La femme de Marcel Légaut;marguerite
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La femme de Marcel Légaut;marguerite
Je suis très touché par le décès de Marguerite. J'avais 21 ans (j'en ai maintenant 66) et durant presque deux ans (1963-64), je fus chaque jour son septième enfant, l'été, aux Granges de Lesches, dans la maison familiale, et l'hiver à Valcroissant près de l'ancienne abbaye. J'aidais aux travaux quotidiens avec Bruno en réfléchissant à ma future vocation. Le dimanche et pendant les vacances, avec Rémi, Olivier, Jacqueline et Michelle nous partagions des activités de loisir, marche sur corde raide, danses folkloriques, ballades…
Marguerite, en mère attentive et laborieuse, était levée tôt, préparant les repas, se mettant à la lessive ou au jardin et étant présente aux travaux de la ferme.
Pour l'éducation de ses enfants, elle vivait en hiver à Valcroissant et avait une pièce à Die où elle attendait ses enfants qui faisaient leurs études, tricotant, je la voyais comme la fourmi laborieuse et active s'occupant de ses mains à des tricots ou à lire des livres scientifiques ou autres.
Avec humour, elle taquinait son mari car elle refusait de le lire ou d'assister à ses topos... Pratiquante assidue, elle se voyait plus dans la foi du charbonnier que théologienne. Elle vivait dans une pauvreté quotidienne et une simplicité évangélique, elle qui avait connu le monde ne se plaignait de rien, habillée simplement. Je riais toujours quand elle arrivait, avec ses enfants, dans sa deux chevaux Citroën où, vu sa petite taille, on ne voyait que son chignon et ses lunettes qui dépassaient du volant. Elle n'avait pas peur les dimanches où durant près d'une heure de descente et de remontée de la messe de Luc-en-Diois, on s'entassait dans la Jeep à 7, assis sur les ailes et un peu partout, dans ces chemins de montagne, conduit par Marcel le nez au vent !!!
Elle était heureuse de nous voir jouer et danser, et sans rien dire elle préparait le repas pour tous y compris les invités de dernière heure en recherche de dialogue avec Marcel.
J'étais touché quand je voyais son unité avec Marcel et Marcel mettre le couvert, ou laver la vaisselle avec sa femme.
Marguerite a eu 6 enfants assez rapidement et a tout fait pour que se développent les vocations de chacun, danse pour Michelle, mécanique pour Rémi (au lieu de la messe le dimanche)...
Et de plus elle laissait son mari vivre sa vie de prière, de retraite, de conférence et de travail intellectuel sans jalousie ou plainte, restant pour garder l'unité familiale avec ses enfants un peu en retrait à l'époque où les groupes Légaut étaient présents aux Granges.
Elle fut pour moi une mère, un modèle pour élever mes enfants.
Merci Marguerite ! Je prie pour toi et avec toi ton Seigneur que tu suivais à Nazareth, Jésus.
Paul Mandonnaud 105 rue Eugéne Varlin 87000 LIMOGES 05 55 31 25 06
mandonnaud.p@numericable.com ou http://www.mandonnaud.net
Marguerite, en mère attentive et laborieuse, était levée tôt, préparant les repas, se mettant à la lessive ou au jardin et étant présente aux travaux de la ferme.
Pour l'éducation de ses enfants, elle vivait en hiver à Valcroissant et avait une pièce à Die où elle attendait ses enfants qui faisaient leurs études, tricotant, je la voyais comme la fourmi laborieuse et active s'occupant de ses mains à des tricots ou à lire des livres scientifiques ou autres.
Avec humour, elle taquinait son mari car elle refusait de le lire ou d'assister à ses topos... Pratiquante assidue, elle se voyait plus dans la foi du charbonnier que théologienne. Elle vivait dans une pauvreté quotidienne et une simplicité évangélique, elle qui avait connu le monde ne se plaignait de rien, habillée simplement. Je riais toujours quand elle arrivait, avec ses enfants, dans sa deux chevaux Citroën où, vu sa petite taille, on ne voyait que son chignon et ses lunettes qui dépassaient du volant. Elle n'avait pas peur les dimanches où durant près d'une heure de descente et de remontée de la messe de Luc-en-Diois, on s'entassait dans la Jeep à 7, assis sur les ailes et un peu partout, dans ces chemins de montagne, conduit par Marcel le nez au vent !!!
Elle était heureuse de nous voir jouer et danser, et sans rien dire elle préparait le repas pour tous y compris les invités de dernière heure en recherche de dialogue avec Marcel.
J'étais touché quand je voyais son unité avec Marcel et Marcel mettre le couvert, ou laver la vaisselle avec sa femme.
Marguerite a eu 6 enfants assez rapidement et a tout fait pour que se développent les vocations de chacun, danse pour Michelle, mécanique pour Rémi (au lieu de la messe le dimanche)...
Et de plus elle laissait son mari vivre sa vie de prière, de retraite, de conférence et de travail intellectuel sans jalousie ou plainte, restant pour garder l'unité familiale avec ses enfants un peu en retrait à l'époque où les groupes Légaut étaient présents aux Granges.
Elle fut pour moi une mère, un modèle pour élever mes enfants.
Merci Marguerite ! Je prie pour toi et avec toi ton Seigneur que tu suivais à Nazareth, Jésus.
Paul Mandonnaud 105 rue Eugéne Varlin 87000 LIMOGES 05 55 31 25 06
mandonnaud.p@numericable.com ou http://www.mandonnaud.net
Re: La femme de Marcel Légaut;marguerite
Aujourd'hui, le ton est à la campagne... La simplicité de la vie, la simplicité des gens... L'Amour simple dans un partage sans calcul...
Cela me rappelle ma petite enfance où je gardais avec bonheur les vaches de ma tante en Moselle, broutant une herbe bien grasse et pas polluée... et l'oncle qui rentrait le soir avec des paniers remplis de grisettes (champignons) qui sautaient dans une grande poële pleine d'oeufs baveux !...
Re: La femme de Marcel Légaut;marguerite
« Mais la souffrance d’aujourd’hui n’est rien comparée à la gloire que Dieu nous montrera plus tard » (Rom 8 : 18 et Apoc. 21 : 4). Là-haut, nous aimerons sans la moindre souffrance, car il n’y aura plus aucune séparation. Jésus, notre Messie, nous a délivrés de cette coupure avec Dieu et nous permet de nouveau un face-à-face avec notre Père, notre Créateur. « Nul ne vient au Père que par moi ».
Quelle est notre image du Messie ?
Nous avons tendance à faire comme les Juifs du temps de Jésus ; ils étaient en attente d’un Messie qui les délivrerait des Romains. Puis quand ils se rendirent compte que Jésus faisait des miracles, des guérisons, des foules entières venaient pour être rassasiées et guéries. La foule de Jérusalem l’acclamait comme un Roi par des chants de joie, lui rendit gloire pour tous les prodiges qu’il a faits !
Trois jours après, cette même foule l’a exécuté ! Elle le voyait prisonnier des Romains, impuissant, et ne pouvant même pas se sauver lui-même ! Cette foule s’est désintéressée de Lui, car Jésus ne pouvait plus rien leur apporter. Toute cette population avait mis son espoir en lui, et le voir si chétivement vêtu et se laisser massacrer sans rien dire… ça, personne n’a pu le supporter, pas même ses disciples !
Et nous aujourd’hui, peuple chrétien, peuple appartenant au Christ, peuple de la nouvelle Jérusalem, comment sommes-nous ? Où en sommes-nous avec notre Messie ? Sommes-nous pareils que ce peuple d’Israël ? Nous exigeons du Christ notre guérison, nous voyons en Lui un avantage dont nous tirons profit : la guérison ! Est-ce réellement ça la Bonne Nouvelle ?
Un Messie qui nous débarrasse de tout ce qui nous encombre ou nous diminue, pour nous rendre beaux, forts, libres ?…. Jésus-Christ est venu pour que nous ayons la vie en abondance. De quelle abondance s’agit-il ? Santé ? Richesse ? Intelligence ?
Certes Jésus guérit encore aujourd’hui, mais cela n’est rien en comparaison de l’abondance qu’Il nous promet et qu’Il nous donne, si nous en prenions conscience.
La vie en abondance
La Bonne Nouvelle, c’est qu’il nous donne la vie en abondance, afin que notre paix soit immense et notre joie soit parfaite. Nous allons retrouver cette image parfaite de Dieu, ce face-à-face permanent avec ce Père si aimant et si juste !
On peut être souffrant dans un lit ou sur une chaise roulante et avoir la vie en abondance ! On peut être en deuil et avoir tout perdu, maison et famille, et avoir la vie en abondance ! Oui ! Peuple de Dieu, voici la force de la Bonne nouvelle ! Jésus ne peut pas empêcher la souffrance pour le moment, mais Il peut la surpasser par la force de son Amour, de Sa Paix et de Sa joie. Ne restons pas enfermés en bougonnant à longueur de temps sur notre sort, en critiquant la cause de notre souffrance, « c’est à cause de ci, c‘est à cause de ça », mais acceptons de combattre afin que cette conséquence devienne une vie bénie !
Les guérisons et les miracles de Jésus ne sont que des étincelles de la lumière de la Gloire de Dieu ! Imaginez la suite !…. Jésus est venu nous apporter la Bonne Nouvelle, c’est celle de connaître Dieu, non à la manière des hommes mais à la manière de Dieu.
Laissons-nous surprendre d’une nouvelle manière, à croire et à connaître Dieu. Celle de renaître avec Dieu, celle de revivre avec Dieu. Vivre et croire en Dieu dans notre condition humaine, avec nos problèmes et nos souffrances, et par-dessus tout, réaliser combien Dieu est bon ! Combien la vie qu’il nous a donnée est belle à prendre et combien son amour surpasse tout, même la souffrance.
« Mes frères et soeurs chrétiens, quand vous rencontrez des difficultés de toutes sortes, soyez très heureux. Vous le savez, si votre foi reste solide dans les difficultés, celles-ci vous rendent plus résistants. Il faut que vous résistiez jusqu’au bout, alors vous serez vraiment parfaits et vous ne manquerez de rien. » (Jacques 1 : 2-4)
Elisabeth BELVAL
SOURCE: www.relation-aide.com UN TRÈS BEAU SITE À CONSULTER !
Gilles. Ville de Québec - Canada
Quelle est notre image du Messie ?
Nous avons tendance à faire comme les Juifs du temps de Jésus ; ils étaient en attente d’un Messie qui les délivrerait des Romains. Puis quand ils se rendirent compte que Jésus faisait des miracles, des guérisons, des foules entières venaient pour être rassasiées et guéries. La foule de Jérusalem l’acclamait comme un Roi par des chants de joie, lui rendit gloire pour tous les prodiges qu’il a faits !
Trois jours après, cette même foule l’a exécuté ! Elle le voyait prisonnier des Romains, impuissant, et ne pouvant même pas se sauver lui-même ! Cette foule s’est désintéressée de Lui, car Jésus ne pouvait plus rien leur apporter. Toute cette population avait mis son espoir en lui, et le voir si chétivement vêtu et se laisser massacrer sans rien dire… ça, personne n’a pu le supporter, pas même ses disciples !
Et nous aujourd’hui, peuple chrétien, peuple appartenant au Christ, peuple de la nouvelle Jérusalem, comment sommes-nous ? Où en sommes-nous avec notre Messie ? Sommes-nous pareils que ce peuple d’Israël ? Nous exigeons du Christ notre guérison, nous voyons en Lui un avantage dont nous tirons profit : la guérison ! Est-ce réellement ça la Bonne Nouvelle ?
Un Messie qui nous débarrasse de tout ce qui nous encombre ou nous diminue, pour nous rendre beaux, forts, libres ?…. Jésus-Christ est venu pour que nous ayons la vie en abondance. De quelle abondance s’agit-il ? Santé ? Richesse ? Intelligence ?
Certes Jésus guérit encore aujourd’hui, mais cela n’est rien en comparaison de l’abondance qu’Il nous promet et qu’Il nous donne, si nous en prenions conscience.
La vie en abondance
La Bonne Nouvelle, c’est qu’il nous donne la vie en abondance, afin que notre paix soit immense et notre joie soit parfaite. Nous allons retrouver cette image parfaite de Dieu, ce face-à-face permanent avec ce Père si aimant et si juste !
On peut être souffrant dans un lit ou sur une chaise roulante et avoir la vie en abondance ! On peut être en deuil et avoir tout perdu, maison et famille, et avoir la vie en abondance ! Oui ! Peuple de Dieu, voici la force de la Bonne nouvelle ! Jésus ne peut pas empêcher la souffrance pour le moment, mais Il peut la surpasser par la force de son Amour, de Sa Paix et de Sa joie. Ne restons pas enfermés en bougonnant à longueur de temps sur notre sort, en critiquant la cause de notre souffrance, « c’est à cause de ci, c‘est à cause de ça », mais acceptons de combattre afin que cette conséquence devienne une vie bénie !
Les guérisons et les miracles de Jésus ne sont que des étincelles de la lumière de la Gloire de Dieu ! Imaginez la suite !…. Jésus est venu nous apporter la Bonne Nouvelle, c’est celle de connaître Dieu, non à la manière des hommes mais à la manière de Dieu.
Laissons-nous surprendre d’une nouvelle manière, à croire et à connaître Dieu. Celle de renaître avec Dieu, celle de revivre avec Dieu. Vivre et croire en Dieu dans notre condition humaine, avec nos problèmes et nos souffrances, et par-dessus tout, réaliser combien Dieu est bon ! Combien la vie qu’il nous a donnée est belle à prendre et combien son amour surpasse tout, même la souffrance.
« Mes frères et soeurs chrétiens, quand vous rencontrez des difficultés de toutes sortes, soyez très heureux. Vous le savez, si votre foi reste solide dans les difficultés, celles-ci vous rendent plus résistants. Il faut que vous résistiez jusqu’au bout, alors vous serez vraiment parfaits et vous ne manquerez de rien. » (Jacques 1 : 2-4)
Elisabeth BELVAL
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