LE CULTE DES SAINTS, DES RELIQUES ET DES IMAGES.
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Audifax
Malou
Manuela
Ludwik59
Michael
9 participants
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LE CULTE DES SAINTS, DES RELIQUES ET DES IMAGES.
Je pense qu'il est très important que vous ayez ces réfutations en mémoire, face à l'adversité, pour que vous puissiez répondre respectueusement du tact au tact aux autres dénominations religieuses.
Il y a une grande différence entre les prières que nous adressons à Dieu et celles que nous adressons aux Saints :
Nous demandons à Dieu qu'il nous soit propice, qu'il nous délivre, qu'il nous sauve ;
Nous demandons aux Saints qu'ils prient pour nous, qu'ils intercèdent pour nous ;
Nous nous adressons à Dieu comme à la source, à l'auteur même de la grâce, pour que Lui-même nous donne ce que réclament nos besoins ;
Nous nous adressons aux Saints comme à des serviteurs agréables à leur maître, à des amis heureux et couronnés, pour qu'ils nous obtiennent, par leur crédit auprès de Dieu, ce que Dieu seul peut donner.
http://www.fatima.be/fr/sanctus/prieres/cate43.php
Et je dis aussi,(commentaires personnels);
Les prières des Saints ne sont pas chargées d'intérêts personnels et de pensées égoïstes.
Ce que veulent les Saints,c'est de vous éviter bien des désagréments ici bas sur la terre et vous éviter de séjourner au purgatoire qui est très loin d'être une partie de plaisir.Encore plus,vous évitez de vous retrouver en Enfer.
On ne se moque pas des Saints et on en parle respectueusement.
Ceux qui ont le désir de servir Dieu et de respecter sa volonté,peuvent compter sur leurs prières et obtenir de Dieu les grâces nécessaires pour atteindre notre but ultime,le Paradis.
Il y a une grande différence entre les prières que nous adressons à Dieu et celles que nous adressons aux Saints :
Nous demandons à Dieu qu'il nous soit propice, qu'il nous délivre, qu'il nous sauve ;
Nous demandons aux Saints qu'ils prient pour nous, qu'ils intercèdent pour nous ;
Nous nous adressons à Dieu comme à la source, à l'auteur même de la grâce, pour que Lui-même nous donne ce que réclament nos besoins ;
Nous nous adressons aux Saints comme à des serviteurs agréables à leur maître, à des amis heureux et couronnés, pour qu'ils nous obtiennent, par leur crédit auprès de Dieu, ce que Dieu seul peut donner.
http://www.fatima.be/fr/sanctus/prieres/cate43.php
Et je dis aussi,(commentaires personnels);
Les prières des Saints ne sont pas chargées d'intérêts personnels et de pensées égoïstes.
Ce que veulent les Saints,c'est de vous éviter bien des désagréments ici bas sur la terre et vous éviter de séjourner au purgatoire qui est très loin d'être une partie de plaisir.Encore plus,vous évitez de vous retrouver en Enfer.
On ne se moque pas des Saints et on en parle respectueusement.
Ceux qui ont le désir de servir Dieu et de respecter sa volonté,peuvent compter sur leurs prières et obtenir de Dieu les grâces nécessaires pour atteindre notre but ultime,le Paradis.
Dernière édition par Michael le Dim 12 Aoû 2012 - 4:51, édité 1 fois (Raison : J'ai changé le titre)
Michael- Dans la prière
- Messages : 5204
Inscription : 08/03/2009
Re: LE CULTE DES SAINTS, DES RELIQUES ET DES IMAGES.
Merci Michael, pour nous faire part de ton texte
Ludwik59- Contre la Franc Maconnerie
- Messages : 328
Age : 28
Localisation : Nord-Lens-Lille
Inscription : 06/06/2012
Re: LE CULTE DES SAINTS, DES RELIQUES ET DES IMAGES.
Bonjour Michel !
Grande surprise, tu est revenu à peine de passage il me semble avec ce texte.
Je doit quitter, je vais à la messe et reviendrais plus tard pour lire ton texte avec plus de concentration.
Merci de prié pour moi mon ami Michael, je ne vais pas bien et moins présente sur le forum.
Amtiés,
Manuela.
Grande surprise, tu est revenu à peine de passage il me semble avec ce texte.
Je doit quitter, je vais à la messe et reviendrais plus tard pour lire ton texte avec plus de concentration.
Merci de prié pour moi mon ami Michael, je ne vais pas bien et moins présente sur le forum.
Amtiés,
Manuela.
Manuela- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
- Messages : 4187
Localisation : Elancourt dans les Yvelines
Inscription : 21/03/2010
Re: LE CULTE DES SAINTS, DES RELIQUES ET DES IMAGES.
Merci Michael pour cette belle réflexion.
Heureuse de te relire.
Manuela, toutes mes prières vont vers toi en ce moment même !
Amicalement,
Malou
Heureuse de te relire.
Manuela, toutes mes prières vont vers toi en ce moment même !
Amicalement,
Malou
Re: LE CULTE DES SAINTS, DES RELIQUES ET DES IMAGES.
Merci beaucoup de m'avoir fait découvrir cher Michael!!!
Ce site m'a l'air très bien, j'ai vraiment besoin d'un peu de catéchisme
Ce site m'a l'air très bien, j'ai vraiment besoin d'un peu de catéchisme
Audifax- Combat avec l'Archange Michel
- Messages : 1166
Inscription : 06/06/2011
Re: LE CULTE DES SAINTS, DES RELIQUES ET DES IMAGES.
Je suis très content de te revoir ici Michael c'est un plaisir de te lire d'autant plus que j'ai lus avec intention ton sujet et dont je suis tout à fait d'accord.
"Nous demandons à Dieu qu'il nous soit propice, qu'il nous délivre, qu'il nous sauve ;
Nous demandons aux Saints qu'ils prient pour nous, qu'ils intercèdent pour nous"
"Nous demandons à Dieu qu'il nous soit propice, qu'il nous délivre, qu'il nous sauve ;
Nous demandons aux Saints qu'ils prient pour nous, qu'ils intercèdent pour nous"
Luca- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
- Messages : 4328
Age : 28
Inscription : 21/06/2011
Re: LE CULTE DES SAINTS, DES RELIQUES ET DES IMAGES.
@Tous...
Très heureux de vous revoir.
J'aime beaucoup voir les jeunes s'exprimer.
@Manuela...Tu peux toujours compter sur moi...J'aurai toujours une oreille attentive pour toi.(M.P.)
@Audifax...20 ans? L'âge de votre coeur,je présume!!!
RÉPONSE : Non, on ne peut adorer les Saints ; ce serait une idolâtrie, puisque les Saints ne sont que des créatures.
Adorer les Saints, ce serait les considérer comme les souverains seigneurs de toutes choses ; ce serait leur rendre le culte suprême qui n'appartient qu'à Dieu ; et faire, par conséquent, un acte d'idolâtrie, car les saints ne sont que des créatures, et l'idolâtrie consiste à rendre à la créature le culte qui n'est dû qu'au Créateur.
D : Peut-on les honorer et les invoquer ?
R : Oui, on peut et on doit les honorer comme les amis de Dieu, et il est utile de les invoquer comme nos protecteurs auprès de Lui.
1°) Nous devons honorer les Saints : c'est une conséquence nécessaire de la communion des Saints dont il est parlé dans le Symbole des apôtres ; en effet, s'il est vrai que l'Église triomphante et l'Église militante ne forment point deux Églises différentes, mais une seule et même Église, une seule et même société, n'est-il pas dans l'ordre de rendre un honneur particulier à ceux qui en sont les principaux ornements ? Dans toute société, n'honore-t-on pas d'une manière spéciale ceux qui se font remarquer par vertus ? N'est-ce pas une règle puisée dans le sens commun de tous les hommes, que les membres d'un même corps se doivent une considération mutuelle plus ou moins grande, à proportion du sang qu'ils occupent ? D'ailleurs c'est Dieu, c'est Jésus-Christ Lui-même que nous révérons dans ses Saints qui ne sont que la prolongation de son action et de sa vie. Les Saints sont les amis de Dieu, qui pour les récompenser de leur fidélité à sa loi, les a élevés au faîte de la gloire ; ils sont assis sur des trônes, et leur front est orné brillant diadème ; nous devons donc les respecter, les vénérer. Le culte que nous rendons aux saints s'appelle : le culte de dulie. Aussi l'Église, qui est la colonne et le fondement de la Vérité, a rendu dès les temps apostoliques et nous apprend à rendre aux Saints un culte religieux ; elle a institué des fêtes en leur honneur ; elle célèbre leurs vertus dans des hymnes ; elle bâtit des temples, consacre des autels sous leurs noms : ne serait-ce pas une impiété que d'oser s'élever, comme le font les protestants, contre cette conduite de l'Épouse de Jésus-Christ ?
2°) Il est utile d'invoquer les Saints et de recourir à leur intercession, afin d'obtenir de Dieu les grâces qui nous sont nécessaires ; c'est ce qui fut pratiqué dans l'Église, dès les premiers siècles. « Glorieux martyrs, s'écriait saint Ephrem, secourez-moi de vos prières, afin que je trouve miséricorde au jour du jugement.» — « O Saints du ciel, disait Origène, je vous implore ; tombez aux pieds du Dieu des miséricordes pour moi, misérable pécheur. » Il y a une grande différence entre les prières que nous adressons à Dieu et celles que nous adressons aux Saints : nous demandons à Dieu qu'il nous soit propice, qu'il nous délivre, qu'il nous sauve ; nous demandons aux Saints qu'ils prient pour nous, qu'ils intercèdent pour nous ; nous nous adressons à Dieu comme à la source, à l'auteur même de la grâce, pour que Lui-même nous donne ce que réclament nos besoins ; nous nous adressons aux Saints comme à des serviteurs agréables à leur maître, à des amis heureux et couronnés, pour qu'ils nous obtiennent, par leur crédit auprès de Dieu, ce que Dieu seul peut donner.
D : Devons-nous honorer la sainte Vierge d'un culte particulier et d'une confiance plus grande que celle dont nous honorons les Saints ?
R : Oui, parce que en sa qualité de Mère de Dieu, elle est incomparablement supérieure aux Anges et aux Saints, et qu'elle a plus de pouvoir auprès de Lui.
1°) Marie est plus sainte que tous les Anges et tous les Saints ensemble ; elle tient dans le ciel le premier rang après Jésus-Christ, son divin Fils ; Dieu seul est au-dessus d'elle ; tout ce qui n'est pas Dieu est à ses pieds. Nous devons donc l'honorer d'une manière toute particulière et lui rendre des hommages plus profonds qu'aux autres Saints. Le culte spécial que nous rendons à la Mère de Dieu s'appelle hyperdulie, ce qui veut dire culte, qui est au-dessus de celui que nous rendons aux Saints.
2°) Quel que soit le crédit dont les Saints jouissent dans le ciel auprès de Dieu, il n'est rien en comparaison de celui de Marie ; cette Vierge sainte peut tout sur le cœur de son Fils, qui ne désire rien tant que de donner à sa sainte Mère des marques de sa déférence. Le pouvoir de Marie est immense ; il est en quelque sorte infini comme le pouvoir de Dieu même ; elle a en effet à sa disposition tous les trésors de la grâce et de la gloire, et elle peut y puiser a son gré en faveur des mortels qui sont ses enfants. Nous devons donc tout espérer de la puissante intercession de Marie, et l'honorer d'une confiance plus grande que celle dont nous honorons les Saints.
D : Est-il permis d'honorer les reliques des Saints ?
R : Oui, parce que leurs corps ont été les temples du Saint-Esprit, et qu'ils doivent un jour ressusciter glorieux.
On entend par reliques d'un Saint ce qui reste de son corps après sa mort, ses os, ses cendres ; on donne aussi le nom de reliques aux objets qui ont appartenu à un Saint ; par exemple, à ses vêtements. L'Église a, dans tous les temps, traité avec un profond respect les reliques des Saints, et elle les a toujours eues en grande vénération, parce que ce sont les restes précieux de leurs corps, où le Saint-Esprit daigne habiter, qu'il sanctifia par sa présence, et qui doivent, à la fin du monde, ressusciter pour la vie éternelle. « Dieu, dit le concile de Trente, a accordé, par les ossements des Saints, plusieurs faveurs aux hommes ; et par là il a fait voir combien le culte que nous leur rendons est agréable à ses yeux » Lorsque, dans les beaux jours de l'Église naissante, les fidèles appliquaient aux malades les mouchoirs et les linges qui avaient touché le corps de saint Paul, ils rendaient à ces mouchoirs et à ces linges un véritable honneur, par cela même qu'ils s'en servaient pour obtenir des effets supérieurs aux lois de la nature. Si cet honneur avait déplu à Dieu, l'aurait-il autorisé par des miracles ? Cependant il l'a fait, puisque l'application de ces mouchoirs et de ces linges procurait aux malades la guérison, aux possédés la délivrance. De semblables se sont renouvelés dans tous les siècles de l'Église, en sorte qu'on peut dire que si la vénération des reliques des Saints était une erreur, ce serait Dieu Lui-même qui nous y aurait constamment induits.
D : Quelles reliques peut-on exposer à la vénération des fidèles ?
R : Il n'est permis d'exposer à la vénération des fidèles que les reliques des saints dont l'authenticité a été reconnue par l'évêque.
Il n'est pas permis d'honorer d'un culte public les reliques des personnages morts en odeur de sainteté, mais qui n'ont été ni canonisés ni béatifiés par l'Église : on peut, tout au plus, les honorer d'un culte privé.
On ne doit exposer à la vénération des fidèles aucune relique dont l'authenticité ne soit pas suffisamment constatée. Les reliques douteuses ne peuvent être l'objet d'un culte religieux, qu'il soit public ou privé.
D : Est-il permis d'honorer les images de Jésus-Christ, de la sainte Vierge et des Saints ?
R : Oui, et cette pratique a toujours été en usage dans l'Église.
Une image est la représentation sculptée, gravée ou peinte, de Jésus-Christ, de la sainte Vierge, des Saints, ou de quelque trait de leur vie. L'Église a autorisé le culte des saintes images, parce qu'elle en a reconnu la grande utilité. En effet, les histoires des mystères de notre rédemption, représentées par la peinture ou d'autre manière, instruisent le peuple, en lui rappelant les articles de foi, et le maintiennent dans la pratique de s'en occuper assidûment. On retire d'ailleurs une grande édification de toutes les saintes images, parce qu'elles mettent sous les yeux des fidèles les merveilles que Dieu a opérées par les Saints, les exemples salutaires que les Saints nous donnés, afin que les fidèles en rendent grâce à Dieu, prennent les Saints pour modèles de leur vie et de leur conduite, et soient excités à adorer Dieu et à l'aimer. Voilà pourquoi l'Église a autorisé le culte des saintes images ; et parce qu'il est impossible de révoquer en doute que Dieu, dans tous les siècles, ait opéré des merveilles sur de saintes images, ait par elles accordé plusieurs faveurs aux hommes, on ne peut s'empêcher de dire, comme on l'a déjà dit des reliques, que si l'usage et la vénération des saintes images était une erreur, Dieu Lui-même nous y aurait induits. On appelle miraculeuses les images par lesquelles ou devant lesquelles Dieu, pour récompenser la foi de ses serviteurs, a fait quelques miracles.
D : A quoi se rapporte le culte que nous rendons aux images ?
R : Il se rapporte à l'objet que ces images représentent.
Lorsque nous donnons aux saintes images des marques de respect et de vénération, ce n'est point évidemment la matière dont elles sont faites, comme l'or, l'argent, la pierre, le plâtre, le bois, la toile ou le papier, que nous honorons, mais c'est ce qui est représenté par cette image ; l'honneur que nous leur rendons se rapporte aux objets dont elles nous rappellent le souvenir ; en sorte que lorsque nous honorons l'image de Jésus-Christ c'est Lui-même que nous honorons ; lorsque nous honorons l'image de la sainte Vierge, de saint Pierre, de saint Paul, de notre saint patron, etc., c'est la sainte Vierge, saint Pierre, saint Paul ou notre saint patron, que nous honorons. Et qui serait assez stupide pour mettre sa confiance dans la pierre ou dans le bois, et leur supposer quelque vertu, quelque puissance ? Cependant, lorsque Dieu a déjà fait éclater devant quelque image les effets de sa miséricorde, il est tout naturel de prier devant cette image avec plus de confiance ; le souvenir des bienfaits que d'autres ont reçus est bien propre par lui-même à ranimer la foi et à exciter la piété : et plus la foi est vive, plus la piété est grande, et plus le Seigneur est disposé à exaucer les vœux qui lui adressés.
D : Quand nous nous prosternons devant une croix, est-ce la croix que nous adorons ?
R : Non quand nous nous prosternons devant une croix, une portion de la vraie croix, et tout ce qui a servi à la Passion du Sauveur, c'est Jésus-Christ mort en croix que nous adorons.
La représentation de la Croix à laquelle Jésus-Christ a été crucifié ; une portion de la vraie Croix, c'est-à-dire de la croix même sur laquelle le divin Sauveur a rendu le dernier soupir ; les clous qui percèrent Ses Mains et Ses Pieds, et tous les autres instruments de sa Passion, sont des objets bien dignes, assurément, de notre vénération et de nos respects. Toutefois, quand nous honorons ces objets, que nous les baisons, que nous nous découvrons devant eux, c'est à Jésus-Christ Lui-même que ces hommages se rapportent. Quand, par exemple, nous nous prosternons devant la croix, que nous l'adorons, nous adorons Jésus-Christ, qui est mort sur la croix pour notre salut.
http://www.fatima.be/fr/sanctus/prieres/cate43.php
Très heureux de vous revoir.
J'aime beaucoup voir les jeunes s'exprimer.
@Manuela...Tu peux toujours compter sur moi...J'aurai toujours une oreille attentive pour toi.(M.P.)
@Audifax...20 ans? L'âge de votre coeur,je présume!!!
LE CULTE DES SAINTS, DES RELIQUES ET DES IMAGES
DEMANDE : Peut-on adorer les Saints qui sont dans le ciel ?RÉPONSE : Non, on ne peut adorer les Saints ; ce serait une idolâtrie, puisque les Saints ne sont que des créatures.
Adorer les Saints, ce serait les considérer comme les souverains seigneurs de toutes choses ; ce serait leur rendre le culte suprême qui n'appartient qu'à Dieu ; et faire, par conséquent, un acte d'idolâtrie, car les saints ne sont que des créatures, et l'idolâtrie consiste à rendre à la créature le culte qui n'est dû qu'au Créateur.
D : Peut-on les honorer et les invoquer ?
R : Oui, on peut et on doit les honorer comme les amis de Dieu, et il est utile de les invoquer comme nos protecteurs auprès de Lui.
1°) Nous devons honorer les Saints : c'est une conséquence nécessaire de la communion des Saints dont il est parlé dans le Symbole des apôtres ; en effet, s'il est vrai que l'Église triomphante et l'Église militante ne forment point deux Églises différentes, mais une seule et même Église, une seule et même société, n'est-il pas dans l'ordre de rendre un honneur particulier à ceux qui en sont les principaux ornements ? Dans toute société, n'honore-t-on pas d'une manière spéciale ceux qui se font remarquer par vertus ? N'est-ce pas une règle puisée dans le sens commun de tous les hommes, que les membres d'un même corps se doivent une considération mutuelle plus ou moins grande, à proportion du sang qu'ils occupent ? D'ailleurs c'est Dieu, c'est Jésus-Christ Lui-même que nous révérons dans ses Saints qui ne sont que la prolongation de son action et de sa vie. Les Saints sont les amis de Dieu, qui pour les récompenser de leur fidélité à sa loi, les a élevés au faîte de la gloire ; ils sont assis sur des trônes, et leur front est orné brillant diadème ; nous devons donc les respecter, les vénérer. Le culte que nous rendons aux saints s'appelle : le culte de dulie. Aussi l'Église, qui est la colonne et le fondement de la Vérité, a rendu dès les temps apostoliques et nous apprend à rendre aux Saints un culte religieux ; elle a institué des fêtes en leur honneur ; elle célèbre leurs vertus dans des hymnes ; elle bâtit des temples, consacre des autels sous leurs noms : ne serait-ce pas une impiété que d'oser s'élever, comme le font les protestants, contre cette conduite de l'Épouse de Jésus-Christ ?
2°) Il est utile d'invoquer les Saints et de recourir à leur intercession, afin d'obtenir de Dieu les grâces qui nous sont nécessaires ; c'est ce qui fut pratiqué dans l'Église, dès les premiers siècles. « Glorieux martyrs, s'écriait saint Ephrem, secourez-moi de vos prières, afin que je trouve miséricorde au jour du jugement.» — « O Saints du ciel, disait Origène, je vous implore ; tombez aux pieds du Dieu des miséricordes pour moi, misérable pécheur. » Il y a une grande différence entre les prières que nous adressons à Dieu et celles que nous adressons aux Saints : nous demandons à Dieu qu'il nous soit propice, qu'il nous délivre, qu'il nous sauve ; nous demandons aux Saints qu'ils prient pour nous, qu'ils intercèdent pour nous ; nous nous adressons à Dieu comme à la source, à l'auteur même de la grâce, pour que Lui-même nous donne ce que réclament nos besoins ; nous nous adressons aux Saints comme à des serviteurs agréables à leur maître, à des amis heureux et couronnés, pour qu'ils nous obtiennent, par leur crédit auprès de Dieu, ce que Dieu seul peut donner.
D : Devons-nous honorer la sainte Vierge d'un culte particulier et d'une confiance plus grande que celle dont nous honorons les Saints ?
R : Oui, parce que en sa qualité de Mère de Dieu, elle est incomparablement supérieure aux Anges et aux Saints, et qu'elle a plus de pouvoir auprès de Lui.
1°) Marie est plus sainte que tous les Anges et tous les Saints ensemble ; elle tient dans le ciel le premier rang après Jésus-Christ, son divin Fils ; Dieu seul est au-dessus d'elle ; tout ce qui n'est pas Dieu est à ses pieds. Nous devons donc l'honorer d'une manière toute particulière et lui rendre des hommages plus profonds qu'aux autres Saints. Le culte spécial que nous rendons à la Mère de Dieu s'appelle hyperdulie, ce qui veut dire culte, qui est au-dessus de celui que nous rendons aux Saints.
2°) Quel que soit le crédit dont les Saints jouissent dans le ciel auprès de Dieu, il n'est rien en comparaison de celui de Marie ; cette Vierge sainte peut tout sur le cœur de son Fils, qui ne désire rien tant que de donner à sa sainte Mère des marques de sa déférence. Le pouvoir de Marie est immense ; il est en quelque sorte infini comme le pouvoir de Dieu même ; elle a en effet à sa disposition tous les trésors de la grâce et de la gloire, et elle peut y puiser a son gré en faveur des mortels qui sont ses enfants. Nous devons donc tout espérer de la puissante intercession de Marie, et l'honorer d'une confiance plus grande que celle dont nous honorons les Saints.
D : Est-il permis d'honorer les reliques des Saints ?
R : Oui, parce que leurs corps ont été les temples du Saint-Esprit, et qu'ils doivent un jour ressusciter glorieux.
On entend par reliques d'un Saint ce qui reste de son corps après sa mort, ses os, ses cendres ; on donne aussi le nom de reliques aux objets qui ont appartenu à un Saint ; par exemple, à ses vêtements. L'Église a, dans tous les temps, traité avec un profond respect les reliques des Saints, et elle les a toujours eues en grande vénération, parce que ce sont les restes précieux de leurs corps, où le Saint-Esprit daigne habiter, qu'il sanctifia par sa présence, et qui doivent, à la fin du monde, ressusciter pour la vie éternelle. « Dieu, dit le concile de Trente, a accordé, par les ossements des Saints, plusieurs faveurs aux hommes ; et par là il a fait voir combien le culte que nous leur rendons est agréable à ses yeux » Lorsque, dans les beaux jours de l'Église naissante, les fidèles appliquaient aux malades les mouchoirs et les linges qui avaient touché le corps de saint Paul, ils rendaient à ces mouchoirs et à ces linges un véritable honneur, par cela même qu'ils s'en servaient pour obtenir des effets supérieurs aux lois de la nature. Si cet honneur avait déplu à Dieu, l'aurait-il autorisé par des miracles ? Cependant il l'a fait, puisque l'application de ces mouchoirs et de ces linges procurait aux malades la guérison, aux possédés la délivrance. De semblables se sont renouvelés dans tous les siècles de l'Église, en sorte qu'on peut dire que si la vénération des reliques des Saints était une erreur, ce serait Dieu Lui-même qui nous y aurait constamment induits.
D : Quelles reliques peut-on exposer à la vénération des fidèles ?
R : Il n'est permis d'exposer à la vénération des fidèles que les reliques des saints dont l'authenticité a été reconnue par l'évêque.
Il n'est pas permis d'honorer d'un culte public les reliques des personnages morts en odeur de sainteté, mais qui n'ont été ni canonisés ni béatifiés par l'Église : on peut, tout au plus, les honorer d'un culte privé.
On ne doit exposer à la vénération des fidèles aucune relique dont l'authenticité ne soit pas suffisamment constatée. Les reliques douteuses ne peuvent être l'objet d'un culte religieux, qu'il soit public ou privé.
D : Est-il permis d'honorer les images de Jésus-Christ, de la sainte Vierge et des Saints ?
R : Oui, et cette pratique a toujours été en usage dans l'Église.
Une image est la représentation sculptée, gravée ou peinte, de Jésus-Christ, de la sainte Vierge, des Saints, ou de quelque trait de leur vie. L'Église a autorisé le culte des saintes images, parce qu'elle en a reconnu la grande utilité. En effet, les histoires des mystères de notre rédemption, représentées par la peinture ou d'autre manière, instruisent le peuple, en lui rappelant les articles de foi, et le maintiennent dans la pratique de s'en occuper assidûment. On retire d'ailleurs une grande édification de toutes les saintes images, parce qu'elles mettent sous les yeux des fidèles les merveilles que Dieu a opérées par les Saints, les exemples salutaires que les Saints nous donnés, afin que les fidèles en rendent grâce à Dieu, prennent les Saints pour modèles de leur vie et de leur conduite, et soient excités à adorer Dieu et à l'aimer. Voilà pourquoi l'Église a autorisé le culte des saintes images ; et parce qu'il est impossible de révoquer en doute que Dieu, dans tous les siècles, ait opéré des merveilles sur de saintes images, ait par elles accordé plusieurs faveurs aux hommes, on ne peut s'empêcher de dire, comme on l'a déjà dit des reliques, que si l'usage et la vénération des saintes images était une erreur, Dieu Lui-même nous y aurait induits. On appelle miraculeuses les images par lesquelles ou devant lesquelles Dieu, pour récompenser la foi de ses serviteurs, a fait quelques miracles.
D : A quoi se rapporte le culte que nous rendons aux images ?
R : Il se rapporte à l'objet que ces images représentent.
Lorsque nous donnons aux saintes images des marques de respect et de vénération, ce n'est point évidemment la matière dont elles sont faites, comme l'or, l'argent, la pierre, le plâtre, le bois, la toile ou le papier, que nous honorons, mais c'est ce qui est représenté par cette image ; l'honneur que nous leur rendons se rapporte aux objets dont elles nous rappellent le souvenir ; en sorte que lorsque nous honorons l'image de Jésus-Christ c'est Lui-même que nous honorons ; lorsque nous honorons l'image de la sainte Vierge, de saint Pierre, de saint Paul, de notre saint patron, etc., c'est la sainte Vierge, saint Pierre, saint Paul ou notre saint patron, que nous honorons. Et qui serait assez stupide pour mettre sa confiance dans la pierre ou dans le bois, et leur supposer quelque vertu, quelque puissance ? Cependant, lorsque Dieu a déjà fait éclater devant quelque image les effets de sa miséricorde, il est tout naturel de prier devant cette image avec plus de confiance ; le souvenir des bienfaits que d'autres ont reçus est bien propre par lui-même à ranimer la foi et à exciter la piété : et plus la foi est vive, plus la piété est grande, et plus le Seigneur est disposé à exaucer les vœux qui lui adressés.
D : Quand nous nous prosternons devant une croix, est-ce la croix que nous adorons ?
R : Non quand nous nous prosternons devant une croix, une portion de la vraie croix, et tout ce qui a servi à la Passion du Sauveur, c'est Jésus-Christ mort en croix que nous adorons.
La représentation de la Croix à laquelle Jésus-Christ a été crucifié ; une portion de la vraie Croix, c'est-à-dire de la croix même sur laquelle le divin Sauveur a rendu le dernier soupir ; les clous qui percèrent Ses Mains et Ses Pieds, et tous les autres instruments de sa Passion, sont des objets bien dignes, assurément, de notre vénération et de nos respects. Toutefois, quand nous honorons ces objets, que nous les baisons, que nous nous découvrons devant eux, c'est à Jésus-Christ Lui-même que ces hommages se rapportent. Quand, par exemple, nous nous prosternons devant la croix, que nous l'adorons, nous adorons Jésus-Christ, qui est mort sur la croix pour notre salut.
http://www.fatima.be/fr/sanctus/prieres/cate43.php
Michael- Dans la prière
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Re: LE CULTE DES SAINTS, DES RELIQUES ET DES IMAGES.
Merci Michael, trés heureuse de ton retour même si ne n`est que de passage. Merci également pour ton texte que j`ai bien apprécié et de pouvoir aussi compter sur toi.
Merci Malou pour tes priéres, je suis aussi en union de priéres avec toi.
Amitiés
Manuela.
Merci Malou pour tes priéres, je suis aussi en union de priéres avec toi.
Amitiés
Manuela.
Manuela- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
- Messages : 4187
Localisation : Elancourt dans les Yvelines
Inscription : 21/03/2010
Re: LE CULTE DES SAINTS, DES RELIQUES ET DES IMAGES.
Ne croyez-vous pas qu'on exagère avec les images de Jésus Christ?? L'Ehucharistie ne suffit-elle pas? Je vois la photo de Robert Powell partout (même chez des Hindous, qui honorent Jésus) et les gens la prennent pour la photo du Christ.
may80- Avec l'Archange Saint Michel
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Re: LE CULTE DES SAINTS, DES RELIQUES ET DES IMAGES.
Ma maman a aussi une photo de l'acteur Robert Powell, qui a fait Jésus dans ce film.
Je préfère les photos de Jésus miraculeuses, ou révélées à des mystiques, qui se révèlent être plus près de la réalité.
Pour Robert Powell, le voici, avant, et après.
En Jésus de Nazareth:
Et maintenant, aujourd'hui, beaucoup plus âgé. L'auriez-vous reconnu? J'ai montré ces images ci-dessous à ma maman, qui aime tant l'image du film, et elle n'a jamais pu reconnaître l'acteur de la photo qu'elle aime tant.
Je préfère les photos de Jésus miraculeuses, ou révélées à des mystiques, qui se révèlent être plus près de la réalité.
Pour Robert Powell, le voici, avant, et après.
En Jésus de Nazareth:
Et maintenant, aujourd'hui, beaucoup plus âgé. L'auriez-vous reconnu? J'ai montré ces images ci-dessous à ma maman, qui aime tant l'image du film, et elle n'a jamais pu reconnaître l'acteur de la photo qu'elle aime tant.
Dernière édition par Emmanuel le Lun 13 Aoû 2012 - 12:17, édité 1 fois
Re: LE CULTE DES SAINTS, DES RELIQUES ET DES IMAGES.
Une belle image de Jésus tirée du Saint-Suaire, et retouchée par la NASA:
Plusieurs images miraculeuses de Jésus:
http://rosaire-de-marie.fr/images-miraculeuses.htm
Plusieurs images miraculeuses de Jésus:
http://rosaire-de-marie.fr/images-miraculeuses.htm
Re: LE CULTE DES SAINTS, DES RELIQUES ET DES IMAGES.
moi aussi j'aime beaucoup l'acteur qui a interprété Jésus, cette photo aussi comme ta maman Emmanuel je l'aime beaucoup, C'est vrai,n'est pas facile de le reconnaitre,
mais je me represente Jésus comme la photo du Saint Suaire et aussi ll photo de Jésus Miséricordieux à Soeur Faustine, ce regard qui nous transperce le coeur de son amour.
Violaine
mais je me represente Jésus comme la photo du Saint Suaire et aussi ll photo de Jésus Miséricordieux à Soeur Faustine, ce regard qui nous transperce le coeur de son amour.
Violaine
violaine- Avec les anges
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Re: LE CULTE DES SAINTS, DES RELIQUES ET DES IMAGES.
Il faut dire que jouer Jésus dans un film est presque une mission impossible. Jamais, on ne pourra reproduire l'Amour la douceur, la beauté, la sainteté de Notre-Seigneur, pour un film. Toujours, il manquera quelque chose, et c'est normal.
Ainsi, je crois que Robert Powell, dans son rôle dans le film de Zefirelli, s'en est très bien sorti. Il donne une image de profondeur, d'austérité, d'esprit de prière, et je crois qu'il a fait une belle représentation de Notre-Seigneur, au mieux de ses capacités.
Ainsi, je crois que Robert Powell, dans son rôle dans le film de Zefirelli, s'en est très bien sorti. Il donne une image de profondeur, d'austérité, d'esprit de prière, et je crois qu'il a fait une belle représentation de Notre-Seigneur, au mieux de ses capacités.
Re: LE CULTE DES SAINTS, DES RELIQUES ET DES IMAGES.
En tout cas, celui de La Passion du Christ l'incarne vraiment bien.
Même son épouse le trouvait méconnaissable.
Jim Caviezel a d'ailleurs eu ce rôle, dit-il, grâce à Medjugorje.
Voir l'extrait d'interview dans Stella Maris à l'époque de la sortie du film :
Pour la Radio «Mir» Medjugorje, Jim et son épouse Kerri ont parlé de leur expérience vécue lors du tournage de ce film.
Voici quelques extraits:
Jim Caviezel: «J’ai entendu parler de Medjugorje pour la première fois quand j’étais en cinquième ou sixième classe. D’abord on nous a dit que c’était comme les apparitions de Fatima, de Guadeloupe et de Lourdes, mais rapidement, l’évêque déclara qu’elles n’étaient pas authentiques. En tant que catholique obéissant, j’ai accepté ce qu’on me disait.
Plusieurs années plus tard j’ai rencontré ma femme; nous nous sommes mariés, et puis, elle est allée à Medjugorje. Pendant qu’elle y était, j’étais en Irlande pour le tournage du film «Le Comte de Monte Cristo». Elle m’a téléphoné, j’ai ressenti un changement dans sa voix, mais je ne m’y suis pas attardé en pensant: «Qui suis-je pour me mêler de son expérience spirituelle?»
Elle m’a dit qu’Ivan Dragicevic venait en Irlande. Je l’ai rencontré plusieurs fois et lors d’une apparition j’ai senti une présence physique.
Ivan m’a dit deux choses qui m’ont vraiment impressionné: «Jim, on trouve du temps pour ce qu’on aime», et «L’homme ne trouve pas de temps pour Dieu parce qu’il ne l’aime pas».
Puis, il m’a parlé de la prière du cœur. Pour moi, c’était comme le début d’une mission: toujours prier avec le cœur.»
Kerri Caviezel: «J’étais en septième classe, et notre prêtre nous a montré le film dans lequel on voyait des enfants pendant l’apparition. Il nous a dit que c’était véridique. Nous étions dans une communauté catholique mixte, où il y avait surtout des Croates et des Italiens. Ma grand-mère est une Croate à 100%. Il ne me semblait pas difficile d’y croire. Il m’a fallu 15 ans pour venir ici. Quand je suis venue, j’ai tout de suite su, à cause de ce que j’ai ressenti dans le cœur, que c’était vrai. Je n’ai pas vu de signe ni rien de semblable mais, bien que j’aie toujours été catholique, je n’ai jamais ressenti dans la confession quelque chose de semblable à ce que j’ai vécu ici. Ce fut une guérison incroyable.»
A propos du rôle de Jésus Christ dans le film:
Jim Caviezel: «J’ai reçu ce rôle grâce à Medjugorje, grâce à la Gospa. Lors des préparatifs, j’ai utilisé tout ce que j’ai appris par Medjugorje.
Mel Gibson et moi-même sommes allés chaque jour ensemble à la messe. Certains jours, je ne l’ai pas pu, mais j’ai reçu la communion. A cette époque, j’ai entendu dire que le Pape se confessait chaque jour, et j’ai pensé que, moi aussi, je devrais me confesser aussi souvent que possible. Je ne voulais pas que Lucifer puisse en quoi que ce soit contrôler ce que je faisais.
Nous péchons par action, mais aussi par omission. Mon péché permanent est de ne pas assez aimer. C’est ainsi que la confession est devenue ma préparation pour la communion.
Ivan Dragicevic et sa femme Laureen m’ont donné un petit morceau de la vraie Croix. Je l’avais tout le temps sur moi. On a même cousu une petite pochette spéciale pour cela dans mes vêtements. J’avais sur moi aussi des reliques du Padre Pio, de St Antoine de Padoue, de Ste Maria Goretti, et de St Denis, patron des comédiens. J’ai aussi jeûné. J’ai lu des messages de la Gospa tout le temps. On pouvait me voir tous les jours le chapelet à la main.»
Kerri Caviezel: «Quand je l’ai vu pour la première fois avec la croix, quand il était maquillé, il ne ressemblait pas à mon mari, il ressemblait au Christ! Le maquillage a été fait sur le modèle du Saint Suaire de Turin, pour avoir exactement ce visage-là. C’était tellement réel que les gens l’ont regardé comme ils ont probablement regardé le Christ : certains pleins de respect, d’autres indifférents, d’autres encore en se moquant.
Cela nous a frappés tous les deux: nous avons compris à notre petit niveau comment cela a pu se passer. Tout cela a influencé notre vie personnelle; je pense que Jim a compris le poids de ce rôle.
Jamais dans sa vie il ne fera rien de plus important que cela.»
Même son épouse le trouvait méconnaissable.
Jim Caviezel a d'ailleurs eu ce rôle, dit-il, grâce à Medjugorje.
Voir l'extrait d'interview dans Stella Maris à l'époque de la sortie du film :
Pour la Radio «Mir» Medjugorje, Jim et son épouse Kerri ont parlé de leur expérience vécue lors du tournage de ce film.
Voici quelques extraits:
Jim Caviezel: «J’ai entendu parler de Medjugorje pour la première fois quand j’étais en cinquième ou sixième classe. D’abord on nous a dit que c’était comme les apparitions de Fatima, de Guadeloupe et de Lourdes, mais rapidement, l’évêque déclara qu’elles n’étaient pas authentiques. En tant que catholique obéissant, j’ai accepté ce qu’on me disait.
Plusieurs années plus tard j’ai rencontré ma femme; nous nous sommes mariés, et puis, elle est allée à Medjugorje. Pendant qu’elle y était, j’étais en Irlande pour le tournage du film «Le Comte de Monte Cristo». Elle m’a téléphoné, j’ai ressenti un changement dans sa voix, mais je ne m’y suis pas attardé en pensant: «Qui suis-je pour me mêler de son expérience spirituelle?»
Elle m’a dit qu’Ivan Dragicevic venait en Irlande. Je l’ai rencontré plusieurs fois et lors d’une apparition j’ai senti une présence physique.
Ivan m’a dit deux choses qui m’ont vraiment impressionné: «Jim, on trouve du temps pour ce qu’on aime», et «L’homme ne trouve pas de temps pour Dieu parce qu’il ne l’aime pas».
Puis, il m’a parlé de la prière du cœur. Pour moi, c’était comme le début d’une mission: toujours prier avec le cœur.»
Kerri Caviezel: «J’étais en septième classe, et notre prêtre nous a montré le film dans lequel on voyait des enfants pendant l’apparition. Il nous a dit que c’était véridique. Nous étions dans une communauté catholique mixte, où il y avait surtout des Croates et des Italiens. Ma grand-mère est une Croate à 100%. Il ne me semblait pas difficile d’y croire. Il m’a fallu 15 ans pour venir ici. Quand je suis venue, j’ai tout de suite su, à cause de ce que j’ai ressenti dans le cœur, que c’était vrai. Je n’ai pas vu de signe ni rien de semblable mais, bien que j’aie toujours été catholique, je n’ai jamais ressenti dans la confession quelque chose de semblable à ce que j’ai vécu ici. Ce fut une guérison incroyable.»
A propos du rôle de Jésus Christ dans le film:
Jim Caviezel: «J’ai reçu ce rôle grâce à Medjugorje, grâce à la Gospa. Lors des préparatifs, j’ai utilisé tout ce que j’ai appris par Medjugorje.
Mel Gibson et moi-même sommes allés chaque jour ensemble à la messe. Certains jours, je ne l’ai pas pu, mais j’ai reçu la communion. A cette époque, j’ai entendu dire que le Pape se confessait chaque jour, et j’ai pensé que, moi aussi, je devrais me confesser aussi souvent que possible. Je ne voulais pas que Lucifer puisse en quoi que ce soit contrôler ce que je faisais.
Nous péchons par action, mais aussi par omission. Mon péché permanent est de ne pas assez aimer. C’est ainsi que la confession est devenue ma préparation pour la communion.
Ivan Dragicevic et sa femme Laureen m’ont donné un petit morceau de la vraie Croix. Je l’avais tout le temps sur moi. On a même cousu une petite pochette spéciale pour cela dans mes vêtements. J’avais sur moi aussi des reliques du Padre Pio, de St Antoine de Padoue, de Ste Maria Goretti, et de St Denis, patron des comédiens. J’ai aussi jeûné. J’ai lu des messages de la Gospa tout le temps. On pouvait me voir tous les jours le chapelet à la main.»
Kerri Caviezel: «Quand je l’ai vu pour la première fois avec la croix, quand il était maquillé, il ne ressemblait pas à mon mari, il ressemblait au Christ! Le maquillage a été fait sur le modèle du Saint Suaire de Turin, pour avoir exactement ce visage-là. C’était tellement réel que les gens l’ont regardé comme ils ont probablement regardé le Christ : certains pleins de respect, d’autres indifférents, d’autres encore en se moquant.
Cela nous a frappés tous les deux: nous avons compris à notre petit niveau comment cela a pu se passer. Tout cela a influencé notre vie personnelle; je pense que Jim a compris le poids de ce rôle.
Jamais dans sa vie il ne fera rien de plus important que cela.»
Re: LE CULTE DES SAINTS, DES RELIQUES ET DES IMAGES.
Jim Caviezel: «J’ai reçu ce rôle grâce à Medjugorje, grâce à la Gospa. Lors des préparatifs, j’ai utilisé tout ce que j’ai appris par Medjugorje.
Mel Gibson et moi-même sommes allés chaque jour ensemble à la messe. Certains jours, je ne l’ai pas pu, mais j’ai reçu la communion. A cette époque, j’ai entendu dire que le Pape se confessait chaque jour, et j’ai pensé que, moi aussi, je devrais me confesser aussi souvent que possible. Je ne voulais pas que Lucifer puisse en quoi que ce soit contrôler ce que je faisais.
Nous péchons par action, mais aussi par omission. Mon péché permanent est de ne pas assez aimer. C’est ainsi que la confession est devenue ma préparation pour la communion.
Kerri Caviezel: «Quand je l’ai vu pour la première fois avec la croix, quand il était maquillé, il ne ressemblait pas à mon mari, il ressemblait au Christ! Le maquillage a été fait sur le modèle du Saint Suaire de Turin, pour avoir exactement ce visage-là. C’était tellement réel que les gens l’ont regardé comme ils ont probablement regardé le Christ : certains pleins de respect, d’autres indifférents, d’autres encore en se moquant.
Effectivement,c'est bien réussi.La ressemblance est frappante.Quel film extraordinaire ''La passion du Christ''
Michael- Dans la prière
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Re: LE CULTE DES SAINTS, DES RELIQUES ET DES IMAGES.
Bonjour,
J'ai remarqué aussi que beaucoup de ceux qui ont incarné Jésus à l'écran n'en sont pas sortis indemnes...Cet acteur par exemple Jim Caviezel n'a plus jamais eu la même vie après. Il a adopté 2 enfants Chinois porteurs d'une tumeur au cerveau, son épouse et lui les ont choisis délibérément, l'un est mort l'autre guéri.
J'ai appris que certains étaient morts à 33 ans mais je n'ai pas les faits précis.
En tout cas, ils ont tous été touchés d'une manière ou d'une autre....
En effet, beau film la Passion du Christ, même s'il a été décrié par certains.
Malou
J'ai remarqué aussi que beaucoup de ceux qui ont incarné Jésus à l'écran n'en sont pas sortis indemnes...Cet acteur par exemple Jim Caviezel n'a plus jamais eu la même vie après. Il a adopté 2 enfants Chinois porteurs d'une tumeur au cerveau, son épouse et lui les ont choisis délibérément, l'un est mort l'autre guéri.
J'ai appris que certains étaient morts à 33 ans mais je n'ai pas les faits précis.
En tout cas, ils ont tous été touchés d'une manière ou d'une autre....
En effet, beau film la Passion du Christ, même s'il a été décrié par certains.
Malou
Re: LE CULTE DES SAINTS, DES RELIQUES ET DES IMAGES.
Durant le tournage du film, Jim Caviezel a aussi beaucoup souffert:
http://www.cinemotions.com/article/468Le tournage a été une succession d’extrêmes pour Jim Caviezel, atteignant un point culminant quand, moment le plus dramatique du tournage, Caviezel et l’assistant-réalisateur Jan Michelini, ont été frappé par la foudre alors qu’on tournait une scène pendant un orage. L’éclair a frappé le parapluie de Michelini, atteignant ce dernier et James Caviezel… sans laisser, miraculeusement, une seule égratignure aux deux hommes.
Caviezel devait subir un grand stress physique et mental tout au long de la production – il a souffert d’une infection pulmonaire et d’une très douloureuse dislocation de l’épaule ainsi que de nombreuses coupures et ecchymoses. « Si je n’avais pas subi toutes ces épreuves, les souffrances que je devais exprimer à l’écran n’auraient jamais été authentiques. Je devais les vivre », affirme-t-il.
L’acteur a dû relever de nombreux défis sur le plan psychologique et spirituel, auxquels il ne s’attendait pas. « C’était bizarre, admet-il. Je me disais que je n’étais qu’un simple comédien qui joue son rôle, mais plus le temps passait et plus je me disais qu’il ne pouvait s’agir d’un simple rôle. Je n’aurais jamais cru que j’allais devoir autant prier au cours du tournage pour ne pas perdre le sens des proportions », dit-il.
Re: LE CULTE DES SAINTS, DES RELIQUES ET DES IMAGES.
Une artiste internationale de talent qui a sauté une coche.Sinead O'Connor
Son image et sa carrière en ont pris un coup!!!
Elle a déchiré la photo du Pape Jean-Paul II à l’émission Saturday Night Live,le 3 octobre 1992, devant 50 millions d'Américains.
Les gens l'attendaient de pied ferme quelques jours plus tard et elle sera conspuée lors d’un concert en hommage à Bob Dylan et obligée de quitter la scène sous les huées de la foule.
Son image et sa carrière en ont pris un coup!!!
Elle a déchiré la photo du Pape Jean-Paul II à l’émission Saturday Night Live,le 3 octobre 1992, devant 50 millions d'Américains.
Les gens l'attendaient de pied ferme quelques jours plus tard et elle sera conspuée lors d’un concert en hommage à Bob Dylan et obligée de quitter la scène sous les huées de la foule.
Michael- Dans la prière
- Messages : 5204
Inscription : 08/03/2009
Re: LE CULTE DES SAINTS, DES RELIQUES ET DES IMAGES.
Peut être aurai-je fait la même chose que les spectateurs car i fallait marque r le coup mais quand on regarde le parcours de cette chanteuse de loin, après avoir lu qu'elle est l'exacte antithèse de Michael Jackson. Abusée par sa mère, elle a décide de rendre coup pour coup. Pop star par erreur, elle se rêve en rebelle et vit en se moquant du qu'en dira-t-on. On comprend qu'elle soit perturbée....Sa vie a été plus que chaotique...
Depuis elle a terminé sa carrière par un album "Theology" en 2007 (dont song of Jerusalem et 33), très spirituel et se dit rebelle par accident, que Dieu l'a faite comme ça (interview récente sur Telerama).
Depuis elle a terminé sa carrière par un album "Theology" en 2007 (dont song of Jerusalem et 33), très spirituel et se dit rebelle par accident, que Dieu l'a faite comme ça (interview récente sur Telerama).
Re: LE CULTE DES SAINTS, DES RELIQUES ET DES IMAGES.
Même si le Code de Droit canonique parle sans hésiter du culte de Dieu et des saints, il vaut mieux distinguer le culte réservé à Dieu et la dévotion ou la vénération envers les saints. La Constitution sur la sainte liturgie de Vatican II (N° 104) l’exprimait ainsi :
« L’Église a introduit dans le cycle annuel les mémoires des martyrs et des autres saints qui, élevés à la perfection par la grâce multiforme de Dieu et ayant obtenu possession du salut éternel, chantent à Dieu dans le ciel une louange parfaite et intercèdent pour nous. Dans les anniversaires des saints, l’Église proclame le mystère pascal en ces saints qui ont souffert avec le Christ et ont été glorifiés avec lui, et elle propose aux fidèles leurs exemples qui les attirent tous au Père par le Christ, et par leurs mérites elle obtient les bienfaits de Dieu. »
Célébrer des saints, c’est donc célébrer la Pâque de Jésus-Christ qui a pénétré la vie de croyants et y a porté des fruits de sainteté à la gloire de Dieu. Dans le Corps du Christ on ne peut séparer la Tête et les membres, et la sainteté des membres renvoie à la Tête. La vénération portée aux saints devient un culte rendu au Christ vivant en eux et répandant en eux la richesse de sa grâce. La vie des saints présente quantité d’exemples que nous sommes invités à imiter : c’est ce que nous cherchons le plus souvent dans leur vie ou leurs écrits. Ils sont des témoins : les regarder, les écouter est une manière de méditer l’Évangile qui s’est concrétisé dans les conditions particulières de leur vie.
Entre nous, le Christ crée une solidarité spirituelle : « la communion des saints ». L’amour que nous nous portons les uns aux autres nous fait porter, dans la prière, le souvenir de nos frères. Plus encore, en suscitant la participation de tous à son œuvre de salut, le Christ nous relie les uns aux autres et nous rend, en Lui, acteurs et responsables de la sanctification de nos frères.
Dans cette communion des saints, nous, les vivants, nous prions les uns pour les autres ; nous prions pour nos défunts, afin que s’achève leur adaptation à la sainteté de Dieu ; les saints n’ont plus besoin de notre intercession, mais avec cette charité qui leur vient de Dieu, ils continuent à intercéder pour nous. S’il est vrai que nous ignorons comment fonctionne cette solidarité spirituelle, cependant nous savons qu’elle existe par la générosité divine.
Bernard Soudé
« Tu es glorifié dans l’assemblée des saints : quand tu couronnes leurs mérites, tu couronnes tes propres dons. Dans leur vie tu nous procures un modèle, dans la communion avec eux une famille, et dans leur intercession un appui ; afin que soutenus par cette foule immense de témoins, nous courions jusqu’au bout de l’épreuve qui nous est proposée... » (1e Préface des saints)
Article extrait de la revue Célébrer,
http://www.liturgiecatholique.fr/Le-culte-des-saints.html
« L’Église a introduit dans le cycle annuel les mémoires des martyrs et des autres saints qui, élevés à la perfection par la grâce multiforme de Dieu et ayant obtenu possession du salut éternel, chantent à Dieu dans le ciel une louange parfaite et intercèdent pour nous. Dans les anniversaires des saints, l’Église proclame le mystère pascal en ces saints qui ont souffert avec le Christ et ont été glorifiés avec lui, et elle propose aux fidèles leurs exemples qui les attirent tous au Père par le Christ, et par leurs mérites elle obtient les bienfaits de Dieu. »
Célébrer des saints, c’est donc célébrer la Pâque de Jésus-Christ qui a pénétré la vie de croyants et y a porté des fruits de sainteté à la gloire de Dieu. Dans le Corps du Christ on ne peut séparer la Tête et les membres, et la sainteté des membres renvoie à la Tête. La vénération portée aux saints devient un culte rendu au Christ vivant en eux et répandant en eux la richesse de sa grâce. La vie des saints présente quantité d’exemples que nous sommes invités à imiter : c’est ce que nous cherchons le plus souvent dans leur vie ou leurs écrits. Ils sont des témoins : les regarder, les écouter est une manière de méditer l’Évangile qui s’est concrétisé dans les conditions particulières de leur vie.
Entre nous, le Christ crée une solidarité spirituelle : « la communion des saints ». L’amour que nous nous portons les uns aux autres nous fait porter, dans la prière, le souvenir de nos frères. Plus encore, en suscitant la participation de tous à son œuvre de salut, le Christ nous relie les uns aux autres et nous rend, en Lui, acteurs et responsables de la sanctification de nos frères.
Dans cette communion des saints, nous, les vivants, nous prions les uns pour les autres ; nous prions pour nos défunts, afin que s’achève leur adaptation à la sainteté de Dieu ; les saints n’ont plus besoin de notre intercession, mais avec cette charité qui leur vient de Dieu, ils continuent à intercéder pour nous. S’il est vrai que nous ignorons comment fonctionne cette solidarité spirituelle, cependant nous savons qu’elle existe par la générosité divine.
Bernard Soudé
« Tu es glorifié dans l’assemblée des saints : quand tu couronnes leurs mérites, tu couronnes tes propres dons. Dans leur vie tu nous procures un modèle, dans la communion avec eux une famille, et dans leur intercession un appui ; afin que soutenus par cette foule immense de témoins, nous courions jusqu’au bout de l’épreuve qui nous est proposée... » (1e Préface des saints)
Article extrait de la revue Célébrer,
http://www.liturgiecatholique.fr/Le-culte-des-saints.html
Michael- Dans la prière
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