, Reçois nos prières !

En union de prières,
Françoise.

Comment affronter la canicule

Ce week-end, les températures vont monter haut, très haut. Lundi, il fera 35°C à Paris et jusqu’à 40°C dans le Sud-Ouest! Des records de température pour un mois de juin devraient tomber lundi. Glaces et boissons rafraîchissantes vont s’arracher.

FRÉDÉRIC MOUCHON | Publié le 25.06.2011, 07h00 [url=http://twitter.com/?status=Vu sur @le_parisien_fr+%20Comment%20affronter%20la%20canicule+http://tinyurl.com/5ul5evn][/url]


Paris, le 30 juin 2010. De l’ombre, un éventail et de l’eau... Ce sont quelques-unes des possibilités pour avoir moins chaud alors qu’on attend la canicule. (LP/FRÉDÉRIC DUGIT.)

• 
  

« Il devrait faire dimanche 31°C à Paris, jusqu’à 34°C dans la région Centre, 35°C dans le Sud-Ouest, et l’Aquitaine pourrait connaître des pointes à 38°C », énumère Dominique Raspaud, prévisionniste à Météo France. Mais lundi devrait être encore plus chaud, avec un étouffant 35°C à Paris, et un pic attendu dans le Sud-Ouest où le thermomètre devrait atteindre 40°C ! « Ces températures sont assez exceptionnelles, et on devrait battre des records lundi », résume l’ingénieur, qui explique le phénomène par le changement de provenance des vents. Balayée depuis le début de la semaine par un air océanique qui a rafraîchi l’atmosphère, la France va hériter ce week-end de flux méridionaux. « Il y aura des remontées d’air chaud en provenance de la péninsule ibérique et du Maghreb », explique Dominique Raspaud.

L’été devrait être plus chaud que la normale

Comme toujours en pareille circonstance, quelques conseils avisés doivent vous permettre d’affronter au mieux la poussée brutale du mercure. D’abord fermer les volets et les rideaux des façades exposées sud et ouest. Ensuite fermer les fenêtres tant que la température externe est supérieure à celle de la maison. Enfin, baisser ou éteindre les lumières électriques, ce qui contribuera à (un peu) rafraîchir votre intérieur.
Ce week-end, nos habitudes de consommation vont changer. « Les ventes de glaces en bâton et en cône devraient augmenter d’un tiers, voire de 50% dans le Sud-Ouest, estime Cédric Flécher, consultant chargé d’étudier l’impact de la météo sur les produits de grande consommation au sein de la société Metnext. L’eau et les boissons aromatisées au thé devraient elles aussi connaître une recrudescence des ventes de l’ordre de 10% à 20%. » Metnext prévoit même, dès aujourd’hui, des ruptures de stock dans les rayons de viandes à griller, comme les saucisses et les brochettes. « Les ventes de produits d’allumage de barbecue, de chips, de bière, d’olives apéritives devraient également augmenter », ajoute Cédric Flécher.
Au-delà de ces quelques jours caniculaires, les prévisions saisonnières tablent sur un « été plus chaud que la normale ». « En juillet et en août, notamment au nord, nous attendons un temps très sec et des températures au-dessus de la moyenne », résume Frédéric Decker, prévisionniste à Meteo News.





Le Parisien



http://www.leparisien.fr/societe/comment-affronter-la-canicule-25-06-2011-1507774.php

c'est bizarre ses variation du chaud au froid, de la sécheresse a la pluie forte.

prions

28/06/2011...France, records de température battus une grande partie du pays


15:18 L'air très chaud en provenance d’Afrique du Nord et de la péninsule ibérique a gagné le Nord de la France lundi 27 juin 2011.

Des températures supérieures à 35°C ont été enregistrées sur une grande partie du pays, notamment du Sud-Ouest à la Picardie, en passant par le Massif central, le Centre et l'Ile-de-France. Le thermomètre est monté jusqu'à 40,1°C à Decize dans la Nièvre. De nombreux records de chaleur pour un mois de juin ont été battus.

Dès le week-end des 25 et 26 juin 2011, une hausse spectaculaire des températures s'est produite sur la France. Les conditions anticycloniques ont permis à l'air très chaud présent sur la péninsule ibérique et le Maghreb de remonter et d'envahir tout le pays indique Météo-France. Ainsi, des températures supérieures à 35°C ont été enregistrées sur une grande partie du pays, notamment du Sud-Ouest à la Picardie, en passant par le Massif central, le Centre et l'Ile-de-France.

Lundi 27 juin, 17 départements faisaient l'objet d'une alerte canicule : l'Allier (03) dans la région Auvergne, la Saône-et-Loire (71) dans la région Bourgogne, le Cher (18) et le Loir-et-Cher (41) dans la région Centre, le Rhône (69) dans la région Rhône-Alpes, la Dordogne (24), la Gironde (33), les Landes (40) et le Lot-et-Garonne (47) dans la région Aquitaine, l'Indre (36) et l'Indre-et-Loire (37) dans la région Centre, le Maine-et-Loire (49) et la Sarthe (72) dans la région Pays-de-la-Loire, la Charente (16), la Charente-Maritime (17), les Deux-Sèvres (79) et la Vienne (86) dans la région Poitou-Charentes.

Les températures ont souvent dépassé 30 degrés, mais les régions du Sud-Ouest ont connu les plus fortes chaleurs. Bordeaux a battu son record de chaleur pour un mois de juin : 39,2°C ont été enregistrés (contre 38,5°C en 2003). Le thermomètre est monté jusqu'à 40,1°C à Decize dans la Nièvre et de nombreux records de chaleur pour un mois de juin ont été battus.
Températures maximales et records relevés lundi 27 juin 2011

Températures maximales du lundi 27 juin 2011

• Boulogne-sur-Mer : 32,6°C (précédent record : 32,0°C le 03/06/1947)
  

• Rouen : 34,2°C (égalise le précédent record du 27/06/1976)
  

• Dunkerque : 34,4°C (précédent record : 33,8°C le 17/06/1917)
  

• Limoges : 35,7°C (précédent record : 34,7°C le 22/06/2003)
  

• Chartres : 36,3°C (précédent record 34,8°C le 26/06/1947)
  

• Roissy : 36,5°C (précédent record : 35,2°C le 28/06/1976)
  

• Troyes : 36,7°C (précédent record : 35,4°C le 30/06/1976)
  

• Paris : 36,8°C (à 0,8°C du record)
  

• Melun : 36,8°C (précédent record : 35,6°C le 26/06/1947)
  

• Beauvais : 36,9°C (précédent record : 34,6°C le 26/06/1976)
  

• Le Mans : 37,1°C (précédent record : 36,9°C le 30/06/1976)
  

• Bourges : 38,0°C (précédent record : 36,3°C le 22/06/2003)
  

• Bergerac : 38,2°C (précédent record : 38,1°C le 22/06/2003)
  

• Vichy : 39,2°C (précédent record : 38,5°C le 22/06/2003)
  

Source: Météo France

http://naturealerte.blogspot.com/2011/06/28062011france-records-de-temperature.html

c'est vrai que c'est impressionant surtout que demain nous allons tomber de haut avec une grosse chute des température.

que dire de plus ???

18/07/2011...Sécheresse: 41 départements reconnus au titre de calamité agricole


20:05
Les premières demandes de reconnaissance de calamité agricole au titre de la sécheresse ont été examinées avant hier par le Comité national de l’assurance en agriculture (CNAA). 41 départements ont fait l’objet d’un avis favorable du CNAA, pour la totalité ou une partie de leur territoire.

Sur la base des avis rendus par ce comité, les premiers arrêtés de reconnaissance de calamité agricole dans ces départements seront pris dès aujourd’hui.

Comme s’y était engagé Bruno LE MAIRE, Ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du Territoire, les agriculteurs des zones reconnues pourront déposer un dossier d’indemnisation et percevoir, s’ils sont éligibles, un acompte dès le 15 septembre prochain.

Conformément aux mesures annoncées par le Président de la République le 9 juin dernier, le Fonds national de gestion des risques en agriculture (FNGRA) sera doté en 2011 d’une enveloppe de l’ordre de 200 millions d’euros pour permettre le versement d’une avance sur l’indemnisation des pertes dues à la sécheresse. Le montant définitif des indemnisations pour les agriculteurs sera connu après une évaluation des pertes à la fin de l’année.

Le CNAA se réunira de nouveau le 28 juillet et le 25 août pour étudier les autres demandes.

Source: ministère de l'agriculture

Consulter les départements et les zones concernés (cliquez sur le lien)


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Malgré l’été pourri, toujours la sécheresse
Les pluies abondantes de juillet et début août n’y ont rien changé : la sécheresse continue, et deux tiers des nappes phréatiques restent en dessous de la normale.

Difficile à croire, mais la sécheresse continue de sévir en France. Selon le dernier rapport du BRGM (Bureau de recherche géologique et minière), qui fait l’état des lieux au 1er août, « les deux tiers des réservoirs (67%) affichent un niveau inférieur à la normale ».

Il a pourtant beaucoup plu

Les vacanciers de juillet en gardent encore un souvenir cuisant : le mois a été l’un des plus humides depuis trente ans, si ce n’est depuis la création des congés payés! Le BRGM souligne que les cumuls de pluviométrie sur l’ensemble du pays dépassent les normales d’un mois de juillet « de plus de 50% »! Les intempéries ont même été de deux à trois fois plus nombreuses que d’habitude « dans le sud de l’Aquitaine, le Cotentin, l’ouest du Massif central, l’est de la vallée du Rhône et les Alpes du Sud ».

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Août reste pour l’instant dans les clous, mais « avec des disparités », souligne Frédéric Nathan, ingénieur prévisionniste chez Météo France : « Au nord d’une ligne Bordeaux-Besançon, il a déjà plu en quinze jours l’équivalent d’un mois d’août normal »!


Ça va mieux dans quelques régions

Les pluies de juillet, mais aussi celles, plus efficaces, de l’hiver et du printemps derniers, ont quand même réussi à inverser la tendance ça et là. C’est le cas en Alsace, en Languedoc-Roussillon ou dans la région de Valence, où le niveau des nappes phréatiques est normal, voire supérieur à la moyenne. C’est le cas aussi dans le Midi, où il fait pourtant beau depuis le début de l’été : il avait suffisamment plu là-bas fin 2010 et début 2011, et la région bénéficie de l’eau accumulée par des barrages bien remplis.

Les deux tiers des nappes en déficit

La faute au manque de précipitations « utiles », c’est-à-dire rechargeant les nappes d’eau souterraine. C’est le cas des pluies d’automne et d’hiver, alors que celles tombées en fin de printemps et en été, et surtout en juillet, sont immédiatement absorbées par la végétation, alors en pleine croissance. Résultat : si le niveau des nappes est normal sur 19% des sites et supérieur à la moyenne dans 14% des cas, il reste déficitaire ou carrément inquiétant pour 67% des nappes! La situation se révèle particulièrement préoccupante dans les nappes des calcaires de Beauce (Bassin parisien), de la molasse miocène (bas Dauphiné), de la craie (Nord, Picardie, Bassin parisien, Champagne-Ardenne), et des calcaires de Champigny (Brie, Beauce).

Les agriculteurs en première ligne

Le monde paysan alerte déjà sur plusieurs phénomènes. Les vendanges sont par exemple particulièrement précoces et ont déjà débuté dans le Roussillon. Coup d’envoi également aujourd’hui en Champagne. Idem pour les fruits et légumes : la sécheresse printanière les a fait mûrir plus tôt, et en abondance, alors que, découragés par le mauvais temps, les consommateurs en ont moins acheté cet été.


http://www.leparisien.fr/environnement/malgre-l-ete-pourri-toujours-la-secheresse-19-08-2011-1570954.php