Pour l'euthanasie ? Lisez ceci, votre avis sera peut-être différent !

Paris, jeudi. Atteinte d'un syndrome extrêmement rare, Angèle Lieby, 59 ans, a été considérée comme morte pendant près de deux semaines. En réalité, son corps était entièrement paralysé mais elle était pleinement consciente. | (LP/Philippe de Poulpiquet.)

Dans le coma mais consciente, son mari avait déjà choisi le cercueil !

Angèle Lieby a vécu une expérience incroyable qu'elle raconte dans un livre publié cette semaine. Les médecins la croyaient dans le coma. Ses proches la pensaient perdue. Elle était inerte mais pleinement consciente.

Quand elle a repris conscience, elle a d'abord cru qu'elle était ensevelie sous des décombres. Que les urgences s'étaient écroulées après un séisme. Et puis il y a eu des pas, des voix, des bips… Et Angèle Lieby a réalisé l'impensable : l'hôpital où elle avait été admise pour une violente migraine était intact. Mais elle… y était considérée comme morte. Un corps inerte, intubé, relié à des machines, dans lequel son esprit conscient et tétanisé a vécu enfermée pendant deux interminables semaines, trompant médecins et encéphalogrammes.

Tout entendre et ne pas pouvoir hurler, c'est l'enfer que cette Strasbourgeoise de 59 ans a voulu raconter, trois ans après ce terrible 13 juillet 2009, dans « Une larme m'a sauvée »*. Et la larme n'est pas loin dans les yeux clairs de cette grande femme pimpante, ancienne ouvrière dans une usine fabriquant des chariots de supermarché, quand elle explique le pourquoi du livre sorti jeudi.

« C'est un peu une thérapie… Mais c'est surtout un cri du cœur : tant qu'on n'est pas mort, on est vivant! »

Considérer quelqu'un comme vivant, même lorsqu'il semble plongé dans un coma irréversible, c'est ne pas lui enfoncer sans ménagement des instruments métalliques dans la gorge. Ne pas le retourner comme un paquet de viande. Ne pas lâcher, au pied de son lit, « elle va bientôt clamser ». Angèle n'a rien oublié. Surtout pas ce moment où, pour montrer aux externes « comment on voit qu'une personne est vivante ou morte », un médecin lui a tordu le téton en concluant « vous voyez, pas de réaction » alors qu'elle ressentait une douleur insupportable.

Raymond, son mari, policier à la retraite, reste dévasté à son chevet. Elle reconnaît son souffle, qu'il a court depuis que le médecin lui a dit : « Il va falloir la débrancher. Plus rien ne fonctionne à part le cœur. » Lui essaye de mettre de la musique, pour la maintenir en vie. « Au début, je fredonnais à l'intérieur, et puis c'est devenu un cauchemar ça aussi, admet Angèle. Les mêmes chansons en boucle, tout le temps… » Raymond finira par aller choisir le cercueil, en chêne clair capitonné de satin blanc. Les obsèques sont fixées au 20 juillet. Puis il se ravise face au chagrin de leur fille Cathy et de leurs deux petites-filles… « J'étais perdu, avoue-t-il. Je la voyais morte, mais je ne pouvais pas accepter qu'on la tue. »

Angèle, mortifiée, se dit qu'elle a bien fait de demander à être incinérée. Au moins, elle ne serait pas enterrée vivante. « Et puis j'ai réalisé que j'avais autorisé le don d'organes, et là, ça a été la panique. J'étais terrifiée à l'idée qu'ils m'arrachent le cœur sans anesthésie. Je sanglotais, et ils ne voyaient rien. » Et puis le 25 juillet, douze jours après le trou noir, c'est son anniversaire de mariage. Raymond et Cathy sont là, à la supplier de ne pas les quitter. A sa propre stupéfaction, une larme jaillit sur la joue d'Angèle. « J'ai entendu ma fille crier, appeler les infirmières. On lui a répondu mais non, c'est du collyre… Mais je pleurais vraiment, et la tristesse s'est transformée en euphorie! » Le soir même, Angèle bougeait un doigt. Le lendemain, un orteil. Et s'il lui a fallu encore quatre mois pour respirer sans tubes, tout l'hôpital a assisté, perplexe, à une résurrection digne de ce nom. « Je ne sais pas d'où je reviens », sourit aujourd'hui Angèle en regardant son Raymond, auprès duquel elle savoure aujourd'hui, quasi rétablie, ce rab de vie. « Je n'ai pas fait ce livre pour critiquer l'euthanasie… Franchement moi-même je voulais qu'on me débranche… Mais si ça peut donner de l'espoir à ceux qui croient leur proche parti, si on peut respecter davantage les gens dans le coma, alors je pourrai mourir tranquille quand mon heure viendra! »

Merci pour cette histoire Gilles qui nous rappelle combien nous devons respecter la personne qu'elle soit vivante ou décédée.

Cela me rappelle une histoire très similaire vécue par une femme à laquelle sa fille vient présenter son nouveau-né et c'est ce moment-là qui déclenche aussi chez la femme une larme qui lui sauve la vie.

Elle témoigne, elle aussi, avoir vécue une expérience terrible sans pouvoir bouger, sans pouvoir dire qu'elle était vivante !

Ma demande est importante pour le Québec-Canada,(ma région). Je vous demande de donner vie à ceux qui meurt par euthanasie,† à ceux qu’on tuent dans le ventre des mamans…(Québec-Vie)♥Aider à faire ressusciter le Bon Dieu dans les cœurs ! Ô Croix de Jésus-Christ † Prends Pitié de nous !

Le carême est presque terminé, Pâques arrive à grand pas. C’est le temps de l’année où nous célébrons l’évènement central de l’histoire de l’humanité, la Résurrection de Jésus Christ.  †

Mais n’est-il pas difficile d’avoir le cœur en fête quand nous savons l’état du Québec d’aujourd’hui ? Plus de 30 000 avortements par année, des centaines, voire bientôt des milliers d’euthanasies, des familles éclatées, des enfants avec peu de repères soumis à des cours tordus comme celui d’Éthique et culture religieuse ou le nouveau cours « d’éducation sexuelle » qui sera implanté cet automne…

Et que dire de la foi au Québec ? Cette terre peuplée jadis par des croyants et sanctifiée par les sacrifices de ses saints est aujourd’hui comme une vigne dévastée. Le pourcentage de ceux qui assistent régulièrement à la messe dominicale doit avoir sombré à moins de 5 %.

Alors Pâques ne serait qu’un secret que nous gardons dans le fond de notre cœur, nous permettant d’avoir la ferme espérance qu’au terme de notre vie terrestre, nous verrons la Terre promise ?

Non, je crois que Pâques est plus que cela, que Dieu veut être encore plus généreux avec nous.



Je crois qu’ensemble en tant que mouvement, nous sommes appelés à faire quelque chose de beau au nom du Bon Dieu. Je crois qu’il veut que nous agissions en son nom, pour RESSUSCITER LE QUÉBEC.


Dieu sait que notre mouvement, Campagne Québec-Vie, est pauvre en moyens. En fait, il aime cela. Il veut que nous « fassions pitié » aux yeux du monde, pour que son travail par nous soit d’autant plus miraculeux.

Il attend que nous devenions complètement souples dans ses mains, prêts à faire Sa Volonté en toutes choses.

Il attend que nous nous centrions sur Lui seul, que nous dépendions de Lui seul, pour opérer au Québec un signe qui « dispersera les hommes au cœur superbe » et qui « renversera les potentats de leurs trônes » (Luc 1, 51).




Dieu abhorre l’avortement, ce meurtre des enfants à naître. Il hait ce système scolaire neutre et sans foi, qui mine l’âme des élèves et leur prive de repères solides. Il déteste l’euthanasie, c’est-à-dire le suicide encouragé par l’État. Et il est triste à en mourir de voir son peuple perdre la foi.

Mais il nous attend — il attend notre mouvement ! Il veut nous voir faire notre possible, en toute humilité et avec réalisme.

• Il veut nous voir seuls dans la pluie lors des 40 jours pour la vie, ces vigiles de prières à l’extérieur des avortoirs.


 • Il veut que nous donnions des cours d’apologétique chrétienne et pro-vie à une poignée de personnes à la fois.

 • Il veut que nous publiions des nouvelles sur notre site Web (www.cqv.qc.ca) qui, même en rejoignant régulièrement près de 30 000 internautes par mois, ne rejoint qu’une infime fraction de ce qu’atteignent les grands médias.

• Il veut que nous marchions à Ottawa contre l’avortement sous le regard parfois hostile des travailleurs du centre-ville et celui, méprisant, des médias de masse.

 • Finalement, il veut que nous nous occupions, tant bien que mal, des femmes enceintes en difficulté qui nous demandent de l’aide, par le biais de notre ligne sans frais (www.enceinteinquiete.org) ou en leur offrant du logement dans le Centre pour femmes enceintes en difficulté que nous appuyons.

Dieu nous attend ! Il veut faire de Pâques non seulement une fête de sa Résurrection, mais une fête de la résurrection d’une nation que d’aucuns croient décimée, déprimée, moribonde et sans avenir.

Notre mouvement ne s’appelle-t-il pas « Québec-Vie » ? Ne voulons-nous pas que cette nation renaisse, qu’elle ait la Vie — matérielle et spirituelle — en abondance ?

Car, pour moi, il n’y a aucun doute que Dieu aime la nation québécoise. Mais il attend un signal de départ pour sa rénovation : notre humble et complète soumission à son projet. Ne connaissons-nous pas la parabole du grain de sénevé ?


En cette montée vers Pâques, je vous remercie de votre générosité envers notre mouvement. Prions pour que Campagne Québec-Vie se conforme toujours davantage à la Volonté divine, pour que refleurissent au Québec la Foi, la Famille et la Vie.

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Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie

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https://www.cqv.qc.ca/campagne_de_financement_paques_2018?utm_campaign=paques_2018_1&utm_medium=email&utm_source=campagnequebecvie

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Note Myriamir, Quand vous aidez ma région, mon pays …vous aidez aussi le vôtre car dans le Christ nous sommes UNE SEULE CHAIR ! Merci …Merci…Merci !!!