Appel du Dr Didier Moulinier- Cancérologue
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Appel du Dr Didier Moulinier- Cancérologue
Urgent : faites circuler cette vidéo sur le web svp (pétition en ligne à venir... ?)
Dr Didier MOULINIER Bordeaux Cauderan par f1540337340
En UDP pour le Dr Moulinier
Dr Didier MOULINIER Bordeaux Cauderan par f1540337340
En UDP pour le Dr Moulinier
Invité- Invité
Re: Appel du Dr Didier Moulinier- Cancérologue
Merci Anne, ce témoignage donne à réflechir sérieusement.
Pour faire circuler la vidéo sur le web j`ai une certaine difficulté mais je souhaite que d`autres qui savent le faire n`hésitent pas.
Si il y aura une pétition je signe.
Amitiés,
Manuela.
Pour faire circuler la vidéo sur le web j`ai une certaine difficulté mais je souhaite que d`autres qui savent le faire n`hésitent pas.
Si il y aura une pétition je signe.
Amitiés,
Manuela.
Manuela- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
- Messages : 4187
Localisation : Elancourt dans les Yvelines
Inscription : 21/03/2010
Re: Appel du Dr Didier Moulinier- Cancérologue
Merci Anne. C'est fait, j'ai diffusé au maximum !
Pauvre homme ! Prions pour lui.
C'est vrai il a raison des médecins se suicident, tellement ils sont harcelés, j'ai perdu mon meilleur médecin comme ça....Paix à son âme !
Pauvre homme ! Prions pour lui.
C'est vrai il a raison des médecins se suicident, tellement ils sont harcelés, j'ai perdu mon meilleur médecin comme ça....Paix à son âme !
Re: Appel du Dr Didier Moulinier- Cancérologue
Chaque personne devrait avoir le droit de choisir de quelle façon elle veut se soigner, médecine douce ou chimique, ce qui n'est pas le cas actuellement. Notre corps nous appartient ou plutôt appartient à notre créateur Dieu et non aux hommes qui décident ce qui n'est pas forcément bon pour nous.
Je suis de tout coeur avec ce médecin et je le comprends très bien.
Je suis de tout coeur avec ce médecin et je le comprends très bien.
PierreII- J'adore l'Eucharistie
- Messages : 299
Localisation : France
Inscription : 03/05/2012
Re: Appel du Dr Didier Moulinier- Cancérologue
Bonjour les âmis, oui, soutenons le Dr Didier Moulinier autant que nous pouvons le faire. Les français subissent la dictature de l'ordre des médecins et des lobbies pharmaceutiques. Dans d'autres pays, dont l'Allemagne, la Suisse, pour ne nommer qu'eux, il en est tout autrement car les médecines douces y sont reconnues.
A défaut pouvoir nous rendre à son procès le 12 juin, nous restons dans l'attente d'une pétition en ligne (qui ne se peut sans son consentement) et permettrait de le soutenir à distance. (Si), dès qu'elle apparaîtra, je vous la transmettrai.
Que tant d'autres médecins aient mis fin à leurs jours (dont le tien, Malou, paix à l'âme de ce médecin de bonne volonté, martyr de ce système) suite aux terribles pressions, dont pour la plupart, l'interdiction de continuer à pratiquer, ne peut perdurer. Cela nous concerne tous.
Puisque ce ne sont pas les résultats des traitements qui sont considérés, on peut en conclure que la médecine consisterait, non à guérir le malade, mais à suivre le seul dictat dit "protocole", quand bien même il ne guérit pas, et même dans certains cas, tout le contraire.
J'ai trouvé ceci en surfant sur le web, qui interpelle --- ("ils" ont donc remis le couvert ):
Suite et Source : http://www.medecines-douces.com/impatient/272nov00/justice.htm
Merci Malou d'avoir diffusé abondamment la vidéo.
En UDP.
A défaut pouvoir nous rendre à son procès le 12 juin, nous restons dans l'attente d'une pétition en ligne (qui ne se peut sans son consentement) et permettrait de le soutenir à distance. (Si), dès qu'elle apparaîtra, je vous la transmettrai.
Que tant d'autres médecins aient mis fin à leurs jours (dont le tien, Malou, paix à l'âme de ce médecin de bonne volonté, martyr de ce système) suite aux terribles pressions, dont pour la plupart, l'interdiction de continuer à pratiquer, ne peut perdurer. Cela nous concerne tous.
Puisque ce ne sont pas les résultats des traitements qui sont considérés, on peut en conclure que la médecine consisterait, non à guérir le malade, mais à suivre le seul dictat dit "protocole", quand bien même il ne guérit pas, et même dans certains cas, tout le contraire.
J'ai trouvé ceci en surfant sur le web, qui interpelle --- ("ils" ont donc remis le couvert ):
Novembre 2000
JUSTICE
Un vrai pas vers le pluralisme thérapeutique
Deux jugements récents viennent appuyer ceux qui réclament le droit de soigner leur cancer ou une maladie grave avec des traitements
non reconnus. Une victoire pour les médecins et patients attachés
au pluralisme thérapeutique.
C'est une première! Le Conseil d'État vient de casser le jugement de l'ordre des médecins qui avait condamné, au mois d'octobre 1996, le Dr Didier Moulinier, médecin à Bordeaux, à deux mois de suspension du droit d'exercer la médecine. Motif : il prescrivait " des remèdes insuffisamment éprouvés qui pouvaient faire courir aux patients des risques injustifiés ".
Depuis plusieurs décennies, des médecins sont régulièrement poursuivis et condamnés par leur Ordre pour utilisation de " remèdes
insuffisamment éprouvés ". Une appellation qui permet à l'Ordre de combattre l'utilisation des thérapeutiques complémentaires du cancer et des maladies graves . Fruit d'un arbitraire qui cache mal les jalousies de certains médecins face aux résultats de ces thérapeutiques, les condamnations interviennent sans preuves et en l'absence de plaintes des malades ; ceux-ci au contraire soutiennent leurs médecins.
Un cas exemplaire
Le cas du Dr Moulinier est exemplaire. En 1984, il obtenait sa thèse de doctorat en médecine avec une étude de plusieurs dizaines de cancéreux utilisant des traitements conventionnels et complémentaires. Titulaire d'un diplôme de cancérologie de l'université de Paris-Nord (où il était étudiant d'un de nos cancérologues les plus réputés, le Pr Israël), il connaît bien ces traitements et, contrairement à ce qu'on lui reproche, il les a " éprouvés " sur le plan scientifique comme sur le plan médical. Il participe régulièrement aux séminaires médicaux, notamment du Gretac (Groupement de recherches et d'études des thérapeutiques allopathiques et complémentaires), où il confronte ses résultats avec ceux de ses confrères (Gretac, 26, chemin Plaine, 09000 Saint-Jean-de-Verges. Tél. : 05 61 05 28 44.). Il a eu plusieurs fois maille à partir avec l'Ordre. Après sa condamnation en 1996, sûr de son droit, il fait appel du jugement auprès du Conseil d'État. Celui-ci annule la condamnation, qu'il trouve insuffisamment motivée : il reproche à l'Ordre d'invoquer des risques injustifiés sans préciser lesquels et sans se référer à des dossiers précis de malades.
" C'est une avancée significative ", explique un de ses confrères du Gretac, lui aussi diplômé de cancérologie. " Cette condamnation de l'ordre des médecins, obtenue grâce à l'évolution de la situation au niveau européen, montre que celui-ci ne peut pas continuer impunément à fonctionner comme un tribunal d'exception qui bafoue le droit constitu- tionnel ", poursuit-il. En effet, notre droit reconnaît que les médecins peuvent prescrire en conscience tout remède utile à leurs patients, y compris ceux qui ne sont pas reconnus, dès lors que les traitements conventionnels n'ont pas d'effets positifs pour eux. Certes, ils ne doivent pas faire courir de risques aux patients. Mais désormais, l'ordre des médecins ne pourra plus s'en tenir à l'arbitraire : il devra faire la preuve de la dangerosité des traitements prescrits par les médecins qu'il poursuit. " Le Conseil d'État a jugé que l'ordre des médecins ne pouvait pas se mettre au-dessus des lois. Il s'agit d'une véritable révolution ", se réjouit le Dr Moulinier.
Le droit des patients
Quelques semaines avant cette décision, un jugement de la Cour de cassation venait rappeler le droit des patients dans ce domaine. En effet, à plusieurs reprises, des caisses primaires d'assurance maladie ont refusé de prendre en charge des soins infirmiers correspondant à des injections de produits non remboursables. Une des multiples pressions visant à dissuader les patients de recourir aux thérapeutiques non conventionnelles, en leur faisant payer le prix fort.
Suite et Source : http://www.medecines-douces.com/impatient/272nov00/justice.htm
Merci Malou d'avoir diffusé abondamment la vidéo.
En UDP.
Invité- Invité
Nouveau code de déontologie médicale: Médecins, rentrez dans l´ordre !
Nouveau code de déontologie médicale : Médecins, rentrez dans l´ordre !
17 mai 2012
C’est ici plus une constatation qu’une découverte, la médecine souffre de ses protocoles et ceux-ci doivent être suivit à la lettre sous peine d’être lourdement sanctionnés, cela fait des décennies que cela fonctionne ainsi. Peut être quelqu’un ici se souviendra de cette cancérologue lyonnaise dont le nom m’échappe, elle était spécialisée dans les enfants et à subit nombre de pression car elle obtenait trop de bons résultats, elle utilisait une méthode qui lui était propre et qui ne suivait pas ces protocoles, et ce n’est qu’un cas parmi tant d’autres. Le carcan de ces crétins de médico-financiers qui ne voient plus que le profit, l’arnaque est généralisée quelle que soit la maladie, c’est à vomir!
Dans l’indifférence de tous, le code de déontologie médicale vient d’être modifié par un décret (n° 2012-694 du 7 mai 2012). A part des avancées réelles profitables aux droits du malade, ce texte, par l’ajout de neuf petits mots qui changent tout, signe en fait la fin de l’humanisme en médecine. Rien de moins.
Le code de déontologie vient d’être « adapté » par le décret n°2012-694 du 7 mai 2012, publié au Journal Officiel du 8 mai 2012. Il comporte, certes, quelques avancées, notamment pour le patient.
Son dossier médical, par exemple, doit lui être communiqué à sa demande (et non plus seulement, « lorsque la loi prévoit qu´un patient peut avoir accès à son dossier ») et son accord est nécessaire pour la transmission des informations à un autre médecin. Le patient a également désormais le droit, s’il le souhaite, « d’être tenu dans l´ignorance d´un diagnostic ou d´un pronostic, sauf si des tiers sont exposés à un risque de contamination ».
Enfin, « un pronostic fatal ne doit [lui] être révélé qu´avec circonspection, mais les proches doivent en être prévenus, sauf exception ou si le malade a préalablement interdit cette révélation ou désigné les tiers auxquels elle doit être faite ».
« Compte tenu des données acquises de la science »
Mais là où les choses dérapent carrément, c’est dans l’article R4127-8 du nouveau décret qui dit : « Dans les limites fixées par la loi et compte tenu des données acquises de la science, le médecin est libre de ses prescriptions qui seront celles qu´il estime les plus appropriées en la circonstance ». Cette formulation est identique à la formulation du texte en vigueur jusqu’alors, au détail près des neuf mots soulignés par nous dans le texte.
Apparemment, tout le monde pourrait applaudir ce rajout. On trouverait illogique et dangereux que des professionnels de la santé ne s’appuient pas dans leurs pratiques sur les « données acquises de la science ».
Oui, mais en France, cela signifie : tout médecin qui ne respecte pas à la lettre les indications institutionnelles, qui innove (même s’il le fait en conscience) ou adapte sa conduite pour tenir compte des particularités de son patient, tout médecin peut donc désormais être poursuivi par son Conseil de l’ordre et interdit d’exercer. Le praticien doit s’en tenir strictement à la nomenclature des actes édictée par l’Assurance maladie, aux codifications de l’Académie de médecine, aux prescriptions du ministère de la santé.
Cela veut dire que les maladies ont été mise en fiches et que la seule façon de les traiter est de suivre les règles, normes et décrets élaborés par le système institutionnel.
Trois grosses dérives
Je vois trois grosses dérives dans cette mentalité :
1) Le système institutionnel est loin d’être parfait. Il peut être manipulé par les lobbies (ex. l’affaire en cours du Médiator, parmi de nombreuses autres), déréglé par le désir de lucre (ex. dépassements d’honoraires, prothèses mammaires, etc.), faussé par les conflits d’intérêts (cf. l’ex-Afssaps), etc. Il n’assure pas la santé aux patients : il y a toujours autant de malades. Ainsi, 145 000 citoyens meurent du cancer chaque année dans les bras des médecins. Le système médical ne représente donc pas la vérité ultime qui autoriserait à condamner toute autre approche.
2) Il est évident, du moins pour les gens qui réfléchissent, que la « médecine basée sur les preuves » est un critère de sécurité mais pas suffisant pour garantir à lui seul la qualité du soin. Le savoir faire, l’honnêteté intellectuelle et morale, l’ouverture d’esprit, l’intuition, voire la chance, interviennent aussi dans la réussite de toute thérapie. Le corps et l’esprit humain, impossibles à dissocier l’un de l’autre, ne fonctionnent pas comme de pures mécaniques, ce que laisse pourtant supposer une médecine uniquement basée sur « les données acquises de la science ».
3) Cet ajout apparemment logique et légitime représente en fait un tour de passe-passe. Il reflète l´instinct de survie du système institutionnel et sa volonté de combattre les évolutions menées par les médecines complémentaires et alternatives.
La fin de l’humanisme dans le domaine de la santé
Ces médecines non conventionnelles, effectivement, ne sont pas « validées scientifiquement » pour la plupart. Elles peuvent n’en être pas moins très efficaces. Ce qui explique notamment l’engouement des citoyens à leur égard. Mais comme elles échappent au système, il fallait trouver un moyen simple pour les empêcher de progresser. Plutôt que de les étudier honnêtement, on préfère les combattre. Bien pratique pour la Miviludeset le ministère de la santé ! Toute pratique ne respectant pas « les données acquises de la science » (devenues LA Vérité) est de fait condamnable. Pas besoin de prouver sa dangerosité. Il suffit de dire qu’elle est du charlatanisme, qu’elle est à risque sectaire, etc. Sa cause est entendue.
Cette mentalité prétentieuse et totalitaire signe la fin de l’humanisme en ce sens qu’elle consacre l’homme comme un assemblage de mécaniques et de rouages, qu’elle divinise la « science » et cléricalise l’institution médicale, qu’elle ignore la vie et ses mystères (qui demeurent encore nombreux, la preuve de ceci étant fournie par l’impuissance de la médecine face à d’innombrables maux et souffrances), qu’elle criminalise toute attitude contestataire ou simplement créative, sensible, intuitive, ouverte, adaptative, pourtant indispensables pour affronter humblement la complexité de l’humain….
JL ML
Source: carevox.fr
17 mai 2012
C’est ici plus une constatation qu’une découverte, la médecine souffre de ses protocoles et ceux-ci doivent être suivit à la lettre sous peine d’être lourdement sanctionnés, cela fait des décennies que cela fonctionne ainsi. Peut être quelqu’un ici se souviendra de cette cancérologue lyonnaise dont le nom m’échappe, elle était spécialisée dans les enfants et à subit nombre de pression car elle obtenait trop de bons résultats, elle utilisait une méthode qui lui était propre et qui ne suivait pas ces protocoles, et ce n’est qu’un cas parmi tant d’autres. Le carcan de ces crétins de médico-financiers qui ne voient plus que le profit, l’arnaque est généralisée quelle que soit la maladie, c’est à vomir!
Dans l’indifférence de tous, le code de déontologie médicale vient d’être modifié par un décret (n° 2012-694 du 7 mai 2012). A part des avancées réelles profitables aux droits du malade, ce texte, par l’ajout de neuf petits mots qui changent tout, signe en fait la fin de l’humanisme en médecine. Rien de moins.
Le code de déontologie vient d’être « adapté » par le décret n°2012-694 du 7 mai 2012, publié au Journal Officiel du 8 mai 2012. Il comporte, certes, quelques avancées, notamment pour le patient.
Son dossier médical, par exemple, doit lui être communiqué à sa demande (et non plus seulement, « lorsque la loi prévoit qu´un patient peut avoir accès à son dossier ») et son accord est nécessaire pour la transmission des informations à un autre médecin. Le patient a également désormais le droit, s’il le souhaite, « d’être tenu dans l´ignorance d´un diagnostic ou d´un pronostic, sauf si des tiers sont exposés à un risque de contamination ».
Enfin, « un pronostic fatal ne doit [lui] être révélé qu´avec circonspection, mais les proches doivent en être prévenus, sauf exception ou si le malade a préalablement interdit cette révélation ou désigné les tiers auxquels elle doit être faite ».
« Compte tenu des données acquises de la science »
Mais là où les choses dérapent carrément, c’est dans l’article R4127-8 du nouveau décret qui dit : « Dans les limites fixées par la loi et compte tenu des données acquises de la science, le médecin est libre de ses prescriptions qui seront celles qu´il estime les plus appropriées en la circonstance ». Cette formulation est identique à la formulation du texte en vigueur jusqu’alors, au détail près des neuf mots soulignés par nous dans le texte.
Apparemment, tout le monde pourrait applaudir ce rajout. On trouverait illogique et dangereux que des professionnels de la santé ne s’appuient pas dans leurs pratiques sur les « données acquises de la science ».
Oui, mais en France, cela signifie : tout médecin qui ne respecte pas à la lettre les indications institutionnelles, qui innove (même s’il le fait en conscience) ou adapte sa conduite pour tenir compte des particularités de son patient, tout médecin peut donc désormais être poursuivi par son Conseil de l’ordre et interdit d’exercer. Le praticien doit s’en tenir strictement à la nomenclature des actes édictée par l’Assurance maladie, aux codifications de l’Académie de médecine, aux prescriptions du ministère de la santé.
Cela veut dire que les maladies ont été mise en fiches et que la seule façon de les traiter est de suivre les règles, normes et décrets élaborés par le système institutionnel.
Trois grosses dérives
Je vois trois grosses dérives dans cette mentalité :
1) Le système institutionnel est loin d’être parfait. Il peut être manipulé par les lobbies (ex. l’affaire en cours du Médiator, parmi de nombreuses autres), déréglé par le désir de lucre (ex. dépassements d’honoraires, prothèses mammaires, etc.), faussé par les conflits d’intérêts (cf. l’ex-Afssaps), etc. Il n’assure pas la santé aux patients : il y a toujours autant de malades. Ainsi, 145 000 citoyens meurent du cancer chaque année dans les bras des médecins. Le système médical ne représente donc pas la vérité ultime qui autoriserait à condamner toute autre approche.
2) Il est évident, du moins pour les gens qui réfléchissent, que la « médecine basée sur les preuves » est un critère de sécurité mais pas suffisant pour garantir à lui seul la qualité du soin. Le savoir faire, l’honnêteté intellectuelle et morale, l’ouverture d’esprit, l’intuition, voire la chance, interviennent aussi dans la réussite de toute thérapie. Le corps et l’esprit humain, impossibles à dissocier l’un de l’autre, ne fonctionnent pas comme de pures mécaniques, ce que laisse pourtant supposer une médecine uniquement basée sur « les données acquises de la science ».
3) Cet ajout apparemment logique et légitime représente en fait un tour de passe-passe. Il reflète l´instinct de survie du système institutionnel et sa volonté de combattre les évolutions menées par les médecines complémentaires et alternatives.
La fin de l’humanisme dans le domaine de la santé
Ces médecines non conventionnelles, effectivement, ne sont pas « validées scientifiquement » pour la plupart. Elles peuvent n’en être pas moins très efficaces. Ce qui explique notamment l’engouement des citoyens à leur égard. Mais comme elles échappent au système, il fallait trouver un moyen simple pour les empêcher de progresser. Plutôt que de les étudier honnêtement, on préfère les combattre. Bien pratique pour la Miviludeset le ministère de la santé ! Toute pratique ne respectant pas « les données acquises de la science » (devenues LA Vérité) est de fait condamnable. Pas besoin de prouver sa dangerosité. Il suffit de dire qu’elle est du charlatanisme, qu’elle est à risque sectaire, etc. Sa cause est entendue.
Cette mentalité prétentieuse et totalitaire signe la fin de l’humanisme en ce sens qu’elle consacre l’homme comme un assemblage de mécaniques et de rouages, qu’elle divinise la « science » et cléricalise l’institution médicale, qu’elle ignore la vie et ses mystères (qui demeurent encore nombreux, la preuve de ceci étant fournie par l’impuissance de la médecine face à d’innombrables maux et souffrances), qu’elle criminalise toute attitude contestataire ou simplement créative, sensible, intuitive, ouverte, adaptative, pourtant indispensables pour affronter humblement la complexité de l’humain….
JL ML
Source: carevox.fr
sylvia- Avec les anges
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