"L'édito du Jour"!!
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Père Nathan
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Re: "L'édito du Jour"!!
steve2035 a écrit:La pratique elle même n'est même pas un gage d'avoir dit oui à Jésus Christ
Oui, tout-à-fait.
...un peu dans le même sens :
https://fr.sputniknews.com/international/201803231035618893-pape-francois-crucifix-abus/
Philippe-Antoine- Avec les anges
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito du Vendredi 23 Mars 2018
Magnifique vidéo à découvrir
Écoutez et partagez l’Évangile en langue arabe
Cette magnifique vidéo du ministère One For Israel présente l’Évangile en langue arabe.
Nous l’avons sous-titrée en français pour vous.
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M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito du Samedi 24 Mars 2018
Laïcité
Les conditions d’octroi de la personnalité juridique aux associations religieuses conventuelles seraient discriminatoires
Laïcité
Les conditions d’octroi de la personnalité juridique aux associations religieuses conventuelles seraient discriminatoires
L’Afrique du Sud avait autrefois son “petty” apartheid, l’apartheid mesquin (le “grand” apartheid qui organisait la séparation du développement des communautés était-il plus raisonnable ?).
Mutatis mutandis, la France nous apporte aussi chaque jour des manifestations plus ou moins anecdotiques de sa « petty » laïcité dont la dernière concernait l’exclusion de la statue de saint Jean-Paul de l’espace public à Ploërmel en Bretagne.
Mais voici, plus grave, une atteinte séculaire à la liberté d’association telle que la définit la convention européenne des droits de l’homme (CEDH) à laquelle la France a souscrit : lu sur le site « Liberté politique.com » cet article (extrait) rédigé par l’ European centre for law & justice, le 14 mars 2018 :
“Vincent Cador et Grégor Puppinck ont publié en janvier 2018 un article de doctrine en droit public intitulé « De la conventionnalité du régime français des congrégations », dans la Revue du droit public et de la science politique en France et à l’étranger.
Les deux auteurs sont docteurs en droit et Grégor Puppinck, directeur de l’ECLJ, est membre du panel d’experts de l’OSCE sur la liberté de conscience et de religion.
L’article passe le régime français des congrégations religieuses au crible de la Convention européenne de sauvegarde des libertés fondamentales et des droits de l’homme (la Convention européenne).
Ce régime contraignant, dérogatoire au droit commun des associations, est un double héritage de la Révolution française et de la République anticléricale du début du XXe siècle.
Il apparaît en décalage avec le processus d’apaisement des relations entre l’État et l’Église depuis les années 1970 et surtout avec la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’homme (la CEDH), protectrice de la liberté de religion (art. 9), de la liberté d’association (art. 11) et du principe de non-discrimination (art. 14).
Vincent Cador et Grégor Puppinck expliquent que, dans l’hypothèse d’un litige porté devant la CEDH opposant une congrégation à l’État français, « il est fort probable que les juges strasbourgeois condamneraient le régime français des congrégations, obligeant le gouvernement à faire procéder à sa révision ».
Pour parvenir à cette conclusion, les auteurs s’appuient sur la jurisprudence de la CEDH pour reproduire le raisonnement en trois étapes habituellement utilisé par cette dernière pour trancher les litiges qui lui sont soumis.
Tout d’abord, ils analysent la législation française sur les congrégations comme une ingérence dans les droits à la liberté de religion et à la liberté d’association.
Contrairement aux associations de droit commun qui sont tenues à une simple déclaration, l’octroi de la personnalité juridique est pour les congrégations subordonné à un décret après avis conforme du Conseil d’État.
De plus, la constitution d’une congrégation est soumise à des conditions particulièrement intrusives et la teneur de ses statuts est encadrée de manière stricte.
À titre d’illustration, le Conseil d’État continue d’interdire aux congrégations de mentionner dans les statuts qu’elles doivent joindre à une demande reconnaissance les vœux « solennels », « perpétuels » ou « définitifs » de leurs membres[1].
Une fois constituées, les congrégations subissent un contrôle rigoureux de la part des autorités publiques portant sur leur fonctionnement.
Ces contraintes constituent une ingérence de la part de l’État dans la liberté de religion des religieux, qui s’exerce à travers leur liberté d’association et l’autonomie de leur organisation.
Ensuite, les auteurs se demandent si une telle ingérence poursuit un ou plusieurs buts légitimes, au sens des articles 9 et 11 de la Convention européenne.
Le gouvernement français, en soumettant les congrégations à un régime dérogatoire, semble considérer qu’elles seraient par elles-mêmes une menace pour la sécurité publique, l’ordre, la santé et la moralité publics ou pour les droits et libertés d’autrui.
Or, la pratique et les faits attestent au contraire de l’absence d’une telle menace.
Il semble en réalité que les restrictions imposées aux congrégations, plutôt que de répondre à des objectifs légitimes, découlent du positionnement religieux des gouvernements anticléricaux du début du XXe siècle.
Or, la jurisprudence de la CEDH exclut toute appréciation de la part de l’État sur la légitimité et les modalités d’expression des croyances religieuses.
Enfin, à supposer même que l’ingérence poursuive un ou plusieurs buts légitimes, les auteurs démontrent qu’elle ne serait pas « nécessaire dans une société démocratique ».
En effet, des mesures moins restrictives pourraient être suffisantes pour faire face aux éventuels risques générés par l’existence des congrégations.
Le régime des associations de droit commun, s’il était ouvert aux congrégations, n’empêcherait pas l’État de disposer de moyens suffisants et proportionnés pour continuer à surveiller leurs actions et pour prévenir d’éventuelles atteintes à la santé publique ou aux droits et libertés d’autrui.
De plus, les lois du 1er juillet 1901 et du 12 juin 2001 contiennent des dispositions permettant de dissoudre une association de droit commun en cas de dérive particulière.
En plus de ce raisonnement en trois étapes, l’article montre que le caractère dérogatoire et contraignant du régime des congrégations constitue en outre une discrimination fondée sur la religion, au sens de l’article 14 de la Convention européenne.
Les congrégations sont comparables aux associations de droit commun en tant que groupes de personnes se réunissant en vue d’un objectif commun, et à plus forte raison se rapprochent-elles aussi des associations cultuelles avec lesquelles elles partagent une connotation « religieuse ».
Or, la différence de traitement qui existe entre ces groupes présente, en ce qu’elle est dépourvue de toute justification objective et raisonnable, un caractère discriminatoire.
Cette discrimination pèse essentiellement sur une religion particulière, à savoir l’Église catholique, comme en témoigne le décret toujours en vigueur du 16 août 1901.
En effet, celui-ci indique que la demande d’autorisation de la congrégation doit être accompagnée d’une déclaration par laquelle « l’évêque du diocèse s’engage à prendre la congrégation et ses membres sous sa juridiction » (article 20).
Le fait que les représentants d’une seule religion soient mentionnés souligne la volonté de discriminer les catholiques.
Même si le statut visé au titre III de la loi de 1901 a été récemment étendu à des congrégations relevant d’autres cultes, il cible donc avant tout les catholiques, et l’immense majorité des congrégations reconnues sont de fait catholiques.
Le régime des congrégations révèle ainsi une discrimination religieuse dans la jouissance des droits à la liberté d’association et à la liberté de religion.”
Mutatis mutandis, la France nous apporte aussi chaque jour des manifestations plus ou moins anecdotiques de sa « petty » laïcité dont la dernière concernait l’exclusion de la statue de saint Jean-Paul de l’espace public à Ploërmel en Bretagne.
Mais voici, plus grave, une atteinte séculaire à la liberté d’association telle que la définit la convention européenne des droits de l’homme (CEDH) à laquelle la France a souscrit : lu sur le site « Liberté politique.com » cet article (extrait) rédigé par l’ European centre for law & justice, le 14 mars 2018 :
“Vincent Cador et Grégor Puppinck ont publié en janvier 2018 un article de doctrine en droit public intitulé « De la conventionnalité du régime français des congrégations », dans la Revue du droit public et de la science politique en France et à l’étranger.
Les deux auteurs sont docteurs en droit et Grégor Puppinck, directeur de l’ECLJ, est membre du panel d’experts de l’OSCE sur la liberté de conscience et de religion.
L’article passe le régime français des congrégations religieuses au crible de la Convention européenne de sauvegarde des libertés fondamentales et des droits de l’homme (la Convention européenne).
Ce régime contraignant, dérogatoire au droit commun des associations, est un double héritage de la Révolution française et de la République anticléricale du début du XXe siècle.
Il apparaît en décalage avec le processus d’apaisement des relations entre l’État et l’Église depuis les années 1970 et surtout avec la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’homme (la CEDH), protectrice de la liberté de religion (art. 9), de la liberté d’association (art. 11) et du principe de non-discrimination (art. 14).
Vincent Cador et Grégor Puppinck expliquent que, dans l’hypothèse d’un litige porté devant la CEDH opposant une congrégation à l’État français, « il est fort probable que les juges strasbourgeois condamneraient le régime français des congrégations, obligeant le gouvernement à faire procéder à sa révision ».
Pour parvenir à cette conclusion, les auteurs s’appuient sur la jurisprudence de la CEDH pour reproduire le raisonnement en trois étapes habituellement utilisé par cette dernière pour trancher les litiges qui lui sont soumis.
Tout d’abord, ils analysent la législation française sur les congrégations comme une ingérence dans les droits à la liberté de religion et à la liberté d’association.
Contrairement aux associations de droit commun qui sont tenues à une simple déclaration, l’octroi de la personnalité juridique est pour les congrégations subordonné à un décret après avis conforme du Conseil d’État.
De plus, la constitution d’une congrégation est soumise à des conditions particulièrement intrusives et la teneur de ses statuts est encadrée de manière stricte.
À titre d’illustration, le Conseil d’État continue d’interdire aux congrégations de mentionner dans les statuts qu’elles doivent joindre à une demande reconnaissance les vœux « solennels », « perpétuels » ou « définitifs » de leurs membres[1].
Une fois constituées, les congrégations subissent un contrôle rigoureux de la part des autorités publiques portant sur leur fonctionnement.
Ces contraintes constituent une ingérence de la part de l’État dans la liberté de religion des religieux, qui s’exerce à travers leur liberté d’association et l’autonomie de leur organisation.
Ensuite, les auteurs se demandent si une telle ingérence poursuit un ou plusieurs buts légitimes, au sens des articles 9 et 11 de la Convention européenne.
Le gouvernement français, en soumettant les congrégations à un régime dérogatoire, semble considérer qu’elles seraient par elles-mêmes une menace pour la sécurité publique, l’ordre, la santé et la moralité publics ou pour les droits et libertés d’autrui.
Or, la pratique et les faits attestent au contraire de l’absence d’une telle menace.
Il semble en réalité que les restrictions imposées aux congrégations, plutôt que de répondre à des objectifs légitimes, découlent du positionnement religieux des gouvernements anticléricaux du début du XXe siècle.
Or, la jurisprudence de la CEDH exclut toute appréciation de la part de l’État sur la légitimité et les modalités d’expression des croyances religieuses.
Enfin, à supposer même que l’ingérence poursuive un ou plusieurs buts légitimes, les auteurs démontrent qu’elle ne serait pas « nécessaire dans une société démocratique ».
En effet, des mesures moins restrictives pourraient être suffisantes pour faire face aux éventuels risques générés par l’existence des congrégations.
Le régime des associations de droit commun, s’il était ouvert aux congrégations, n’empêcherait pas l’État de disposer de moyens suffisants et proportionnés pour continuer à surveiller leurs actions et pour prévenir d’éventuelles atteintes à la santé publique ou aux droits et libertés d’autrui.
De plus, les lois du 1er juillet 1901 et du 12 juin 2001 contiennent des dispositions permettant de dissoudre une association de droit commun en cas de dérive particulière.
En plus de ce raisonnement en trois étapes, l’article montre que le caractère dérogatoire et contraignant du régime des congrégations constitue en outre une discrimination fondée sur la religion, au sens de l’article 14 de la Convention européenne.
Les congrégations sont comparables aux associations de droit commun en tant que groupes de personnes se réunissant en vue d’un objectif commun, et à plus forte raison se rapprochent-elles aussi des associations cultuelles avec lesquelles elles partagent une connotation « religieuse ».
Or, la différence de traitement qui existe entre ces groupes présente, en ce qu’elle est dépourvue de toute justification objective et raisonnable, un caractère discriminatoire.
Cette discrimination pèse essentiellement sur une religion particulière, à savoir l’Église catholique, comme en témoigne le décret toujours en vigueur du 16 août 1901.
En effet, celui-ci indique que la demande d’autorisation de la congrégation doit être accompagnée d’une déclaration par laquelle « l’évêque du diocèse s’engage à prendre la congrégation et ses membres sous sa juridiction » (article 20).
Le fait que les représentants d’une seule religion soient mentionnés souligne la volonté de discriminer les catholiques.
Même si le statut visé au titre III de la loi de 1901 a été récemment étendu à des congrégations relevant d’autres cultes, il cible donc avant tout les catholiques, et l’immense majorité des congrégations reconnues sont de fait catholiques.
Le régime des congrégations révèle ainsi une discrimination religieuse dans la jouissance des droits à la liberté d’association et à la liberté de religion.”
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: "L'édito du Jour"!!
Petit rappel pour ne pas arriver en retard à la messe des Rameaux !
Attention Heure d'Eté
Attention Heure d'Eté
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: "L'édito du Jour"!!
@Marie du 65 Merci mais qui est Pierre Selas svp?Marie du 65 a écrit:Bonjour Jacques,
Je vous en prie, cet édito n'était pas prévu, mais étant donné l'info,
je ne pouvais pas laisser passer cela!!
Amitiés!!L'édito du Mercredi 21 Mars 2018Le monde selon mes (au demeurant sympathiques) voisins (de restaurant) bobos.
Il est très instructif de se retrouver seul à côté d’une table de gentils bobos génération 68…
A les écouter, on découvre qu’en fait leur référentiel et leur univers quotidien … ce sont les médias … c’est même leur bible.
J’avoue être resté sidéré sans à peine y croire : ils gobent tout !
C’est leur unique référentiel …
Aucune remise en cause ils avalent tout …
Et non ce n’est pas le peuple des banlieues non non !
Ce sont des « petits bourgeois » (selon l’expression consacrée quoique discutable) qui sont persuadés d’être libres et cultivés ….
Je bats ma coulpe, je ne pensais pas que ça existait encore !
Ils ont un avis sur tout … sauf que… c’est le même que l’Express et autre Arte, Canal plus.
Mais le drame est qu’ils sont persuadés d’avoir une pensée libre et originale, indépendante ….
C’est au fond triste et effrayant. …
Ainsi, le monde selon les bobos ressemble (sans que je n’ai rien ajouté ni caricaturé) à ceci :
Poutine est un dictateur qui affame son peuple pour préparer la guerre à l’Europe et s’allie avec la Chine pour ça.
Trump est un aliéné qui va bientôt être destitué.
L’Espagne est une destination à éviter à cause de la révolution qui met le pays en état de guerre.
La Syrie est un pays que son président (dont on ne se souvient plus du nom) a forcé à la guerre en inventant la menace Daesh pour se maintenir au pouvoir.
Le pape va enfin libérer l’Eglise.
Les migrants sont en danger de mort permanente dans leur pays.
Macron est un jeune dynamique, mais quand même, il touche trop à nos impôts.
La femme en France vit un enfer au milieu d’un peuple de machos
L’islamisme est une invention de Marine.
L’Europe c’est l’avenir.
Seuls problèmes réels …
La femme qui reste en cuisine pour préparer l’entrée, le mari seul à faire cuire les saucisses sur son barbecue, les bons produits qu’il faut courir aller chercher à droite, à gauche parce que la meilleure viande est aux halles de Vannes, le meilleur poisson à Carnac, le meilleur pain à Plouharnel, les meilleurs légumes à Rennes.
Ah et n’oublions pas cette éducation débile (sic) qui nous a imposé de boire un vin liquoreux avec du foie gras, un rouge avec du fromage !
« Ah mais moi je suis libre parce que je bois du blanc avec mon fromage !
Déjà toute petite j’emm… mes parents … comme ma fille mais j’assume ! »
À côté de ça, ils sont en couples depuis 40 ans et s’attristent que leurs enfants ne connaissent pas le bonheur de la fidélité.
Mais que voulez-vous ils n’ont pas un mode facile !
Le monde vu du réel
Poutine correspond à l’âme russe et se détourne d’une Europe en laquelle il ne croit plus.
De tout temps l’histoire russe regarde aussi la Chine.
Les sondages américains montrent un peuple plutôt satisfait et une économie qui semble repartir.
Ah oui Trump est pro vie …
L’Espagne est tout simplement confrontée aux sempiternelles sursauts d’une histoire qui n’a jamais réussi l’intégration comme l’ont fait de manière unique les rois de France et plus tard l’Italie.
La Syrie aurait pu sortir de la guerre bien plus tôt si Obama et Hollande avait fait moins de démocrato-idéologie, tout comme il y a un siècle la guerre aurait pu finir deux ans plus tôt si l’idéologie internationaliste de Clemenceau ne s’y était pas personnellement opposée.
La Syrie, comme tout le Moyen-Orient répond à des logiques culturelles qui ne sont pas celles de l’Occident, ni même celles de l’Afrique.
Et oui être cultivé c’est aussi savoir que le monde n’est pas le décalque de la pointe bretonne.
Le pape est très conservateur pour tout ce qui concerne la vie et n’est pas près de bouger dans le sens bobo sur ce point.
Sans compter qu’il parle infiniment plus du péché et du diable que ses deux intégristes de prédécesseurs.
Les progressistes de la Curie sont bien plus opposés à lui que les tradis par nature respectueux des institutions.
Les migrants viennent majoritairement de pays sans problème politique et sont, dans une écrasante majorité, des musulmans pratiquants, c’est-à-dire par définition, ce que les occidentaux appellent, selon leurs critères, des extrémistes radicaux.
L’Europe est au bord de l’asphyxie, tenue par une idéologie onusienne dont les peuples de l’Est ne veulent pas et que subissent béatement les peuples de l’Ouest à qui on brandit l’effondrement du Royaume-Uni comme perspective.
Sauf que… les anglais préparent leur retrait depuis 20 ans.
Quant aux problèmes domestiques … Ah le bon temps où les aristocrates opprimant les vilains serfs et les bourgeois (les méchants pas les bobos) avaient du personnel à exploiter !
Et pour ce qui est du vin blanc avec le fromage comme symbole de liberté … moi je dis vive la Savoie libre !
Bref et sans doute c’est là qu’est l’os hélas…
Un bel exemple de fidélité qui peut être s’enracine dans ce monde ancien qu’ils ont refusé de transmettre et dont ils pleurent l’absence chez leurs enfants ?
Dans l’éducation, le chaînon manquant ne serait-il pas bobo ?
Pierre Selas
jacques58fan- Combat l'antechrist
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Re: "L'édito du Jour"!!
@steve2035 1)pensez-vous qu'il y ait des agnostiques, voire athées qui accomplissent de belles actions? Comme Balavoine ou Coluche?steve2035 a écrit:Entre se dire chrétien et être chrétien il y a un gouffre.
L'article n'aborde malheureusement pas la pratique.
Être chrétien non pratiquant c'est souvent la norme. Cela veut dire que les gens se sentent simplement de culture chrétienne ou ayant des valeurs chrétiennes.
Mais cela n'a pas de sens de se dire chrétien non pratiquant.
Si je vous dit que je suis "nudiste non pratiquant".
Ça veut dire quoi pour vous?
ou pas du tout?
Coluche a m^me donné un chèque à l'Abbé Pierre pour Emmaüs à l'époque
2) Un chrétien pratiquant pour vous, c'est quoi?
jacques58fan- Combat l'antechrist
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito du Lundi 26 Mars 2018
Un mois de bioéthique sous haute tension
Un mois de bioéthique sous haute tension
Etats Généraux de la bioéthique, nous sommes déjà à mi-parcours.
Le temps passe et ce mois fut d’une très grande richesse en ce qui concerne la bioéthique et les principes non négociables dans leur ensemble.
Nombre de personnalités se sont exprimées pour mettre en garde contre les dérives pressenties des révisions des lois de Bioéthique.
Ainsi, pour Sylviane Agacinski, « Les lois bioéthiques ne relèvent pas des sondages ».
Abondant en ce sens, Jacques Testart estime que le grand problème de l’éthique c’est de mettre des limites, avant, précise-t-il d’en arriver à greffer un utérus chez un homme.
Au fond, Jean-Marie Le Méné le rappelle “le débat n’est pas entre plus ou moins de morale mais entre l’être et le néant. ”
D’autres avertissent que céder à la mode ambiante, c’est obérer définitivement l’avenir.
Et c’est ainsi que La bioéthique se retourne contre l’éthique, estime Vivien Hoch.
De leur côté, psychologues, gynécologues, pédiatres, ont expliqué pourquoi ils s’opposent fermement à la légalisation de la GPA qui pour Sylviane Agacinski, est une marchandisation de l’humain.
Pour sa part, Gérard Leclerc pose l’effrayant constat que de toute l’histoire de l’humanité, seuls les progressistes refusent le “tu ne tueras pas”.
Sur ce point, en ce qui concerne la fin de vie, et précisément, l’euthanasie, le ministre de la Santé a affirmé ne pas être favorable à une nouvelle loi.
Notons au passage le tweet courageux d’un évêque américain pour la défense de la vie.
Dans l’embrouillamini général, Jacques Testart propose de comprendre des enjeux de la recherche sur l’embryon, de l’eugénisme, du transhumanisme et de la société à venir.
A jouer les apprentis sorciers, on apprend d’une étude américaine que deux mères ou une mère et un père, les effets concrets sur les enfants ne sont pas vraiment les mêmes.
De son côté, toujours celui de l’apprenti sorcier, une nouvelle étude montre que pour les femmes l’avortement n’est pas une libération.
Mais si la France est en ébullition, le danger vient en droite ligne de l’ONU
Raison pour laquelle, nous avons publié pour vous une petite liste des actions dangereuses que l’ONU mène sous notre nez.
ONU où la France déplore que ses alliés remettent en cause l’avortement.
Larmes de crocodiles de Marlène Schiappa qui nous vaut la magistrale réponse d’un trisomique.
ONU toujours, dans le cadre de la GPA, un rapport du Conseil des droits de l’homme propose de payer tout le monde, sauf la mère porteuse.
Finalement ce que souhaite l’ONU, c’est rendre compatible la GPA avec l’interdiction de la vente d’enfants.
Sans surprise, Médecins du monde affirme son soutien à la généralisation de l’avortement, alors que nous apprenons que l’administration Obama a donné pas moins de 1,6 milliards de dollars d’argent public pour l’industrie de l’avortement.
En France, l’épiscopat c’est notablement mobilisé.
Les évêques insistent pour que les fidèles participent aux Etats Généraux de la bioéthique et l’Eglise rappelle qu’elle condamne bien toute PMA.
En ce qui concerne la fin de vie, les 118 évêques ont signé à Lourdes une déclaration commune.
Monseigneur Aupetit est lui-même abondamment monté au créneau, rappelant que le progressisme n’est qu’une adaptation aux désirs individuels qu’il faudrait servir.
Il a par ailleurs regretté qu’« une partie de nos concitoyens, y compris des catholiques, ne prenne pas la mesure des changements de société qui peuvent nous impacter », rappelant qu’il n’y a pas de sens inéluctable de l’histoire.
C’est que le débat est chaud !
On se souvient que 156 député LREM avaient déposé un projet de loi en faveur d’une loi immédiate pour l’euthanasie.
Contre les “156”, une initiative parlementaire hostile à l’euthanasie a vu le jour.
Mais surtout, ce mois de mars aura révélé l’envers du décors des Etats Généraux de la bioéthique.
Ainsi, sur le site des états généraux de la bioéthique, tout est fait et dit pour promouvoir la GPA.
Grâce à la vigilance de certains, une fraude massive dans les votes a pu être dénoncée.
Et, surprenant… Quand on enlève les fraudeurs les résultats sont… très différents.
De leur côté, les sondages posent la question d’une manipulation, sur la question de la PMA.
Quant à la Gestation pour autrui, une petite étude révèle la fabrique de l’opinio.
De sorte que Jean-Frédéric Poisson dénonce la mascarade organisée par le Gouvernement.
A quoi nous pouvons ajouter d’autres manipulations.
Ainsi, à Nice, Mediapart tente de faire croire que LMPT pollue les débats bioéthiques.
En toute impunité on assiste à la promotion de la PMA, pourtant illégale en France Et c’est la Une de Charlie qui résume bien la question de fond entre hédonisme pour les uns, esclavage pour les autres.
Enfin, tandis que pour Marlène Schiappa, avorter est un droit comme celui de passer le permis de conduire, signalons X,Y et moi, un spectacle pro-genre, présenté dans les collèges à l’insu des parents.
Le tout au nom d’une tolérance et d’une ouverture que tous n’ont pas ressenti…
Ainsi, au Semi-marathon de Paris, pendant que certains suaient pour la vie, d’autres transpirent l’intolérance
Poursuivons par de belles notes d’espérances tous azimuts…
Pour Vincent Lambert, rien n’est perdu.
Ses parents ont reçu l’appui d’éminents spécialistes.
L’initiative, 40 Days for life, enregistre déjà 400 bébés sauvés et 110 messes célébrées en France.
Nous vous avons présenté l’initiative 40 days for life, une démarche de prière pour sauver les bébés de l’avortement. Cette initiative progresse et trouve un écho de plus en plus large.
Ainsi à ce jour 158 bébés ont été sauvés et 110 messes célébrées en France
Les voici
Messes aux intentions des 40 Days for Life (110 messes au 27 février : + 11)
Mercredi des Cendres 14 février. Messe célébrée à Lourdes (Pyrénées-Orientales). Mercredi des Cendres 14 février. Messe célébrée en l’Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, Vaucluse (merci H.R.). Mercredi des Cendres 14 février. Messe en l’église Saint-Jean-Baptiste de Sarliac, Dordogne (merci M. L. S.). Jeudi 15 février. Messe célébrée en l’Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, Vaucluse (merci H.R.). Jeudi 15 février. Messe célébrée au sanctuaire Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours à Sarreguemines, Moselle (merci J. P.). Vendredi 16 février. Messe célébrée en l’église des Saints Jean-et-Étienne “aux Minimes” à Bruxelles, Belgique (merci H. R.). Vendredi 16 février. Messe célébrée en l’église Saint-Adrien à Mailly-le-Château, Yonne (merci G. L. L.). Vendredi 16 février. Messe célébrée au couvent Saint-Dominique de Québec, Canada (merci C. P.). Samedi 17 février. Messe célébrée en l’Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, Vaucluse (merci H.R.). Samedi 17 février. Messe célébrée au couvent Saint-Dominique de Québec, Canada (merci C. P.). Dimanche 18 février. Messe célébrée à Paris (merci B.B.). Dimanche 18 février. Messe célébrée au couvent Saint-Dominique de Québec, Canada (merci C. P.). Dimanche 18 février. Messe célébrée à Brive-la-Gaillarde, Corrèze (merci J. M.). Lundi 19 février. Messe célébrée à Paris (merci B.B.). Mardi 20 février. Messe célébrée à Paris (merci B.B.). Mardi 20 février. Messe célébrée au sanctuaire Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours à Sarreguemines, Moselle (merci J. P.). Mercredi 21 février. Messe célébrée à Paris (merci B.B.). Mercredi 21 février. Messe célébrée à Werl, Rhénanie, Allemagne (merci A. V.). Mercredi 21 février. Messe célébrée à Vibraye, Sarthe (merci Cl.). Jeudi 22 février. Messe célébrée en la basilique Sainte-Marie-Madeleine à Saint-Maximim, Var (merci M. M. M. B.). Jeudi 22 février. Messe célébrée à Werl, Rhénanie, Allemagne (merci A. V.). Jeudi 22 février. Messe célébrée en l’église Saint-Martin-de-Vertou à Varennes-sur-Loire, Maine-etLoire (merci C. C.). Jeudi 22 février. Messe célébrée en l’église du Saint-Esprit à Chamrousse, Isère (Merci H. T.). Vendredi 23 février. Messe célébrée en l’église des Saints Jean-et-Étienne “aux Minimes” à Bruxelles, Belgique (merci H. R.). Vendredi 23 février. Messe célébrée en l’église Saint-Pierre de Dreux, Eure-et-Loire (merci M. M.). Vendredi 23 février. Messe célébrée à Werl, Rhénanie, Allemagne (merci A. V.). Vendredi 23 février. Messe célébrée au séminaire Saint-Philippe-Néri (ICRSP) à Gricigliano, Italie (merci S. B.). Samedi 24 février. Messe célébrée à Werl, Rhénanie, Allemagne (merci A. V.). Samedi 24 février. Messe célébrée au séminaire Saint-Philippe-Néri (ICRSP) à Gricigliano, Italie (merci S. B.). Samedi 24 février. Messe célébrée à la paroisse Sainte-Marie de Gardanne, Bouches-du-Rhône (merci P. et G. M.). Samedi 24 février. Messe célébrée à la paroisse Notre-Dame-du-Vœu à Nouméa, Nouvelle-Calédonie (merci C. A. M.). Dimanche 25 février. Messe célébrée à Werl, Rhénanie, Allemagne (merci A. V.). Dimanche 25 février. Messe célébrée en l’église Saint-Martin du Plan-de-la-Tour, Var (merci A. R.). Dimanche 25 février. Messe célébrée en l’église Notre-Dame-de-la-Jeunesse ou Coye-la-Forêt, Oise (merci M. K.). Dimanche 25 février. Messe célébrée en la chapelle de la maison Saint-François-de-Sales (ICRSP) du Port-Marly, Yvelines (merci N. L.). Dimanche 25 février. Messe célébrée en l’église de Cap-Malheureux, Île Maurice (merci G. L.). Dimanche 25 février. Messe célébrée dans la chapelle privée d’un prêtre à Paris (merci T. B.). Lundi 26 février. Messe célébrée au séminaire Saint-Philippe-Néri (ICRSP) à Gricigliano, Italie (merci S. B.). Lundi 26 février. Messe célébrée en l’église des Saints Jean-et-Étienne “aux Minimes” à Bruxelles, Belgique (merci H. R.). Lundi 26 février. Messe célébrée en l’église Saint-François-de-Sales à Paris, XVIIe (merci A. M. M.). Lundi 26 février. Messe célébrée à Werl, Rhénanie, Allemagne (merci A. V.). Lundi 26 février. Messe célébrée à la paroisse Saint-Jean-XXIII de La Coupiane, La Valette-du-Var, Var (merci S. R.). Lundi 26 février. Messe célébrée en la chapelle del’Institution Saint-Dominique à La Baffe, Vosges (merci M. O.). Mardi 27 février. Messe célébrée en la chapelle du Centre En Guédi de Lyon, Rhône (merci M. N.). Mardi 27 février. Messe célébrée à Werl, Rhénanie, Allemagne (merci A. V.). Mardi 27 février. Messe célébrée dans la paroisse d’Ollioules, Var (merci G. G.). Mardi 27 février. Messe célébrée au monastère du Saint-Désert à Saint-Laurent-du-Pont, Isère (merci J. P. B.). Mardi 27 février. Messe célébrée au sanctuaire Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours à Sarreguemines, Moselle (merci J. P.). Mercredi 28 février. Messe célébrée en la chapelle des Pénitents-Blancs à Montpellier, Hérault (merci M. A.). Mercredi 28 février. Messe célébrée en la chapelle Saint-Joseph à Kapellen, Anvers, Belgique (merci A.S.). Mercredi 28 février. Messe célébrée à Werl, Rhénanie, Allemagne (merci A. V.). Mercredi 28 févier. Messe célébrée au Brésil (merci B. P.). Mercredi 28 février. Messe célébrée dans la paroisse d’Ollioules, Var (merci G. G.). Mercredi 28 février. Messe célébrée à la paroisse Sainte-Marie de Gardanne, Bouches-du-Rhône (merci P. et G. M.). Mercredi 28 février. Messe célébrée en la chapelle Saint-Jacques à Paris, XVe (merci V. H.). Jeudi 1er mars. Messe célébrée à Werl, Rhénanie, Allemagne (merci A. V.). Jeudi 1er mars. Messe célébrée à la Maison de Marie à Volvic, Puy-de-Dôme (merci F. C.). Vendredi 2 mars. Messe célébrée chez les Franciscains de Jérusalem, Israël (merci A. R. B.). Vendredi 2 mars. Messe célébrée en la basilique Notre-Dame de Genève, Suisse (merci F. A.). Vendredi 2 mars. Messe célébrée à Denton, Nebraska, États-Unis d’Amérique (merci F. & F. G.). Samedi 3 mars. Messe célébrée chez les Franciscains de Jérusalem, Israël (merci A. R. B.). Samedi 3 mars. Messe célébrée à la paroisse Sainte-Marie de Gardanne, Bouches-du-Rhône (merci P. et G. M.). Dimanche 4 mars. Messe célébrée à 9 h en l’église Notre-Dame-du-Rosaire à Saint-Maur-des-Fossés, Val-de-Marne (merci P. P. M.). Dimanche 4 mars. Messe célébrée à la paroisse Sainte-Marie de Gardanne, Bouches-du-Rhône (merci P. et G. M.). Dimanche 4 mars. Messe célébrée en la chapelle Sainte-Eugénie de Nîmes, Gard (merci C. A.). Lundi 5 mars. Messe célébrée en l’église des Saints Jean-et-Étienne “aux Minimes” à Bruxelles, Belgique (merci H. R.). Lundi 5 mars. Messe célébrée à Guer, Morbihan (merci E. P.). Lundi 5 mars. Messe célébrée à ma Maison Saint-François-de-Sales de Marly-le-Roi, Yvelines (merci A. L.). Lundi 5 mars. Messe célébrée en l’église Saint-François-de-Sales à Paris, XVIIe (merci A. M. M.). Lundi 5 mars. Messe célébrée chez les Franciscains de Jérusalem, Israël (merci A. R. B.). Mardi 6 mars. Messe célébrée en la chapelle de l’école de la FSSPX à Onex (Genève), Suisse (merci P. G.). Mercredi 7 mars. Messe célébrée à la paroisse Sainte-Marie de Gardanne, Bouches-du-Rhône (merci P. et G. M.). Mardi 6 mars. Messe célébrée en l’église Saint-Félix à Aiguillon, Lot-et-Garonne (merci N. Z.). Mercredi 7 mars. Messe célébrée à la paroisse Sainte-Marie de Gardanne, Bouches-du-Rhône (merci P. et G. M.). Mercredi 7 mars. Messe célébrée au prieuré de la FSSPX à Onex (Genève), Suisse (merci P. G.). Jeudi 8 mars. Messe célébrée en l’oratoire de la Bergerie à Saint-Jorioz, Haute-Savoie (merci C. L.). Jeudi 8 mars. Messe célébrée au sanctuaire Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours à Sarreguemines, Moselle (merci J. P.). Jeudi 8 mars. Messe célébrée en l’oratoire Saint-Joseph de la FSSPX à Carouge (Genève), Suisse (merci P. G.). Vendredi 9 mars. Messe célébrée en la basilique Saint-Pierre au Vatican (merci J. P.). Vendredi 9 mars. Messe célébrée en la chapelle de l’école de la FSSPX à Onex (Genève), Suisse (merci P. G.). Jeudi 8 mars. Messe célébrée en la paroisse de Belloy-en-France, Val-d’Oise (merci N. D.). Samedi 10 mars. Messe célébrée à la paroisse Sainte-Marie de Gardanne, Bouches-du-Rhône (merci P. et G. M.). Samedi 10 mars. Messe célébrée au prieuré de la FSSPX à Lausanne, Suisse (merci P. G.). Dimanche 11 mars. Messe célébrée en l’église de Cap-Malheureux, Île Maurice (merci G. L.). Dimanche 11 mars. Messe célébrée en l’église paroissiale de Solesmes, Sarthe (merci G. A.). Dimanche 11 mars. Messe célébrée en l’Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, Vaucluse (merci A. N.). Dimanche 11 mars. Messe célébrée au prieuré de la FSSPX à Lausanne, Suisse (merci P. G.). Mardi 13 mars. Messe célébrée en la paroisse de Belloy-en-France, Val-d’Oise (merci N. D.). Lundi 19 mars. Messe célébrée en l’église Saint-Mathieu d’Harricana, Québec, Canada (merci L. O.). Mardi 13 mars. Messe célébrée en la chapelle Notre-Dame-de-la-Consolation à Paris VIIIe (merci J. C.). Mardi 13 mars. Messe célébrée en l’église Saint-Félix à Aiguillon, Lot-et-Garonne (merci N. Z.). Mercredi 14 mars. Messe célébrée à la paroisse Sainte-Marie de Gardanne, Bouches-du-Rhône (merci P. et G. M.). Jeudi 15 mars. Messe célébrée au sanctuaire Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours à Sarreguemines, Moselle (merci J. P.). Jeudi 15 mars. Messe célébrée en la paroisse de Belloy-en-France, Val-d’Oise (merci N. D.). Samedi 17 mars. Messe célébrée à la paroisse Sainte-Marie de Gardanne, Bouches-du-Rhône (merci P. et G. M.). Samedi 17 mars. Messe célébrée au sanctuaire de Paray-le-Monial, Saône-et-Loire (merci A. N.). Mardi 20 mars. Messe célébrée à Beaucanton, Charente (merci s. M.-R.). Mardi 20. Messe célébrée au sanctuaire Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours à Sarreguemines, Moselle (merci J. P.). Mercredi 21 mars. Messe célébrée à l’oratoire du presbytère de la paroisse de Montmoreau-SaintYbard, à Beaucanton, Charente (merci s. M.-R.). Mercredi 21 mars. Messe célébrée à la paroisse Sainte-Marie de Gardanne, Bouches-du-Rhône (merci P. et G. M.). Mercredi 21 mars. Messe célébrée en la chapelle Saint-Joseph à Kapellen, Belgique (merci A.S.). Jeudi 22 mars. Messe célébrée par les oblats de Saint-Vincent-de-Paul à La-Roche-sur-Yon, Vendée (merci B. C.). Dimanche des Rameaux 25 mars. Messe célébrée en l’église Notre-Dame-du-Travail à Paris (XIVe arrondissement). Dimanche des Rameaux 25 mars. Messe célébrée en l’abbaye Saint-Joseph-de-Clairval à Flavignysur-Ozerain, Côte-d’Or (merci S. B.). Dimanche des Rameaux 25 mars. Messe célébrée à Colmar, Haut-Rhin (merci F.R. et A. D.). Dimanche des Rameaux 25 mars. Messe célébrée au sanctuaire Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours à Sarreguemines, Moselle (merci J. P.). Dimanche des Rameaux 25 mars. Messe célébrée en l’église Notre-Dame de Valence, Drôme (merci M. J. L.). Messes d’action de grâce Lundi 26 mars. Messe célébrée en l’abbaye Saint-Joseph-de-Clairval à Flavigny-sur-Ozerain, Côted’Or (merci S. B.). Mardi 27 mars. Messe célébrée en l’abbaye Saint-Joseph-de-Clairval à Flavigny-sur-Ozerain, Côted’Or (merci S. B.). Mardi 27 mars. Messe célébrée au sanctuaire Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours à Sarreguemines, Moselle (merci J. P.). Lundi 2 avril. Messe célébrée en l’abbaye de Flavigny-sur-Ozerain, Côte-d’Or (merci B. C.)
Tandis que pour participer aux combats de la bioéthique, le diocèse de Versailles lance une plateforme, une pétition est ouverte pour défendre l’humanité contre le marché de la procréation.
Petit clin d’œil touchant avec Florette Coquinette, une petite héroïne porteuse de trisomie 21 qui change votre regard sur la différence.
Et enfin, dernière proposition du mois, la fertilité, une aventure de couple.
Une véritable effervescence donc avec cependant un gros nuage sombre, Humanae vitae serait-elle en danger ?
Les attaque et contre attaque dans les coulisses de la Curie vont bon train.
Voici donc un mois d’actualité bioéthique, riche et chaude, alors que nous sommes arrivés à la mi-carême des Etats Généraux.
Le temps passe et ce mois fut d’une très grande richesse en ce qui concerne la bioéthique et les principes non négociables dans leur ensemble.
Nombre de personnalités se sont exprimées pour mettre en garde contre les dérives pressenties des révisions des lois de Bioéthique.
Ainsi, pour Sylviane Agacinski, « Les lois bioéthiques ne relèvent pas des sondages ».
Abondant en ce sens, Jacques Testart estime que le grand problème de l’éthique c’est de mettre des limites, avant, précise-t-il d’en arriver à greffer un utérus chez un homme.
Au fond, Jean-Marie Le Méné le rappelle “le débat n’est pas entre plus ou moins de morale mais entre l’être et le néant. ”
D’autres avertissent que céder à la mode ambiante, c’est obérer définitivement l’avenir.
Et c’est ainsi que La bioéthique se retourne contre l’éthique, estime Vivien Hoch.
De leur côté, psychologues, gynécologues, pédiatres, ont expliqué pourquoi ils s’opposent fermement à la légalisation de la GPA qui pour Sylviane Agacinski, est une marchandisation de l’humain.
Pour sa part, Gérard Leclerc pose l’effrayant constat que de toute l’histoire de l’humanité, seuls les progressistes refusent le “tu ne tueras pas”.
Sur ce point, en ce qui concerne la fin de vie, et précisément, l’euthanasie, le ministre de la Santé a affirmé ne pas être favorable à une nouvelle loi.
Notons au passage le tweet courageux d’un évêque américain pour la défense de la vie.
Dans l’embrouillamini général, Jacques Testart propose de comprendre des enjeux de la recherche sur l’embryon, de l’eugénisme, du transhumanisme et de la société à venir.
A jouer les apprentis sorciers, on apprend d’une étude américaine que deux mères ou une mère et un père, les effets concrets sur les enfants ne sont pas vraiment les mêmes.
De son côté, toujours celui de l’apprenti sorcier, une nouvelle étude montre que pour les femmes l’avortement n’est pas une libération.
Mais si la France est en ébullition, le danger vient en droite ligne de l’ONU
Raison pour laquelle, nous avons publié pour vous une petite liste des actions dangereuses que l’ONU mène sous notre nez.
ONU où la France déplore que ses alliés remettent en cause l’avortement.
Larmes de crocodiles de Marlène Schiappa qui nous vaut la magistrale réponse d’un trisomique.
ONU toujours, dans le cadre de la GPA, un rapport du Conseil des droits de l’homme propose de payer tout le monde, sauf la mère porteuse.
Finalement ce que souhaite l’ONU, c’est rendre compatible la GPA avec l’interdiction de la vente d’enfants.
Sans surprise, Médecins du monde affirme son soutien à la généralisation de l’avortement, alors que nous apprenons que l’administration Obama a donné pas moins de 1,6 milliards de dollars d’argent public pour l’industrie de l’avortement.
En France, l’épiscopat c’est notablement mobilisé.
Les évêques insistent pour que les fidèles participent aux Etats Généraux de la bioéthique et l’Eglise rappelle qu’elle condamne bien toute PMA.
En ce qui concerne la fin de vie, les 118 évêques ont signé à Lourdes une déclaration commune.
Monseigneur Aupetit est lui-même abondamment monté au créneau, rappelant que le progressisme n’est qu’une adaptation aux désirs individuels qu’il faudrait servir.
Il a par ailleurs regretté qu’« une partie de nos concitoyens, y compris des catholiques, ne prenne pas la mesure des changements de société qui peuvent nous impacter », rappelant qu’il n’y a pas de sens inéluctable de l’histoire.
C’est que le débat est chaud !
On se souvient que 156 député LREM avaient déposé un projet de loi en faveur d’une loi immédiate pour l’euthanasie.
Contre les “156”, une initiative parlementaire hostile à l’euthanasie a vu le jour.
Mais surtout, ce mois de mars aura révélé l’envers du décors des Etats Généraux de la bioéthique.
Ainsi, sur le site des états généraux de la bioéthique, tout est fait et dit pour promouvoir la GPA.
Grâce à la vigilance de certains, une fraude massive dans les votes a pu être dénoncée.
Et, surprenant… Quand on enlève les fraudeurs les résultats sont… très différents.
De leur côté, les sondages posent la question d’une manipulation, sur la question de la PMA.
Quant à la Gestation pour autrui, une petite étude révèle la fabrique de l’opinio.
De sorte que Jean-Frédéric Poisson dénonce la mascarade organisée par le Gouvernement.
A quoi nous pouvons ajouter d’autres manipulations.
Ainsi, à Nice, Mediapart tente de faire croire que LMPT pollue les débats bioéthiques.
En toute impunité on assiste à la promotion de la PMA, pourtant illégale en France Et c’est la Une de Charlie qui résume bien la question de fond entre hédonisme pour les uns, esclavage pour les autres.
Enfin, tandis que pour Marlène Schiappa, avorter est un droit comme celui de passer le permis de conduire, signalons X,Y et moi, un spectacle pro-genre, présenté dans les collèges à l’insu des parents.
Le tout au nom d’une tolérance et d’une ouverture que tous n’ont pas ressenti…
Ainsi, au Semi-marathon de Paris, pendant que certains suaient pour la vie, d’autres transpirent l’intolérance
Poursuivons par de belles notes d’espérances tous azimuts…
Pour Vincent Lambert, rien n’est perdu.
Ses parents ont reçu l’appui d’éminents spécialistes.
L’initiative, 40 Days for life, enregistre déjà 400 bébés sauvés et 110 messes célébrées en France.
Nous vous avons présenté l’initiative 40 days for life, une démarche de prière pour sauver les bébés de l’avortement. Cette initiative progresse et trouve un écho de plus en plus large.
Ainsi à ce jour 158 bébés ont été sauvés et 110 messes célébrées en France
Les voici
Messes aux intentions des 40 Days for Life (110 messes au 27 février : + 11)
Mercredi des Cendres 14 février. Messe célébrée à Lourdes (Pyrénées-Orientales). Mercredi des Cendres 14 février. Messe célébrée en l’Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, Vaucluse (merci H.R.). Mercredi des Cendres 14 février. Messe en l’église Saint-Jean-Baptiste de Sarliac, Dordogne (merci M. L. S.). Jeudi 15 février. Messe célébrée en l’Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, Vaucluse (merci H.R.). Jeudi 15 février. Messe célébrée au sanctuaire Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours à Sarreguemines, Moselle (merci J. P.). Vendredi 16 février. Messe célébrée en l’église des Saints Jean-et-Étienne “aux Minimes” à Bruxelles, Belgique (merci H. R.). Vendredi 16 février. Messe célébrée en l’église Saint-Adrien à Mailly-le-Château, Yonne (merci G. L. L.). Vendredi 16 février. Messe célébrée au couvent Saint-Dominique de Québec, Canada (merci C. P.). Samedi 17 février. Messe célébrée en l’Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, Vaucluse (merci H.R.). Samedi 17 février. Messe célébrée au couvent Saint-Dominique de Québec, Canada (merci C. P.). Dimanche 18 février. Messe célébrée à Paris (merci B.B.). Dimanche 18 février. Messe célébrée au couvent Saint-Dominique de Québec, Canada (merci C. P.). Dimanche 18 février. Messe célébrée à Brive-la-Gaillarde, Corrèze (merci J. M.). Lundi 19 février. Messe célébrée à Paris (merci B.B.). Mardi 20 février. Messe célébrée à Paris (merci B.B.). Mardi 20 février. Messe célébrée au sanctuaire Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours à Sarreguemines, Moselle (merci J. P.). Mercredi 21 février. Messe célébrée à Paris (merci B.B.). Mercredi 21 février. Messe célébrée à Werl, Rhénanie, Allemagne (merci A. V.). Mercredi 21 février. Messe célébrée à Vibraye, Sarthe (merci Cl.). Jeudi 22 février. Messe célébrée en la basilique Sainte-Marie-Madeleine à Saint-Maximim, Var (merci M. M. M. B.). Jeudi 22 février. Messe célébrée à Werl, Rhénanie, Allemagne (merci A. V.). Jeudi 22 février. Messe célébrée en l’église Saint-Martin-de-Vertou à Varennes-sur-Loire, Maine-etLoire (merci C. C.). Jeudi 22 février. Messe célébrée en l’église du Saint-Esprit à Chamrousse, Isère (Merci H. T.). Vendredi 23 février. Messe célébrée en l’église des Saints Jean-et-Étienne “aux Minimes” à Bruxelles, Belgique (merci H. R.). Vendredi 23 février. Messe célébrée en l’église Saint-Pierre de Dreux, Eure-et-Loire (merci M. M.). Vendredi 23 février. Messe célébrée à Werl, Rhénanie, Allemagne (merci A. V.). Vendredi 23 février. Messe célébrée au séminaire Saint-Philippe-Néri (ICRSP) à Gricigliano, Italie (merci S. B.). Samedi 24 février. Messe célébrée à Werl, Rhénanie, Allemagne (merci A. V.). Samedi 24 février. Messe célébrée au séminaire Saint-Philippe-Néri (ICRSP) à Gricigliano, Italie (merci S. B.). Samedi 24 février. Messe célébrée à la paroisse Sainte-Marie de Gardanne, Bouches-du-Rhône (merci P. et G. M.). Samedi 24 février. Messe célébrée à la paroisse Notre-Dame-du-Vœu à Nouméa, Nouvelle-Calédonie (merci C. A. M.). Dimanche 25 février. Messe célébrée à Werl, Rhénanie, Allemagne (merci A. V.). Dimanche 25 février. Messe célébrée en l’église Saint-Martin du Plan-de-la-Tour, Var (merci A. R.). Dimanche 25 février. Messe célébrée en l’église Notre-Dame-de-la-Jeunesse ou Coye-la-Forêt, Oise (merci M. K.). Dimanche 25 février. Messe célébrée en la chapelle de la maison Saint-François-de-Sales (ICRSP) du Port-Marly, Yvelines (merci N. L.). Dimanche 25 février. Messe célébrée en l’église de Cap-Malheureux, Île Maurice (merci G. L.). Dimanche 25 février. Messe célébrée dans la chapelle privée d’un prêtre à Paris (merci T. B.). Lundi 26 février. Messe célébrée au séminaire Saint-Philippe-Néri (ICRSP) à Gricigliano, Italie (merci S. B.). Lundi 26 février. Messe célébrée en l’église des Saints Jean-et-Étienne “aux Minimes” à Bruxelles, Belgique (merci H. R.). Lundi 26 février. Messe célébrée en l’église Saint-François-de-Sales à Paris, XVIIe (merci A. M. M.). Lundi 26 février. Messe célébrée à Werl, Rhénanie, Allemagne (merci A. V.). Lundi 26 février. Messe célébrée à la paroisse Saint-Jean-XXIII de La Coupiane, La Valette-du-Var, Var (merci S. R.). Lundi 26 février. Messe célébrée en la chapelle del’Institution Saint-Dominique à La Baffe, Vosges (merci M. O.). Mardi 27 février. Messe célébrée en la chapelle du Centre En Guédi de Lyon, Rhône (merci M. N.). Mardi 27 février. Messe célébrée à Werl, Rhénanie, Allemagne (merci A. V.). Mardi 27 février. Messe célébrée dans la paroisse d’Ollioules, Var (merci G. G.). Mardi 27 février. Messe célébrée au monastère du Saint-Désert à Saint-Laurent-du-Pont, Isère (merci J. P. B.). Mardi 27 février. Messe célébrée au sanctuaire Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours à Sarreguemines, Moselle (merci J. P.). Mercredi 28 février. Messe célébrée en la chapelle des Pénitents-Blancs à Montpellier, Hérault (merci M. A.). Mercredi 28 février. Messe célébrée en la chapelle Saint-Joseph à Kapellen, Anvers, Belgique (merci A.S.). Mercredi 28 février. Messe célébrée à Werl, Rhénanie, Allemagne (merci A. V.). Mercredi 28 févier. Messe célébrée au Brésil (merci B. P.). Mercredi 28 février. Messe célébrée dans la paroisse d’Ollioules, Var (merci G. G.). Mercredi 28 février. Messe célébrée à la paroisse Sainte-Marie de Gardanne, Bouches-du-Rhône (merci P. et G. M.). Mercredi 28 février. Messe célébrée en la chapelle Saint-Jacques à Paris, XVe (merci V. H.). Jeudi 1er mars. Messe célébrée à Werl, Rhénanie, Allemagne (merci A. V.). Jeudi 1er mars. Messe célébrée à la Maison de Marie à Volvic, Puy-de-Dôme (merci F. C.). Vendredi 2 mars. Messe célébrée chez les Franciscains de Jérusalem, Israël (merci A. R. B.). Vendredi 2 mars. Messe célébrée en la basilique Notre-Dame de Genève, Suisse (merci F. A.). Vendredi 2 mars. Messe célébrée à Denton, Nebraska, États-Unis d’Amérique (merci F. & F. G.). Samedi 3 mars. Messe célébrée chez les Franciscains de Jérusalem, Israël (merci A. R. B.). Samedi 3 mars. Messe célébrée à la paroisse Sainte-Marie de Gardanne, Bouches-du-Rhône (merci P. et G. M.). Dimanche 4 mars. Messe célébrée à 9 h en l’église Notre-Dame-du-Rosaire à Saint-Maur-des-Fossés, Val-de-Marne (merci P. P. M.). Dimanche 4 mars. Messe célébrée à la paroisse Sainte-Marie de Gardanne, Bouches-du-Rhône (merci P. et G. M.). Dimanche 4 mars. Messe célébrée en la chapelle Sainte-Eugénie de Nîmes, Gard (merci C. A.). Lundi 5 mars. Messe célébrée en l’église des Saints Jean-et-Étienne “aux Minimes” à Bruxelles, Belgique (merci H. R.). Lundi 5 mars. Messe célébrée à Guer, Morbihan (merci E. P.). Lundi 5 mars. Messe célébrée à ma Maison Saint-François-de-Sales de Marly-le-Roi, Yvelines (merci A. L.). Lundi 5 mars. Messe célébrée en l’église Saint-François-de-Sales à Paris, XVIIe (merci A. M. M.). Lundi 5 mars. Messe célébrée chez les Franciscains de Jérusalem, Israël (merci A. R. B.). Mardi 6 mars. Messe célébrée en la chapelle de l’école de la FSSPX à Onex (Genève), Suisse (merci P. G.). Mercredi 7 mars. Messe célébrée à la paroisse Sainte-Marie de Gardanne, Bouches-du-Rhône (merci P. et G. M.). Mardi 6 mars. Messe célébrée en l’église Saint-Félix à Aiguillon, Lot-et-Garonne (merci N. Z.). Mercredi 7 mars. Messe célébrée à la paroisse Sainte-Marie de Gardanne, Bouches-du-Rhône (merci P. et G. M.). Mercredi 7 mars. Messe célébrée au prieuré de la FSSPX à Onex (Genève), Suisse (merci P. G.). Jeudi 8 mars. Messe célébrée en l’oratoire de la Bergerie à Saint-Jorioz, Haute-Savoie (merci C. L.). Jeudi 8 mars. Messe célébrée au sanctuaire Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours à Sarreguemines, Moselle (merci J. P.). Jeudi 8 mars. Messe célébrée en l’oratoire Saint-Joseph de la FSSPX à Carouge (Genève), Suisse (merci P. G.). Vendredi 9 mars. Messe célébrée en la basilique Saint-Pierre au Vatican (merci J. P.). Vendredi 9 mars. Messe célébrée en la chapelle de l’école de la FSSPX à Onex (Genève), Suisse (merci P. G.). Jeudi 8 mars. Messe célébrée en la paroisse de Belloy-en-France, Val-d’Oise (merci N. D.). Samedi 10 mars. Messe célébrée à la paroisse Sainte-Marie de Gardanne, Bouches-du-Rhône (merci P. et G. M.). Samedi 10 mars. Messe célébrée au prieuré de la FSSPX à Lausanne, Suisse (merci P. G.). Dimanche 11 mars. Messe célébrée en l’église de Cap-Malheureux, Île Maurice (merci G. L.). Dimanche 11 mars. Messe célébrée en l’église paroissiale de Solesmes, Sarthe (merci G. A.). Dimanche 11 mars. Messe célébrée en l’Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, Vaucluse (merci A. N.). Dimanche 11 mars. Messe célébrée au prieuré de la FSSPX à Lausanne, Suisse (merci P. G.). Mardi 13 mars. Messe célébrée en la paroisse de Belloy-en-France, Val-d’Oise (merci N. D.). Lundi 19 mars. Messe célébrée en l’église Saint-Mathieu d’Harricana, Québec, Canada (merci L. O.). Mardi 13 mars. Messe célébrée en la chapelle Notre-Dame-de-la-Consolation à Paris VIIIe (merci J. C.). Mardi 13 mars. Messe célébrée en l’église Saint-Félix à Aiguillon, Lot-et-Garonne (merci N. Z.). Mercredi 14 mars. Messe célébrée à la paroisse Sainte-Marie de Gardanne, Bouches-du-Rhône (merci P. et G. M.). Jeudi 15 mars. Messe célébrée au sanctuaire Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours à Sarreguemines, Moselle (merci J. P.). Jeudi 15 mars. Messe célébrée en la paroisse de Belloy-en-France, Val-d’Oise (merci N. D.). Samedi 17 mars. Messe célébrée à la paroisse Sainte-Marie de Gardanne, Bouches-du-Rhône (merci P. et G. M.). Samedi 17 mars. Messe célébrée au sanctuaire de Paray-le-Monial, Saône-et-Loire (merci A. N.). Mardi 20 mars. Messe célébrée à Beaucanton, Charente (merci s. M.-R.). Mardi 20. Messe célébrée au sanctuaire Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours à Sarreguemines, Moselle (merci J. P.). Mercredi 21 mars. Messe célébrée à l’oratoire du presbytère de la paroisse de Montmoreau-SaintYbard, à Beaucanton, Charente (merci s. M.-R.). Mercredi 21 mars. Messe célébrée à la paroisse Sainte-Marie de Gardanne, Bouches-du-Rhône (merci P. et G. M.). Mercredi 21 mars. Messe célébrée en la chapelle Saint-Joseph à Kapellen, Belgique (merci A.S.). Jeudi 22 mars. Messe célébrée par les oblats de Saint-Vincent-de-Paul à La-Roche-sur-Yon, Vendée (merci B. C.). Dimanche des Rameaux 25 mars. Messe célébrée en l’église Notre-Dame-du-Travail à Paris (XIVe arrondissement). Dimanche des Rameaux 25 mars. Messe célébrée en l’abbaye Saint-Joseph-de-Clairval à Flavignysur-Ozerain, Côte-d’Or (merci S. B.). Dimanche des Rameaux 25 mars. Messe célébrée à Colmar, Haut-Rhin (merci F.R. et A. D.). Dimanche des Rameaux 25 mars. Messe célébrée au sanctuaire Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours à Sarreguemines, Moselle (merci J. P.). Dimanche des Rameaux 25 mars. Messe célébrée en l’église Notre-Dame de Valence, Drôme (merci M. J. L.). Messes d’action de grâce Lundi 26 mars. Messe célébrée en l’abbaye Saint-Joseph-de-Clairval à Flavigny-sur-Ozerain, Côted’Or (merci S. B.). Mardi 27 mars. Messe célébrée en l’abbaye Saint-Joseph-de-Clairval à Flavigny-sur-Ozerain, Côted’Or (merci S. B.). Mardi 27 mars. Messe célébrée au sanctuaire Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours à Sarreguemines, Moselle (merci J. P.). Lundi 2 avril. Messe célébrée en l’abbaye de Flavigny-sur-Ozerain, Côte-d’Or (merci B. C.)
Tandis que pour participer aux combats de la bioéthique, le diocèse de Versailles lance une plateforme, une pétition est ouverte pour défendre l’humanité contre le marché de la procréation.
Petit clin d’œil touchant avec Florette Coquinette, une petite héroïne porteuse de trisomie 21 qui change votre regard sur la différence.
Et enfin, dernière proposition du mois, la fertilité, une aventure de couple.
Une véritable effervescence donc avec cependant un gros nuage sombre, Humanae vitae serait-elle en danger ?
Les attaque et contre attaque dans les coulisses de la Curie vont bon train.
Voici donc un mois d’actualité bioéthique, riche et chaude, alors que nous sommes arrivés à la mi-carême des Etats Généraux.
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Re: "L'édito du Jour"!!
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L'édito du Mardi 27 Mars
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: "L'édito du Jour"!!
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Re: "L'édito du Jour"!!
INFO FRANCEINFO
Moines de Tibhirine
Ce que révèlent les ultimes expertises
Moines de Tibhirine
Ce que révèlent les ultimes expertises
La cellule investigation de Radio France révèle les conclusions des dernières expertises scientifiques dans l’assassinat des sept Français, en 1996.
Les moines ont vraisemblablement été tués un mois avant l’annonce officielle de leur décès, et ils ont été décapités après leur mort.
Les moines ont vraisemblablement été tués un mois avant l’annonce officielle de leur décès, et ils ont été décapités après leur mort.
Une page se tourne dans l’affaire des moines de Tibhirine, assassinés en 1996.
Même si une partie du mystère demeure.
S’agit-il réellement d’un assassinat des islamistes du GIA ?
D’une bavure de l’armée algérienne ?
Ou d’une manipulation des services secrets algériens ?
Les conclusions des dernières expertises scientifiques, que la cellule investigation de Radio France est en mesure de révéler, jeudi 29 mars, confirment que les moines ont vraisemblablement été tués un mois avant l’annonce officielle de leur décès.
Et qu’ils ont été décapités après leur mort.
Au printemps 1996, en pleine guerre civile en Algérie, les sept moines trappistes français avaient refusé de quitter leur monastère de Tibhirine, dans l'Atlas algérien. Christian de Chergé, Luc Dochier, Paul Favre Miville, Michel Fleury, Christophe Lebreton, Bruno Lemarchand et Célestin Ringeard étaient restés en dépit de l'insécurité croissante régnant dans la région de Médéa, à une centaine de kilomètres au sud d'Alger.
Les religieux ont été enlevés par une vingtaine d'hommes armés dans la nuit du 26 au 27 mars 1996.
Aussitôt un communiqué du chef du Groupe armé islamique (GIA) Djamel Zitouni, daté du 26 avril, revendique l’enlèvement des moines qu’il menace d’égorger.
Deux mois plus tard, le 23 mai 1996 le GIA, revendique cette fois la séquestration des sept moines et leur assassinat deux jours plus tôt.
Le 30 mai, sept têtes sont découvertes sur une route près de Médéa. Les corps des religieux n'ont jamais été retrouvés.
Les quatre points établis par l'expertise
Vingt-deux ans plus tard, si les expertises scientifiques effectuées sur les têtes des sept moines ne répondent toujours pas à la question des responsabilités, elles confortent les doutes sur les conditions réelles de la mort des religieux.
Quatre points principaux ressortent de ce rapport de 185 pages :
1. De manière "plausible", les moines ont été assassinés plusieurs semaines avant la découverte officielle des sept têtes.
2. Les têtes ne portent pas de trace de balles.
3. Les dépouilles ont été décapitées après la mort.
4. Les têtes ont vraisemblablement été inhumées une première fois, avant leur découverte.
"La version officielle ne tient pas"
"Il s’agit d’une avancée extrêmement importante dans le dossier, déclare l’avocat des familles des moines, Patrick Baudouin
À la lumière de ces expertises, nous pensons que la version officielle des autorités algériennes – à savoir un enlèvement et une exécution par le GIA –, cette version simpliste ne tient pas.
Il y a trop d’éléments remis en cause par ce rapport, en particulier le fait que la mort des moines est très vraisemblablement bien antérieure à ce qui a été avalisé par les autorités algériennes."
En octobre 2014, les juges Marc Trévidic et Nathalie Poux, se sont rendus en Algérie avec une équipe d’experts.
Après exhumation des têtes des moines, des prélèvements ont été effectués, mais les autorités algériennes se sont opposées à leur transfert en France.
Un premier rapport d’expert a tout de même été remis à la justice française, en juin 2015, sur la base de seules constations effectuées sur place.
Ce rapport estimait déjà "vraisemblable l’hypothèse d’un décès [des moines] entre le 25 et le 27 avril 1996."
Ce n’est qu’en juin 2016 que les autorités algériennes ont accepté de transmettre aux magistrats ces fameux prélèvements pour analyse scientifique.
Des identités qui ne correspondent pas
Fait troublant, si l’expertise génétique confirme que les sept crânes examinés "sont bien ceux des sept moines", en revanche, "les identités associées aux scellés ne correspondent pas aux identités réelles" des religieux.
Autrement dit, à une exception près, les crânes présentés par les autorités algériennes pour analyse ne correspondaient pas aux bonnes personnes.
Il y a manifestement eu des interversions dans l'identification, que les analyses ADN permettent de rétablir.
Les experts ont également essayé de déterminer le jour exact de la mort des moines, en tentant de dater l’apparition d’insectes à l’intérieur des têtes.
C’est ce qu’on appelle l’expertise entomologique.
"Au vu des éléments dont nous disposons, l’hypothèse la plus probable est celle d’empupements [l’apparition de cocons d’insectes] survenus avant la découverte des têtes, le 30 mai 1996.
Selon cette hypothèse, le décès serait antérieur de plusieurs jours à la découverte des têtes", écrivent les experts.
Et ils se font plus précis :
"L’hypothèse de décès survenus entre le 25 et le 27 avril [1996] reste plausible compte tenu de l’état de décomposition des têtes au moment de leur découverte".
Les analyses des éléments végétaux et géologiques n’a rien apporté de probant.
Seule certitude :
"Il n’y a eu aucune intervention sur les tombes [des moines] depuis la date de l’inhumation des têtes en 1996."
"L’expertise des sols ne permet pas de prouver qu’il y a eu une première inhumation avant la découverte des têtes", écrivent les experts.
"Cette hypothèse d’une première inhumation avant la découverte des têtes reste cependant la plus vraisemblable, précise le rapport.
En effet, l’absence de lésions identifiables de grignotage par des prédateurs permet d’exclure que les têtes des moines soient restées à l’air libre entre la date de la mort et le 30 mai 1996."
"Un mécanisme d’égorgement"
L’examen au scanner et au microscope excluent a priori la présence de balles.
"L’analyse au micro-scanner n’a pas révélé de particules métalliques sur les sept prélèvements osseux", peut-on lire dans le rapport.
Un constat qui affaiblit la thèse d’une bavure d’un hélicoptère de l’armée algérienne, comme l’indique un témoin dans le dossier judiciaire.
"Il convient cependant de relativiser cette conclusion dans la mesure où des particules de très petites taille peuvent être en dessous du seuil de détection du micro-scanner", nuancent tout de même les experts.
S'ils ne se prononcent pas sur les causes exactes de la mort, les auteurs du rapport constatent :
"Toutes les incisions ont été observées à la partie antérieure des vertèbres cervicales, évoquant un mécanisme d’égorgement".
Des "lésions d’égorgement" sont formellement constatées sur deux des moines.
Les experts évoquent "un mécanisme lésionnel coupant avec une lame à fil lisse" ainsi qu’"avec une lame à fil denté".
Toutes les lésions constatées sur les moines plaident "en faveur d’une décapitation post-mortem", concluent les experts.
"Nous n’avons pas encore la vérité absolue, estime l’avocat des familles des moines Patrick Baudouin.
Il faut que les magistrats instructeurs poursuivent leurs investigations.
Le problème principal dans cette affaire, c’est la chape de plomb qui pèse toujours sur la recherche de la vérité.
Ceux qui savent des choses sont encore au pouvoir en Algérie".
Ce sont désormais les juges Nathalie Poux et Jean-Marc Héribaut qui instruisent cette affaire.
Même si une partie du mystère demeure.
S’agit-il réellement d’un assassinat des islamistes du GIA ?
D’une bavure de l’armée algérienne ?
Ou d’une manipulation des services secrets algériens ?
Les conclusions des dernières expertises scientifiques, que la cellule investigation de Radio France est en mesure de révéler, jeudi 29 mars, confirment que les moines ont vraisemblablement été tués un mois avant l’annonce officielle de leur décès.
Et qu’ils ont été décapités après leur mort.
Au printemps 1996, en pleine guerre civile en Algérie, les sept moines trappistes français avaient refusé de quitter leur monastère de Tibhirine, dans l'Atlas algérien. Christian de Chergé, Luc Dochier, Paul Favre Miville, Michel Fleury, Christophe Lebreton, Bruno Lemarchand et Célestin Ringeard étaient restés en dépit de l'insécurité croissante régnant dans la région de Médéa, à une centaine de kilomètres au sud d'Alger.
Les religieux ont été enlevés par une vingtaine d'hommes armés dans la nuit du 26 au 27 mars 1996.
Aussitôt un communiqué du chef du Groupe armé islamique (GIA) Djamel Zitouni, daté du 26 avril, revendique l’enlèvement des moines qu’il menace d’égorger.
Deux mois plus tard, le 23 mai 1996 le GIA, revendique cette fois la séquestration des sept moines et leur assassinat deux jours plus tôt.
Le 30 mai, sept têtes sont découvertes sur une route près de Médéa. Les corps des religieux n'ont jamais été retrouvés.
Les quatre points établis par l'expertise
Vingt-deux ans plus tard, si les expertises scientifiques effectuées sur les têtes des sept moines ne répondent toujours pas à la question des responsabilités, elles confortent les doutes sur les conditions réelles de la mort des religieux.
Quatre points principaux ressortent de ce rapport de 185 pages :
1. De manière "plausible", les moines ont été assassinés plusieurs semaines avant la découverte officielle des sept têtes.
2. Les têtes ne portent pas de trace de balles.
3. Les dépouilles ont été décapitées après la mort.
4. Les têtes ont vraisemblablement été inhumées une première fois, avant leur découverte.
"La version officielle ne tient pas"
"Il s’agit d’une avancée extrêmement importante dans le dossier, déclare l’avocat des familles des moines, Patrick Baudouin
À la lumière de ces expertises, nous pensons que la version officielle des autorités algériennes – à savoir un enlèvement et une exécution par le GIA –, cette version simpliste ne tient pas.
Il y a trop d’éléments remis en cause par ce rapport, en particulier le fait que la mort des moines est très vraisemblablement bien antérieure à ce qui a été avalisé par les autorités algériennes."
En octobre 2014, les juges Marc Trévidic et Nathalie Poux, se sont rendus en Algérie avec une équipe d’experts.
Après exhumation des têtes des moines, des prélèvements ont été effectués, mais les autorités algériennes se sont opposées à leur transfert en France.
Un premier rapport d’expert a tout de même été remis à la justice française, en juin 2015, sur la base de seules constations effectuées sur place.
Ce rapport estimait déjà "vraisemblable l’hypothèse d’un décès [des moines] entre le 25 et le 27 avril 1996."
Ce n’est qu’en juin 2016 que les autorités algériennes ont accepté de transmettre aux magistrats ces fameux prélèvements pour analyse scientifique.
Des identités qui ne correspondent pas
Fait troublant, si l’expertise génétique confirme que les sept crânes examinés "sont bien ceux des sept moines", en revanche, "les identités associées aux scellés ne correspondent pas aux identités réelles" des religieux.
Autrement dit, à une exception près, les crânes présentés par les autorités algériennes pour analyse ne correspondaient pas aux bonnes personnes.
Il y a manifestement eu des interversions dans l'identification, que les analyses ADN permettent de rétablir.
Les experts ont également essayé de déterminer le jour exact de la mort des moines, en tentant de dater l’apparition d’insectes à l’intérieur des têtes.
C’est ce qu’on appelle l’expertise entomologique.
"Au vu des éléments dont nous disposons, l’hypothèse la plus probable est celle d’empupements [l’apparition de cocons d’insectes] survenus avant la découverte des têtes, le 30 mai 1996.
Selon cette hypothèse, le décès serait antérieur de plusieurs jours à la découverte des têtes", écrivent les experts.
Et ils se font plus précis :
"L’hypothèse de décès survenus entre le 25 et le 27 avril [1996] reste plausible compte tenu de l’état de décomposition des têtes au moment de leur découverte".
Les analyses des éléments végétaux et géologiques n’a rien apporté de probant.
Seule certitude :
"Il n’y a eu aucune intervention sur les tombes [des moines] depuis la date de l’inhumation des têtes en 1996."
"L’expertise des sols ne permet pas de prouver qu’il y a eu une première inhumation avant la découverte des têtes", écrivent les experts.
"Cette hypothèse d’une première inhumation avant la découverte des têtes reste cependant la plus vraisemblable, précise le rapport.
En effet, l’absence de lésions identifiables de grignotage par des prédateurs permet d’exclure que les têtes des moines soient restées à l’air libre entre la date de la mort et le 30 mai 1996."
"Un mécanisme d’égorgement"
L’examen au scanner et au microscope excluent a priori la présence de balles.
"L’analyse au micro-scanner n’a pas révélé de particules métalliques sur les sept prélèvements osseux", peut-on lire dans le rapport.
Un constat qui affaiblit la thèse d’une bavure d’un hélicoptère de l’armée algérienne, comme l’indique un témoin dans le dossier judiciaire.
"Il convient cependant de relativiser cette conclusion dans la mesure où des particules de très petites taille peuvent être en dessous du seuil de détection du micro-scanner", nuancent tout de même les experts.
S'ils ne se prononcent pas sur les causes exactes de la mort, les auteurs du rapport constatent :
"Toutes les incisions ont été observées à la partie antérieure des vertèbres cervicales, évoquant un mécanisme d’égorgement".
Des "lésions d’égorgement" sont formellement constatées sur deux des moines.
Les experts évoquent "un mécanisme lésionnel coupant avec une lame à fil lisse" ainsi qu’"avec une lame à fil denté".
Toutes les lésions constatées sur les moines plaident "en faveur d’une décapitation post-mortem", concluent les experts.
"Nous n’avons pas encore la vérité absolue, estime l’avocat des familles des moines Patrick Baudouin.
Il faut que les magistrats instructeurs poursuivent leurs investigations.
Le problème principal dans cette affaire, c’est la chape de plomb qui pèse toujours sur la recherche de la vérité.
Ceux qui savent des choses sont encore au pouvoir en Algérie".
Ce sont désormais les juges Nathalie Poux et Jean-Marc Héribaut qui instruisent cette affaire.
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito du Lundi 2 Avril 2018
Réaction du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine suite au sacrifice héroïque du Lieutenant-Colonel Arnaud Beltrame – Radio Classique 29/03/018
Réaction du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine suite au sacrifice héroïque du Lieutenant-Colonel Arnaud Beltrame – Radio Classique 29/03/018
Le père Michel-Marie répondait au questions de Florence Belkacem sur Radio Classique le 29 mars 2018
Vous pouvez écouter l’interview Ici
Vous pouvez écouter l’interview Ici
Prions pour la France, la conversion des musulmans au christianisme et demandons l’intercession du Lieutenant-Colonel Arnaud Beltrame !
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito du Jeudi 12 Avril 2018
Gaudete et exsultate – Œuvres de miséricorde ou vie contemplative ?
Choisir c’est renoncer aux deux
Gaudete et exsultate – Œuvres de miséricorde ou vie contemplative ?
Choisir c’est renoncer aux deux
Le pape François vient donc de sortir une nouvelle exhortation apostolique que certains n’hésitent pas à qualifier d’exaltante, d’enthousiasmante et de nouveauté, quand d’autres mettent en garde ou y voient des piques contre les opposants au Saint-Père.
C’était finalement presque inévitable et nous nous y attendions.
Le pape cite le missel tridentin, Leon Bloy, saint Thomas d’Aquin pour exhorter à la sainteté.
Une sainteté du quotidien qui, contrairement à ce que déjà (soupir) nous entendons ici ou là n’oppose nullement vie contemplative et vie active, œuvre de miséricorde et participation au culte.
Les sacrements sont bien la source qui féconde la vie active, celle de notre quotidien le plus ordinaire.
Et en cela, rien de nouveau sous le soleil, c’est toute l’œuvre d’accompagnement spirituel de saint François de Sales, docteur de l’amour, qui ouvrit grand les portes de la sainteté aux laïcs.
Pour éviter d’opposer œuvre de miséricorde et vie spirituelle en Dieu, peut-être est-il bon de se pencher sur l’éclairante étymologie qui, finalement, nous place devant une ultime question.
Miser -corde : un cœur qui a pitié (rappelons que Sagesse c’est un cœur qui écoute) Mais au fond qu’est-ce que la pitié ?
Là encore l’étymologie nous éclaire : avoir compassion de la misère (laquelle se rapporte à souffrance-faiblesse-détresse)
La miséricorde est donc un cœur qui a compassion de la faiblesse, de la détresse.
Ainsi, implorer miséricorde c’est demander à l’autre d’avoir un cœur qui a compassion de la faiblesse.
Donc implorer la miséricorde divine c’est demander à Dieu non d’être indulgent pour nos péchés et de les effacer, comme ça « l’air de rien ».
C’est lui demander d’avoir compassion de la source même de notre faiblesse afin que, certes il soit indulgent pour nos circonstances atténuantes, mais surtout pour que sa grâce touche la racine de notre faiblesse, de notre souffrance.
Autrement dit, nous ne demandons pas un blanc-seing, mais d’être remis dans les conditions de liberté et de paix pour avancer vers Dieu. Voyez comme c’est intéressant !
C’est exactement la demande du psalmiste.
Le psalmiste nous apprend que l’état ordinaire de l’homme c’est la louange et toutes ses demandes visent à se retrouver dans l’état naturel qui lui permet de louer Dieu.
Alors question : quand je supplie la miséricorde de Dieu, est ce que je demande l’impunité pour avoir la conscience tranquille ou la guérison et la force pour retrouver le chemin qui mène à ce cœur à cœur que le psaume 50 (dit miserere) pleure d’avoir perdu ?
Parce que selon l’intention de notre demande Dieu répond.
En bref si ce n’est pas la guérison en vue de l’amour que nous demandons il est probable que la grâce ne trouve pas en nous un cœur accueillant et fasse d’une certaine façon… chou blanc.
De la même façon, nos œuvres de miséricorde considèrent la détresse de l’autre, non pas pour la soulager uniquement, mais pour aider autrui à avancer vers Dieu, c’est-à-dire, au fond à s’unir au Christ, notamment par la vie sacramentelle et de grâce.
Il y a bien une unité profonde entre l’union amoureuse à Dieu, qui s’exprime pleinement dans la communion eucharistique et la vie contemplative, les œuvres de miséricorde envers autrui et la miséricorde de Dieu envers nous.
C’est une seule et même sainteté. Gaudete et exsultate ! Nous trouvons notre bonheur dans le bonheur de l’autre. bonheur qui nous est commun, Dieu.
C’était finalement presque inévitable et nous nous y attendions.
Le pape cite le missel tridentin, Leon Bloy, saint Thomas d’Aquin pour exhorter à la sainteté.
Une sainteté du quotidien qui, contrairement à ce que déjà (soupir) nous entendons ici ou là n’oppose nullement vie contemplative et vie active, œuvre de miséricorde et participation au culte.
Les sacrements sont bien la source qui féconde la vie active, celle de notre quotidien le plus ordinaire.
Et en cela, rien de nouveau sous le soleil, c’est toute l’œuvre d’accompagnement spirituel de saint François de Sales, docteur de l’amour, qui ouvrit grand les portes de la sainteté aux laïcs.
Pour éviter d’opposer œuvre de miséricorde et vie spirituelle en Dieu, peut-être est-il bon de se pencher sur l’éclairante étymologie qui, finalement, nous place devant une ultime question.
Miser -corde : un cœur qui a pitié (rappelons que Sagesse c’est un cœur qui écoute) Mais au fond qu’est-ce que la pitié ?
Là encore l’étymologie nous éclaire : avoir compassion de la misère (laquelle se rapporte à souffrance-faiblesse-détresse)
La miséricorde est donc un cœur qui a compassion de la faiblesse, de la détresse.
Ainsi, implorer miséricorde c’est demander à l’autre d’avoir un cœur qui a compassion de la faiblesse.
Donc implorer la miséricorde divine c’est demander à Dieu non d’être indulgent pour nos péchés et de les effacer, comme ça « l’air de rien ».
C’est lui demander d’avoir compassion de la source même de notre faiblesse afin que, certes il soit indulgent pour nos circonstances atténuantes, mais surtout pour que sa grâce touche la racine de notre faiblesse, de notre souffrance.
Autrement dit, nous ne demandons pas un blanc-seing, mais d’être remis dans les conditions de liberté et de paix pour avancer vers Dieu. Voyez comme c’est intéressant !
C’est exactement la demande du psalmiste.
Le psalmiste nous apprend que l’état ordinaire de l’homme c’est la louange et toutes ses demandes visent à se retrouver dans l’état naturel qui lui permet de louer Dieu.
Alors question : quand je supplie la miséricorde de Dieu, est ce que je demande l’impunité pour avoir la conscience tranquille ou la guérison et la force pour retrouver le chemin qui mène à ce cœur à cœur que le psaume 50 (dit miserere) pleure d’avoir perdu ?
Parce que selon l’intention de notre demande Dieu répond.
En bref si ce n’est pas la guérison en vue de l’amour que nous demandons il est probable que la grâce ne trouve pas en nous un cœur accueillant et fasse d’une certaine façon… chou blanc.
De la même façon, nos œuvres de miséricorde considèrent la détresse de l’autre, non pas pour la soulager uniquement, mais pour aider autrui à avancer vers Dieu, c’est-à-dire, au fond à s’unir au Christ, notamment par la vie sacramentelle et de grâce.
Il y a bien une unité profonde entre l’union amoureuse à Dieu, qui s’exprime pleinement dans la communion eucharistique et la vie contemplative, les œuvres de miséricorde envers autrui et la miséricorde de Dieu envers nous.
C’est une seule et même sainteté. Gaudete et exsultate ! Nous trouvons notre bonheur dans le bonheur de l’autre. bonheur qui nous est commun, Dieu.
Cyril Brun - Rédacteur en chef -
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Re: "L'édito du Jour"!!
MRJC, JOC, SGDF, le point de non-retour ?
Le CESE a donc rendu un avis favorable à l’euthanasie, même s’il s’est ingénié à trouver des circonlocutions pour atténuer la vérité.
Ce qui montre au passage que la vérité leur fait peur et qu’ils ne sont pas très au clair avec elle, comme avec l’opinion publique.
Mais ils ne sont pas les seuls à manquer de clarté et à avoir un problème avec la vérité, comme avec le réel.
Parmi la quarantaine d’abstentionnistes, trois associations revendiquées chrétiennes ont avancé des arguments pour le moins lunaires, allant du « nous ne sommes pas concernés » à « ce n’est pas l’esprit du CESE ».
Des mouvements qui ont fait régulièrement parler d’eux et encore récemment, quant à leurs positions « pas très catholiques » sur la défense de la vie,le gender et autres nouveautés bioéthiques.
Alors que l’épiscopat français a été unanime pour défendre la fin de vie et condamner l’euthanasie, comment expliquer que des mouvements affichés catholiques et pour certains subventionnés par la conférence épiscopale et/ou les diocèses tiennent des positions contraires à celles des évêques parce que radicalement opposées à la foi catholique ?
Nous arrivons là au pot de pu qui s’est tellement rempli qu’il déborde dans les instances catholiques au point de rendre malade le corps tout entier.
Il devient intenable de cacher que ces mouvements et d’autres ne sont plus en accord avec la foi catholique, tout comme il devient de plus en plus scandaleux pour les fidèles qu’ils soient financés par le denier de l’Eglise.
De plus en plus d’évêques avouent leur malaise, condamnent ces dérives et nombre de laïcs ruent dans les brancards menaçant de ne plus payer leur denier.
N’avons-nous pas atteint là un point de non-retour ?
Les évêques vont-ils encore longtemps devoir accepter d’être ainsi manipulés, pris de haut et méprisés par des mouvements qui vivent à leurs crochets, à nos crochets ?
Ce qui est certains, c’est que majoritairement les fidèles catholiques n’en veulent plus et exercent une pression croissante pour que la situation soit clarifiée vis-à-vis de groupuscules minoritaires qui n’ont plus rien à voir avec l’Eglise catholique.
On se demande bien pourquoi ses minorités qui ne représentent quasiment plus rien font si peur à nos évêques ?
Pierre Selas
Ce qui montre au passage que la vérité leur fait peur et qu’ils ne sont pas très au clair avec elle, comme avec l’opinion publique.
Mais ils ne sont pas les seuls à manquer de clarté et à avoir un problème avec la vérité, comme avec le réel.
Parmi la quarantaine d’abstentionnistes, trois associations revendiquées chrétiennes ont avancé des arguments pour le moins lunaires, allant du « nous ne sommes pas concernés » à « ce n’est pas l’esprit du CESE ».
Des mouvements qui ont fait régulièrement parler d’eux et encore récemment, quant à leurs positions « pas très catholiques » sur la défense de la vie,le gender et autres nouveautés bioéthiques.
Alors que l’épiscopat français a été unanime pour défendre la fin de vie et condamner l’euthanasie, comment expliquer que des mouvements affichés catholiques et pour certains subventionnés par la conférence épiscopale et/ou les diocèses tiennent des positions contraires à celles des évêques parce que radicalement opposées à la foi catholique ?
Nous arrivons là au pot de pu qui s’est tellement rempli qu’il déborde dans les instances catholiques au point de rendre malade le corps tout entier.
Il devient intenable de cacher que ces mouvements et d’autres ne sont plus en accord avec la foi catholique, tout comme il devient de plus en plus scandaleux pour les fidèles qu’ils soient financés par le denier de l’Eglise.
De plus en plus d’évêques avouent leur malaise, condamnent ces dérives et nombre de laïcs ruent dans les brancards menaçant de ne plus payer leur denier.
N’avons-nous pas atteint là un point de non-retour ?
Les évêques vont-ils encore longtemps devoir accepter d’être ainsi manipulés, pris de haut et méprisés par des mouvements qui vivent à leurs crochets, à nos crochets ?
Ce qui est certains, c’est que majoritairement les fidèles catholiques n’en veulent plus et exercent une pression croissante pour que la situation soit clarifiée vis-à-vis de groupuscules minoritaires qui n’ont plus rien à voir avec l’Eglise catholique.
On se demande bien pourquoi ses minorités qui ne représentent quasiment plus rien font si peur à nos évêques ?
Pierre Selas
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito du Dimanche 15 Avril 2018
Consécration du diocèse de Sées (61) à la Vierge Marie le 13 mai 2018
Consécration du diocèse de Sées (61) à la Vierge Marie le 13 mai 2018
Un grand évènement à vivre en diocèse autour de Mgr Jacques Habert le dimanche 13 mai 2018 !
Prière préparatoire à la consécration du diocèse
Vierge Marie,
le 13 mai prochain
notre diocèse vivra dans la confiance
un acte de consécration.
Nous vivrons cette célébration en communion avec les générations qui nous ont précédés.
Elles se confièrent souvent à vous.
Alors que notre pape François nous invite à vous prier comme la Mère de l’Eglise,
nous vous confions cette Eglise particulière qu’est notre diocèse.
Qu’à votre prière nous obtenions
les grâces nécessaires
pour accomplir notre mission.
Aidez-nous à préparer cet événement
dans la paix, la joie et la confiance.
Aidez-nous, comme vous,
A répondre oui aux appels de votre Fils.
Mgr Habert
Conclure avec un “Je vous salue Marie” (ou chant à Marie)
A suivre aussi en direct vidéo Ici - Cliquer
Programme susceptible d’ajouts ou de modifications
15h : Rassemblement sur le parvis de la basilique de l’Immaculée Conception
• Procession de la basilique à la cathédrale en chantant, les bannières mariales des sanctuaires du diocèse de Séez marchant en tête.
• Arrivée à la cathédrale, passage par le déambulatoire, par Notre Dame des Champs, Notre Dame de Séez, puis installation dans la nef.
Temps de catéchèse par Mgr Habert sur l’acte de consécration et les vocations
Chapelet
Vêpres et consécration
18h : Fin
Ci-dessous, conférence explicative de mgr Habert, enregistrée en mars 2018 au centre Pastoral la Providence à Alençon :
Prière préparatoire à la consécration du diocèse
Vierge Marie,
le 13 mai prochain
notre diocèse vivra dans la confiance
un acte de consécration.
Nous vivrons cette célébration en communion avec les générations qui nous ont précédés.
Elles se confièrent souvent à vous.
Alors que notre pape François nous invite à vous prier comme la Mère de l’Eglise,
nous vous confions cette Eglise particulière qu’est notre diocèse.
Qu’à votre prière nous obtenions
les grâces nécessaires
pour accomplir notre mission.
Aidez-nous à préparer cet événement
dans la paix, la joie et la confiance.
Aidez-nous, comme vous,
A répondre oui aux appels de votre Fils.
Mgr Habert
Conclure avec un “Je vous salue Marie” (ou chant à Marie)
A suivre aussi en direct vidéo Ici - Cliquer
Programme susceptible d’ajouts ou de modifications
15h : Rassemblement sur le parvis de la basilique de l’Immaculée Conception
• Procession de la basilique à la cathédrale en chantant, les bannières mariales des sanctuaires du diocèse de Séez marchant en tête.
• Arrivée à la cathédrale, passage par le déambulatoire, par Notre Dame des Champs, Notre Dame de Séez, puis installation dans la nef.
Temps de catéchèse par Mgr Habert sur l’acte de consécration et les vocations
Chapelet
Vêpres et consécration
18h : Fin
Ci-dessous, conférence explicative de mgr Habert, enregistrée en mars 2018 au centre Pastoral la Providence à Alençon :
Le diocèse a réalisé un dépliant de 4 pages disponible dans les paroisses ou en PDF Ici
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito du Lundi 16 Avril 2018
Les Frères de Saint-Jean lancent une académie pour une écologie intégrale
Les Frères de Saint-Jean lancent une académie pour une écologie intégrale
Sept frères de la communauté Saint-Jean, installés à Notre-Dame du Chêne (Sarthe), ont désormais décidé de vivre en écologie intégrale.
Ils appliquent l’appel du Pape à vivre dans la « sobriété heureux » et non la surconsommation
Ce week-end à Vion (Sarthe), va être créé l’« académie pour une écologie intégrale ».
C’est en quelque sorte leur acte de conversion à l’écologie des religieux de la Communauté Saint-Jean.Et un appel à tous, dans un monde qui gaspille et consomme, à un « vivre autrement ».
La conversion, ce n’est pas que des mots : les frères joignent le geste à la parole : 4 hectares de terrain sont transformés selon le principe de permaculture.
La communauté va se ravitailler désormais auprès de l’AMAP (Association pour le maintien d’une agriculture paysanne) locale.
Un mouvement d’ampleur nationale : de nombreuses communautés monastiques s’investissent actuellement dans l’écologie intégrale, répondant à l’appel du Pape.
Ces religieux ont décidé de vivre concrètement l’encyclique « Laudato Si », publiée il y a trois ans, où le Pape invite chacun « à un nouveau dialogue sur la façon dont nous construisons l’avenir de la planète ».
Ils appliquent l’appel du Pape à vivre dans la « sobriété heureux » et non la surconsommation
Ce week-end à Vion (Sarthe), va être créé l’« académie pour une écologie intégrale ».
C’est en quelque sorte leur acte de conversion à l’écologie des religieux de la Communauté Saint-Jean.Et un appel à tous, dans un monde qui gaspille et consomme, à un « vivre autrement ».
La conversion, ce n’est pas que des mots : les frères joignent le geste à la parole : 4 hectares de terrain sont transformés selon le principe de permaculture.
La communauté va se ravitailler désormais auprès de l’AMAP (Association pour le maintien d’une agriculture paysanne) locale.
Un mouvement d’ampleur nationale : de nombreuses communautés monastiques s’investissent actuellement dans l’écologie intégrale, répondant à l’appel du Pape.
Ces religieux ont décidé de vivre concrètement l’encyclique « Laudato Si », publiée il y a trois ans, où le Pape invite chacun « à un nouveau dialogue sur la façon dont nous construisons l’avenir de la planète ».
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito du Mardi 17 Avril 2018
La prochaine NUIT DES ÉGLISES aura lieu DU SAMEDI 30 JUIN au SAMEDI 7 JUILLET 2018 !
Tous les renseignements pratiques sont disponibles dans ces pages.
Organisateurs, rendez-vous au début du printemps sur "Ouvrez votre église" pour les inscriptions.
Inspirez-vous des guides pratiques et des idées à intégrer dans votre programme !
Bonne découverte !
La prochaine NUIT DES ÉGLISES aura lieu DU SAMEDI 30 JUIN au SAMEDI 7 JUILLET 2018 !
Tous les renseignements pratiques sont disponibles dans ces pages.
Organisateurs, rendez-vous au début du printemps sur "Ouvrez votre église" pour les inscriptions.
Inspirez-vous des guides pratiques et des idées à intégrer dans votre programme !
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito du Mercredi 18 Avril 2018
Nuit des cathédrales le 12 mai 2018
Nuit des cathédrales le 12 mai 2018
Les cathédrales participantes laissent leurs portes ouvertes jusqu’à minuit et proposent un programme culturel et spirituel varié avec concerts, expositions, conférences, spectacles, visites guidées, méditations, prières et temps de silence.
Plus d’informations sur les cathédrales participantes
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito du Jeudi 19 Avril 2018
Ouverture d’un showroom clandestin de la procréation le 17 avril 2018
Alliance Vita
Ouverture d’un showroom clandestin de la procréation le 17 avril 2018
Alliance Vita
Pour dénoncer la menace cachée derrière la notion de « PMA pour toutes », l’association expose pendant 3 jours un « marché de la procréation » dans une boutique située passage Choiseul, rue commerçante du 2ème arrondissement de Paris.
Comme l’ont expliqué successivement Tugdual Derville, délégué général, Caroline Roux, coordinatrice de ses services d’écoute et directrice de VITA international, Blanche Streb, directrice de la formation et de la recherche, cette initiative vise à prévenir le basculement de notre société dans ce marché qui fait de l’être humain « un produit, une marchandise qu’on fabrique sur commande, qu’on sélectionne et qu’on trie, qu’on achète et qu’on jette ».
La prétendue « PMA pour toutes » dont la France débat cette année vise à abandonner le critère d’infertilité médicale pour accéder aux techniques de procréation artificielles.
Alliance VITA démontre qu’il s’agit-là d’un basculement vers un nouveau paradigme procréatif – le droit à l’enfant fabriqué par PMA – qui aurait des conséquences abyssales pour la dignité humaine en général et les êtres humains les plus fragiles en particulier.
Par cette boutique où sont présentés en rayonnage des femmes porteuses, des géniteurs anonymes, des stock de gamètes, et des bébés sur mesure, VITA dénonce :
⁎Ce qui se fait déjà ailleurs
⁎Ce qui se propose déjà en France, en toute impunité
⁎Et ce qui pourrait se faire demain, en toute légalité…
Lorsque la loi ne la régule pas, les nouvelles techniques ne cessent d’ouvrir de nouveaux marchés, créant une surenchère de demande : vente de gamètes, location de ventres, optimisation des êtres humains, bébés sur commande, systématisation du DPN et du DPI, FIV 3 parents, embryon OGM, gamètes artificiels, auto-engendrement etc.
Que le marché de la procréation soit libéral – dicté par la recherche des profits – ou étatique – contrôlé par l’Etat – il porte en lui-même des germes de totalitarisme et d’eugénisme.
Car l’enfant-produit comme l’homme producteur de gamètes ou la femme productrice d’enfant sont traités comme des choses ou des machines.
Les Etats généraux de la bioéthique ont permis de mesurer combien les citoyens qui s’intéressent à ces questions sont hostiles à l’instauration d’un « droit à l’enfant » et à l’eugénisme induit par les nouvelles techniques procréatives.
Emmanuel Macron ne peut pas l’ignorer.
Le showroom clandestin d’Alliance VITA constitue « le dernier appel au président de la République avant mobilisation générale ».
C’est lui qui doit trancher ultimement ; Alliance VITA lui demande que la France :
•Protège son principe de non-marchandisation du corps et des éléments du corps humain
•Défende partout dans le monde la dignité de la personne humaine contre le marché ultra-libéral dérégulé des êtres humains.
Article Info-Catho - Source et Dossier de Presse - Cliquer
Comme l’ont expliqué successivement Tugdual Derville, délégué général, Caroline Roux, coordinatrice de ses services d’écoute et directrice de VITA international, Blanche Streb, directrice de la formation et de la recherche, cette initiative vise à prévenir le basculement de notre société dans ce marché qui fait de l’être humain « un produit, une marchandise qu’on fabrique sur commande, qu’on sélectionne et qu’on trie, qu’on achète et qu’on jette ».
La prétendue « PMA pour toutes » dont la France débat cette année vise à abandonner le critère d’infertilité médicale pour accéder aux techniques de procréation artificielles.
Alliance VITA démontre qu’il s’agit-là d’un basculement vers un nouveau paradigme procréatif – le droit à l’enfant fabriqué par PMA – qui aurait des conséquences abyssales pour la dignité humaine en général et les êtres humains les plus fragiles en particulier.
Par cette boutique où sont présentés en rayonnage des femmes porteuses, des géniteurs anonymes, des stock de gamètes, et des bébés sur mesure, VITA dénonce :
⁎Ce qui se fait déjà ailleurs
⁎Ce qui se propose déjà en France, en toute impunité
⁎Et ce qui pourrait se faire demain, en toute légalité…
Lorsque la loi ne la régule pas, les nouvelles techniques ne cessent d’ouvrir de nouveaux marchés, créant une surenchère de demande : vente de gamètes, location de ventres, optimisation des êtres humains, bébés sur commande, systématisation du DPN et du DPI, FIV 3 parents, embryon OGM, gamètes artificiels, auto-engendrement etc.
Que le marché de la procréation soit libéral – dicté par la recherche des profits – ou étatique – contrôlé par l’Etat – il porte en lui-même des germes de totalitarisme et d’eugénisme.
Car l’enfant-produit comme l’homme producteur de gamètes ou la femme productrice d’enfant sont traités comme des choses ou des machines.
Les Etats généraux de la bioéthique ont permis de mesurer combien les citoyens qui s’intéressent à ces questions sont hostiles à l’instauration d’un « droit à l’enfant » et à l’eugénisme induit par les nouvelles techniques procréatives.
Emmanuel Macron ne peut pas l’ignorer.
Le showroom clandestin d’Alliance VITA constitue « le dernier appel au président de la République avant mobilisation générale ».
C’est lui qui doit trancher ultimement ; Alliance VITA lui demande que la France :
•Protège son principe de non-marchandisation du corps et des éléments du corps humain
•Défende partout dans le monde la dignité de la personne humaine contre le marché ultra-libéral dérégulé des êtres humains.
Article Info-Catho - Source et Dossier de Presse - Cliquer
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito du Vendredi 4 Avril 2018
Messe en l’honneur de sainte Jeanne d’Arc le 30 mai 2018 à Paris, suivie d’un verre de l’amitié
L’Association universelle des amis de Jeanne d’Arc vous invite à une messe en l’honneur de sainte Jeanne d’Arc à Paris, le 30 mai 2018 à 18h30, en l’église Saint Denys de La Chapelle, en présence du père Michel Viot.
La messe sera suivie d’un verre de l’amitié.
Contact : mairep@gmx.fr / 06 80 72 72 77
La messe sera suivie d’un verre de l’amitié.
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Association Amis de Jeanne D'Arc
Le Blog du Père Michel Viot
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito du Samedi 21 Avril 2018
Emmanuel Macron aux Bernardins
Il veut les catholiques, mais surtout pas leurs convictions – Pierre de Laubier
Emmanuel Macron aux Bernardins
Il veut les catholiques, mais surtout pas leurs convictions – Pierre de Laubier
Le discours de M. Macron aux Bernardins contenait un appel aux catholiques à s’engager en politique. Bizarre, pour quelqu’un qui a fait partie d’un gouvernement qui a eu à subir une fronde dont les catholiques formaient les gros bataillons. M. Macron ne voit-il donc pas que les catholiques sont déjà entrés en politique, contre la dénaturation de la famille et l’instrumentalisation de la vie humaine, pour la liberté d’instruction et d’éducation ?
N’aurait-il pas mieux fait d’appeler à « rendre à César ce qui appartient à César » et de renvoyer la religion à la « sphère privée » ?
En fait, l’enjeu est de se concilier les catholiques, tout en neutralisant les convictions et les valeurs qui font leur force. Tout comme, de génération en génération, les meneurs des manifestations étudiantes se transforment en députés et sénateurs.
C’est un piège dans lequel le groupe Sens commun est tombé. Car la capacité de digestion du système est énorme, et il n’existe aucun parti politique dont le programme ne contrevienne pas à la foi. Pour survivre, il n’y a que deux solutions : l’apostasie, à la manière de M. Le Maire, ou le rôle de simple caution, à la manière de Mme Boutin.
Le titre du livre de M. de Villiers, Le moment est venu de dire ce que j’ai vu, met en lumière le fait qu’un homme politique ne peut exprimer ses vraies convictions qu’une fois qu’il n’a plus rien à perdre, autrement dit, une fois qu’il a pris sa retraite. M. de Villiers appelle aujourd’hui à la dissidence, et il a raison. Soljenitsyne, du fond de son exil, a été plus utile à sa patrie que s’il avait prétendu « changer les choses de l’intérieur ».
Ce que M. Macron appelle « entrer en politique », c’est, en fait, en sortir.
Une fois embrigadé dans un parti, il faut donner des gages pour survivre, taire ses convictions pour assurer sa réélection. Ainsi, les exigences de l’Évangile se trouvent ravalées au rang d’intimes convictions qui donnent une touche d’humanité et de respectabilité, peut-être, mais qu’il faut avoir le bon goût – et la prudence – de ne point exprimer, sauf en baissant les yeux.
La politique est, dit-on, l’art du possible et du compromis. Mais les chrétiens doivent savoir dire « non possumus ».
Ils ne peuvent pas adhérer sans réserve à un pouvoir qui, substituant la volonté générale au bien commun, s’arroge le droit de définir le bien et le mal, légifère sur la famille et sur le droit même de vivre ; qui a cessé de « rendre à Dieu ce qui est à Dieu », fût-ce au nom de la démocratie ou d’une majorité. Pour ne pas se renier, ils doivent se détourner de la culture du pouvoir pour entrer dans celle du contre-pouvoir.
N’aurait-il pas mieux fait d’appeler à « rendre à César ce qui appartient à César » et de renvoyer la religion à la « sphère privée » ?
En fait, l’enjeu est de se concilier les catholiques, tout en neutralisant les convictions et les valeurs qui font leur force. Tout comme, de génération en génération, les meneurs des manifestations étudiantes se transforment en députés et sénateurs.
C’est un piège dans lequel le groupe Sens commun est tombé. Car la capacité de digestion du système est énorme, et il n’existe aucun parti politique dont le programme ne contrevienne pas à la foi. Pour survivre, il n’y a que deux solutions : l’apostasie, à la manière de M. Le Maire, ou le rôle de simple caution, à la manière de Mme Boutin.
Le titre du livre de M. de Villiers, Le moment est venu de dire ce que j’ai vu, met en lumière le fait qu’un homme politique ne peut exprimer ses vraies convictions qu’une fois qu’il n’a plus rien à perdre, autrement dit, une fois qu’il a pris sa retraite. M. de Villiers appelle aujourd’hui à la dissidence, et il a raison. Soljenitsyne, du fond de son exil, a été plus utile à sa patrie que s’il avait prétendu « changer les choses de l’intérieur ».
Ce que M. Macron appelle « entrer en politique », c’est, en fait, en sortir.
Une fois embrigadé dans un parti, il faut donner des gages pour survivre, taire ses convictions pour assurer sa réélection. Ainsi, les exigences de l’Évangile se trouvent ravalées au rang d’intimes convictions qui donnent une touche d’humanité et de respectabilité, peut-être, mais qu’il faut avoir le bon goût – et la prudence – de ne point exprimer, sauf en baissant les yeux.
La politique est, dit-on, l’art du possible et du compromis. Mais les chrétiens doivent savoir dire « non possumus ».
Ils ne peuvent pas adhérer sans réserve à un pouvoir qui, substituant la volonté générale au bien commun, s’arroge le droit de définir le bien et le mal, légifère sur la famille et sur le droit même de vivre ; qui a cessé de « rendre à Dieu ce qui est à Dieu », fût-ce au nom de la démocratie ou d’une majorité. Pour ne pas se renier, ils doivent se détourner de la culture du pouvoir pour entrer dans celle du contre-pouvoir.
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito du Mercredi 25 Avril 2018
Source: Ma boite Mail
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito du Jeudi 26 Avril 2018
– Vincent Lambert –
Il est des démons qu’on ne chasse que par le jeûne et la prière
– Vincent Lambert –
Il est des démons qu’on ne chasse que par le jeûne et la prière
La mise à mort de patients en situation délicate est devenue une mise en scène médiatique manipulée pour émouvoir l’opinion publique.
La vie est un don de Dieu.
De sa création à sa fin naturelle elle est entre ses mains.
La vie de Vincent Lambert, dont d’aucuns voudraient disposer, est entre les mains de Dieu.
Nous venons d’assister à deux petits miracles.
Alfie Evans respire toujours après avoir été débranché, tandis qu’un sursis inespéré vient d’être accordé à Vincent Lambert.
Ces deux événements témoignent de la fragilité de la vie, de ces deux vies en particulier.
Dieu intervient, comme pour nous donner, à nous, un sursis.
Un sursis pour accomplir un miracle à notre tour.
Celui de la mobilisation, comme si Dieu nous disait
« Je prends les choses en mains, mais il importe que vous vous engagiez davantage, que vous preniez votre part pour inverser le cours des événements ».
La vie est ce qui échappe le plus à l’Homme.
C’est aussi pour cela que qui refuse Dieu se veut faire semblable au maître de la vie.
Derrière toutes ces attaques contre la vie de sa conception à la mort naturelle, se trouve le prince des ténèbres qui instrumentalise la souffrance, le cœur, mais aussi les haines d’hommes esclaves de son aveuglement.
Que pouvons-nous faire contre Satan ?
Face au combat dont Vincent et sa famille servent de terrain de jeu au démon et à ses sbires il ne reste que l’arme atomique la plus absolue, celle qui nous remet activement entre les mains de Dieu, la prière sous toutes ses formes.
InfoCatho a lancé une chaîne de prières pour Vincent Lambert.
Inscrivez-vous pour réciter une dizaine, un chapelet, seul ou en famille et n’hésitez pas à faire tourner !
Il est des luttes qu’on ne remporte que par le jeûne et la prière.
Rejoignez la chaîne de prièreIci
La vie est un don de Dieu.
De sa création à sa fin naturelle elle est entre ses mains.
La vie de Vincent Lambert, dont d’aucuns voudraient disposer, est entre les mains de Dieu.
Nous venons d’assister à deux petits miracles.
Alfie Evans respire toujours après avoir été débranché, tandis qu’un sursis inespéré vient d’être accordé à Vincent Lambert.
Ces deux événements témoignent de la fragilité de la vie, de ces deux vies en particulier.
Dieu intervient, comme pour nous donner, à nous, un sursis.
Un sursis pour accomplir un miracle à notre tour.
Celui de la mobilisation, comme si Dieu nous disait
« Je prends les choses en mains, mais il importe que vous vous engagiez davantage, que vous preniez votre part pour inverser le cours des événements ».
La vie est ce qui échappe le plus à l’Homme.
C’est aussi pour cela que qui refuse Dieu se veut faire semblable au maître de la vie.
Derrière toutes ces attaques contre la vie de sa conception à la mort naturelle, se trouve le prince des ténèbres qui instrumentalise la souffrance, le cœur, mais aussi les haines d’hommes esclaves de son aveuglement.
Que pouvons-nous faire contre Satan ?
Face au combat dont Vincent et sa famille servent de terrain de jeu au démon et à ses sbires il ne reste que l’arme atomique la plus absolue, celle qui nous remet activement entre les mains de Dieu, la prière sous toutes ses formes.
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito du Lundi 30 Avril 2018
Philippines – le “prêtre à vélo” devient ermite
Philippines – le “prêtre à vélo” devient ermite
Le père Amado Picardal, connu pour son engagement contre les tueries liées à la guerre du gouvernement philippin contre la drogue, est désormais connu comme le « prêtre à vélo ».
Il menait en effet campagne à vélo, en parcourant le pays en signe de protestation.
Il a décidé de continuer son action autrement, en allant mener une vie d’ermite dans les montagnes du centre de l’archipel philippin
Pour le prêtre, les deux sont liés.
Il menait en effet campagne à vélo, en parcourant le pays en signe de protestation.
Il a décidé de continuer son action autrement, en allant mener une vie d’ermite dans les montagnes du centre de l’archipel philippin
Pour le prêtre, les deux sont liés.
Un prêtre philippin rédemptoriste, connu pour sa défense des Droits de l’Homme et pour ses critiques contre le président Rodrigo Duterte, a décidé de mener une vie de solitude, en ermitage.
Le père Amado Picardal, également connu comme le « prêtre à vélo » à cause de ses campagnes à vélo à travers le pays, en protestation contre les tueries liées à la guerre contre la drogue, a décidé qu’il était temps pour lui d’être silencieux.
À 64 ans, le prêtre se dit déjà à une époque charnière de sa vie, et il ressent le besoin de se retrouver en solitude.
« Ce n’est pas pour tout le monde, mais j’aime cela », explique-t-il avant de se rendre dans les montagnes d’une province centrale de l’archipel philippin.
« Il y a toujours une période très active dans la vie de chacun, puis vient un temps pour devenir contemplatif. Les deux sont liés », assure le prêtre.
Le père Amado a décidé de passer le reste de sa vie dans le jeûne et la prière.
Quand on lui demande pourquoi il a décidé ainsi de ne plus s’occuper des problèmes de la société philippine, le prêtre ajoute :
« Il ne s’agit pas toujours de ce que je peux faire moi, mais de ce que Lui peut faire. »
Pour lui, une vie de prière peut contribuer à transformer la société, « en particulier quand vous comprenez que vous vous battez contre des forces maléfiques ».
Le prêtre pense que les Philippins devraient consacrer plus de temps à la prière silencieuse, assurant que le pays a besoin d’une « désintoxication spirituelle ».
« Il y a un temps pour les manifestations publiques, mais il y a aussi un temps pour plier le genou », confie le père Amado, qui est aussi appelé « Father Pix » par ses amis.
Le prêtre, qui a également été responsable du corps des Communautés Ecclésiales de Base, qui dépend de la Conférence épiscopale philippine, explique que l’Église doit redoubler d’effort « si nous voulons renouveler notre société ».
Premièrement, beaucoup de membres du clergé manquent à leurs devoirs en tant que serviteurs de l’Évangile, en particulier face au mal qui ronge notre société, estime le prêtre.
« Ne vous contentez pas de célébrer la messe, soyez davantage », continue le prêtre, pour qui beaucoup de catholiques « pensent trop aux apparences ».
Il estime que trop de fidèles ne font pas assez attention à leur « transformation intérieure ».
« Les personnes qui participent aux processions religieuses et à la sainte messe sont parfois les mêmes qui soutiennent les tueries… C’est le problème d’un christianisme divisé. »
« Je veux vivre le sacerdoce dans toutes ses dimensions »
Le père Picardal a été ordonné prêtre le 24 avril 1981, et durant les 37 dernières années, il a vécu sa vie de prêtre à travers différentes missions, comme curé, missionnaire, enseignant et responsable de communauté.
Il est aussi connu pour son engagement pour les Droits de l’Homme et pour sa défense de l’environnement, mais aussi pour ses talents de musicien, de plongeur, d’alpiniste et de blogueur, entre autres.
« Je veux vivre le sacerdoce dans toutes ses dimensions », confie le prêtre, originaire de la ville d’Iligan, au sud des Philippines dans l’île de Mindanao.
Né en 1954, le père Amado est l’aîné de huit enfants.
Il est entré au petit séminaire à quatorze ans et a étudié la philosophie à l’université San Carlos dans l’île de Cebu.
Ses années étudiantes ont été marquées par la déclaration de la Loi martiale en 1972.
Comme beaucoup d’activistes de l’époque, le futur prêtre a été arrêté, emprisonné et torturé durant plusieurs mois.
Il a terminé ses études en 1975 avant de vivre et de travailler avec les habitants des bidonvilles de Cebu.
Il a rejoint les Rédemptoristes en 1977 et a été ordonné quatre ans plus tard.
Son travail aux côtés des communautés pauvres lui a ouvert les yeux sur les menaces de l’exploitation forestière illégale.
Il a alors mené une rude campagne pour demander l’interdiction totale des abattages dans la province de Bukidnon, dans le sud de l’archipel.
En 1995, il a terminé un doctorat en théologie à Rome, et durant les quinze années suivantes, le père Amado a mené une vie de « dialogue et de défenseur de la paix ».
C’est en enseignant au grand séminaire de Davao, dans le sud de l’île de Mindanao, qu’il a été directement témoin des atrocités commises sous l’autorité de l’administration municipale, dont le maire était alors Rodrigo Duterte.
Le prêtre a alors mené sa première campagne à vélo pour attirer l’attention sur ces tueries.
Depuis, il a parcouru 12 000 kilomètres en pédalant, en marchant et en courant à travers le pays.
Source : Eglise D'Asie
Photo : Vincent Go(Avec Ucanews, Tacloban)
Le père Amado Picardal, également connu comme le « prêtre à vélo » à cause de ses campagnes à vélo à travers le pays, en protestation contre les tueries liées à la guerre contre la drogue, a décidé qu’il était temps pour lui d’être silencieux.
À 64 ans, le prêtre se dit déjà à une époque charnière de sa vie, et il ressent le besoin de se retrouver en solitude.
« Ce n’est pas pour tout le monde, mais j’aime cela », explique-t-il avant de se rendre dans les montagnes d’une province centrale de l’archipel philippin.
« Il y a toujours une période très active dans la vie de chacun, puis vient un temps pour devenir contemplatif. Les deux sont liés », assure le prêtre.
Le père Amado a décidé de passer le reste de sa vie dans le jeûne et la prière.
Quand on lui demande pourquoi il a décidé ainsi de ne plus s’occuper des problèmes de la société philippine, le prêtre ajoute :
« Il ne s’agit pas toujours de ce que je peux faire moi, mais de ce que Lui peut faire. »
Pour lui, une vie de prière peut contribuer à transformer la société, « en particulier quand vous comprenez que vous vous battez contre des forces maléfiques ».
Le prêtre pense que les Philippins devraient consacrer plus de temps à la prière silencieuse, assurant que le pays a besoin d’une « désintoxication spirituelle ».
« Il y a un temps pour les manifestations publiques, mais il y a aussi un temps pour plier le genou », confie le père Amado, qui est aussi appelé « Father Pix » par ses amis.
Le prêtre, qui a également été responsable du corps des Communautés Ecclésiales de Base, qui dépend de la Conférence épiscopale philippine, explique que l’Église doit redoubler d’effort « si nous voulons renouveler notre société ».
Premièrement, beaucoup de membres du clergé manquent à leurs devoirs en tant que serviteurs de l’Évangile, en particulier face au mal qui ronge notre société, estime le prêtre.
« Ne vous contentez pas de célébrer la messe, soyez davantage », continue le prêtre, pour qui beaucoup de catholiques « pensent trop aux apparences ».
Il estime que trop de fidèles ne font pas assez attention à leur « transformation intérieure ».
« Les personnes qui participent aux processions religieuses et à la sainte messe sont parfois les mêmes qui soutiennent les tueries… C’est le problème d’un christianisme divisé. »
« Je veux vivre le sacerdoce dans toutes ses dimensions »
Le père Picardal a été ordonné prêtre le 24 avril 1981, et durant les 37 dernières années, il a vécu sa vie de prêtre à travers différentes missions, comme curé, missionnaire, enseignant et responsable de communauté.
Il est aussi connu pour son engagement pour les Droits de l’Homme et pour sa défense de l’environnement, mais aussi pour ses talents de musicien, de plongeur, d’alpiniste et de blogueur, entre autres.
« Je veux vivre le sacerdoce dans toutes ses dimensions », confie le prêtre, originaire de la ville d’Iligan, au sud des Philippines dans l’île de Mindanao.
Né en 1954, le père Amado est l’aîné de huit enfants.
Il est entré au petit séminaire à quatorze ans et a étudié la philosophie à l’université San Carlos dans l’île de Cebu.
Ses années étudiantes ont été marquées par la déclaration de la Loi martiale en 1972.
Comme beaucoup d’activistes de l’époque, le futur prêtre a été arrêté, emprisonné et torturé durant plusieurs mois.
Il a terminé ses études en 1975 avant de vivre et de travailler avec les habitants des bidonvilles de Cebu.
Il a rejoint les Rédemptoristes en 1977 et a été ordonné quatre ans plus tard.
Son travail aux côtés des communautés pauvres lui a ouvert les yeux sur les menaces de l’exploitation forestière illégale.
Il a alors mené une rude campagne pour demander l’interdiction totale des abattages dans la province de Bukidnon, dans le sud de l’archipel.
En 1995, il a terminé un doctorat en théologie à Rome, et durant les quinze années suivantes, le père Amado a mené une vie de « dialogue et de défenseur de la paix ».
C’est en enseignant au grand séminaire de Davao, dans le sud de l’île de Mindanao, qu’il a été directement témoin des atrocités commises sous l’autorité de l’administration municipale, dont le maire était alors Rodrigo Duterte.
Le prêtre a alors mené sa première campagne à vélo pour attirer l’attention sur ces tueries.
Depuis, il a parcouru 12 000 kilomètres en pédalant, en marchant et en courant à travers le pays.
Source : Eglise D'Asie
Photo : Vincent Go(Avec Ucanews, Tacloban)
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito du Mardi 1 Mai 2018
Mère Teresa
Une comédie musicale se prépare en Vendée !
Mère Teresa
Une comédie musicale se prépare en Vendée !
Une comédie musicale par les jeunes et pour les jeunes autour d’une figure de sainteté !
Deux ans après le spectacle sur le Père de Montfort, c’est le projet initié cette année par l’IMV (l’institut musical de Vendée), le lycée Saint Gab’ à Saint Laurent-sur-Sèvre et l’abbé Alexandre-Marie Robineau, vicaire dans les paroisses de Montaigu et La Bruffière.
La comédie musicale sera présentée à l’automne 2018 dans le diocèse.
« La figure de Sainte Mère Teresa dépasse les seules frontières et limites de l’Eglise catholique.
Elle parle à tous et touche tous les coeurs !
Elle est une figure universelle de sainteté, de bonté et de don de soi », explique l’abbé Alexandre-Marie Robineau, le metteur en scène, qui, lorsqu’il était séminariste, a rencontré les Missionnaires de la Charité en Inde.
Après la comédie musicale sur le Père de Montfort en 2016, 2018 mettra donc à l’honneur la sainte de Calcutta, un peu plus de 20 ans après sa mort.
« Cette année, l’IMV fête ses 20 ans. C’était donc l’occasion de monter un nouveau projet fédérateur pour l’institut et tout l’établissement de Saint Gabriel. ».
Cette comédie musicale « Mère Teresa » a été écrite initialement par un artiste italien en 2003 pour la béatification de Mère Teresa, par le Pape Saint Jean-Paul II, sous le nom « Madre Teresa, il musical ».
Elle n’a pas encore été traduite en français, c’est donc une première !
D’une durée d’une heure trente, elle allie de nombreux talents : le théâtre, le chant, la musique.
A travers le dialogue d’un journaliste et d’une missionnaire de la charité (la congrégation fondée par la sainte de Calcutta), sera retracée la vie de Mère Teresa par la succession de 18 tableaux chantés et dansés par des collégiens et lycéens de Saint Gab’.
Deux ans après le spectacle sur le Père de Montfort, c’est le projet initié cette année par l’IMV (l’institut musical de Vendée), le lycée Saint Gab’ à Saint Laurent-sur-Sèvre et l’abbé Alexandre-Marie Robineau, vicaire dans les paroisses de Montaigu et La Bruffière.
La comédie musicale sera présentée à l’automne 2018 dans le diocèse.
« La figure de Sainte Mère Teresa dépasse les seules frontières et limites de l’Eglise catholique.
Elle parle à tous et touche tous les coeurs !
Elle est une figure universelle de sainteté, de bonté et de don de soi », explique l’abbé Alexandre-Marie Robineau, le metteur en scène, qui, lorsqu’il était séminariste, a rencontré les Missionnaires de la Charité en Inde.
Après la comédie musicale sur le Père de Montfort en 2016, 2018 mettra donc à l’honneur la sainte de Calcutta, un peu plus de 20 ans après sa mort.
« Cette année, l’IMV fête ses 20 ans. C’était donc l’occasion de monter un nouveau projet fédérateur pour l’institut et tout l’établissement de Saint Gabriel. ».
Cette comédie musicale « Mère Teresa » a été écrite initialement par un artiste italien en 2003 pour la béatification de Mère Teresa, par le Pape Saint Jean-Paul II, sous le nom « Madre Teresa, il musical ».
Elle n’a pas encore été traduite en français, c’est donc une première !
D’une durée d’une heure trente, elle allie de nombreux talents : le théâtre, le chant, la musique.
A travers le dialogue d’un journaliste et d’une missionnaire de la charité (la congrégation fondée par la sainte de Calcutta), sera retracée la vie de Mère Teresa par la succession de 18 tableaux chantés et dansés par des collégiens et lycéens de Saint Gab’.
La comédie musicale sera jouée à Saint Laurent-sur-Sèvre
du mercredi 26 septembre au dimanche 30 septembre 2018
(7 représentations au total).
En octobre 2018, le spectacle sera joué dans des établissements scolaires
et dans des paroisses du diocèse (Luçon, Montaigu, Challans et la Roche-sur-Yon).
Renseignements sur le site : www.mereteresa-musical.com
(Source)
du mercredi 26 septembre au dimanche 30 septembre 2018
(7 représentations au total).
En octobre 2018, le spectacle sera joué dans des établissements scolaires
et dans des paroisses du diocèse (Luçon, Montaigu, Challans et la Roche-sur-Yon).
Renseignements sur le site : www.mereteresa-musical.com
(Source)
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito du Mardi 2 Mai 2018
Ils étaient 12. Ils ont révolutionné ce vieux monde Et nous ?
Allons-nous mettre le feu ?
Mgr Aupetit
Ils étaient 12. Ils ont révolutionné ce vieux monde Et nous ?
Allons-nous mettre le feu ?
Mgr Aupetit
Le premier signe que Jésus va donner de sa divinité se passe au cours d’une noce. Ce n’est pas seulement une circonstance anecdotique.
Une noce, un mariage est le signe du don de sa vie par amour. Jésus nous a dit :
« il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime ».
Donner sa vie par amour est le fondement de toute vie chrétienne. C’est vrai pour le mariage, c’est vrai pour la vie religieuse, c’est vrai pour tout engagement total de sa personne au service des autres. Cela s’appelle la vocation.
La scène se passe au début du ministère de Jésus. Il n’est pas encore très connu. Il a juste quelques disciples qui l’ont suivi depuis son baptême par Jean Baptiste.
Marie, sa mère, est celle qui connaît le mieux son Fils.
Elle sait surtout qu’il vient de Dieu comme l’ange le lui a dit :
« il sera appelé Fils du Très Haut ».
La Vierge Marie a donné sa vie pour accueillir le Fils de Dieu quand elle dit :
« voici la servante du Seigneur ».
C’est ainsi qu’elle a accompli sa vocation : « qu’il me soit fait selon ta Parole ».
Elle seule sait exactement ce dont elle parle quand elle nous dit :
« faites tout ce qu’il vous dira » parce que c’est la source de notre joie et de la réalisation heureuse de notre vie.
Nous avons vu tous les personnages de cette scène de l’évangile : les jeunes mariés, Jésus et ses disciples, Marie, sa mère et le maître du repas qui est dépassé par les événements quand manque le vin.
On oublie toujours les acteurs principaux sans qui rien ne se serait passé de ce miracle : les serviteurs !
En effet, c’est à eux que Marie s’adresse. C’est bien eux qui écoutent Marie. C’est bien eux qui vont accomplir tout ce que Jésus demande. Et ce qu’il demande est pour le moins incongru : il s’agit de remplir six cuves contenant chacune 100 litres.
Vous imaginez ? Mettre 600 litres d’eau alors qu’à l’époque il n’y a pas l’eau courante.
C’est non seulement épuisant mais aussi aberrant.
Ensuite, Jésus va leur demander de puiser l’eau et de la porter au maître du repas.
Là aussi, il faut oser. On peut imaginer que le maître du repas est de très mauvaise humeur devant le défaut de vin. Alors, pour aller lui présenter de l’eau qu’ils viennent de verser dans les cruches, il faut une sacrée audace !
Eh bien, ces serviteurs, parce qu’ils ont cru à la parole de Marie et qu’ils font un acte de foi très grand envers Jésus et sa parole, accomplissent le miracle. C’est bien Jésus qui opère le miracle, mais celui-ci n’a lieu que parce que les serviteurs ont cru à sa parole et ont fait ce qu’il a demandé.
Mais aujourd’hui, qui sont ces serviteurs ?
C’est vous, c’est moi, c’est chacun de nous qui faisons confiance à la Vierge Marie et qui croyons vraiment à la parole de Jésus même quand elle paraît étonnante, qu’elle nous surprend, qu’elle nous dérange.
Quand j’avais votre âge, j’avais imaginé une vie bien tranquille, un bon métier, une gentille famille, bref tout le contraire de ce que j’ai vécu.
Tout ça parce qu’un jour, j’ai eu l’intuition de confier ma vie à la sainte Vierge. Et c’est ce jour-là que j’ai reçu l’appel à tout quitter pour Jésus.
J’avais confiance en Marie, je croyais vraiment à l’évangile et à la Parole de Jésus mais de là à tout quitter pour lui, il y avait une sacrée marge.
Voilà. Chacun de nous doit apprendre à être ces fameux serviteurs qui font confiance à la Vierge Marie et donnent leurs mains, leur cœur et leur vie pour que l’amour puisse régner en ce monde.
Et ceci quelle que soit notre vocation particulière. C’est formidable, non ?
Les apôtres étaient 12. Ils ont révolutionné ce vieux monde égoïste en prêchant l’évangile.
Nous, nous sommes 10 000.
Allons-nous mettre le feu, le feu d’amour, feu de l’Esprit-Saint à ce monde ?
+ Michel Aupetit, archevêque de Paris.
Une noce, un mariage est le signe du don de sa vie par amour. Jésus nous a dit :
« il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime ».
Donner sa vie par amour est le fondement de toute vie chrétienne. C’est vrai pour le mariage, c’est vrai pour la vie religieuse, c’est vrai pour tout engagement total de sa personne au service des autres. Cela s’appelle la vocation.
La scène se passe au début du ministère de Jésus. Il n’est pas encore très connu. Il a juste quelques disciples qui l’ont suivi depuis son baptême par Jean Baptiste.
Marie, sa mère, est celle qui connaît le mieux son Fils.
Elle sait surtout qu’il vient de Dieu comme l’ange le lui a dit :
« il sera appelé Fils du Très Haut ».
La Vierge Marie a donné sa vie pour accueillir le Fils de Dieu quand elle dit :
« voici la servante du Seigneur ».
C’est ainsi qu’elle a accompli sa vocation : « qu’il me soit fait selon ta Parole ».
Elle seule sait exactement ce dont elle parle quand elle nous dit :
« faites tout ce qu’il vous dira » parce que c’est la source de notre joie et de la réalisation heureuse de notre vie.
Nous avons vu tous les personnages de cette scène de l’évangile : les jeunes mariés, Jésus et ses disciples, Marie, sa mère et le maître du repas qui est dépassé par les événements quand manque le vin.
On oublie toujours les acteurs principaux sans qui rien ne se serait passé de ce miracle : les serviteurs !
En effet, c’est à eux que Marie s’adresse. C’est bien eux qui écoutent Marie. C’est bien eux qui vont accomplir tout ce que Jésus demande. Et ce qu’il demande est pour le moins incongru : il s’agit de remplir six cuves contenant chacune 100 litres.
Vous imaginez ? Mettre 600 litres d’eau alors qu’à l’époque il n’y a pas l’eau courante.
C’est non seulement épuisant mais aussi aberrant.
Ensuite, Jésus va leur demander de puiser l’eau et de la porter au maître du repas.
Là aussi, il faut oser. On peut imaginer que le maître du repas est de très mauvaise humeur devant le défaut de vin. Alors, pour aller lui présenter de l’eau qu’ils viennent de verser dans les cruches, il faut une sacrée audace !
Eh bien, ces serviteurs, parce qu’ils ont cru à la parole de Marie et qu’ils font un acte de foi très grand envers Jésus et sa parole, accomplissent le miracle. C’est bien Jésus qui opère le miracle, mais celui-ci n’a lieu que parce que les serviteurs ont cru à sa parole et ont fait ce qu’il a demandé.
Mais aujourd’hui, qui sont ces serviteurs ?
C’est vous, c’est moi, c’est chacun de nous qui faisons confiance à la Vierge Marie et qui croyons vraiment à la parole de Jésus même quand elle paraît étonnante, qu’elle nous surprend, qu’elle nous dérange.
Quand j’avais votre âge, j’avais imaginé une vie bien tranquille, un bon métier, une gentille famille, bref tout le contraire de ce que j’ai vécu.
Tout ça parce qu’un jour, j’ai eu l’intuition de confier ma vie à la sainte Vierge. Et c’est ce jour-là que j’ai reçu l’appel à tout quitter pour Jésus.
J’avais confiance en Marie, je croyais vraiment à l’évangile et à la Parole de Jésus mais de là à tout quitter pour lui, il y avait une sacrée marge.
Voilà. Chacun de nous doit apprendre à être ces fameux serviteurs qui font confiance à la Vierge Marie et donnent leurs mains, leur cœur et leur vie pour que l’amour puisse régner en ce monde.
Et ceci quelle que soit notre vocation particulière. C’est formidable, non ?
Les apôtres étaient 12. Ils ont révolutionné ce vieux monde égoïste en prêchant l’évangile.
Nous, nous sommes 10 000.
Allons-nous mettre le feu, le feu d’amour, feu de l’Esprit-Saint à ce monde ?
+ Michel Aupetit, archevêque de Paris.
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Re: "L'édito du Jour"!!
Tous les mardis, 14h30 au Sanctuaire de Lourdes, une heure bioéthique pour les personnels soignants
A l'occasion des états généraux de la bioéthique (France), le Sanctuaire de Lourdes propose tous les mardis une "Heure bioéthique" spécialement destinée aux personnels soignants des pèlerinages et de des hospitalités.
De mai à septembre, le docteur Jean-Paul Perez, médecin délégué à la bioéthique pour le diocèse de Tarbes et Lourdes, donne rendez-vous aux personnels soignants, aux hospitaliers, tous les mardis, à partir de 14h30, à la bibliothèque du Bureau des Constations médicales de Lourdes (Accueil Jean-Paul II, dans le Sanctuaire).
Au programme : topo, discussion-partage, prière, café.
Durée : 1 heure.
L'Heure bioéthique est suivie de la traditionnelle rencontre de prière et d'amitié organisée par le docteur de Franciscis, président du Bureau des constatations médicales, tous les mardis et samedis de la saison, de 15h30 à 16h30.
Relayez l'information autour de vous. Venez nombreux !
Au programme : topo, discussion-partage, prière, café.
Durée : 1 heure.
L'Heure bioéthique est suivie de la traditionnelle rencontre de prière et d'amitié organisée par le docteur de Franciscis, président du Bureau des constatations médicales, tous les mardis et samedis de la saison, de 15h30 à 16h30.
Relayez l'information autour de vous. Venez nombreux !
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Re: "L'édito du Jour"!!
L'édito du Dimanche 6 Mai 2018
Faut-il fermer les limbes ?
Le sort des enfants morts sans baptême demeure un objet d’angoisse pour les familles confrontées à l’épreuve d’une fausse couche, ou au drame d’un avortement provoqué.
La miséricorde de Dieu, « qui veut que tous les hommes soient sauvés » (1 Tm 2, 4), les mérites infinis de la passion du Christ, et la sollicitude de Jésus pour les plus petits (cf. Mc 10, 13-14) ne sont-elles pas des données suffisantes pour consoler les parents éprouvés, en les assurant que leur enfant repose désormais dans la gloire du ciel ?
C’est animé de ce souci pastoral que Dom Pateau, père Abbé de l’Abbaye Notre-Dame de Fontgombault, a voulu examiner en théologien la convenance d’un salut pour tous ces
petits « à qui la vie n’a souri que durant un instant » (p. 15).
L’argument central consiste à affirmer une suppléance universelle de la médiation sacramentelle du baptême pour les enfants dans l’impossibilité de recevoir le sacrement, et, partant, à dégager la « convenance », proche selon l’auteur de la certitude, « d’une sanctification directe par Dieu des enfants mourant sans baptême » (p. 248).
Après un parcours chez les prédécesseurs de saint Thomas, l’auteur examine attentivement la position du Docteur angélique, faisant état des variations de sa pensée, pour proposer une critique, rendue possible par un approfondissement de l’enseignement de saint Thomas (cf. p. 19), de la théorie des limbes.
L’ouvrage se conclut par une section au titre éloquent :
« Vers un document magistériel ? »
Quoique tempéré par un point d’interrogation, l’appel lancé par l’auteur est sans équivoque : pour les enfants morts sans baptême, « [l’]échec de la volonté salvifique de Dieu ne semble pas admissible » (p. 250).
Lire la suite Ici
La miséricorde de Dieu, « qui veut que tous les hommes soient sauvés » (1 Tm 2, 4), les mérites infinis de la passion du Christ, et la sollicitude de Jésus pour les plus petits (cf. Mc 10, 13-14) ne sont-elles pas des données suffisantes pour consoler les parents éprouvés, en les assurant que leur enfant repose désormais dans la gloire du ciel ?
C’est animé de ce souci pastoral que Dom Pateau, père Abbé de l’Abbaye Notre-Dame de Fontgombault, a voulu examiner en théologien la convenance d’un salut pour tous ces
petits « à qui la vie n’a souri que durant un instant » (p. 15).
L’argument central consiste à affirmer une suppléance universelle de la médiation sacramentelle du baptême pour les enfants dans l’impossibilité de recevoir le sacrement, et, partant, à dégager la « convenance », proche selon l’auteur de la certitude, « d’une sanctification directe par Dieu des enfants mourant sans baptême » (p. 248).
Après un parcours chez les prédécesseurs de saint Thomas, l’auteur examine attentivement la position du Docteur angélique, faisant état des variations de sa pensée, pour proposer une critique, rendue possible par un approfondissement de l’enseignement de saint Thomas (cf. p. 19), de la théorie des limbes.
L’ouvrage se conclut par une section au titre éloquent :
« Vers un document magistériel ? »
Quoique tempéré par un point d’interrogation, l’appel lancé par l’auteur est sans équivoque : pour les enfants morts sans baptême, « [l’]échec de la volonté salvifique de Dieu ne semble pas admissible » (p. 250).
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