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Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par Sofoyal Dim 29 Mar 2015 - 8:07

Les blessures d'un ami vrai, valent mieux que les baisers d'un ennemi.
Les reproches du Maître saint, valent mieux que les cajoleries du monde.
Bonne journée à chacune et chacun.
Sofoyal
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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par Maud Dim 29 Mar 2015 - 8:17

Bonjour  @Sofoyal et Merci pour ce pointage
vous écrivez  


Les blessures d'un ami vrai, valent mieux que les baisers d'un ennemi.
Les reproches du Maître saint, valent mieux que les cajoleries du monde.  
Oh  que Oui !   sunny

Je vous souhaite un bon et Saint Dimanche
   Prie et que le Seigneur vous bénisse

Amicalement

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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par Sofoyal Dim 29 Mar 2015 - 10:13

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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par Maud Lun 30 Mar 2015 - 7:40

Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 7 Maria_22


Le Christ, Cyrénéen de Maria; et Marie, sa Véronique



Le 1er septembre

Jésus dit :

“Non, tu n’es pas seule. Tu as ton Jésus près de toi comme bien peu l’ont, car s’il est vrai que je suis près de tous mes enfants par ma Grâce, c’est auprès d’un très petit nombre que je suis présent de la façon dont je le suis avec toi et que j’ai utilisée en voyant ta très pénible condition générale. Je sais jusqu’où peut aller la résistance d’un être et, étant donné que le fardeau de douleur que tu dois porter est écrasant, j’y ai suppléé par des moyens extraordinaires que je réserve à bien peu d’âmes.

Je me souviens de mon besoin d’aide aux heures tragiques de ma Passion. Et ce que j’ai désiré pour moi alors, je veux que mes deux fois semblables l’aient aussi. Semblables car ils sont mes disciples, semblables parce qu’ils subissent la passion et sont crucifiés.
Tu n’es pas seule. Tu m’as pour Cyrénéen et tu as ma mère pour Véronique. Marie est le modèle des orphelines et elle se souvient de tes tourments d’orpheline comme je me souviens des tourments de mon agonie.

La sainteté ne supprime pas la douleur. Marie dans sa sainteté immaculée souffrit cruellement à la mort de ses parents qu’elle ne put consoler de ses baisers. Tu vois comme tu lui ressembles ? Dans son âme si parfaite, que seul Dieu surpasse, Marie sut aimer et souffrir comme nul autre, car la sainteté, étant le perfectionnement de toutes les bonnes sensibilités du cœur, elle apporte une augmentation de la capacité d’aimer et de souffrir, d’autant plus grande que l’âme est plus sainte. Et l’âme de Marie était suprêmement sainte.

Eh bien, je te donne cette Femme, à qui ne fut épargnée aucune douleur  et personne comme elle ne méritait davantage d’en être exemptée, puisqu’elle était immaculée et donc libre du poids de la souffrance causée par la faute d’Adam  cette Femme qui a versé tant de  larmes pour tant de deuils et qui s’est vu enlever père, mère, époux et Fils par la mort, je te la donne pour Véronique et je te la donne pour maman.

C’est le mois du cœur transpercé de Marie et de l’Exaltation de ma Croix. Ne refuse pas d’être semblable à la Transpercée et à l’Immolé.”


Cahiers de 1943 – Maria Valtorta



Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 7 Coeur_10
Cœur transpercé de Marie
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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par Maud Mar 31 Mar 2015 - 7:23

Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 7 Maria_23


Jésus, soleil et vigneron de l’âme pour les vendanges divines


Le 2 septembre

Jésus dit :

“Le raisin est d’autant plus sucré qu’il est plus mûr, et il mûrit d’autant plus vite qu’il reçoit plus de soleil. Le maître de la vigne ne cueille pas son raisin pour en faire du vin s’il n’a pas bien mûri, et pour qu’il mûrisse, il élague et taille ses vignes de sorte que le soleil puisse descendre et circuler parmi les grappes et faire des grains verts et surs autant de perles de sucre liquide.

Si le raisin restait comme il est en avril, c’est-à-dire quand la vigne est belle de toutes ses feuilles nouvelles et de ses petites grappes en fleur, ou même comme il est en juin, quand la vigne est pleine de sarments flexibles et de grappes bien formées, il ne servirait à rien, excepté à réjouir la vue. Mais en automne, après beaucoup de soleil et de nombreuses tailles, le raisin est beau d’une autre manière et, en plus d’être beau, il est utile aux humains.

Je suis le soleil et vous, mes chères âmes, vous êtes la vigne où doit se préparer le vin éternel. Je suis le soleil et aussi le vigneron. Je vous entoure et vous inonde de mes rayons et vous mortifie pour que vous donniez des sarments chargés de vrais fruits, et non des vrilles futiles qui ne servent à rien.

Il faut laisser le soleil et le vigneron travailler votre âme à leur guise. Il faut, ma Maria, imiter, imiter beaucoup la grappe qui n' a aucun mot de protestation, ni de gestes de résistance à l’égard du soleil ou du maître de la vigne, mais, au contraire, se laisse découvrir pour mieux recevoir les chauds rayons, se laisse soigner avec les produits appropriés, se laisse arranger sans aucune réaction. Elle devient ainsi toujours plus grosse et plus sucrée, un vrai prodige de jus et de beauté.

L’âme aussi doit désirer le soleil et l’œuvre de l’éternel Vigneron d’autant plus que s’approche pour elle l’heure des divines vendanges. La grappe rétive et malade qui n’a pas voulu devenir mûre saine et sucrée, et qui s’est cachée pour ne pas être soignée, n’est pas destinée à la cuve mystique. Mais, au contraire, la grappe qui n’a pas eu peur des cisailles et des remèdes, et qui a docilement sacrifié ses goûts pour moi, cette grappe-là devient digne de mes vendanges.

Je suis le Vendangeur et tu es ma grappe. Les vendanges approchent. Augmente tes efforts pour absorber le plus que tu pourras de moi. Je deviendrai en toi liqueur de vie éternelle. Augmente tes actes de générosité pour seconder l’œuvre de ton vigneron aimant. Celui-ci, ton Jésus, ne veut rien d’autre que de faire de toi une grappe digne d’être placée au pied du trône de Dieu.

C’est bien douce chose que d’avoir Jésus pour Maître, Maria, mais une chose qui devient parfaite quand on assimile tout l’enseignement du Maître.”


Cahiers de 1943 – Maria Valtorta



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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par Sofoyal Mar 31 Mar 2015 - 7:38

Une très belle métaphore pour vivre la journée en compagnie de Jésus.
Merci et bonne journée à toutes et à tous!
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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par Maud Mar 31 Mar 2015 - 7:43

Merci @Sofoyal pour votre fidélité     sunny
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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par Sofoyal Mar 31 Mar 2015 - 7:45

Merci au Seigneur pour le bon grain spirituel à picorer  et aux semeuses et semeurs, @Maud.
Bonne journée!
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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par Maud Mer 1 Avr 2015 - 7:38

Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 7 Maria_24


“Ave Maria”; exhortation à prier Marie


Le 3 septembre

Jésus dit

“Bienheureuses les lèvres et les contrées où l’on dit Ave Maria.

Ave : je te salue. Du plus petit au plus grand, de l’enfant au parent, de l’inférieur au supérieur, tous sont tenus, de par la loi de la  courtoisie humaine, de prononcer souvent cette salutation respectueuse, pleine d’égards ou amoureuse selon les circonstances. Mes frères et sœurs ne peuvent refuser cet acte d’amour révérenciel à la Maman parfaite que nous avons au Ciel.

Ave Maria. Je te salue, Marie. C’est une salutation qui purifie les lèvres et le cœur parce qu’on ne peut dire ces mots, de façon réfléchie et sincère, sans se sentir devenir meilleur ! C’est comme si on s’approchait d’une source de lumière angélique et d’une oasis de 1ys en fleur.

Je te salue, la parole de l’ange qu’il vous est permis de dire pour saluer Celle que saluent avec amour les Trois Personnes, l’invocation qui sauve, ayez-la toujours sur les lèvres. Mais pas comme un mouvement machinal qui exclut l’âme, mais bien comme un mouvement de l’esprit qui s’incline devant la royauté de Marie et s’élève vers son cœur de mère.

Si vous saviez dire avec un esprit véritable ces mots, même seulement ces petits mots, vous sériez meilleurs, plus purs, plus charitables. Parce que les yeux de votre esprit seraient alors fixés sur Marie, et sa sainteté entrerait dans votre cœur à travers cette contemplation. Si vous saviez les dire, vous ne seriez jamais affligés. Car elle est la source des grâces et de la miséricorde. Les portes de la miséricorde divine s’ouvrent, non seulement sous la poussée de la main de ma Mère, mais à son simple regard.
Je le dis une deuxième fois : bienheureuses les lèvres et les contrées où l’on dit Ave Maria. Mais où on le dit comme il se doit. Car s’il est vrai qu’on ne se moque pas de Dieu, il est aussi vrai qu’on ne trompe pas Marie.

Souvenez-vous qu’elle est la Fille du Père, la Mère du Fils, l’Épouse de l’Esprit Saint, et que sa fusion avec la Trinité est parfaite. Par conséquent, elle possède la puissance, l’intelligence et la sagesse de son Seigneur. Et elle les possède dans leur plénitude absolue.

Inutile d’aller à Marie avec l’âme souillée par la corruption et la haine. Elle est une Mère pour vous et elle sait panser vos blessures, mais elle veut voir en vous au moins le désir d’en guérir.

À quoi sert de se tourner vers Marie, la Très Pure, si aussitôt que vous avez quitté son autel et fini de prononcer son nom, vous allez commettre le péché de la chair ou proférer des blasphèmes ? À quoi sert de se tourner vers Marie, la Compatissante, si tout de suite après, ou en même temps, vous avez la rancune au cœur et, sur les lèvres, des malédictions envers vos frères et sœurs ? Que peut faire pour vous cette Salvatrice si vous détruisez, de votre volonté perverse, votre salut ?

Tout est possible à la miséricorde de Dieu et à la puissance de Marie, mais pourquoi risquer la vie éternelle en attendant d’obtenir la bonne volonté de se repentir à l’heure de la mort ? Ne serait- il pas bon, puisque vous ne savez pas quand vous serez appelés à mes portes, d’être les vrais amis de Marie pendant toute la vie et avoir ainsi la garantie d’être sauvés ?

Car, je le répète, l’amitié avec Marie est une source de perfection parce qu’elle inspire et transmet à l’âme les vertus de l’Amie élue, que Dieu n’a pas dédaignées et qu’il vous a accordées comme couronnement de l’œuvre rédemptrice de son Fils. Moi, le Christ, je vous ai sauvés par la douleur et le sang; Marie, elle, par la douleur et les pleurs, et elle voudrait vous sauver par son amour et son sourire.”

Cahiers  de 1943 – Maria Valtorta



Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 7 Marie_10
Marie , la Toute pure
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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par Maud Jeu 2 Avr 2015 - 7:43

Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 7 Maria_25


“Pleine de grâce” :
correspondance parfaite de Marie à  l’ intervention de la grâce en elle



 Le 4 septembre

Jésus dit :

“Dieu n’a pas envoyé son ange pour dire ‘Ave’ seulement à Marie. Dieu vous salue, ô chers enfants, avec ses attentions. Il vous envoie ses saintes inspirations par ses anges; Dieu vous apporte ses bénédictions du matin au soir et du soir au matin. Vous êtes toujours entourés des ondes aimantes et prévoyantes de la pensée de Dieu.

Comment se fait-il alors que vous ne ressentiez rien ou si peu ? Comment se fait-il que vous ne viviez pas dans la justice et la sainteté ? C’est parce que vous êtes devenus imperméables à l’influence de la grâce, parce que votre volonté contraire au bien vous a rendus réfractaires à l’action de l’amour.

Gabriel dit à Marie : ‘Ave’, et le son de la voix angélique apporta une nouvelle vague de grâce sur Celle qui en était déjà inondée. La lumière très vive de son esprit immaculé atteignit la luminosité suprême, car la correspondance de l’esprit de Marie fut parfaite.

Humilité, promptitude, pudeur, prière.., que ne trouva pas de sublime la parole angélique pour devenir la première étincelle de l’incendie de l’Incarnation ?

Grand fut le don que fit l’Éternel à Celle qu’il avait choisie  il la préserva de la faute originelle — pour être le premier tabernacle du corps du Fils. Mais quelle ne fut pas la plénitude de la correspondance en Marie !

Si, non seulement les dons secrets que seul Dieu savait avoir donnés, mais aussi les dons manifestes dont on se rend compte — tels que l’intelligence suprême, les instructions surnaturelles, les contemplations brûlantes, et je ne parle que des dons moraux et spirituels  si ces dons avaient été prodigués à une autre créature, comment ne s’en serait- elle pas, au moins de temps en temps, glorifiée ?

Mais pas Marie. Plus Dieu l’élevait vers son trône et plus augmentaient en elle la reconnaissance, l’amour et l’humilité. Plus Dieu lui faisait comprendre que sur elle s’étendait la main de Dieu pour la protéger contre tous les pièges du mal et plus elle devenait vigilante contre le mal.

Marie n’a pas commis l’erreur qui fait s’effondrer tant d’âmes, capables de perfection; elle n’a jamais dit : ‘Je sens que Dieu veille sur moi, je sens que Dieu m’a choisie. Je lui laisse le soin de me défendre contre l’Ennemi’. Non. Tout en reconnaissant l’œuvre de Dieu en elle, Marie agit comme si elle était la plus dénuée de toutes les créatures en dons spirituels. De l’aube au coucher du soleil, et même pendant son sommeil virginal sur lequel les anges veillaient, son âme restait vigilante.

Ne croyez pas que la tentation ait épargné Marie. Le Tentateur ne m’a pas épargné, moi; il avait une double raison de ne pas épargner Marie. Double raison. La première : Marie était la créature sans tache, mais néanmoins une créature; moi, j’étais Dieu. La deuxième : il était plus important pour Lucifer de corrompre le sein de la femme qui aurait porté le Christ que d’attaquer le Christ même.

Le Rusé savait que le Verbe se serait fait chair par une fusion d’esprit à Esprit, dans un sein où ne logeait aucun péché. Aucun péché, je répète. Si, depuis Ève, il avait réussi à induire en tentation toutes les femmes, il aurait été sûr qu’il ne serait jamais vaincu par le Vainqueur éternel.

Une seule lui a toujours résisté : Marie. Et Un seul sait quelle dentelle, quelle filigrane de séduction tendit Lucifer autour de Marie pour secouer et ternir son âme super-angélique. Et c’est Dieu. Mais étant donné que certains secrets sont trop grands pour vous, il ne vous les dira pas. C’est à partir de la splendeur de Marie au ciel que vous comprendrez la grandeur de son âme. Une grandeur obtenue par sa propre volonté, et qui aurait été sublime même sans secours suprêmes, tant elle voulut être sainte par amour de son Dieu.

C’est donc avec raison que l’Ange put dire : ‘Pleine de grâce’. Oui, pleine de grâce. La Grâce était en elle. La Grâce, c’est-à-dire Dieu, et la grâce, c’est-à-dire le don de Dieu, qu’elle sut faire fructifier à mille pour cent.

Voilà ce qu’il faut, mes enfants, pour faire en sorte que les choses célestes conçoivent le Christ en vous : que vous adhériez à la grâce, que vous recueilliez la grâce, que vous multipliiez la grâce, que vous aspiriez la grâce. Pour vivre, le corps doit aspirer de l’air et absorber de la nourriture. Pour vivre, l’âme doit aspirer la grâce. Alors la Lumière peut descendre là où elle peut s’incarner, et le Christ naît mystiquement en vous comme il naquit réellement en Marie.

Je te salue, Marie, pleine de grâce. Regardez-la, vous tous, ô chrétiens si dissemblables au premier Fils de Marie; regardez-la, surtout vous, les femmes, si dissemblables à Marie, et apprenez, et méditez sur le fait que le chemin du mal aux mille formes, c’est vous qui l’avez ouvert avec votre sujétion à la chair, si contraire à la vie de la grâce dans les créatures, sans laquelle l’être humain devient un démon et le monde un enfer.”


Cahiers de 1943 – Maria Valtorta




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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par Sofoyal Jeu 2 Avr 2015 - 12:34

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Message par Maud Ven 3 Avr 2015 - 7:01

Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 7 Maria_26


“Le Seigneur est avec toi” : l’union parfaite de Marie avec Dieu  


       
Le 5 septembre


Jésus dit :

“‘Le Seigneur est avec toi’.

Le Seigneur est toujours avec l’âme qui est dans la grâce. Dieu ne s’éloigne même pas quand le Tentateur s’approche. Dieu s’éloigne seulement quand la créature cède au Tentateur et corrompt son âme. Alors Dieu se retire, car il ne peut cohabiter avec l’Ennemi. Il se retire et, comme un Père, non dédaigneux mais affligé, il attend que vienne la contrition dans le cœur de la créature et qu’elle renoue le lien d’amour avec le Père.

Dieu voudrait toujours être avec vous. Si tous vos anges, aussi nombreux que les étoiles dans le ciel, pouvaient vous saluer avec les paroles : ‘Le Seigneur est avec toi’, la joie de votre Seigneur serait complète, puisque nous désirons être avec vous et nous vous avons créés pour cela.

Marie était avec Dieu et Dieu était avec Marie. Les deux perfections s’attiraient et s’unissaient dans un incessant mouvement d’affection. La perfection infinie de Dieu descendait, avec une joie inconcevable à vous mortels, pour posséder cette créature. La perfection humaine de Marie, seule fille de parents humains qui ait jamais été parfaite, se lançait à la rencontre de la perfection divine pour trouver le moyen de vivre.

Oui, être avec Dieu était la vie de Marie et, à l’heure atrocement déchirante du Calvaire et du Sépulcre, quand les Cieux se refermèrent sur le Mourant et la Transpercée, la privation de Dieu fut. des sept épées, la plus brûlante et la plus tranchante, touche suprême à l’édifice de douleur exigé par la Rédemption.

J’ai atteint le sommet de la douleur totale de Gethsémani à la neuvième heure; Marie a atteint le sommet de la douleur, totale en elle aussi, même si elle n’a pas été matériellement crucifiée, du Calvaire au moment de la Résurrection. Et cette suprême douleur n’a qu’une cause : la privation de l’union avec Dieu.

Ça devrait être la même chose pour vous aussi. Mais désormais, l’être humain trouve pénible l’union avec nous et il ne sent pas combien il est misérable lorsqu’il est privé de nous. Malheur, cécité, folie, mort, voilà ce qu’est la perte de l’union avec votre Seigneur. Et vous n’y pensez jamais !

Si vous perdez quelques monnaies, un objet, la santé, un emploi, un animal, vous vous mettez en branle pour les retrouver et vous employez tous les moyens humains et surnaturels pour y réussir. Oui, pour trouver quelque chose de limité et de caduc, vous savez prier. Mais quand vous perdez Dieu, vous ne le cherchez pas. Vous ne vous adressez pas à mes Saints pour qu’ils vous aident à retrouver la voie de Dieu, vous n’employez pas les soins humains pour freiner vos impulsions. La perte de l’union avec Dieu vous paraît une chose de peu d’importance. Et c’est la chose essentielle.
Marie ne se sépara jamais de Dieu. Leurs esprits restèrent fondus en une étreinte d’amour qui eut son couronnement au Ciel. Cette union fut la principale force de Marie, en tant que fille d’Adam, car elle y trouvait la cuirasse pour se rendre intouchable à la morsure du Tentateur.

Ce n’est pas que celui qui est avec Dieu ne voie pas le mal, lequel recouvre, tel un vêtement crasseux ou une maladie répugnante, tant de créatures. le voit, même qu’il le voit avec une plus grande netteté que beaucoup d’autres, mais cette vue ne le corrompt pas. Le mal n’entre pas par les yeux pour chatouiller les instincts qui couvent dans la chair ou les mauvais penchants de l’esprit. Cela n’arrive que chez ceux qui, séparés de Dieu, ont l’Ennemi pour hôte en eux-mêmes.

Celui qui est uni à Dieu est saturé de Dieu, et tout ce qui n’est pas Dieu reste à la surface, tel un petit vent qui ride légèrement la surface de l’esprit et n’entre pas bouleverser l’intérieur. Ce n’est pas tout. Celui qui est uni à Dieu, vraiment uni à lui, au lieu d’absorber l’extérieur en lui, propage son intérieur sur ses proches, c’est-à-dire qu’il propage le Bien, Dieu.

Oui, c’est vraiment comme cela : celui qui est avec Dieu a un pouvoir de rayonnement, bien plus puissant que celui de beaucoup de corps de l’univers sur lesquels l’esprit humain a peiné et élevé un monument d’orgueil. Et surtout, il a un pouvoir surnaturellement utile, puisque celui qui porte le Saint des saints en soi, et vit de lui, le communique aux autres. C’est cela qui fait dire : ‘C’est un saint’.
Marie a possédé l’union avec Dieu à la perfection, et elle a tendu de toutes ses forces à se fondre à lui toujours davantage. On pourrait dire que Marie s ‘anéantit en Dieu tant elle vécut seulement de lui.

J’ai dit : ‘Marie trouva en cela la principale force pour se rendre intouchable’. N’allez pas comprendre les choses de travers. Marie, la très humble, n’osait pas le moins du monde se penser la créature parfaite. Elle ignorait son destin et sa nature immaculée. Elle connut le mystère aux paroles de Gabriel et dans l’étreinte nuptiale avec l’Esprit Éternel. Mais, durant sa jeunesse, période pleine de pièges, elle trouva la force, je le répète, dans l’union avec Dieu. Elle voulut la trouver à tout prix car elle aurait préféré mourir cent fois plutôt que de sortir un seul instant du halo de Dieu.

Je voudrais que mes bien-aimés en particulier, puis les autres, au lieu de s’adonner à un grand nombre de pratiques plus ou moins pieuses, tendent à la pratique souveraine de l’union avec moi. La prière, la vraie, vous serait alors facile, le cœur enflammé, le corps chaste, la pensée honnête : tout en vous deviendrait saint et bon, et la Terre connaîtrait des jours nouveaux où les anges pourraient saluer les humains avec ces mots : ‘Le Seigneur est avec vous’.”


Cahiers de 1943 – Maria  Valtorta


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Vierge Marie " la toute humble "
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Visage de J?sus Re: Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta

Message par Maud Sam 4 Avr 2015 - 7:18

Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 7 Maria_27


“Bénie entre toutes les femmes” : chef-d’œuvre de la création, rédemptrice du genre humain



Le 6 septembre

Jésus dit :

“ ‘Tu es bénie entre toutes les femmes’.

Cette bénédiction, que vous dites mal ou pas du tout à Celle qui par son sacrifice a commencé la Rédemption, résonne sans cesse au ciel, prononcée avec un amour infini par notre Trinité, avec une charité brûlante par ceux que notre sacrifice a sauvés et par les chœurs des anges. Le Paradis tout entier bénit Marie, chef-d’œuvre de la création universelle et de la miséricorde divine.

Même si toute l’œuvre du Père pour créer la Terre du néant n’avait servi qu’à accueillir Marie, l’œuvre créatrice aurait eu sa raison d’être, car la perfection de cette créature est telle qu’elle est un témoignage, non seulement de la sagesse et de la puissance, mais de l’amour avec lesquels Dieu a créé le monde.

Mais au lieu de cela, la création terrestre ayant donné Adam et k race d’Adam, Marie témoigne de l’amour suprêmement miséricordieux de Dieu envers l’être humain, parce qu’à travers Marie, Mère du rédempteur, Dieu a opéré le salut de genre humain. Je suis le Christ parce que Marie m’a conçu et donné au monde.

Vous me direz qu’en tant que Dieu, je pouvais surmonter la nécessité de prendre chair dans le sein d’une femme. Je pouvais tout, c’est vrai. Mais réfléchissez à quelle loi d’ordre et de bonté se manifeste dans mon anéantissement dans une enveloppe humaine.

La faute commise par l’humain devait être expiée par l’humain et non par une divinité non incarnée. Comment la Divinité, Esprit incorporel, aurait- elle pu racheter par le sacrifice d’elle-même les fautes de la chair ? Il était donc nécessaire que moi, Dieu, paye du supplice d’une Chair et d’un Sang innocents, nés d’une innocente, les fautes de la chair et du sang.

Mon intellect, mes sentiments, mon esprit auraient souffert à cause de vos fautes de l’intellect, des sentiments, de l’esprit. Mais pour être la rédemption de toutes les concupiscences, inoculées en Adam et sa progéniture par le Tentateur, l’Immolé pour elles devait être doté d’une nature semblable à la vôtre, rendue digne d’être offerte à Dieu en rançon par la Divinité cachée en elle, telle une pierre précieuse d’une valeur surnaturelle infinie cachée sous une gaine ordinaire et naturelle.

Dieu est ordre et Dieu ne viole et ne violente pas l’ordre, excepté dans des cas très extraordinaires que son intelligence juge utiles. Ce n’était pas le cas pour ma Rédemption.

Je ne devais pas seulement effacer la faute, du moment où elle fut commise au moment du sacrifice, et annuler les effets de la faute chez ceux qui allaient venir en les faisant naître, comme Adam avant qu’il ne la commît, dans l’ignorance du mal. Non. Je devais, par un sacrifice total, réparer la Faute et les fautes de toute l’humanité, donner à l’humanité déjà disparue l’absolution de la faute, à l’humanité vivant à ce moment-là et à l’humanité future le moyen qui l’aide à résister au mal et à se faire pardonner le mal que sa faiblesse l’induirait à commettre.

Mon sacrifice devait donc présenter toutes les qualités nécessaires, et ça ne pouvait être que le sacrifice d’un Dieu fait homme,

hostie digne de Dieu, moyen compréhensible à l’humain. En outre, je venais apporter la Loi.

Si mon humanité n’avait pas existé, comment auriez-vous pu croire, vous, mes pauvres frères qui avez du mal à croire en moi qui vécus pendant trente-trois ans sur terre, homme parmi les hommes ? Et comment pouvais-je apparaître, déjà adulte, à des peuples hostiles ou ignorants, les persuadant de ma nature et de ma doctrine ? Je serais alors apparu aux yeux du monde comme un esprit qui aurait pris l’aspect d’un homme, mais non comme un homme qui fût né et mort en versant du vrai sang par les blessures d’une vraie chair comme preuve de son humanité  et cela comme preuve qu’il était Dieu retournant à sa demeure éternelle.

N’est-il pas plus doux pour vous de penser que je suis votre véritable frère et que je partage le destin des créatures qui naissent, vivent, souffrent et meurent, que de penser que je suis un esprit au-dessus des nécessités humaines ?

Il était donc nécessaire qu’une femme m’engendrât selon la chair, après m’avoir conçu au-dessus de la chair, puisque l’Homme-Dieu ne pouvait être engendré d’aucun mariage de créatures, quelque saintes qu’elles fussent, mais seulement de l’union entre la Pureté et l’Amour, l’Esprit et la Vierge créée sans tache afin d’être matrice de la chair d’un Dieu, la Vierge dont la pensée était la joie de Dieu avant même que le temps ne fût, joie du Ciel, salut de la Terre, fleur de la Création plus belle que toutes les fleurs de l’Univers, astre vivant en comparaison duquel semblent éteints les soleils qu’a créés mon Père.

Bénie soit la Femme pure destinée au Seigneur.

Bénie soit la Femme désirée de la Trinité qui anticipait par son désir l’instant de se fondre à elle dans l’étreinte du trine amour.

Bénie soit la Femme victorieuse qui écrase le Tentateur sous la blancheur éclatante de sa nature immaculée.

Bénie soit la Vierge qui ne connaît que le baiser du Seigneur.

Bénie soit la Mère devenue telle par sainte obéissance à la volonté du Très-Haut.

Bénie soit la Martyre qui accepte le martyre par pitié de vous tous.

Bénie soit la Rédemptrice de la femme et des enfants des femmes, qui annule Ève et s’insère à sa place pour porter le fruit de la vie là où l’Ennemi a semé la mort.

Bénie, bénie, trois fois bénie pour ton ‘oui, ô Mère, qui as permis à Dieu de garder la promesse faite à Abraham, aux patriarches et aux prophètes, qui as réconforté l’Amour, accablé de devoir être punisseur et non sauveur, qui as soulagé la Terre de la condamnation qu’Ève lui avait attirée.

Bénie, bénie, bénie pour ta sainte humilité, pour ta charité brûlante, pour ta virginité intouchée, pour ta maternité divine, multiple, éternelle, vraie et spirituelle, Mère qui de ton amour et de ta douleur engendres sans cesse de nouveaux enfants pour le royaume de ton Jésus.

Génératrice de grâce et de salut, génératrice de la divine miséricorde, génératrice de l’Église universelle, sois éternellement bénie pour ce que tu as accompli, comme tu étais éternellement bénie pour ce que tu allais accomplir.

Sainte, sainte, sainte Prêtresse qui as célébré le premier sacrifice et préparé avec une partie de toi-même l’Hostie à immoler sur l’autel du monde.

Sainte, sainte, sainte Mère qui ne m’as pas fait regretter le Ciel et le sein du Père, car en toi j’ai trouvé un autre paradis non dissemblable de celui où la Triade accomplit ses œuvres divines; Marie qui fus le réconfort de ton Fils sur la terre et la joie du Fils au ciel, qui es la gloire du Père et l’Amour de l’Esprit.”


Cahiers de 1943 – Maria Valtorta


Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 7 Coeur_11
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Message par Maud Dim 5 Avr 2015 - 7:37

Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 7 Maria_28


“Béni le fruit de tes entrailles” : gloire et douleur de Marie

Le 7 septembre

Jésus dit :

Béni soit le fruit de tes entrailles’.

La maternité divine et virginale fait que Marie n’est surpassée que par Dieu.
Mais ne vous arrêtez pas à contempler uniquement la gloire de Marie. Pensez à ce qu’il lui en a coûté pour obtenir cette gloire. Celui qui regarde le Christ dans la lumière de la résurrection et ne médite pas sur le Rédempteur mourant dans les ténèbres du Vendredi Saint n’est qu’un sot. De même, celui qui pense à la gloire de Marie et ne médite pas sur la façon dont elle parvint à la gloire n’est qu’un sot. Le fruit de son sein, moi, le Christ, Verbe de Dieu, a déchiré son sein.

Et n’allez pas comprendre mes paroles de travers (*143). Je ne l’ai pas déchiré humainement. Elle était au-dessus des misères humaines; sur elle ne pesait pas la condamnation d’Ève, mais elle n’était pas au-dessus de la douleur. Et la grande douleur, douleur insigne, souveraine,

absolue, est entrée en elle, avec la violence d’un météore qui fond du ciel, à l’instant même où elle connut l’extase de l’étreinte avec l’Esprit créateur.

La béatitude et la douleur ont serré le cœur de Marie en un seul nœud au moment de son ‘fiat’ suprême et de ses noces très chastes. La béatitude et la douleur se fondirent en une seule chose, tout comme Marie ne faisait plus qu’un avec Dieu. Elle était appelée à une mission de rédemptrice et, dès le premier instant, la douleur surpassa la béatitude. Celle-ci vint à son Assomption.

Unie à l’Esprit de sagesse, son esprit eut la révélation de l’avenir qui était réservé à sa créature et dès lors, il n’y eut plus, pour Marie, de joie au sens habituel de ce mot.

À chaque heure qui passait, pendant que je me formais, puisant la vie à son sang de vierge-mère — et caché au fond de ses entrailles, j’avais d’inénarrables échanges d’amour avec ma Mère — un amour et une douleur sans pareil se levaient, telles les vagues d’une mer orageuse, dans le cœur de Marie et la fouettaient de leur violence.

Le cœur de ma Mère connut la morsure des épées de la douleur du moment où la Lumière, quittant le centre du Feu Unique et Trin, pénétra en elle, amorçant l’Incarnation de Dieu et la Rédemption de l’humanité; et cette morsure s’accrut, d’heure en heure, pendant la sainte gestation au cours de laquelle le sang divin s’élaborait d’une source de sang humain, le cœur du Fils battait au rythme du cœur de la Maman, la chair éternelle se formait avec la chair immaculée de la vierge.

La douleur fut plus grande au moment où je naquis pour être Lumière dans un monde de ténèbres. La béatitude de la mère qui embrasse son enfant se transforma chez Marie en la certitude de la Martyre qui sait que le martyre approche.

Béni soit le fruit de tes entrailles.

Oui. Mais à ces entrailles qui méritaient toute la joie destinée à un Adam sans faute, j’ai dû donner toute la douleur. Et pour vous. Pour vous la peine d’affliger Joseph. Pour vous l’accouchement dans une telle désolation. Pour vous la prophétie de Siméon qui lui tourna la lame dans la plaie, renforçant et aiguisant la morsure de l’épée. Pour vous la fuite en terre étrangère, pour vous les anxiétés de toute une vie, pour vous les soucis de savoir que j’évangélisais des castes ennemies qui me persécutaient, pour vous l’effroi de la capture, le tourment des multiples tortures, l’agonie de mon agonie, la mort de ma mort.

J’ai été recueilli sur le sein qui m’avait porté avec une piété qui ne pouvait être plus grande; mais, en vérité, je vous dis que, entre mon cœur, privé de mouvement vital et lacéré par le coup de lance, et celui de la Mère très affligée qui me tenait sur ses genoux, il n’y avait aucune différence de vie et de mort. Le cœur de Marie et son sein avaient été tués comme moi, l’Innocent, avais été tué.

Aux miracles reliés à la Rédemption, connus ou inconnus, manifestes pour tous ou révélés à quelques privilégiés, ajoutez celui-ci : le fait que la vie a continué en Marie par œuvre de l’Éternel après que son cœur fut brisé par et pour le genre humain comme celui du Fils, son Jésus.

Vous qui ne connaissez pas et ne voulez pas supporter la douleur, pouvez-vous imaginer quelle fut celle de la Bénie, de l’Immaculée, de la Sainte, de porter en elle un cœur lacéré, mort, abandonné, et de voir replié sur son sein un corps sans vie, martyrisé, ensanglanté, livide, lequel avait été le corps du Fils, la chair de sa chair, le sang de son sang, la vie de sa vie, l’amour de son esprit ?

Vous m’avez eu parce que, trente-trois ans avant moi, Marie a accepté de boire le calice de l’amertume. Sur le bord de la coupe que j’ai bue dans des sueurs de sang, j’ai trouvé la saveur des lèvres de ma Mère, et ses pleurs amers étaient mélangés au fiel de mon sacrifice. Et, croyez-moi, la chose qui m’a coûté le plus fut de la faire souffrir, elle qui ne méritait pas la douleur. L’abandon du Père, la souffrance de ma Mère, la trahison de l’ami qui contenait toutes les trahisons futures, voilà les choses les plus atroces de mon atroce supplice de Rédempteur. Le coup de lance de Longin dans un organe désormais insensible à la douleur n’est rien en comparaison.

Je voudrais que, pour la douleur qui a déchiré ma Mère pour vous, vous lui donniez de l’amour. Un grand amour, très tendre, l’amour des enfants envers la plus parfaite de toutes les mères, la Mère qui n’a pas encore fini de souffrir, pleurant des larmes célestes sur les enfants de son amour, lesquels répudient la maison paternelle et se font les gardiens de bêtes immondes, les vices, au lieu de rester des enfants de roi, enfants de Dieu.

Et si l’on peut établir une norme, sachez que moi, Dieu, je n’estime pas me diminuer en aimant d’un amour infini, plein de vénération, ma Mère dont je vois la nature immaculée, œuvre du Père. Mais je me souviens aussi de sa vie martyrisée de Co-Rédemptrice sans laquelle je n’aurais pas été Homme parmi les humains et votre Rédempteur éternel.”

(*143 ) Comme cela pourrait se produire pour la dictée du 23 juin.

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Message par Maud Lun 6 Avr 2015 - 7:37

Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 7 Maria_30


Vision de la Vierge souriante et silencieuse

Le 8 septembre

Jésus dit :

“Ceci est pour toi seule. J’ai dit les autres choses pour tous, pour contenter le Père

Mais le monde est trop sourd et trop corrompu pour entendre parler de Marie. Il ne mérite pas ce don.

À toi, pour ta fête, je donne l’intuition secrète de la beauté de Marie, son sourire, son silence. Ces choses peuvent sembler de peu de poids. Elles ont une valeur infinie.

Marie a attiré des millions de créatures par ses armes suaves. Elle a évangélisé avant moi par son silence réservé et son indescriptible sourire. Il lui suffisait d’apparaître pour que s’apaisent les paroles aigres ou impures, pour que tombent les rancœurs et se calment les douleurs.

Son regard purifiait, son silence élevait, son sourire instruisait. Nazareth en resta longtemps parfumée après son départ. L’Église naissante se consolida en vertu de son silence et de son sourire plus éloquent que tous les mots, car à travers eux transparaissait le visage de Dieu et la vérité de sa mission.

Je ne te demande que de regarder et d’imiter ma Mère qui est aussi la tienne. Grandis en beauté spirituelle afin de lui ressembler, apprends d’elle le silence qui parle à Dieu et de Dieu, et le sourire qui enseigne la foi, la générosité, la charité.

Regarde toujours ma douce Mère pour la voir nettement à l’heure de la mort. Celui qui meurt en Marie possède Jésus aussitôt.

Contemple Marie et reçois ma paix. Il ne faut rien d’autre pour être heureux.”

Depuis hier, je vois la Vierge, et la beauté de cette vision souriante et silencieuse dépasse la capacité humaine de la décrire.

C’est le cadeau de Jésus pour ma fête.


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Message par Maud Mar 7 Avr 2015 - 7:10

Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 7 Maria_31


La mission du “petit Christ” : aimer et transmettre la Parole

Le 10 septembre

Jésus dit :

“Ma fille, lisons ensemble les derniers versets de l’Ecclésiaste.  S’il était très sage, je suis la Sagesse de Dieu. Donc, infiniment supérieur] à lui. Mais comme lui, j’instruis mon peuple. Je l’instruis depuis vingt siècles. J’ai commencé l’instruction par ma Parole et je l’ai continuée à travers la parole de mes serviteurs bien-aimés.

Mais parmi les plus instruits de mon peuple, j’ai des disciples de prédilection pour qui le Maître devient plus qu’un maître, un ami, et avec les richesses d’un roi, leur ouvre les portes aux trésors des confidences et des révélations. Je prends par la main ces bien-aimés et je les amène avec moi dans le tréfonds des secrets et je les rends aptes à recevoir ma Parole, que je donne avec une ampleur réservée à mes nouveaux Jeans.

Mon *petit Jean, je te confie ma Parole. Transmets-la aux maîtres afin qu’ils s’en servent pour le bien des créatures. Elle vient du Pasteur Unique, du bon Pasteur qui a écrit la vérité de sa Parole avec son sang.

Lorsqu’un chef du monde ou un génie de la Terre confient à un fidèle un drapeau sacré ou un précieux secret, lorsqu’ils transmettent une consigne ou la formule d’une invention, avec quel respect sacré le fidèle les porte ou les transmet ! Mais je suis beaucoup plus qu’un chef et qu’un génie.

Je suis Dieu, Verbe et Sagesse du Père, votre Seigneur et Rédempteur. Ma Parole ne sert pas seulement à donner un bien terrestre, mais à donner le bien qui ne meurt pas, la vie éternelle. Il n’y a donc rien de plus sacré et de plus précieux que ma Parole.


* petit Jean, ( nom donné par Jésus à Maria Valtorta )


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Message par myrdhin Mar 7 Avr 2015 - 19:35

Bonjour,
Une certaine écrivaine " F Chandernagor" va ou/ vient de sortir un livre
dans lequel elle prouve que Jésus a eu des frères et soeurs.

J'ai regardé hier soir" L'Ombre d'un doute "sur la 3 où on prétend
que Jésus aurait pu être marié à Marie Madeleine et qu'ils auraient eu
des enfants.

Que pensez-vous de tout ça???
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Message par Emmanuel Mar 7 Avr 2015 - 19:38

Bonjour @myrdhin,

Sur ce fil, ce serait hors-sujet. Je vous encourage à soulever vos interrogations sur le fil suivant:

https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t31376-questions-sur-les-dogmes-concernant-marie#303480

Amicalement,

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Message par Joliday Mar 7 Avr 2015 - 19:42

Merci!!! Marie aide ta fille Pierrette, car demain elle va rencontrer un prêtre (un de tes fils chéris) afin de se confesser. Demande à Jésus et aussi à Padre Pio de m'envoyer l'Esprit Saint afin que je fasses une bonne confession! xxxx Je t'aime Maman du Ciel!

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Message par Maud Mer 8 Avr 2015 - 7:42

@Joliday
Je suis certaine que Maman Marie est sensible votre demande sunny
En union de prières pour cela

Amicalement
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Message par Maud Mer 8 Avr 2015 - 7:59

Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 7 Maria_32

Condamnation des violateurs des mystères de l’au-delà

Le 11 septembre

Jésus dit :


“Beaucoup d’âmes s’égarent en voulant chercher ‘ce qui est trop difficile’ pour elles et en voulant scruter ‘ce qui est au-dessus de leurs forces’, comme dit l’Ecclésiastique (3, 21).

C’est l’ancien poison. L’homme est, et a toujours été, coupable de curiosités malsaines et de profanations sacrilèges. Il veut pousser son investigation jusqu’à des régions que la sagesse divine garde enveloppées dans le mystère, non par jalousie du pouvoir, mais par prévoyance de l’amour Malheur à l’être humain s’il connaissait tout de l’avenir et des secrets de l’univers ! Vous n’auriez plus de paix spirituelle ni de paix naturelle. Laissez l’avenir à Dieu, créateur et dispensateur du temps et laissez vierges ces zones de l’univers dont la possession vous donnerait des armes pour troubler toujours plus votre existence d’individus et d’esprits.

J’ai déjà dit[1] que je ne m’oppose pas aux œuvres de l’intelligence humaine. Si je le faisais, je serais inconséquent avec moi-même, puisque j’ai donné l’intellect à l’être humain pour qu’il s’en serve et non pour qu'il le laisse inerte. Cependant, je vous dis par la bouche de la Sagesse : Ne souhaitez pas être de curieux scrutateurs des œuvres de Dieu, ne cherchez pas à aller outre les frontières que j’ai tracées pour séparer votre puissance des puissances plus fortes que la vôtre, des lois du cosmos, des secrets des forces naturelles, et surtout des mystères d’outre-tombe dont je suis le seul à avoir le droit de vous dévoiler la vérité et l’existence, car je suis le Seigneur de toute chose tandis que vous n’êtes que les hôtes de cette pauvre Terre et vous ne savez pas ce qui vous est réservé au-delà de la vie terrestre.

Croyez dans l’autre vie. Il suffit d’y croire. Croyez qu’elle apporte une récompense ou un châtiment, fruit d’une sainte justice, lequel attend d’être appliqué à chaque individu. Je vous ai fait connaître cela pour votre bien. Vous n’avez pas besoin d’en savoir plus.

Ne troublez pas de votre indiscrète et bavarde curiosité la paix surnaturelle de l’autre vie. Même si cela concerne ceux qui sont tourmentés,  c’est-à-dire ceux qui n’ont pas de paix parce qu’ils sont séparés de moi, le fait de comprendre n’apporte toujours qu’une augmentation de l’inquiétude. Pourquoi troubler par des échos de la terre la sérénité des cieux ? Pourquoi augmenter le tourment de ceux qui sont punis par des voix qui leur rappellent le monde où ils méritèrent leur punition ? Ayez du respect pour les premiers et pitié des seconds.

Moi seul, Seigneur du Ciel et de la Terre, Arbitre suprême de toute chose, Puissance parfaite en toute chose, je peux prendre de telles initiatives et rétablir le contact entre l’être humain et le mystère de l’autre vie. Moi seul. C’est alors que je vous envoie mes messagers, et toujours pour un bien, jamais pour me plier à de sottes et profanatrices recherches humaines.

‘Bienheureux ceux qui croient sans avoir vu’, ai-je dit à Thomas, et je le redis à tous les curieux et à tous les incrédules de la terre. On n’a pas besoin de preuves pour croire à la deuxième vie, qui n’est pas — sachez-le pour le moment — telle que vous l’imaginez dans toutes vos fantaisies, mais que j’ai dit, une seconde vie, unique, et non des vies et encore des vies. Vous êtes des êtres humains, et non des grains de blé qui, ressemés, germent une, deux, dix, cent fois, autant de fois qu’on les sème.

On n’a pas besoin de preuves. Ma Parole suffit. Si vous dites que vous croyez à la deuxième vie et ensuite vous cherchez des preuves surnaturelles pour croire, vous mentez et vous me traitez de menteur. Vous mentez parce que vous dites que vous croyez avec la bouche, mais vous ne croyez pas avec l’esprit et vous cherchez des preuves. Vous me traitez de menteur parce que le fait que vous cherchez des preuves suppose la pensée, sous-entendue mais très vive, que j’aie pu dire des choses non véridiques.

Comme punition des curiosités inutiles et dangereuses et des pensées irrévérencieuses et sacrilèges, je permets que, chez les malheureux investigateurs de ce qu’il n’est pas nécessaire à l’humain de chercher à connaître, il se crée une confusion mentale, un trouble de l’esprit et une grave blessure à la Foi, chez les meilleurs d’entre eux, et la mort de la Foi et de l’esprit chez les pires.

Quels sont les meilleurs parmi ces violeurs du mystère ? Ce sont ceux qui s’en approchent, non pour me faire un procès, puisqu’on ne peut me faire de procès, mais plutôt pour me chercher, car ils ne savent pas me trouver par d’autres voies plus sûres, humbles et hautes comme celui qui les a marquées, le Christ qui est venu exprès sur la  Terre pour apporter la doctrine sûre, laquelle vous guide à la deuxième vie, et pour fonder l’Église, dépositaire et maîtresse de ma doctrine. Ceux-ci ne savent pas embrasser les pieds de l’Église avec la simplicité des enfants et l’humilité des saints, en lui disant : ‘Je t’aime, je t’obéis, guide-moi’. Mais ils cherchent avec une pensée droite. Je les traite donc avec beaucoup de miséricorde.

Quels sont les pires parmi ces violeurs du mystère ? Ce sont ceux qui s’en approchent par pure curiosité scientifique, pour un profit humain, quel qu’il soit, du vil argent donné en échange de leur science de magie au bénéfice direct qu’ils peuvent tirer (du moins le croient-ils) de guides ultra-terrestres. Mais ce n’est pas ainsi qu’on a des guides. Ils viennent spontanément, par mon commandement et non appelés par les humains.

Envers ceux-ci, je serai un Juge d’une inexorable sévérité et je les punirai pour avoir manqué de foi et de respect envers le Maître de cette vie et de l’autre, la vraie, et pour avoir manqué de respect envers les trépassés, à qui je suis le seul à pouvoir donner des ordres capables de les détourner de leurs demeures extra-terrestres.

Bienheureux, bienheureux, trois fois bienheureux ceux qui croient sans besoin de preuves; bienheureux, sept fois bienheureux ceux qui n’ont jamais douté un seul instant de ma parole et de ma doctrine, confiée à mon Épouse et Maître, l’Église, et qui, sans jamais avoir osé, et même souhaité oser, profaner les royaumes ultra-terrestres, sont convaincus que la vie ne meurt pas sur cette terre, mais change de nature et devient éternelle, béatifique pour ceux qui ont su vivre de moi et en moi, effroyable pour ceux qui, répudiant Dieu, ont forniqué avec Satan.

À ces croyants purs, à ces simples et humbles esprit, pour qui la Foi est lumière et ma Parole, vie, j’accorde ce que je nie aux autres investigateurs : la connaissance et la possession de la Vérité d’outre-terre.”


Cahiers de 1943 – Maria Valtorta




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Message par Invité Mer 8 Avr 2015 - 21:47

Je me demande donc si c'est permis de lire des livres qui nous explique ce qu'est la Sainte Messe?

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Message par Henryk Mer 8 Avr 2015 - 23:58

La réponse est dans le titre de l'émission "l'ombre d'un doute" très beau pléonasme en métaphore.

Les émissions de la redevance télé antichrétienne, on a toujours plus de doutes, après les avoir écoutés, que ce soit sur le Suaire, Saint Jeanne d'Arc, Louis XVII, ou Alexei. C'est la même chose quand on pose la question à un démagogue, on ne se souvient plus de notre question.

En Russie, il y a peu, deux statues ont été érigées, l'une un buste en bronze pour Nicolas II et l'autre  pour le chef des russes blancs, l'Amiral Koltchak. Chacun ses certitudes.

C'est assez curieux, mais la lecture des livres de Maria Valtorta n'a jamais interféré, dans ma participation à la Sainte Messe. Ils ont surtout fait augmenter en moi les vertus théologales et l'abandon de l'âme dans le Saint Sacrement.


Dernière édition par Henryk le Ven 10 Avr 2015 - 0:03, édité 1 fois
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Message par Invité Jeu 9 Avr 2015 - 12:28

je posé la question dans le sens, qu'il ne faut pas trop chercher à savoir ce qu'Est le Saint Sacrifice, ? donc si on se renseigne dessus, c'est mal?

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Message par Maud Jeu 9 Avr 2015 - 13:43

Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 7 Maria_33

Description de la vision de lumière qu’est le corps glorifié de Marie

Nécessité chez le porte-parole du Christ d’humilité et de générosité


Le 12 septembre

Jésus dit :

“Parmi ces croyants purs, ces simples et humbles esprits dont je t’ai parlé hier et à qui j’accorde la possession de la Vérité, je suscite des âmes spéciales; je les choisis avant leur incorporation à la vie, car je sais tout des humains qui ont vécu, qui vivent et qui vivront, et  je sais donc à l’avance comment chaque esprit agira sur terre, méritant ou déméritant.

Et ne dites pas que c’est injuste parce que je ne vous force pas à mériter. Non : c’est être fidèle à mon œuvre et à ma promesse que de créer l’être humain capable de se guider et libre de se guider. Je donne les secours, tous les secours, à mes enfants, mais je ne les force pas à s’en prévaloir. Je le désire de tout mon amour, mais je respecte le désir de chaque humain. Dieu a poussé son amour jusqu’au sacrifice de son Verbe pour qu’il vous portât la Parole et le Sang. Mais il ne peut, ne veut en faire plus. Quel mérite, auriez-vous à être bons si je vous empêchais d’être mauvais ?

À ces âmes que je choisis, parce que je sais à l’avance qu’elles seront saintes par amour ou le deviendront après l’erreur par un repentir sincère et un double amour, je donne donc ce que je ne donne pas aux masses : enseignements et lumières qui sont une source de béatitude pour ces mêmes âmes et une direction pour des âmes sœurs moins éclairées qu’elles car moins fondues à moi.

Cependant, malheur à ces âmes favorites si elles sont orgueilleuses et avares de mon don. Je n’aime pas les avares et je déteste les orgueilleux.

Les premiers agissent contrairement à la charité parce qu’ils gardent pour eux ce qui appartient à tous, car je suis le Père de tous et je donne mes trésors à mes enfants chéris pour qu’ils soient mes aumôniers auprès des pauvres de l’esprit, et non pour qu’ils conservent ces trésors avidement et à l’encontre de la charité, tuant ainsi la charité et désobéissant à la volonté de Dieu. Le seul fait de tuer la charité brise le canal par lequel coulent vers eux mes paroles et éteint la lumière grâce à laquelle ils en voient la vérité. Ils déchoient donc de leur mission de porteurs de ma Voix. Ceci explique pourquoi certaines âmes, à un temps des phares de l’Église, périssent par la suite dans une grisaille de brouillards pernicieux.

Quant aux orgueilleux, ils sont privés immédiatement et inexorablement de mon don. En eux, ma parole ne s’éteint pas lentement, comme une fleur qui meurt sans eau ou un oiseau emprisonné dans un cachot obscur, comme cela arrive dans le cas des avares. Elle meurt d’un seul coup comme une créature étranglée. L’orgueil est la quintessence de l’anti-charité, la perfection de l’anti-charité, et son venin démoniaque tue instantanément la Lumière dans le cœur.

Alors que je regarde vos faiblesses avec douleur et compassion, je détourne le regard lorsque je rencontre un orgueilleux. Et savez- vous

ce que c’est que de ne plus avoir sur soi mon regard ? C’est être de pauvres aveugles, de pauvres fous, de pauvres ivrognes qui vont en chancelant de danger en danger et qui rencontrent la mort. Voilà ce que c’est de ne plus avoir sur soi le regard de Dieu, lequel vous protège comme rien d’autre ne peut vous protéger.

Il fut accordé à ma Mère sainte et bénie d’être porteuse du Verbe, non pas tant à cause de sa nature immaculée que de son humilité super- parfaite. Tous les actes d’humilité humaine ne s’élèvent pas au trésor d’humilité de la Très Humble qui est toujours restée telle, même, vous comprenez, lorsqu’elle apprit qu’elle était destinée à être la plus haute de toutes les créatures. Marie a consolé les Trois divines Personnes, blessées par l’orgueil de Lucifer et du premier Couple (*148), de son humilité, surpassée seulement par celle du Verbe.

Ma chère Mère, notre intarissable joie ! Si tu pouvais la voir aujourd’hui (*149) au Ciel pendant que tout le Paradis l’entoure de son amour et chante hosanna à elle et à son Nom salutaire ! Tu verrais un abîme de gloire au fond d’un super abîme d’humilité, et la lumière inconcevable de Marie étincelle doublement de sa très chaste et virginale humilité qui se recueille en adoration devant Nous et abaisse tous les hosannas célestes en disant : ‘Domine, non sum digna’ (*150.) Pas digne, elle, sainte et première Prêtresse ! Elle pour qui nous créerions un second Paradis pour qu’elle eût des louanges redoublées !...

Regarde, Maria. En ce jour consacré à Marie, reçois la vision de la lumière dans laquelle est ta Mère et la mienne. Tu as vu la Lumière rutilante, insoutenable de notre triple Feu (*151). Regarde maintenant la très douce lumière de Marie. Abreuve-t’en, nourris-t’en.

Jamais tu ne sentiras chose plus suave descendre dans ton cœur. Regarde, aussi longtemps que je te l’accorderai, cette fontaine, cet astre de lumière qu’est Marie, resplendissant au Ciel de l’éclat de son corps immaculé qui ne pouvait se corrompre, car il fut l’enveloppe sainte du Dieu fait chair en plus d’avoir atteint à la perfection humaine de toute sainte-e té, et super-resplendissant de son esprit uni à l’Esprit de Dieu en des noces éternelles.

Tu vois : l’azur du ciel entoure la blancheur, la teignant de reflets célestes, et la lumière de Marie rend les cieux lumineux comme par une aube d’avril surhumaine dans laquelle l’astre du matin sourit à un monde vierge et fleuri.

Regarde et souviens-toi de la vision que les anges contemplent avec un éternel rire de joie. Qu’elle(*152)  soit ta sérénité, tout comme la nôtre( *153 ) est ta force.

À toi te sont montrées des choses qui dépassent l’intelligence humaine, et cela par la volonté de Dieu. Mais pour continuer à en avoir le don, apprends de Marie à toucher les sommets de l’humilité, ce qui abaisse la glaise pour porter l’esprit vers les hauteurs.
Je t’ai réservé ce don pour la fête du Nom de Marie. Pour la Nativité, le sourire de Marie, la sainte Femme (*154 ) pour le Nom, la gloire de Marie, Mère de Dieu.”
J’ai vu, et je ne peux la décrire, notre Mère dans sa demeure au Ciel. Comme dans le cas de Dieu, et je dirais presque plus encore, la comparaison avec la ‘lumière’ m’est utile pour parler d’Elle.

Une lumière réconfortante, d’un blanc bleu, comme celle du plus clair rayon de lune multiplié par une intensité surnaturelle. Je ne distingue pas très bien le visage et le corps de Marie. Trop de ‘lumière’ pour que l’œil humain puisse les distinguer.
Je m’explique : ce n’est pas une lumière aveuglante qui empêche de regarder, mais une lumière qui transforme les contours et les formes du corps glorifié de Marie en ‘lumière’, ce qui fait que je ne peux pas en dire les couleurs.

Je pourrais dire que si des montagnes de perles se transformaient en lumière, on aurait une idée de ce qu’est la Très Blanche, bienheureuse au Ciel. Et je pourrais dire aussi que, si une vision avait le pou¬voir de changer la couleur des yeux en imprégnant l’iris de la couleur émanée de la vision, mes yeux, qui sont brun foncé, devraient être maintenant de l’azur pâle d’un saphir liquide, comme celui qui se dégage de certaines étoiles par les nuits sereines.

Je suis submergée par l’émotion qui me fait pleurer des larmes de joie spirituelle.., et je ne peux rien dire d’autre (*155)



*148)  L’auteur note au crayon : (Adam et Ève).
*149 ) C’est le 12 septembre, fête du Nom de Marie.
*150) seraient les paroles de la Très Sainte Vierge, que je crains d’écrire parce que.., j’ai peur des humains).  Seigneur, je ne suis pas digne.
*151)  Dans le texte du 1er juillet.
*152 ) L’auteur note au crayon : (la vision d’aujourd’hui).
*153 ) L’auteur note au crayon : (de la Très Sainte Trinité, le 1er  juillet).
*154)  Dans la dictée du 8 septembre.
*155)  Sur une copie dactylographiée, l’auteur ajoute au crayon : (ce que je dirais d’autre..,



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Message par Henryk Ven 10 Avr 2015 - 0:07

Non ce n'est pas mal, Eucharistie. Mais vous n'apprendrez que peu de choses en plus de ce que donne comme réponse les questions du Catéchisme. Tout ce que vous apprendrez, captivera l'âme vers l'Autel.
Le Saint Sacrifice est le mystère de la Rédemption. Vous pouvez lire un très bel ouvrage condensé sur le sujet, du Révérend père Martin de Cochem, qui date un peu, mais qui à été réédité.
Oui vous pouvez étudiez sur la Sainte Consécration, mais il faut aussi passer du temps devant le Saint-Sacrement, ainsi que communier souvent en état de grâce.

------------------------------------------------------------------

Comment ne pas répéter après cette mise en garde du 12 septembre se terminant par un don de grâces et cette épilogue de l'âme "Je suis submergée par l’émotion qui me fait pleurer des larmes de joie spirituelle.., et je ne peux rien dire d’autre"
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Message par Maud Ven 10 Avr 2015 - 7:02

Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 7 Maria_34


L’abandon du Père et les larmes de Marie


Le 13 septembre
(Commencée au moment de la Communion)


Jésus dit :

“L’archange Michel, que vous invoquez dans le confiteor, mais comme d’habitude, l’âme absente, trop absente, était présent à ma mort en croix. tes sept grands archanges, qui se tiennent en perma¬nence devant le trône de Dieu, étaient tous présents à mon Sacrifice.

Et ne dis pas que cela contredit mes paroles : ‘Le Ciel était fermé’. Le Père, je le répète(*156), était absent, distant, au moment où la Grande Victime consommait son immolation pour le salut du monde.

Si le Père avait été avec moi, le sacrifice n’aurait pas été total. Cela n’aurait été que le sacrifice de la chair condamnée à mourir Mais je devais accomplir l’holocauste total. Aucune des trois faces de l’homme, la charnelle, la morale, la spirituelle, ne devait être exclue du sacrifice, car je m’immolais pour toutes les fautes, et non seulement pour les fautes des sens. On peut donc comprendre que mes dimensions morale et spirituelle devaient être broyées, anéanties par la meule de l’horrible sacrifice. Et on peut aussi comprendre que mon Esprit n’aurait pas souffert s’il avait été fondu à celui du Père.

Mais j’étais seul. Élevé, non matériellement mais surnaturellement, à une telle distance de la terre qu’aucun réconfort ne pouvait plus en venir. Coupé de tout réconfort humain. Élevé sur mon échafaud, j’y avais apporté le poids incommensurable des fautes de toute l’humanité des millénaires passés et des millénaires à venir, et ce poids m’écrasait plus que la croix, que mon corps déjà à l’agonie :

avait si péniblement traînée sur les rues pierreuses, raides, étouffantes de Jérusalem, au milieu des blagues et des coups d’une foule enragée.

J’étais sur la croix avec la souffrance totale de ma chair suppliciée et la souffrance suprême de mon esprit, accablé par un tas de fautes qu’aucun secours divin ne rendait supportables. J’étais naufragé au milieu d’un océan déchaîné et je devais mourir ainsi. Mon cœur s’est brisé sous l’angoisse de ce poids et de cet abandon.

Mais ma Mère était à mes côtés. Elle y était. Nous étions nous deux, les Martyrs, enveloppés dans le tourment et l’abandon. Et de nous voir l’un l’autre ajoutait une autre torture à la torture. Car chacun de mes frémissements lacérait les fibres de ma Mère, et chacun  de ses gémissements était un autre fléau sur mes chairs flagellées et un autre clou rivé, non dans mes paumes, mais dans mon cœur. Unis et divisés à la fois pour souffrir davantage, et au-dessus de nous, les Cieux- fermés sur le courroux du Père, et si loin...

Mais les archanges étaient présents à l’immolation du Fils de Dieu pour le salut de l’humanité et la torture de la Vierge Mère. Et s il est dit dans l’Apocalypse qu’aux derniers temps, un ange fera l’offrande du plus saint encens au trône de Dieu, avant de répandre le feu premier de la colère divine sur la terre, comment pouvez-vous penser que, parmi les prières des saints, encens impérissable et digne du Très-Haut, il n’y ait pas, au premier rang, plus suppliantes que n’importe quelle parole, les larmes de ma Sainte bénie, de ma très douce Martyre, de ma Mère, recueillies par l’ange qui lui fit l’annonce et reçut son consentement, le témoin angélique des noces surnaturelles par lesquelles la Nature divine contracta un lien avec la nature humaine, attira à sa hauteur une chair et abaissa son Esprit à devenir chair pour la paix entre l’être humain et Dieu ?

Gabriel et ses célestes compagnons, penchés sur la douleur de Jé¬sus et de Marie, dans l’impossibilité de la soulager, car c’était l’heure de la Justice mais non absents de cette douleur, ont recueilli dans leur intellect de lumière tous les détails de cette heure, tous, pour les étaler, quand le temps ne sera plus, à la vue des ressuscités, source de joie pour les bienheureux et condamnation des réprouvés, avant-goût pour les uns et les autres de ce que je donnerai, moi, Juge suprême et roi très haut.”

Jésus a commencé à parler pendant que je disais le confiteor, et mon esprit a vu Gabriel, lumière dorée, incliné en adoration de la Croix, je pense. Mais je ne voyais pas la croix.

Puis, aujourd’hui, en feuilletant attentivement les pages dactylographiées pour corriger les petites fautes de transcription, afin qu’aucune bévue ne vienne altérer la pensée, je trouve un commentaire de moi, daté du 31 mai, au sujet de la destruction de Jérusalem... Je me Souviens de l’impression que j’ai eue en lisant Saint Luc 21, 20-24. Je disais ce jour-là : “J’ai compris qu’il y a là une allusion à nous tous. Je n’ai pas vu clairement. Mais je suis restée sous cette douloureuse impression”. Aujourd’hui, je relis Saint Luc et, malheureusement, il me semble que ce passage convient parfaitement à nos situations malheureuses...

Jésus me parle aujourd’hui de sept archanges qui se tiennent toujours  devant le trône de Dieu. Y sont- ils vraiment ou est- ce un nombre allégorique ? J’ai cherché dans la Bible, mais je n’ai rien trouvé à ce sujet. Ça doit être une de ces ‘lacunes’ dont parle Jésus le 11 juin.


(*156) Déjà dans la dictée du 5 septembre.


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Message par Maud Sam 11 Avr 2015 - 7:32

Naissance de Jésus notre Seigneur, vision de Maria Valtorta - Page 7 Maria_35


Les lieux où fut versé le Sang du Christ et leur signification


Le 14 septembre

Jésus dit :

“On l’appelle la Fête de la Sainte Croix’. Il vaudrait mieux dire ‘Fête du Sacrifice’, car sur la croix, il y eut l’apothéose de mon Sacrifice de Rédempteur. Et en disant ‘du sacrifice’, on pourrait dire ‘du Sang’, parce que sur la croix, j’ai fini de verser mon Sang jusqu’à la dernière goutte, jusqu’à ce qu’il ne soit déjà plus du sang, mais un sérum de sang, l’extrême transsudat d’un corps qui se meurt.

Que de sang, Maria ! Et je l’ai versé partout, pour sanctifier tout et tous. Il y a une raison à cette souffrance et au fait que j’ai saigné ainsi en plusieurs lieux, que vous ne cherchez pas à savoir, mais que, en cette fête de la Croix, je veux te révéler.

Je l’ai versé au Gethsémani, potager et oliveraie, pour sanctifier la campagne et les travaux de la campagne. La campagne créée par mon Père avec ses moissons, ses vignes, ses arbres fruitiers, ses petites plantes mineures, mais toutes utiles à l’humanité et dont le Père enseigna l’usage et la culture, par un enseignement surnaturel, aux -premiers humains de la terre. Je l’ai versé là pour sanctifier la terre et les travailleurs de la terre, parmi lesquels sont aussi compris les bergers des différentes espèces d’animaux que le Père a donnés aux humains pour les aider et assurer leur subsistance.

J’ai versé mon Sang dans le Temple, puisque j’avais déjà été blessé par les pierres et les bâtons, pour sanctifier, dans le Temple de Jérusalem, le Temple futur dont le ciment commençait à cette heure-là, mon Eglise et toutes les églises, maisons de Dieu, et leurs ministres.

Je l’ai versé aussi au Sanhédrin parce que, outre l’Eglise, il représentait aussi la Science. Et moi seul sais combien la science humaine a besoin de sanctification, elle qui se sert de ses pouvoirs pour renier la vérité et non pour y croire de plus en plus en voyant Dieu à travers les découvertes de votre intelligence.

Je l’ai versé dans le palais d’Hérode, pour tous les rois de la Terre, que j’ai investis du pouvoir humain suprême pour la protection des peuples et de la moralité de leurs états. Même dans les palais je suis seul à savoir combien est grand, très grand le besoin de se rappeler qu’il n’y a qu’Un seul Roi, le Roi des rois, et que sa Loi est souveraine même sur les rois de la terre; ils ne sont rois que jusqu’au moment où je dois intervenir pour les priver de leur couronne dont ils ne sont plus dignes, soit à cause d’une faute manifeste et personnelle, soit à cause de leur faiblesse  une faute moins palpable, mais non moins condamnable et condamnée puisqu’elle est cause de tant de ruines.
De même, j’ai versé mon Sang au Prétoire où résidait l’Autorité.

Je t’ai déjà dit, il y a quelque temps (*157), ce que sont les autorités et le pouvoir, pourquoi et jusqu’à quand ils existent. Ce qu’ils devraient être pour ne pas être maudits par le Juste éternel, ils ne peuvent l’obtenir que grâce à l’obéissance à ma Loi d’amour et de justice et à mon très précieux Sang qui déracine le péché du cœur et fortifie les esprits, les rendant capables d’agir saintement, même quand les évènements, que Dieu permet comme épreuve d’une Nation et punition d’une autre, font en sorte que l’Autorité dominante n’est pas du pays même, mais du pays vainqueur ou oppresseur.

Dans ce cas en particulier, l’Autorité devrait se rappeler qu’elle n’est en place que par la permission de Dieu et toujours à une fin dont la base est la sanctification des deux parties. D’où la nécessité de ne pas se servir de ses pouvoirs pour se damner et damner les dominés et opprimés par un injuste abus du pouvoir. J’ai donné mon Sang, en aspergeant comme d’une sainte pluie la maison de Pilate, pour racheter cette classe de la Terre qui a un besoin infini d’être rachetée, car depuis que le monde existe, elle a cru pouvoir rendre légitime ce qui ne l’est pas.

J’ai empourpré, en les aspergeant de plus en plus de mon Sang, les soldats flagellateurs pour insuffler aux milices ce sens d’humanité dans la douloureuse éventualité de guerres, de maladies maudites qui renaissent toujours parce que vous ne savez pas éliminer en vous le poison de la haine et vous inoculer l’amour. Le soldat doit combattre, telle est la loi de ses devoirs, et il ne sera pas puni pour se battre et tuer puisque l’obéissance le justifie. Mais je le punirai s’il use de férocité en combattant et s’il se permet des abus qui ne sont pas nécessaires et que, au contraire, je maudis toujours, car ils sont inutiles et contraires à la justice, qui doit rester justice même quand une victoire humaine enivre ou une haine raciale suscite des sentiments contraires à la justice.

Mon Sang a mouillé les rues de la Ville, y laissant des empreintes; qui, même si on ne les voit plus, sont restées et resteront éternellement présentes dans l’esprit des habitants du plus haut des Cieux. J’ai voulu sanctifier les rues où passent tant de gens et où on fait tant de mal.

Et si tu penses que mon Sang, abondamment versé partout, n’a pas sanctifié tous les ministres de l’Église, n’a sanctifié ni les palais,  ni les autorités, ni les milices, ni le peuple, ni la science, ni la ville, ni les rues, ni même les campagnes, je te réponds que je l’ai versé même si je savais qu’il se serait retourné contre beaucoup, devenant leur condamnation au lieu d’être leur salut, selon le but dans lequel je le versais; et je l’ai versé pour ce petit nombre d’hommes et de femmes de l’Église, de la science, du pouvoir, des armées, du peuple, des. villes, des campagnes qui ont su le recueillir et en comprendre la voix d’amour, et suivre cette voix dans ses commandements. Qu’ils soient éternellement bénis !

Mais le dernier Sang ne fut pas versé sur les mottes de terre, sur les pierres, sur les visages et les vêtements, dans des lieux où l’eau de Dieu ou la main de l’être humain pouvait le laver et le disperser. Les dernières gouttes de mon Sang, accumulées entre la poitrine et le cœur, qui déjà se figeait, et jaillies dans l’ultime affront  pour qu’il ne restât plus une goutte du liquide vital dans le Fils de Dieu et de l’Homme, et que je fusse réellement l’Agneau égorgé dans le sacrifice acceptable au Seigneur  les dernières gouttes de mon Sang ne furent pas dispersées.

Il y avait une Mère sous cette croix ! Une Mère qui-pouvait enfin se serrer au bois de la croix, se tendre vers son Enfant tué, lui baiser les pieds transpercés, contractés dans les derniers affres, et recueillir dans son voile virginal le dernier sang de son Fils, lequel coulait goutte à goutte de la poitrine ouverte et sillonnait mon corps inanimé.

Ma très douloureuse Maman ! De ma naissance à ma mort, elle a dû souffrir de cela aussi : de ne pas pouvoir donner à son Enfant les premiers et derniers réconforts que reçoit le plus misérable des fils, de l’homme à sa naissance et à sa mort; de son voile, elle dut faire une lange pour son Fils nouveau-né et un suaire pour son Fils exsangue.
Ce Sang ne s’est pas perdu. Il existe, il vit et brille sur le voile de la Vierge. Pourpre divine sur la blancheur virginale, il sera la bannière du Christ Juge le jour du Jugement.”

(*157 ) Par exemple, dans les dictées du 30 juin, du 28 juillet et, de façon plus diffuse, dans celles des 29 et 30 juillet.

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Douloureuse Passion de Jésus et Marie
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Message par Sofoyal Sam 11 Avr 2015 - 13:43

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Message par Henryk Dim 12 Avr 2015 - 0:47

Extrait du 14 septembre:
J’ai versé mon Sang dans le Temple, puisque j’avais déjà été blessé par les pierres et les bâtons, pour sanctifier, dans le Temple de Jérusalem, le Temple futur dont le ciment commençait à cette heure-là, mon Eglise et toutes les églises, maisons de Dieu, et leurs ministres.

Je l’ai versé aussi au Sanhédrin parce que, outre l’Eglise, il représentait aussi la Science. Et moi seul sais combien la science humaine a besoin de sanctification, elle qui se sert de ses pouvoirs pour renier la vérité et non pour y croire de plus en plus en voyant Dieu à travers les découvertes de votre intelligence.

Je l’ai versé dans le palais d’Hérode, pour tous les rois de la Terre, que j’ai investis du pouvoir humain suprême pour la protection des peuples et de la moralité de leurs états. Même dans les palais je suis seul à savoir combien est grand, très grand le besoin de se rappeler qu’il n’y a qu’Un seul Roi, le Roi des rois, et que sa Loi est souveraine même sur les rois de la terre; ils ne sont rois que jusqu’au moment où je dois intervenir pour les priver de leur couronne dont ils ne sont plus dignes, soit à cause d’une faute manifeste et personnelle, soit à cause de leur faiblesse  une faute moins palpable, mais non moins condamnable et condamnée puisqu’elle est cause de tant de ruines.

De même, j’ai versé mon Sang au Prétoire où résidait l’Autorité....






Chapitre III de Daniel verset 24---->
24 Et ils marchaient au milieu de la flamme, louant Dieu et bénissant le Seigneur.
25 Et Azarias, se levant, fit cette prière ; ouvrant la bouche au milieu du feu, il dit :
26 Soyez béni, Seigneur, Dieu de nos pères ; votre nom est digne de louange et de gloire à jamais.
27 Car vous êtes juste dans tout ce que vous nous avez fait, et toutes vos œuvres sont vraies ; vos voies sont droites, et vos jugements sont équitables.

28 Car vous avez rendu des jugements équitables ; dans tous les maux que vous avez fait venir sur nous ; et sur la ville sainte de nos pères, Jérusalem ; c'est par un juste jugement que vous avez fait tout cela, à cause de nos péchés.
29 Car nous avons péché et commis l'iniquité en nous retirant de vous, et nous avons manqué en toutes choses.
30 Nous n'avons pas écouté vos commandements et nous ne les avons pas observés, et nous n'avons pas agi selon que vous nous l'aviez commandé, afin que nous fussions heureux.

31 Tout ce que vous avez fait venir sur nous, tout ce que vous nous avez fait, c'est par un juste jugement que vous l'avez fait.
32 Vous nous avez livrés aux mains d'ennemis injustes, d'apostats acharnés contre nous, et d'un roi injuste, le plus méchant de toute la terre.
33 Et maintenant nous n'osons ouvrir la bouche ; la honte et l'opprobre sont à vos serviteurs, et à tous ceux qui vous adorent.

34 Ne nous livrez pas pour toujours, à cause de votre nom, et ne détruisez pas votre alliance.
35 Ne retirez pas de nous votre miséricorde, à cause d'Abraham votre ami, d'Isaac votre serviteur, et d'Israël votre saint,
36 auxquels vous avez promis de multiplier leur postérité ; comme les étoiles du ciel, et comme le sable qui est sur le rivage de la mer.

37 Car, Seigneur, nous sommes réduits devant toutes les nations, et nous sommes aujourd'hui humiliés par toute ta terre, à cause de nos péchés.
38 Il n'y a plus en ce temps pour nous ni prince, ni chef, ni prophète, ni holocauste, ni sacrifice, ni oblation, ni encens ; ni endroit pour apporter devant vous les prémices et trouver grâce.

39 Mais, Seigneur, puissions-nous être reçus, le cœur contrit et l'esprit humilié,
40 comme vous recevez un holocauste de béliers et de taureaux, ou de mille agneaux gras ; qu'il en soit ainsi de notre sacrifice devant vous aujourd'hui, et de notre soumission envers vous, car il n'y a pas de confusion pour ceux qui se fient en vous.
41 Maintenant, nous vous suivons de tout notre cœur, nous vous craignons et nous cherchons votre visage.

42 Ne nous confondez pas, mais traitez-nous selon votre douceur, et selon l'abondance de votre miséricorde.
43 Délivrez-nous par vos prodiges, et donnez, Seigneur, gloire à votre nom.
44 Qu'ils soient confondus tous ceux qui maltraitent vos serviteurs, couverts de honte par la perte de toute leur puissance, et que leur force soit brisée,
45 qu'ils sachent que vous êtes le Seigneur, le seul Dieu, et le glorieux souverain de toute la terre ! "

46 Cependant les serviteurs du roi qui avaient jeté ces trois hommes dans la fournaise, ne cessaient de la chauffer avec du naphte, de l'étoupe, de la poix et des sarments.
47 La flamme s'élevait quarante-neuf coudées au-dessus de la fournaise ;
48 et, s'étant élancée, elle brûla les Chaldéens qu'elle rencontra près de la fournaise.

49 Mais l'ange du Seigneur était descendu dans la fournaise avec Azarias et ses compagnons, et il écartait de la fournaise la flamme de feu.
50 Et il rendit le milieu de la fournaise tel que si un vent de rosée y avait soufflé ; et le feu ne les toucha même pas, il ne les blessa point et ne leur causa point le moindre mal.

51 Alors ces trois hommes, comme d'une seule bouche, louaient, glorifiaient et bénissaient Dieu dans la fournaise, en disant :

52 Vous êtes béni, Seigneur, Dieu de nos pères, digne d'être loué, glorifié et exalté à jamais.
Béni est votre nom saint et glorieux, digne de suprême louange et exaltation à tout jamais.
53 Vous êtes béni dans le temple de votre sainte gloire, digne de suprême louange et gloire à jamais.
54 Vous élus béni sur le trône de votre royaume, digne de suprême louange et exaltation à jamais.
55 Vous êtes béni, vous dont le regard pénètre les abîmes, et qui êtes assis sur les Chérubins, digne de suprême louange et exaltation à jamais.
56 Vous êtes béni au firmament du ciel, digne de louange et de gloire à jamais.

57 Bénissez toutes le Seigneur, œuvres du Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
58 Anges du Seigneur, bénissez le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
59 Cieux, bénissez le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
60 Eaux et tout ce qui est au-dessus des cieux, bénissez le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
61 Puissances du Seigneur, bénissez toutes le Seigneur ; louez-le, et exaltez-le à jamais.

62 Soleil et lune, bénissez le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
63 Astres du ciel, bénissez le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
64 Pluies et rosées, bénissez toutes le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
65 Vents que Dieu déchaîne, bénissez tous le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.

66 Feux et chaleurs, bénissez le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
67 Froid et chaleur, bénissez le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
68 Rosées et givres, bénissez le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
69 Gelées et frimas, bénissez le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
70 Glaces et neiges, bénissez le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.

71 Nuits et jours, bénissez le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
72 Lumière et ténèbres, bénissez le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
73 Eclairs et sombres nuages, bénissez le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
74 Que la terre bénisse le Seigneur ; qu'elle le loue et l'exalte à jamais !

75 Montagnes et collines, bénissez le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
76 Plantes qui croissez sur la terre, bénissez toutes le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
77 Fontaines, bénissez le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
78 Mers et fleuves, bénissez le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.

79 Monstres et tout ce qui s'agite dans les eaux, bénissez le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
80 Oiseaux du ciel, bénissez tous le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
81 Bêtes sauvages et troupeaux, bénissez tous le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
82 Enfants des hommes, bénissez le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
83 Qu'Israël bénisse le Seigneur ; qu'il le loue et l'exalte à jamais !

84 Prêtres du Seigneur, bénissez le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
85 Serviteurs du Seigneur, bénissez le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
86 Esprits et âmes des justes, bénissez le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
87 Saints et humbles de cœur, bénissez le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.
88 Ananias, Azarias et Misaël, bénissez le Seigneur ; louez-le et exaltez-le à jamais.

Car il nous à tirés du schéol, et délivrés de la puissance de la mort ; il nous à sauvés du milieu de la fournaise de flamme brûlante, et tirés du milieu du feu.
89 Célébrez le Seigneur, car il est bon, car sa miséricorde dure à jamais.
90 Vous tous, hommes pieux, bénissez le Seigneur, le Dieu des dieux ; louez-le et célébrez-le, car sa miséricorde dure à jamais.

Le morceau qui se termine ici ne se trouve pas dans l'hébreu ; la traduction que nous en avons donnée est faite sur l'édition de Théodotion.

91 Alors le roi Nabuchodonosor fut dans la stupeur et se leva précipitamment. Il prit la parole et dit à ses conseillers : " N'avons-nous pas jeté au milieu du feu trois hommes liés ? " Ils répondirent et dirent au roi : " Certainement, ô roi ! "
92 Il reprit et dit : " Eh bien, moi, je vois quatre hommes sans liens, marchant au milieu du feu et n'ayant aucun mal ; l'aspect du quatrième ressemble à celui d'un fils des dieux. "

93 Puis Nabuchodonosor s'approcha de la porte de la fournaise de feu ardent ; il prit la parole et dit : " Sidrac, Misac et Abdénago, serviteurs du Dieu Très-Haut, sortez et venez ! " Alors Sidrac, Misac et Abdénago sortirent du milieu du feu.
94 Les satrapes, les intendants, les gouverneurs et les conseillers du roi, s'étant rassemblés, regardèrent ces hommes et virent que le feu n'avait eu aucun pouvoir sur leur corps, que les cheveux de leur tête n'avaient pas été brûlés, que leurs tuniques n'avaient pas subi de changement et qu'elles n'avaient pas l'odeur du feu.

95 Nabuchodonosor prit la parole et dit : " Béni soit le Dieu de Sidrac, de Misac et d'Abdénago, lequel a envoyé son ange et délivré ses serviteurs qui se sont confiés en lui, qui ont transgressé l'ordre du roi et livré leur corps, pour ne servir et adorer aucun dieu sinon leur Dieu.
96 Ordre est donné de ma part que tout homme, à quelque peuple, nation ou langue qu'il appartienne, qui parlera mal du Dieu de Sidrac, de Misac et d'Abdénago sera coupé en morceaux et sa maison sera réduite en cloaque, parce qu'il n'y a pas d'autre dieu qui puisse sauver de la sorte.

97 Alors le roi fit prospérer Sidrac, Misac et Abdénago, dans la province de Babylone.

98 " Le roi Nabuchodonosor à tous les peuples, nations et langues qui habitent sur toute la terre : la paix vous soit donnée en abondance !

99 Il m'a paru bon de faire connaître les signes et les prodiges que le Dieu Très-Haut a opérés envers moi.
100 Que ses signes sont grands et que ses prodiges sont puissants ! Son règne est un règne éternel et sa domination subsiste d'âge en âge.




Je redis avec Sofoyal, Amen!!!


Dernière édition par Henryk le Dim 12 Avr 2015 - 20:08, édité 1 fois
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