Colère

Bonjour,

Les portes semblent toutes se refermer dans ma vie et j,ai tendace à la colère.
Je ne veux pas être sur le marché du travail parce que c,est trop stressant vivre dans cette société de mal.

Je veux être à l'écart de la société en ayant une vie religieuse personnelle.

OHHH

Faites attention mon frère, ne vous faites pas illusion à vous même.
Si vous ne réglez pas vos frustrations par rapport au travail, vous aurez du mal à tenir à l'écart de la société.
Votre vie religieuse risque d'être maladive...mal aimé, mal compris, triste, désemparé...vous risquez votre santé.

Vous avez perdu la paix.
Avez vous seulement besoin de vacances, ou d'une retraite silencieuse dans un foyer de charité, avez vous besoin de faire un pèlerinage à pied ?

Vous avez besoin de comprendre des choses par rapport à vous même, à votre relation aux autres et à Dieu.

Certaines personnes peuvent vous écouter et vous aider.
Priez Dieu qu'il mette un(e) ou des confidents sur votre route, de préférence des personnes qui ont la foi en Dieu et une réelle joie de vivre.

Dites souvent " Jésus, j'ai confiance en toi ".
Priez la vierge Marie, versez des larmes ( si besoin ) devant Jésus au tabernacle et sortez de vous même.

Dieu vous aime et ne vous veut pas frustré ou en colère mais HEUREUX.

Cordialement,

Michel

@Michel(Panetier)  

@Charité
Attendez-vous à travailler en communauté.
Pour en avoir visiter ainsi que côtoyer des religieux(es),ce n'est pas seulement qu'une vie de prières,oh que Non......

Il y a une multitudes de caractères qui composent une communauté.Et très souvent,c'est loin d'être facile de composer avec certain(es) d'entre eux.

Bonne méditation.

Il est écrit également dans la Bible :

2 Thessaloniciens 3:8-10

"Nous n'avons mangé gratuitement le pain de personne ; mais, dans le travail et dans la peine, nous avons été nuit et jour à l'oeuvre, pour n'être à charge à aucun de vous. Ce n'est pas que nous n'en eussions le droit, mais nous avons voulu vous donner en nous-mêmes un modèle à imiter. Car, lorsque nous étions chez vous, nous vous disions expressément : Si quelqu'un ne veut pas travailler, qu'il ne mange pas non plus."

  

Bon, je crois que vous avez mal compris mon message.

Travailler ne veut pas dire nécéssaurement être sur le marché du travail.

Pour ma part, mon travail, ce sont les études à temps partiel et bénévolat à ma paroisse.

Je suis allé me confesser ce soir, pas seulement pour mes péchés, mais aussi pour recevoir des grâces du Seigneur dans ce moment difficile (qui s'est plus tard transformé en joie). Mes émotions vont en montagnes russes ces temps-ci.

Je suis fait comme ça, quand ça ne va pas, je crois que certaines personnes sont contre moi et je me fâche plus facilement.

J'ai trouvé ma 2e famille ce soir et ce sont le groupe de l'emmanuel à Québec. Je crois que pour le moment, ma place est avec eux à la paroisse Saint-Thomas d'Aquin où ils sont, avec leurs activités, etc. et je suis allé vers les autres ce soir et je me suis fait de nouveaux amis. Ça va m'apporter des guérisons le fait de m'ouvrir aux autres et d'avoir plusieurs amis chrétiens.

Donc j'étudierai à temps partiel et ferai une vie religieuse personnelle en même temps et je m'impliquerai à la paroisse.

Et je ne crois pas que le Seigneur me demande de me détruire ma santé psychologique si fragile en m'en allant sur le marché du travail qui est si stressant et de performance.

Je travaille, mais autrement que sur le marché du travail si rude et cruel de cette société de mal et de corruption.

Bonjour Charité!!!
C'est vrai que le marché du travail est rude et cruel, mais on a pas le choix....Il faut gagner sa vie.
Personnellement,je ne sais pas c'est quoi ''pas travailler'' malgré les coups durs.
J'ai même dû me résigner à travailler au salaire minimum,il n'y a pas si longtemps de cela.
Les choses se sont replaçés avec le temps et aujourd'hui,j'ai un salaire décent.
Une chose est sûre cependant,c'est toujours un grand plaisir pour moi d'offrir toutes mes journées au Seigneur et ça implique mon travail.

Je pense que tu es sur la bonne voie malgré ce négativisme sur le travail...
Essaie de trouver quelque chose de réaliste que tu pourrais aimer faire, pour gagner ta vie.
Demande à St-Joseph de te venir en aide.
Aide-toi et le ciel t'aidera.
Bon courage.
Amicalement.

Bonjour Charité,

Panetier, Michael Malou et Toimaryse ont de bons conseils. C'est vrai que l'on doit travailler à la sueur de notre front depuis la faute d'Adam et Eve, mais comme disait Charité11, travailler pour le Seigneur, c'est aussi produire des bons fruits en évangélisant, en aidant les pauvres, en apportant du réconfort à un malheureux, en rendant des services, en amenant les âmes au Seigneur par notre bonne conduite et notre spiritualité, en priant chaque jour, en allant à la messe, en rendant aussi des services à l'église, en assistant aux retraites, en produisant des efforts et en prenant des résolutions pour supprimer de notre vie tout ce qui est péché et corrompt nos âmes,... c'est tout cela travailler à la sueur de notre front.

Je rejoints l'idée de Michael pour ce qui est de prier Saint-Joseph, il est le patron des travailleurs.

Une homélie qui explique bien le terme du travail dans notre vie spirituelle:

Homélie du 17 novembre, 33e dimanche du temps ordinaire (c)

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« C’est par votre persévérance que vous obtiendrez la vie »
À première vue, la page d’évangile que nous sommes invités à méditer aujourd’hui peut sembler troublante. Dans les temps que nous vivons, nous sommes témoins de guerres et des souffrances des innocents qui les subissent, et nous sommes d’instinct portés à ne rien désirer de tel, ni pour les autres, ni pour nous. Or le Seigneur nous promet des mauvais traitements à cause de notre foi. Nous lui dirions bien spontanément, comme ceux qui attendaient un messie de paix, pensant aux prophéties et à l’histoire de Salomon : « Est-ce donc cela que tu prépares à ceux qui te suivent? »
Le Seigneur aimerait bien dire que non. Car il désire vraiment une paix éternelle, qui viendra, mais seulement à notre mort, si nous lui restons fidèles. Mais les paraboles de Jésus sont claires à cet effet. Dieu a envoyé son Fils, mais les intendants de la vigne ont préféré le tuer pour profiter de son héritage. Comme le répétait Job : « La vie de l’homme sur la terre est un combat ». Le récit de la chute d’Adam nous montre le grand changement opéré à la suite de la transgression de la loi de Dieu : « Tu mangeras ton pain à la sueur de ton front ». Entretemps, le juste souffrira avec son Seigneur, pour manifester avec lui la vérité.
Le tableau que dresse Jésus de celui qui persévèrera n’est pas idéalisé. Jésus nous prévient que le monde où nous vivons n’accueille pas bien la vertu et le nom de Jésus. Mais tout cela arrivera, et « Ce sera pour vous l’occasion de rendre témoignage ».
Rendre témoignage. Comment ? D’abord par l’exemple. C’est le sens des paroles de Paul aux thessaloniciens. Des chrétiens de Thessalonique vivaient « dans l’oisiveté, affairés sans rien faire ». Quel message les païens allaient-ils comprendre d’une pareille attitude ? Et quelle persévérance ces chrétiens allaient avoir sans faire d’effort? Le Christ est-il resté à rien faire ? Le travail des premiers chrétiens devait illustrer leur désir de servir, d’aider et d’aimer leur prochain, tout en vivant la justice au niveau des relations sociales. Comment une vie de désœuvré allait-elle convaincre du zèle de Jésus pour les âmes ? Saint Paul en était conscient quand il leur disait : « Nous avons voulu être pour vous un modèle à imiter ».
On rend aussi témoignage en luttant pour faire reconnaître la vérité du message du Christ, en propageant la parole de Dieu. C’est ce qui est entendu par les paroles de Jésus : « On portera la main sur vous, on vous persécutera; on vous fera comparaître … à cause de mon nom. (…) Je vous inpirerai un langage et une sagesse à laquelle vos adversaires ne pourront opposer ni résistance, ni contradictions (…) Mais pas un cheveu de votre tête ne sera perdu ». Dieu veut que nous soyons courageux, que nous vivions pleinement nos convictions, même s’il semble que nous allons périr. Dieu ne nous abandonnera jamais, même si comme les martyrs, nous nous perdons notre vie. Car ce sera alors la volonté de Dieu, et ce que nous paraîtrons perdre, nous le gagnerons en grâces et en sainteté.
C’est dans ce sens qu’il faut comprendre la promesse du livre de Malachie : « Le soleil de justice se lèvera : il apportera la guérison dans son rayonnement ». On peut comprendre cette phrase en deux sens : D’abord, que Jésus récupèrera définitivement ceux qui semblent perdre quelque chose pour lui; mais aussi, que celui qui est dans le rayonnement du soleil contribue, par son réchauffement personnel, à réchauffer les autres. C’est donc dire que celui qui souffre pour Dieu n’en est nullement oublié, mais qu’au contraire, il reçoit une grâce spéciale de Dieu qui en le renforçant lui-même, aidera à renforcer les autres. C’est une allusion claire au martyre, et au témoignage de tant d’apôtres qui on vécu prêts à mourir pour Dieu, conscients que si cela allait se produire, ils contribueraient à réchauffer le milieu refroidi où ils vivaient.
Les premiers chrétiens ont vécu ainsi; de nos jours, les pays encore récemment sous l’influence des marxistes ont perdu leur liberté et leur vie. Mais la foi a continué, car on n’étouffe pas la Parole de Dieu. « Par votre persévérance, vous obtiendrez la vie ». C’est vrai des martyrs, des missionnaires, des éducateurs, et de tous les chrétiens qui résistent à une ambiance laïciste et froide.
Comment réagissons-nous lorsque les gens tournent notre foi ou notre conduite chrétienne en dérision? Sommes-nous conscients que c’est peut-être « l’occasion de rendre témoignage », et que « pas un cheveu de votre tête ne sera perdu »?
L’apôtre moderne est aussi prêt à souffrir pour le Seigneur que les premiers chrétiens. En avons-nous la conviction ?

Tu as besoin de vie intérieure et de formation doctrinale. Sois exigeant avec toi-même!

Toi, qui es un homme chrétien, une femme chrétienne, tu dois être le sel de la terre et la lumière du monde, parce que tu as l'obligation de donner le bon exemple d'une sainte imprudence.


— La charité du Christ doit te pousser avec urgence. Et si tu te sens, si tu te sais un autre Christ depuis le moment où tu Lui as dit que tu Le suivrais, tu ne vas pas te séparer de tes semblables — tes parents, tes amis, tes collègues —, tout comme l'on ne peut séparer le sel de l'aliment qu'il assaisonne.

Ta vie intérieure et ta formation comportent la piété et le jugement que doit posséder un enfant de Dieu, pour que sa présence active puisse relever toute chose.

Prie le Seigneur pour que tu sois toujours une épice dans la vie des autres.
(Josémaria Escriva, Forge, n. 450)[/font][/color]

http://reflexionsdsm.blogspot.be/2007/11/homlie-du-17-novembre-33e-dimanche-du.html

La neuvaine à Saint-Joseph pour trouver du travail:

http://www.saintjosephtravailleur.net/saint-joseph-neuvaine.html

C'est Nicolasgentil qui avait mis la neuvaine sur le forum:

https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t22257-neuvaine-saint-joseph-pour-trouver-du-travail

C'est bientôt midi ici, bon appétit!

Vous ne comprenez pas.

J,ai une contrainte sévère à l'emploi. Je ne suis PAS APTE à travailler sr le marché du travail, mais l'homme est si mauvais qu'il dit qu'il faut quand même travailler. Désolé, mais c,est Satan qui parle quand vous dîtes ça. Mon directeur spirituel me l'a dit à maintes reprises que c'est mieux pour moi de ne pas être sur le marché du travail. Vous voulez que je lui désobéisse?

Bref, voilà.

Et je m'aide beaucoup en passant.

Jérémie: Oui, c,est ce que je voulais dire.

Bonjour charite,

Je crois que les personnes bien intentionnées qui t'ont répondu auparavant ne savaient pas que tu avais une contrainte sévère à l'emploi. Maintenant qu'ils savent, ils sont davantage informés et ainsi ils peuvent te répondre mieux en te connaissant davantage.

Amicalement,

Emmanuel

Ok, c'est correct.

Bon courage Charité11 ta foi t'aidera dans les embuscades de la vie.