L'Homme des Douleurs
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Re: L'Homme des Douleurs
Un texte intéressant sur le linceul.
http://www.sindone.org/saint_suaire__francaise_/vie_de_foi/00024729_Suaire_et_Evangiles.html
Il est à noter que le sang est du groupe AB qui est le même groupe qui a été trouvé dans dans la plupart des miracles eucharistiques approuvés.
"Suaire et Evangiles
Sur la toile du Suaire on peut voir une image d’homme, dont est identifiable non seulement l’état de mort, mais aussi la cause de cette mort : le crucifiement. Bien que l’image présente quelques difficultés de lecture, en raison d’une inversion de tons clairs/sombres semblables à ceux d’un négatif photographique, on en distingue certains caractères, comme la rigidité cadavérique et l’absence de tout signe de putréfaction. On remarque en outre sur le corps de très nombreuses marques de plaies par flagellation, la présence sur les mains et les pieds de trous causés par un objet acéré (les clous), les marques de nombreuses piqûres sur le cuir chevelu, une large plaie au côté gauche (sur le Suaire : donc au côté droit sur l’homme qui y fut enveloppé).
Les marques du Suaire se trouvent directement confirmées par le témoignage des Evangiles concernant l’exécution capitale de Jésus de Nazareth : crucifiement précédé de flagellation, coups sur le visage, couronnement d’épines, utilisation des clous pour le crucifiement même, et enfin la plaie provoquée, d’un coup de lance légère, par l’un des soldats, alors que les jambes ne sont pas brisées, selon la prophétie rapportée dans Es. 12, 46, et citée dans Jn. 19, 36. On arrive même à voir, sur la toile du suaire, que les caractéristiques du liquide qui s’est écoulé des plaies (identifié sur le Suaire comme du sang humain du groupe AB), correspondent au moment où le sang s’est épanché, avant ou après le décès (sang cadavérique).
On peut de manière tout à fait appropriée parler d’une exceptionnelle correspondance (sans aucun autre exemple comparable) entre les témoignages de l’événement de la sépulture de Jésus selon les Evangiles. Les récits évangéliques de la résurrection sont moins clairement interprétables que ceux de la crucifixion, parce que les synoptiques (Matthieu, Marc, Luc) sont plus avares de détails, tandis que Jean parle de « bandelettes », de « linge qui avait recouvert la tête » de Jésus ; il raconte avoir trouvé son tombeau vide, où l’on voit pourtant encore les linges funéraires sans le corps du défunt. Il ne semble pas y avoir de contradiction entre les synoptiques et Jean, ni entre Jean et le Suaire, si l’on pense qu’un linceul des dimensions du suaire devait se trouver abandonné sur la pierre sépulcrale plié en deux et donc avec l’apparence d’un drap de dessus et d’un drap de dessous ; l’autre linge (le « suaire » à proprement parler, qui désignait le linge avec lequel on couvrait la tête du défunt ; le nom de la toile de lin avec lequel on enveloppait les cadavres avant leur sépulture serait plus justement « le sindon », mais l’usage français a imposé le glissement de sens de « suaire ») pourrait avoir été celui de la mentonnière, roulée. Il est donc justifié de dire qu’entre le récit évangélique et le « récit » que fait le Suaire de la sépulture de Jésus il n’y a pas contradiction, mais possible complémentarité."
http://www.sindone.org/saint_suaire__francaise_/vie_de_foi/00024729_Suaire_et_Evangiles.html
Il est à noter que le sang est du groupe AB qui est le même groupe qui a été trouvé dans dans la plupart des miracles eucharistiques approuvés.
"Suaire et Evangiles
Sur la toile du Suaire on peut voir une image d’homme, dont est identifiable non seulement l’état de mort, mais aussi la cause de cette mort : le crucifiement. Bien que l’image présente quelques difficultés de lecture, en raison d’une inversion de tons clairs/sombres semblables à ceux d’un négatif photographique, on en distingue certains caractères, comme la rigidité cadavérique et l’absence de tout signe de putréfaction. On remarque en outre sur le corps de très nombreuses marques de plaies par flagellation, la présence sur les mains et les pieds de trous causés par un objet acéré (les clous), les marques de nombreuses piqûres sur le cuir chevelu, une large plaie au côté gauche (sur le Suaire : donc au côté droit sur l’homme qui y fut enveloppé).
Les marques du Suaire se trouvent directement confirmées par le témoignage des Evangiles concernant l’exécution capitale de Jésus de Nazareth : crucifiement précédé de flagellation, coups sur le visage, couronnement d’épines, utilisation des clous pour le crucifiement même, et enfin la plaie provoquée, d’un coup de lance légère, par l’un des soldats, alors que les jambes ne sont pas brisées, selon la prophétie rapportée dans Es. 12, 46, et citée dans Jn. 19, 36. On arrive même à voir, sur la toile du suaire, que les caractéristiques du liquide qui s’est écoulé des plaies (identifié sur le Suaire comme du sang humain du groupe AB), correspondent au moment où le sang s’est épanché, avant ou après le décès (sang cadavérique).
On peut de manière tout à fait appropriée parler d’une exceptionnelle correspondance (sans aucun autre exemple comparable) entre les témoignages de l’événement de la sépulture de Jésus selon les Evangiles. Les récits évangéliques de la résurrection sont moins clairement interprétables que ceux de la crucifixion, parce que les synoptiques (Matthieu, Marc, Luc) sont plus avares de détails, tandis que Jean parle de « bandelettes », de « linge qui avait recouvert la tête » de Jésus ; il raconte avoir trouvé son tombeau vide, où l’on voit pourtant encore les linges funéraires sans le corps du défunt. Il ne semble pas y avoir de contradiction entre les synoptiques et Jean, ni entre Jean et le Suaire, si l’on pense qu’un linceul des dimensions du suaire devait se trouver abandonné sur la pierre sépulcrale plié en deux et donc avec l’apparence d’un drap de dessus et d’un drap de dessous ; l’autre linge (le « suaire » à proprement parler, qui désignait le linge avec lequel on couvrait la tête du défunt ; le nom de la toile de lin avec lequel on enveloppait les cadavres avant leur sépulture serait plus justement « le sindon », mais l’usage français a imposé le glissement de sens de « suaire ») pourrait avoir été celui de la mentonnière, roulée. Il est donc justifié de dire qu’entre le récit évangélique et le « récit » que fait le Suaire de la sépulture de Jésus il n’y a pas contradiction, mais possible complémentarité."
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Re: L'Homme des Douleurs
Un autre témoin du groupe sanguin de Jésus (AB)
"Le miracle eucharistique de Lanciano
Le miracle eucharistique de Lanciano est le plus ancien de tous ceux où les saintes Espèces furent changées en chair et en sang : il remonte, en effet, au VIIIe siècle. Mais par les analyses qui furent faites de ses « reliques » en 1970-71 et en 1973-74, ce prodige est redevenu étonnamment actuel et jamais on n'a vu une simple tradition, qui remonte à douze siècles, confirmée par la science avec une telle netteté.
Dans une petite église dédiée à saint Legonziano - (que l'on a voulu identifier à saint Longin, le soldat qui transperça le côté et le Coeur du Christ mort en croix) - un moine basilien, qui célébrait la messe en rite latin (Il utilisait en tout cas, comme les latins, une hostie de forme ronde et non point comme les grecs une hostie carrée de pain fermenté), après la consécration se mit à douter de la présence réelle du Christ sous les saintes Espèces. C'est alors que, sous les yeux de ce prêtre, l'hostie se changea en un morceau de chair et le vin consacré en du sang réel qui se coagula en cinq caillots irréguliers de formes et de grosseurs différentes.
Le miracle fut consigné sur un très ancien parchemin, mais celui-ci, dans la première moitié du XVe siècle, fut volé aux franciscains par deux moines basiliens. On ne possède aujourd'hui sur le miracle que des textes remontant aux XVIe et XVIIe siècles, c'est-à-dire au moins huit cents ans après l'événement. Mais une tradition constante garda le souvenir du prodige et surtout les reliques en furent conservées.
En novembre 1970, sur les instances de l'archevêque de Lanciano, Mgr Perantoni, et du ministre provincial des conventuels des Abruzzes, et avec l'autorisation de Rome, les franciscains de Lanciano décidèrent de faire procéder à un examen scientifique de ces « reliques » qui dataient de près de douze siècles. L'entreprise était osée assurément mais ni la foi catholique (qui ici n'était pas en jeu), ni une tradition historique certaine, n'ont rien à redouter de la science, chacune de ces disciplines restant néanmoins dans son domaine propre.
L'entreprise fut confiée au docteur Odoardo Linoli, chef de service à l'hôpital d'Arezzo et professeur d'anatomie, d'histologie, de chimie et de microscopie clinique, aidé du professeur Ruggero Bertelli de l'Université de Sienne. Le Dr Linoli effectua des prélèvements sur les saintes reliques le 18 novembre 1970, puis il fit les analyses en laboratoire. Le 4 mars 1971, lé professeur produisit un compte-rendu détaillé des diverses études qu'il avait effectuées. Nous en tirons les conclusions essentielles :
1.La « chair miraculeuse » est vraiment de la chair, constituée de tissu musculaire strié du myocarde.
2.Le « sang miraculeux » est du sang véritable : l'analyse chromatographique le démontre avec une certitude absolue et indiscutable.
3.L'étude immunologique manifeste que la chair et le sang sont bien de nature humaine et l'épreuve immunohématologique permet d'affirmer en toute objectivité et certitude que l'un et l'autre appartiennent au même groupe sanguin AB. Cette identité du groupe sanguin peut indiquer l'appartenance de la chair et du sang à la même personne, la possibilité demeurant néanmoins d'une appartenance à deux individus différents de même groupe sanguin.
4.Les protéines contenues dans le sang sont normalement réparties, dans un pourcentage identique à celui du schéma séro-protéique du sang frais normal.
5.Aucune section histologique n'a révélé la trace d'infiltrations de sels ou de substances conservatrices utilisées dans l'antiquité aux fins de momification. Certes, la conservation les protéines et des minéraux observée dans la chair et le sang de Lanciano n'est ni impossible, ni exceptionnelle : des analyses répétées ont permis de trouver des protéines dans des momies égyptiennes de 4 et 5 000 ans. Mais il convient de souligner que le cas d'un corps momifié grâce aux procédés connus est bien différent de celui d'un fragment de myocarde laissé à l'état naturel pendant des siècles, exposé à l'action d'agents physiques atmosphériques et biochimiques."
http://www.christ-roi.net/index.php/Le_miracle_eucharistique_de_Lanciano
"Le miracle eucharistique de Lanciano
Le miracle eucharistique de Lanciano est le plus ancien de tous ceux où les saintes Espèces furent changées en chair et en sang : il remonte, en effet, au VIIIe siècle. Mais par les analyses qui furent faites de ses « reliques » en 1970-71 et en 1973-74, ce prodige est redevenu étonnamment actuel et jamais on n'a vu une simple tradition, qui remonte à douze siècles, confirmée par la science avec une telle netteté.
Dans une petite église dédiée à saint Legonziano - (que l'on a voulu identifier à saint Longin, le soldat qui transperça le côté et le Coeur du Christ mort en croix) - un moine basilien, qui célébrait la messe en rite latin (Il utilisait en tout cas, comme les latins, une hostie de forme ronde et non point comme les grecs une hostie carrée de pain fermenté), après la consécration se mit à douter de la présence réelle du Christ sous les saintes Espèces. C'est alors que, sous les yeux de ce prêtre, l'hostie se changea en un morceau de chair et le vin consacré en du sang réel qui se coagula en cinq caillots irréguliers de formes et de grosseurs différentes.
Le miracle fut consigné sur un très ancien parchemin, mais celui-ci, dans la première moitié du XVe siècle, fut volé aux franciscains par deux moines basiliens. On ne possède aujourd'hui sur le miracle que des textes remontant aux XVIe et XVIIe siècles, c'est-à-dire au moins huit cents ans après l'événement. Mais une tradition constante garda le souvenir du prodige et surtout les reliques en furent conservées.
En novembre 1970, sur les instances de l'archevêque de Lanciano, Mgr Perantoni, et du ministre provincial des conventuels des Abruzzes, et avec l'autorisation de Rome, les franciscains de Lanciano décidèrent de faire procéder à un examen scientifique de ces « reliques » qui dataient de près de douze siècles. L'entreprise était osée assurément mais ni la foi catholique (qui ici n'était pas en jeu), ni une tradition historique certaine, n'ont rien à redouter de la science, chacune de ces disciplines restant néanmoins dans son domaine propre.
L'entreprise fut confiée au docteur Odoardo Linoli, chef de service à l'hôpital d'Arezzo et professeur d'anatomie, d'histologie, de chimie et de microscopie clinique, aidé du professeur Ruggero Bertelli de l'Université de Sienne. Le Dr Linoli effectua des prélèvements sur les saintes reliques le 18 novembre 1970, puis il fit les analyses en laboratoire. Le 4 mars 1971, lé professeur produisit un compte-rendu détaillé des diverses études qu'il avait effectuées. Nous en tirons les conclusions essentielles :
1.La « chair miraculeuse » est vraiment de la chair, constituée de tissu musculaire strié du myocarde.
2.Le « sang miraculeux » est du sang véritable : l'analyse chromatographique le démontre avec une certitude absolue et indiscutable.
3.L'étude immunologique manifeste que la chair et le sang sont bien de nature humaine et l'épreuve immunohématologique permet d'affirmer en toute objectivité et certitude que l'un et l'autre appartiennent au même groupe sanguin AB. Cette identité du groupe sanguin peut indiquer l'appartenance de la chair et du sang à la même personne, la possibilité demeurant néanmoins d'une appartenance à deux individus différents de même groupe sanguin.
4.Les protéines contenues dans le sang sont normalement réparties, dans un pourcentage identique à celui du schéma séro-protéique du sang frais normal.
5.Aucune section histologique n'a révélé la trace d'infiltrations de sels ou de substances conservatrices utilisées dans l'antiquité aux fins de momification. Certes, la conservation les protéines et des minéraux observée dans la chair et le sang de Lanciano n'est ni impossible, ni exceptionnelle : des analyses répétées ont permis de trouver des protéines dans des momies égyptiennes de 4 et 5 000 ans. Mais il convient de souligner que le cas d'un corps momifié grâce aux procédés connus est bien différent de celui d'un fragment de myocarde laissé à l'état naturel pendant des siècles, exposé à l'action d'agents physiques atmosphériques et biochimiques."
http://www.christ-roi.net/index.php/Le_miracle_eucharistique_de_Lanciano
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